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Les uvres de M. Jean Belot, curé de Mil-Monts, professeur aux sciences divines & celestes. Contenant la chiromence, physionomie, lart de memoyre de Raymond Lulle; traicté des divinations, augures & songes; les sciences stéganographiques, paulines, armadelles & lullistes; lart de doctement precher & haranguer, &c. Dernière édition, reveuë, corrigée & augmentée de divers traictez.
1640 A Rouen, chez Iacques Cailloüè, dans la Court du Palais, 1640. Un volume petit in-8° (106 x 167 mm) en deux parties de [16]+1-254 (numérotée 252) et 255-432 pages; second titre en page 255: La seconde partie, ou second livre auquel est traité de la physionomie, métoscopie, & oneïrocratie. 1640. Nombreuses illustrations bois gravé de formats divers dans le texte. Demi-reliure moderne en parchemin de réemploi. Ex-libris manuscrit sur la page de titre: «Frère Pacifique Lutr (?) religieux professe du c[ouv]en[t] de Vallances, 1657».
Rare ÉDITION ORIGINALE de ce véritable compendium des sciences (plus ou moins) occultes, dû au philosophe et alchimiste Jean Belot, disciple de Reymond Lulle et de Cornelius Agrippa de Nettesheim. (Caillet I, 934). Bel exemplaire.
Luvre des uvres ou le plus parfaict des sciences stéganographiqus, paulines, armedelles, & lullistes. Par lesquelles facilement se comprend, sapprend, & lon cognoist son génie, & par iceluy la perfection de toutes les sciences, que lon peut acquerir par neuf leçons contenues dans ce livre. Augmentée de lart de doctement prescher, haranguer, & sur tous text4s de lEscriture Saincte & autres sujects, sans preparation ny estude premeditee, par un secret admirable, dit, gemma secretorum. Par M. Jean Belot, C[uré] de Mil-Monts, maistre aux sciences divines et celestes.
1640 A Rouen, chez Jacques Cailloüé, dans la Court du Palais, 1640. Un volume petit in-8° (105 x 170 mm) de [4]+138+[2] pages. Reliure moderne en demi-parchemin de réemploi.
Louvrage, dû au philosophe et alchimiste Jean Belot, disciple de Reymond Lulle et de Cornelius Agrippa de Nettesheim, traite dabord de la réthorique, puis de la dialectique, et enfin dune méthode mnémotechnique attribuée à Lulle. (Caillet I, 930, qui ne mentionne que des éditions de 1622 et 1623). Bel exemplaire.
