Ernest flammarion in12. Sans date. Relié.
circa 1930 - Bon état (BE) couverture un peu frottée intérieur propre bonne tenue de la reliure
Plon-nourrit et cie 1911 in12. 1911. Relié.
Bon état de conservation intérieur propre couverture d'origine conservée bords frottés reliure en bon état
Charpentier 1909 333 pages in12. 1909. relié. 333 pages.
feuilles jaunies bords de reliure un peu frotté
Flammarion 1924 71 pages in8. 1924. Agrafé. 71 pages.
Etat Correct couverture salie pages jaunies dernière bas page déchiré
Hachette 1925 61 pages in12. 1925. Broché. 61 pages.
Etat Correct qq taches rousseurs
Ernest flammarion 1921 294 pages in12. 1921. Broché. 294 pages.
Bon Etat pages jaunissantes
Flammarion, 1921, in-12, 286 pp, notes, broché, couv. lég. salie, bon état
"A propos de M. Huet, l'évêque d'Avranches, et de Gilles Ménage, son ami, André Beaunier a tracé un jour un éloge charmant de la futilité qu'on trouve aux personnes savantes. J'imagine qu'en écrivant ce joli morceau, dans son livre sur “La jeunesse de Madame de La Fayette”, Beaunier dut penser un peu à lui-même, qui avait cette futilité exquise, laquelle, s'amusant de philologie, de grammaire, de style, y apporte une minutie exemplaire, une complaisance d'horloger. Quand il poursuivait avec une fine application le soin d'élucider quelques subtils problèmes d'histoire littéraire, comme dans sa “Lafayette”, son “Joubert” ou ses “Trois Amies de Chateaubriand”, André Beaunier semblait toujours écrire d'un crayon pointu, dérobé à l'atelier de quelqu'un de ces dessinateurs parfaits du XVIIIe, qui nous ont laissé à côté de toiles plus illustres ou plus ambitieuses de si vivants, gracieux et parlants portraits. Cet art du portrait littéraire, hérité de Saint-Beuve, Beaunier aura peut-être été le dernier à le posséder. Il excellait à mettre en lumière ces physionomies souvent confuses, qu'on aperçoit difficilement dans la pénombre du passé, autour des éclatantes images des grands hommes. Il savait restituer à la vie ces êtres incertains, charmants, plus faits pour le demi-jour du cabinet que pour la vive lumière des tréteaux, mais qui, souvent, plus que ces grands hommes eux-mêmes, fixent une manière de sentir et représentent au juste point le goût, l'intelligence, la sensibilité d'une époque. J'admire beaucoup, pour ma part, cette capacité de sympathie, de pénétration dont Beaunier faisait montre à l'égard de ces minores, de ces délicats, de ces précieux et de ces grotesques, qui s'appellent Joubert, Fontanes, Ménage, Restif de la Bretonne ou Grimod de la Reynière ; de ces créatures délicieuses, Pauline de Beaumont, Hortense Allart de Meritens ou Juliette Récamier, dont il nous a décrit les mouvements, d'une touche si ajustée, si méticuleuse et si jolie. Autant que le romancier, et plus peut-être, l'historien littéraire est le peintre exceptionnel de la vie. Pour ranimer exactement celle des fantômes qu'il aimait, André Beaunier disposait d'une érudition nourrie, et d'une très vive intelligence critique. Voyez ce que des lettres de Mme de La Fayette à Ménage, par exemple, il a su tirer, faire miraculeusement foisonner, pour la meilleure compréhension de l'auteur de la Princesse de Clèves. Si quelqu'un jamais a su lire, expliquer, déduire et faire comprendre, ce fut notre ami, cet inflexible et sinueux, ce sévère et courtois Beaunier, qui ne vécut que de l'amour des lettres... Dans un temps où personne, à peu près, ne se soucie plus de bien écrire, il écrivait bien. C'est, somme toute, une vertu chez un écrivain." (Émile Henriot, L'Ami du lettré, 1927)
Flammarion, 1921, in-12, 286 pp, notes, reliure demi-percaline gris-clair, dos lisse, pièce de titre basane noire et fleuron doré, couv. (lég. salie) conservée (rel. de l'époque), dos lég. frotté, bon état
"A propos de M. Huet, l'évêque d'Avranches, et de Gilles Ménage, son ami, André Beaunier a tracé un jour un éloge charmant de la futilité qu'on trouve aux personnes savantes. J'imagine qu'en écrivant ce joli morceau, dans son livre sur “La jeunesse de Madame de La Fayette”, Beaunier dut penser un peu à lui-même, qui avait cette futilité exquise, laquelle, s'amusant de philologie, de grammaire, de style, y apporte une minutie exemplaire, une complaisance d'horloger. Quand il poursuivait avec une fine application le soin d'élucider quelques subtils problèmes d'histoire littéraire, comme dans sa “Lafayette”, son “Joubert” ou ses “Trois Amies de Chateaubriand”, André Beaunier semblait toujours écrire d'un crayon pointu, dérobé à l'atelier de quelqu'un de ces dessinateurs parfaits du XVIIIe, qui nous ont laissé à côté de toiles plus illustres ou plus ambitieuses de si vivants, gracieux et parlants portraits. Cet art du portrait littéraire, hérité de Saint-Beuve, Beaunier aura peut-être été le dernier à le posséder. Il excellait à mettre en lumière ces physionomies souvent confuses, qu'on aperçoit difficilement dans la pénombre du passé, autour des éclatantes images des grands hommes. Il savait restituer à la vie ces êtres incertains, charmants, plus faits pour le demi-jour du cabinet que pour la vive lumière des tréteaux, mais qui, souvent, plus que ces grands hommes eux-mêmes, fixent une manière de sentir et représentent au juste point le goût, l'intelligence, la sensibilité d'une époque. J'admire beaucoup, pour ma part, cette capacité de sympathie, de pénétration dont Beaunier faisait montre à l'égard de ces minores, de ces délicats, de ces précieux et de ces grotesques, qui s'appellent Joubert, Fontanes, Ménage, Restif de la Bretonne ou Grimod de la Reynière; de ces créatures délicieuses, Pauline de Beaumont, Hortense Allart de Meritens ou Juliette Récamier, dont il nous a décrit les mouvements, d'une touche si ajustée, si méticuleuse et si jolie. Autant que le romancier, et plus peut-être, l'historien littéraire est le peintre exceptionnel de la vie. Pour ranimer exactement celle des fantômes qu'il aimait, André Beaunier disposait d'une érudition nourrie, et d'une très vive intelligence critique. Voyez ce que des lettres de Mme de La Fayette à Ménage, par exemple, il a su tirer, faire miraculeusement foisonner, pour la meilleure compréhension de l'auteur de la Princesse de Clèves. Si quelqu'un jamais a su lire, expliquer, déduire et faire comprendre, ce fut notre ami, cet inflexible et sinueux, ce sévère et courtois Beaunier, qui ne vécut que de l'amour des lettres... Dans un temps où personne, à peu près, ne se soucie plus de bien écrire, il écrivait bien. C'est, somme toute, une vertu chez un écrivain." (Émile Henriot, L'Ami du lettré, 1927)
2 vol. in-8° br., 942 p., en pagination continue, non coupé, très bon état d'occasion.
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Générique Broché D'occasion état correct 01/01/1921 295 pages
Paris, 1922. 284 pages. 4 feuillets. (18,5x12,5cm). Broché. Couverture imprimée brunie et salie avec signes de mouillures. Dos frotté et légèrement déchiré. Coins émoussés. Publié à Paris en 1922, cet ouvrage d'André Beaunier s'inscrit dans le contexte de l'après-Première Guerre mondiale, une période marquée par une quête de sens et un renouveau littéraire. Les contes présentés, dédiés à Psyché, reflètent une fascination pour la psyché humaine et l'exploration des profondeurs de l'âme, thèmes récurrents dans la littérature de cette époque. Beaunier, critique littéraire et essayiste reconnu, offre ici une œuvre qui témoigne de son érudition et de son intérêt pour la mythologie et la philosophie, invitant ainsi à une réflexion sur les questions universelles de l'existence. Papier bruni avec petites taches et légères rousseurs éprases. Cahier légèrement déboîté et déformée. Petites déchirures marginales.
Paris, Perrin, 1918 in-12, [2] ff. n. ch., 352 pp., un f. n. ch. de table, demi-toile Bradel grège, pièce de titre noire, tête mouchetée, couverture et dos conservés (reliure moderne).
Avec des chapitres sur Fontanes.André Beaunier (1869-1925) était journaliste et critique littéraire.Curieusement absent de Cioranescu (qui cite les autres travaux de Beaunier sur Joubert). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Perrin, 1918 in-12, IX pp., un f. n. ch., 348 pp., [2] ff. n. ch., demi-toile Bradel grège, pièce de titre noire, tête mouchetée, couverture et dos conservés (reliure moderne).
Avec des chapitres sur Fontanes (III) et Restif de La Bretonne (IV).André Beaunier (1869-1925) était journaliste et critique littéraire.Curieusement absent de Cioranescu (qui cite les autres travaux de Beaunier sur Joubert). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
GALLIMARD. 1955. In-8. Broché. Etat passable, Livré sans Couverture, Coiffe en pied abîmée, Papier jauni. 475 pages - manque sur page de garde - dos plié. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
préface de Mme André-Beauniere et André Bellessort de l'académie française Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
GALLIMARD. 1938. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos plié, Intérieur frais. 474 pages -mouillures sur 2ème plat - quelques pages non coupées- annotation crayon page de garde - 3 PHOTOS DISPONIBLES. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Exemplaire n°196 imprimé sur Alfa -préfaces de André Beaunier et André Bellessort Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Paris, 1911. 324 pages. 3 feuillet. Introduction V. (19x12cm). Broché. Couverture imprimée légèrement brunie avec taches et signes de mouillures. Petites déchirures marginales. Coins et coiffes émoussés. Publié à Paris en 1911, cet ouvrage d'André Beaunier se déploie dans un contexte européen marqué par des transformations sociales et culturelles profondes, à la veille de la Première Guerre mondiale. L'auteur, critique littéraire reconnu de son temps, explore dans ce récit les tourments intérieurs d'un individu confronté à la perte de son identité. Cette thématique, bien qu'ancrée dans son époque, résonne encore aujourd'hui, interrogeant la notion de soi et son évolution au fil des crises personnelles et historiques. Papier légèrement bruni avec petites taches éparses. Cahier partiallement déboîté. Exemplaire partiallement non-coupé.
Paris, 1921. 286 pages. 2 feuillets. (19x12cm). Broché. Couverture imprimée brunie avec petites taches éparses et signes de mouillures. Coins et coiffes émoussés. Publié à Paris en 1921, cet ouvrage d'André Beaunier s'attache à retracer les premières années de Madame de La Fayette, figure emblématique du XVIIe siècle français, connue pour son roman "La Princesse de Clèves". À travers une étude minutieuse, l'auteur plonge dans l'époque de Louis XIV pour éclairer la formation intellectuelle et sociale de cette femme de lettres. Ce travail reflète ainsi les préoccupations d'un début de siècle à la recherche de ses liens avec le passé, tout en soulignant l'influence durable de figures historiques sur la culture contemporaine. Papier bruni avec petites taches éprases et signes de mouillures. Pages légèrement déformées. Cahier légèrement déboîté.
Paris, 1914. 353 pages. 3 feuillets. (19x12cm). Broché. Couverture imprimée brunie et salie. Dos frotté et déchiré. Coins émoussés. Publié à Paris en 1914, cet ouvrage d'André Beaunier survient à un moment charnière de l'histoire, juste avant le déclenchement de la Première Guerre mondiale. À travers "La Révolte", l'auteur, reconnu pour ses contributions littéraires et critiques, explore les dynamiques sociales et personnelles préfigurant les bouleversements imminents de l'époque. Ce contexte historique particulier enrichit la compréhension du texte, offrant une résonance particulière avec les questionnements contemporains sur les crises et les transformations sociétales. Papier légèrement bruni avec petites rousseurs éparsers. Pages déformées avec petites déchirures marginales. Cahier un peu émoussé.
Paris, 1924. 284 pages. 5 feuillets. (19x12cm). Broché. Couverture imprimée brunie et salie. Taches et légères rousseurs éparses. Coins et coiffes émoussés. Publié à Paris en 1924, cet ouvrage d'André Beaunier, figure littéraire de l'époque, explore les profondeurs et les nuances de l'âme féminine à travers une prose délicate et réfléchie. Situé dans le contexte de l'après-Première Guerre mondiale, une période de grandes mutations sociales et culturelles, le texte résonne avec les questionnements sur le rôle et la place des femmes dans une société en pleine transformation. L'auteur, connu pour son analyse fine de la psyché humaine, offre ici un miroir des aspirations et des conflits intérieurs qui transcendent le temps, établissant un pont entre les réflexions de son époque et les débats contemporains sur la condition féminine. Papier bruni avec taches et signes de mouillures. Pages déformées. Cahier partiallement déboîté.
Librairie Académique PERRIN Broché D'occasion état correct 01/01/1924 150 pages
Flammarion Broché D'occasion état correct 01/01/1925 190 pages
chez Hachette editeur à Paris. Un volume petit in 8 carré. broché. non coupé. 1925. 62 pages.
FASQUELLE Eugène Broché D'occasion état correct 01/01/1910 150 pages