s.d. Tassotti Editore, non daté. 36x48 cm. 15 lithographies bicolores (gris et bistre) inspirées des scènes du ballet Béjart. Chaque lithographie est signée au crayon par Paolo d'Anna. Le tout est conservé dans un port-folio en pleine toile grise. Titre imprimé sur une feuille de papier collée sur le plat supérieur. Petites traces de frottement sur les coins du port-folio, sinon ensemble en bon état général.
Ouvrage tiré à 100 exemplaires.
1969, 16,8x21,6cm, carnet en spirales.
Journal intime autographe de Maurice Béjart écrit sur un agenda de l'année 1969 célébrant le centenaire de la naissance de Mahatma Gandhi. 52 feuillets autographes, rédigés aux stylos rouge et bleu dans un cahier à spirales. Ce journal figure parmi les très rares manuscrits de Béjart en mains privées, les archives du chorégraphe étant partagées entre sa maison bruxelloise, la fondation Béjart de Lausanne et le Théâtre Royal de la Monnaie. Journal du chorégraphe Maurice Béjart, écrit durant l'année 1969. Rarissime collection de pensées, d'interrogations, d'introspections sous le prisme de l'hindouisme et de la sagesse bouddhique, que Béjart adopte à la suite d'un premier voyage en Inde en 1967. Le journal constitue un témoignage emblématique de l'époque indo-hippie des années 1960, renaissance spirituelle et artistique qui inspira au chorégraphe de nombreux ballets (Messe pour le temps présent, Bhakti, Les Vainqueurs). Une sélection de ce journal fut publiée par Maurice Béjart dans le second tome de ses mémoires (La Vie de Qui?? Flammarion, 1996). Durant l'année 1969, Béjart prend quotidiennement des notes dans un agenda publié à la mémoire de Mahatma Gandhi. Fasciné par le mysticisme hindou depuis un voyage en Inde en 1967, il remplit ce journal spirituel de nombreux mantras et prières («?Krishna guide mon char, la lumière est au bout du chemin. OM?»; «?Le Bouddha est partout présent?»; «?Laisser Dieu entrer, mais comment ouvrir la porte???») et invoque tant les divinités hindoues que les Bodhisattvas Mañju?r? et T?r? - figures apaisantes du panthéon bouddhique. La «?période indienne?» de Béjart fut particulièrement riche en chefs-d'uvre chorégraphiques, dont on suit la progression dans son journal (Baudelaire en début d'année, la création des Vainqueurs à Bruxelles et des Quatre fils Aymon à Avignon, ainsi que le tournage et la projection de son ballet indien Bhakti). à la croisée du New Age et du mouvement hippie, la «?conversion?» de Béjart est symptomatique d'une époque en refus du progrès et en soif de spiritualité?: «?Calcutta n'est pas l'Inde mais notre visage occidental. Ce n'est pas la religion ni la pensée traditionnelle qui est coupable mais le capitalisme. L'Inde pays riche avant la colonisation?». La visite des Beatles dans l'?shram du guru Maharishi et le concert de Ravi Shankar à Woodstock en 1969 marquèrent le début d'une véritable passion occidentale pour la musique et la culture indiennes, qui fut déterminante dans les ballets de Béjart à cette époque. L'Inde s'offre également aux yeux de Béjart comme un lieu où l'art et les traditions ancestrales n'ont pas subi les perversions du positivisme. Il cherchera dans ses créations à exprimer l'esprit d'une culture qui unit intimement le corps et l'esprit, et dans laquelle la danse joue un rôle cosmique et spirituel majeur. Les systèmes de danse indienne et les chants védiques découverts grâce à l'orientaliste Alain Daniélou furent insérés dans ses ballets - en 1968, il ouvre la Messe du temps présent par un long solo de vînâ qui dura quinze minutes?: «?Béjart est dans son quart d'heure hindou. Et là-bas, les quarts d'heure hindous, ça peut durer des heures...?» commenta Jean Vilar, directeur du festival d'Avignon. Un vent de mode indienne passera également dans les costumes de la troupe du Ballet du XXème siècle?: larges pantalons de soie, tuniques, bijoux et yeux orientaux. Dans le journal, Béjart affirme qu'il n'y a «?pas de vérité sans yoga?», un art découvert auprès d'un maître indien que l'on trouve dans nombre de ses ballets sous la forme d'exercices de danse à la barre. Il décide également de faire de Bhakti «?un acte de Foi?» en filmant lui-même la chorégraphie du ballet, et prépare pendant l'été les Vainqueurs, une rencontre insolite entre Wagner et les ragas traditionnels indiens. Au-delà de l'artiste prolifique, on découvre aussi dans le journal la personnalité troublée du chorégraphe, en proie au doute et à la mélancolie?: «?état vague d'apesanteur physique et de vide moral. Léthargie ou paresse. Faiblesse. Vertige. Torpeur. Inconscience?». Malgré les succès, Béjart tentera d'apaiser son état fragile par la méditation et l'enseignement de prophètes et brahmanes indiens, qu'on rencontre au fil des pages du journal (Ramana Maharshi, Swami Ramdas, le Dalaï-Lama, Apollonios de Tyane). Ses amours parfois contrariées avec son danseur fétiche Jorge Donn l'accaparent et le plongent dans l'angoisse - à la veille de la première des Vainqueurs, il écrit «?Avant-générale. Chaos. [Jorge] Donn parti. Tara absente. Moi perdu.?». Déchiré entre la jouissance et la maîtrise de soi, il voyage à rythme effréné avec sa troupe du Ballet du XXème siècle, d'abord aux Pays-Bas puis en Italie à Milan, Turin et Venise?: «?Je quitte Venise complètement asservi à la paresse au sexe et à la facilité et pourtant étrange bien-être de la brute qui a bu et baisé?». Pourtant, ces moments heureux ne parviennent pas à satisfaire Béjart, pour qui la «?Joie a un arrière-goût de mort?» malgré la «?vie de travail et de discipline?» qu'il s'impose durant cette année riche en créations. à la fin de sa vie, Béjart reviendra avec humour sur ses frasques indiennes et le ton résolument sombre de son journal?: «?Je ne peux pas m'empêcher de rire de cet idiot qui pleure et qui geint, alors qu'il créait des ballets en grand nombre [...] Quand je pense qu'à la fin de ce journal de 1969 je songeais résolument à la retraite?!?». Rarissime document retraçant la rencontre entre l'Orient et l'Occident dans la vie intime et l'uvre chorégraphique de Maurice Béjart. Ce journal incarne une époque de contre-culture et de syncrétisme culturel qui marqua durablement le ballet d'avant-garde européen. Provenance?: archives personnelles de Maurice Béjart. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d. [ca 1991], 21x29,7cm, 10 feuillets.
Manuscrit autographe signé du chorégraphe Maurice Béjart. 10 feuillets rédigés au stylo bleu. Foliotation autographe. Épreuves manuscrites de Maurice Béjart pour son ouvrage Béjart-theâtre?: A-6-Roc (Éditions Plume, 1992), à propos de sa pièce A-6-Roc créée la même année au théâtre de Vidy à Lausanne. Après la fondation du «?Béjart Ballet Lausanne?» et son départ définitif de Belgique en 1987, Maurice Béjart poursuit sa mise en scène d'opéras, entreprend la réalisation de films et publie plusieurs livres (roman, souvenirs, journal intime...). Par ailleurs, il écrit et met en scène sa troisième pièce de théâtre A-6-Roc jouée à Lausanne en 1992, qu'il publie avec des commentaires dans un ouvrage intitulé Béjart-theâtre?: A-6-Roc. La pièce met en scène sept personnages en quête d'un paradis perdu, et engage une profonde réflexion sur la mémoire et l'enfance du chorégraphe. Béjart tient le rôle principal et donne la réplique à Gil Roman, son danseur fétiche de la période lausannoise, qui lui succédera à la tête de sa troupe en 2007. A-6-Roc fut probablement la pièce préférée de Béjart et sera la seule qu'il acceptera de publier. Largement inspirée du théâtre de Jean Anouilh et plus encore de celui d'Eugène Ionesco, elle emprunte également à son enfance dans le Sud de la France. Ce manuscrit, qui livre de précieuses indications de mise en scène et de décor, fut publié avec le texte original de la pièce en 1992. Le présent, le passé et le futur se rencontrent dans la pièce à travers trois personnages - une figure de patriarche que Béjart interprète lui-même, une autre incarnant la jeunesse joué par Gil Roman («?6 doit avoir au moins le double d'âge de Mr A. Cette différence de génération crée leur tension et aussi leur complicité?») et un clown, appelé Roc, interprété par l'acteur Philippe Olza. On y décèle sans peine l'influence du théâtre de l'absurde tant dans les choix scéniques que la psychologie des personnages?: «?cette première séquence de la pièce, qui peut durer de 3 à 6 ou 7 minutes, n'est qu'un mouvement mécanique de corps [...] évoquant l'activité inutile et vaine des univers concentrationnaires?». Le dramaturge Béjart n'en restera pas moins fidèle à l'idée «?spectacle total?» qui fit sa célébrité en tant que chorégraphe. La danse et le mouvement inondent la pièce - notamment dans le chur théâtral («?quatre personnages devrais-je dire, car rien ne me déplaît plus que l'uniformité des pseudo-churs grecs et autres corps de ballet esthétisants?») et Béjart consacre les quatre derniers feuillets à la musique («?elle joue tout au long de la pièce comme les dauphins qui suivent un bateau?») allant de Nino Rota à la musique sirupeuse de Jackie Gleason. Au-delà du théâtre, Béjart désire créer avec A-6-Roc une uvre d'art complète incluant tous les autres genres du spectacle, et démontre dans ce manuscrit son talent de de dramaturge et de metteur en scène. Précieux manuscrit sur la dernière pièce de théâtre écrite, mise en scène et interprétée par Béjart. Il figure parmi les très rares documents du chorégraphe en mains privées, ses archives étant partagées entre sa maison bruxelloise, la fondation Béjart de Lausanne et le Théâtre Royal de la Monnaie. Provenance?: archives personnelles de Maurice Béjart. - Photos sur www.Edition-originale.com -
29 janvier 1969, 21x27cm, une feuille filigranée Guerimand Voiron.
Lettre dactylographiée et signée d'André Malraux à Maurice Béjart. Une feuille à en-tête du Ministre d'état chargé des Affaires Culturelles, portant un tampon du 29 janvier 1969. André Malraux souhaite placer le chorégraphe Maurice Béjart à la tête du Ballet de l'Opéra de Paris. Béjart était alors fort bien établi à Bruxelles, parmi sa troupe le Ballet du XXème siècle, se produisant au théâtre de la Monnaie dirigé par son ami Maurice Huismans. à la suite d'un rapport de Jean Vilar pour réformer l'Opéra de Paris, Malraux prend la décision de rappeler Béjart en France?: «?J'aimerais que nous puissions nous rencontrer pour parler d'un projet que vous connaissez déjà et auquel j'attache une grande importance?: la Direction de la Danse à l'Opéra.?» L'idée de Malraux était de nommer à ses côtés Boulez et Jean Vilar, formant ainsi une avant-garde solide, résolument tournée vers l'avenir des arts. Le chorégraphe déclina l'offre et poursuivit ses créations en Belgique. Il ne sera pas moins admiratif de Malraux à qui il consacra quinze ans plus tard un ballet sur des musiques de Beethoven, qu'il intitule «?Malraux ou la métamorphose des dieux?». La lettre constitue l'unique preuve de la demande de Malraux à Béjart, qui était jusqu'à présent soumise à controverse. Cette proposition du Ministre des Affaires culturelles ne fut pas honorée par Béjart, qui resta en Belgique pendant dix ans avant de prendre la route pour Lausanne. Provenance?: archives personnelles de Maurice Béjart. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 5 août 1969, 21x27cm, trois feuilles.
Lettre autographe signée de l'écrivain Pierre Klossowski adressée à Maurice Béjart, datée du 5 août 1969. 58 lignes rédigées au stylo noir sur trois feuilles. Intéressante lettre sur un projet d'adaptation en ballet duBaphometde Klossowskipar le chorégraphe Maurice Béjart. Klossowski avait rencontré Maurice Béjart par l'entremise d'un ami commun, l'écrivain et cinéaste François Weyergans. De cette rencontre était née l'idée d'un ballet autour du livre deKlossowski Le Baphomet. Ce conte médiéval baroque, publié quatre ans plus tôt, retraçait les vicissitudes mystiques et les déchirements religieux des Templiers. L'écrivain, obsédé par le projet, confie ses doutes sur une telle entreprise, qui semble irréalisable tant les écueils sont nombreux : "Plus je m'évertue à esquisser quelques ébauches de synopsis, et plus sûrement je m'égare [...] je n'arrive pas à sortir d'une visualisation théâtrale". On trouve de fascinants passages interrogeant la relative perméabilité entre le texte littéraire et la scène de ballet : "Il me semble maintenant que c'est non point le tableau mais la trame verbale - le mouvement de la parole et ses développements qui offriraient les éléments desfiguresque seul votre génie puisse réinventer à sa guise !".Il dresse à la fin de la lettre une liste de trois scènes à adapter et lui fait part d'une idée de mise en scène très originale : "(J'avais imaginé que l'on assisterait à l'animation de la statue de Ste Thérèse du Bernin - le page simulant la statue - donc jouant la moniale pour figurer leBaphomet- mais voilà encore du «théâtre»)". Malgré les efforts de Klossowski, le projet de collaboration avec Béjart ne fut jamais réalisé. Les deux artistes restèrent néanmoins proches,et leur correspondance, dont nous trouvons encore trace en 1991, témoigne de leur longue amitié. Provenance : archives personnelles de Maurice Béjart. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 4 mars 1991, 21x29,7cm, une feuille.
Lettre autographe signée de l'écrivain Pierre Klossowski au chorégraphe Maurice Béjart, datée du 4 mars 1991. 29 lignes rédigé au stylo noir sur un feuillet. Tel un poème, cette belle et enthousiaste missive fut rédigée en une longue colonne de texte. Klossowski félicite le chorégraphe pour son autobiographieMort subiteparue la même année et s'émerveille des goûts littéraires de Béjart si semblables aux siens. Pierre Klossowski souligne dans la lettre les affinités qui le lient à Béjart. Il consacre un long passage àMort subite, le dernier ouvrage de Béjart sur son célèbre père, le philosophe Gaston Berger : "La miraculeuseAnwesenheit [présence]d'un tel pèresuscitée par untel fils! A vous lire, je ressens cette célébration dans sa piété filiale toute de joyeuse certitude, à la cadence goethéenne duRoi des Aulnes[...]". Il évoque leur passion commune pour le poète Rainer Maria Rilke, avant de mentionner un ancien projet de collaboration : "Je n'oublie guère votre visite [...] ni votre idée d'un ballet autour d'unBaphomet invisible...". Quelques années auparavant, leBaphometavait déjà fait l'objet d'un projet théâtral avorté avec la Biennale de Venise. La lettre s'achève sur une allusion au "travail pictural exclusif" de Klossowski : son immense production de dessins qui l'occupe jusqu'à la fin de sa vie. Lettre admirative de Pierre Klossowski sur les talents d'écriture de Béjart et ses influences littéraires. Provenance : archives personnelles de Maurice Béjart. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d. [ca 1991], 21x29,7cm, 9 feuillets.
«?N'oublions jamais la gloire de la nature humaine. Nous sommes les plus grands Dieux, les Christs et les Bouddhas ne sont que des vagues sur l'océan sans limites que je suis?» Manuscrit autographe signé du chorégraphe Maurice Béjart, envoyé à son éditrice avec une lettre autographe sur deux feuillets. 9 feuillets, 145 lignes rédigées au stylo bleu. Foliotation autographe du manuscrit (1-7) et de la lettre à son éditrice (a-b). Réflexions manuscrites de Maurice Béjart, intitulées «?Mémoire?», constituant le dernier chapitre de son ouvrage Béjart-theâtre?: A-6-Roc (Editions Plume, 1992), à propos de sa pièce éponyme créée la même année à Lausanne. Après la fondation du «?Béjart Ballet Lausanne?» et son départ définitif de Belgique en 1987, Béjart poursuit sa mise en scène d'opéras, entreprend la réalisation de films et publie plusieurs livres (roman, souvenirs, journal intime...). Par ailleurs, il écrit et met en scène trois pièces de théâtre?: La Reine Verte, Casta Diva et enfin A-6-Roc, à laquelle il consacre un ouvrage. La pièce met en scène sept personnages en quête d'un paradis perdu, et engage une profonde réflexion sur la mémoire. Le dernier chapitre de son livre sur A-6-Roc, dont nous livrons ici le manuscrit, est un mélange de pensées philosophiques et de commentaires sur la pièce?: «?La première idée de décor pour A-6-Roc était une immense bibliothèque [...] où les deux personnages acteurs d'un drame qui se nomme la vie, ne savent plus si les mots qu'ils prononcent sont les leurs ou ceux des générations qui les ont précédés dans cette prison de la connaissance?». En filigrane, l'auteur-chorégraphe soutient que la mémoire, quoique salutaire pour l'Homme, nuit à ses facultés créatives. S'ensuit une série d'interrogations sur le «?Moi?», où l'on peut déceler l'influence d'un Montaigne?: «?Je suis une succession d'instants, de regards, d'émotions, d'attentes. Je suis le fruit que je mange, l'air que je respire, le chat que je caresse, le livre que je lis, le regard dont je me souviens?». Provenance?: archives personnelles de Maurice Béjart. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d. [après 1927], 12,2x17,2cm, trois photographies et une carte.
Trois photographies originales de Maurice Béjart enfant aux côtés de sa mère, prises à Mougins. Nous joignons le faire-part de naissance, datant du 1er janvier 1927, imprimé à son nom «?Maurice Jean Berger?». Provenance?: archives personnelles de Maurice Béjart. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Sénégal s.d. (ca 1970), 14,8x10,6cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée de Maurice Béjart adressée à André-Philippe Hersin. Quelques lignes à l'encre bleue au verso d'une vue photographique en couleurs du marché de Ziguinchor (Sénégal). Journaliste, critique de danse et rédacteur en chef des Saisons de la danse, Hersin fut un grand défenseur du style chorégraphique de Béjart et lui consacra d'élogieux articles dans sa revue ainsi que des fascicules monographiques sur son oeuvre. "Le paradis d'Anne Béranger ! Je ramènerai moi-même certaines tenues surprenantes. Je pense souvent à vous ici (ne riez pas) je vous embrasse. Maurice" En 1977, Maurice Béjart fonda l'école Mudra-Afrique àDakar, honorant ainsi la mémoire de son arrière-grand-mère sénégalaise Fatou Diagne, grand-mère de son père, le philosophe métis Gaston Berger. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Editions corps actica décor, 1972; petit in-4, cartonnage d'éditeur avec jaquette (celle-ci est un peu abimée). Introduction a l'esthétique de Maurice Béjart de Gilberte Courand - ballets de l'opéra de paris, noces oiseau de feu sacre du printemps.
Introduction a l'esthétique de Maurice Béjart de Gilberte Courand - ballets de l'opéra de paris, noces oiseau de feu sacre du printemps.
Lausanne, Plume, Rudra Béjart 1992 Expédition très soignée, tous les mardis et vendredis. . In-4. Broché. Entretien de Maurice Béjart avec Jean-Pierre Pastori ; sous le regard photographique de Mireille Darc et Richard Melloul. In-4. Broché. Livre en Français. . Occasion comme neuf. 183 pages.. Livre en Français. . Occasion comme neuf. 183 pages.
Très bon état d’occasion
Béjart Maurice, Pastori Jean Pierre, Imsand Marcel (phot.):
Reference : 20006
(2007)
Lausanne, Favre, 2007. In-4 à l'italienne, cartonnage photographique. Tout beau tout neuf. Photographies de Marcel Imsand.
Cet ouvrage est né des instances d'autres amis en plein accord avec le chorégraphe. Il nous montre un Maurice Béjart aux multiples visages. Au studio, en coulisse, sur scène, dans son appartement. Un Béjart intime et parfois secret. * La librairie la Bergerie est sur le point de déménager - c'est la raison pour laquelle nous vous proposons jusqu'à la fin de l'année une remise de 10% sur tout le stock (pour les ouvrages encore en rayons) et de 20% sur ceux qui, déjà mis dans les cartons de déménagement, ne pourront être livrés qu'en début d'année prochaine. La remise sera déduite des prix affichés *
Béjart Ballet Lausanne, sans date. DVD zone 2 sous boîtier couleurs.
* La librairie la Bergerie est sur le point de déménager - c'est la raison pour laquelle nous vous proposons jusqu'à la fin de l'année une remise de 10% sur tout le stock (pour les ouvrages encore en rayons) et de 20% sur ceux qui, déjà mis dans les cartons de déménagement, ne pourront être livrés qu'en début d'année prochaine. La remise sera déduite des prix affichés *
Editions Albin Michel 1982 In-4 relié 29,4 cm sur 20,8. 155 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Albin Michel, Avant Scène, 1982. In-4, cartonnage blanc titré à froid, jaquette couleurs. Cette dernière légèrement défraîchie, livre en belle condition.
* La librairie la Bergerie est sur le point de déménager - c'est la raison pour laquelle nous vous proposons jusqu'à la fin de l'année une remise de 10% sur tout le stock (pour les ouvrages encore en rayons) et de 20% sur ceux qui, déjà mis dans les cartons de déménagement, ne pourront être livrés qu'en début d'année prochaine. La remise sera déduite des prix affichés *
Julliard, 1963. In-12 br. E.O. sur papier d'édition, S.P. Envoi autographe de Maurice Béjart en anglais.
Le Caire s.d. (ca 1970), 15x10cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée de Maurice Béjart adressée à André-Philippe Hersin, rédigée au feutre violet au verso d'un photomontage représentant une danseuse du ventre devant une mosquée qui semble être la mosquée Al-Azhar. "Voilà ma nouvelle étoile... Je pense à vous souvent. Affectueusement. Maurice" Journaliste, critique de danse et rédacteur en chef des Saisons de la danse, Hersin fut un grand défenseur du style chorégraphique de Béjart et lui consacra d'élogieux articles dans sa revue ainsi que des fascicules monographiques de son oeuvre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Methoni (Grèce) 15 juillet 1992, 14,8x10,2cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée de Maurice Béjart adressée à André-Philippe Hersin, rédigée au stylo bille bleu au verso d'une reproduction photographique en couleurs de la citadelle de Methoni (Grèce). "Ma nouvelle compagnie me suit dans mon voyage solitaire. Oui il y a encore des lieux ici que le tourisme n'a pas touché. Je vous embrasse - Maurice" Journaliste, critique de danse et rédacteur en chef des Saisons de la danse, Hersin fut un grand défenseur du style chorégraphique de Béjart et lui consacra d'élogieux articles dans sa revue ainsi que des fascicules monographiques de son oeuvre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Venise 25 mai 1973, 14,8x10,4cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée de Maurice Béjart adressée à André-Philippe Hersin, rédigée au stylo à encre noir au verso d'une reproduction photographique en couleurs de la Viale à la Chiesa de Venise sur laquelle apparaissent deux moines lisant. "Frère Maurice et frère A. Philippe se promènent en lisant le dernier numéro des Saisons de la Croix...! 24h à Venise pour rencontrer Boulez. Demain Milan. Je pense à vous très fort - M." Journaliste, critique de danse et rédacteur en chef des Saisons de la danse, Hersin fut un grand défenseur du style chorégraphique de Béjart et lui consacra d'élogieux articles dans sa revue ainsi que des fascicules monographiques de son oeuvre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Londres 14 avril 1974, 13x18,1cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée de Maurice Béjart adressée à André-Philippe Hersin, rédigée au stylo à bille bleu au verso de la reproduction photographique du tableau de Vermeer intitulé Une dame debout au virginal. "Avant de quitter Londres je pense à vous. Impossible joindre Paris au téléphone à des heures normales. Je pars demain pour Venise. Ici la saison d'été a été un gros succès. Baiser - Maurice" Journaliste, critique de danse et rédacteur en chef des Saisons de la danse, Hersin fut un grand défenseur du style chorégraphique de Béjart et lui consacra d'élogieux articles dans sa revue ainsi que des fascicules monographiques de son oeuvre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. s.d. (ca 1970), 8,9x13,6cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée de Maurice Béjart adressée à André-Philippe Hersin, rédigée au feutre noir au verso de la reproduction photographique d'un cliché d'H. Manuel en noir et blanc. "Votre visite m'a fait tant de plaisir. Je pense à vous - Maurice" Journaliste, critique de danse et rédacteur en chef des Saisons de la danse, Hersin fut un grand défenseur du style chorégraphique de Béjart et lui consacra d'élogieux articles dans sa revue ainsi que des fascicules monographiques de son oeuvre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Dimensions : 198 x 303 mm.
Tirage argentique du temps. Cachet à l'encre du photographe au verso Très belle condition.
P., Hatier et Anvers, fonds Mercator, 1977, in-4, demi-basane blanche, plats toile noire, décor or sur le plat sup. et jaquette éd., gardes ill., 284 pp., rérences des ballets. (SC75A)
Préface de Léopold Sédar Senghor. Récit de Jacques Franck. Textes de Maurice Béjart, Marie-Françoise Christout, Jacques Franck, Roger Garaudy, Antoine Livio. Illustré de 190 photographies en noir d'Alain BÉJART. Quelques taches sur les plats.
Fernand Nathan, 1977. In-4, pleine toile titrée or, jaquette couleurs. Infimes défauts à la jaquette, belle condition générale.
Préface de Maurice Béjart. * La librairie la Bergerie est sur le point de déménager - c'est la raison pour laquelle nous vous proposons jusqu'à la fin de l'année une remise de 10% sur tout le stock (pour les ouvrages encore en rayons) et de 20% sur ceux qui, déjà mis dans les cartons de déménagement, ne pourront être livrés qu'en début d'année prochaine. La remise sera déduite des prix affichés *
Fernand Nathan, 1977. Grand in-4, pleine toile noire, jaquette couleurs. En belle condition.
Présentation de Maurice Béjart, photographies d'Angela Cioce. * La librairie la Bergerie est sur le point de déménager - c'est la raison pour laquelle nous vous proposons jusqu'à la fin de l'année une remise de 10% sur tout le stock (pour les ouvrages encore en rayons) et de 20% sur ceux qui, déjà mis dans les cartons de déménagement, ne pourront être livrés qu'en début d'année prochaine. La remise sera déduite des prix affichés *