Paris, Maison Basset, [1851]. 493 x 632 mm.
Beau et rare tableau d'archéologie, gravé en couleurs par Langevin pour l'Encyclopédie Bouasse-Lebel, et publié par la Maison Basset en 1851. L'exemplaire a été finement aquarellé à l'époque. Le tableau comprend plus de soixante-dix détails de monuments archéologiques français, divisés en cinq classes : antiquités gauloises ou monuments celtiques et druidiques, architecture romaine, architecture romane et architecture ogivale. On trouve la galerie couverte ou Cave aux Fées (Yvelines), la clé de voûte dite clé pendante du XIIIe siècle de l'église Saint-Gervais à Paris, le portail roman du XIIe siècle de l'église Saint-Trophime à Arles, les clochers en pierre de Montbrison du XIIe siècle et de Sainte-Foy à Sélestat du XIe siècle, ainsi que des ornements, chapiteaux, crochets, roses, gargouilles et portails. Au bas des illustrations se trouve une classification des monuments de la France. L'Encyclopédie Bouasse-Lebel est un ensemble de tableaux synoptiques pour l'enseignement élémentaire et la vulgarisation des arts, des sciences et des métiers. Les tableaux synoptiques sont des présentations graphiques permettant de saisir d'un seul coup d'œil un ensemble d'informations, sous une forme attrayante et facile à saisir. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. En 1879, son Encyclopédie comptait 188 tableaux synoptiques, composés d'environ 15 000 figures. Ces tableaux étaient proposés à la vente en deux versions, en noir ou en couleurs. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque. Bibliographie de la France ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 19 avril 1851, 1851, p. 198, 270.
France Empire Broché D'occasion état correct 19/04/1991 271 pages
Grenoble, Iaqvues (Jacques) Petit, 1668, 1 volume in-folio de 330x225x50 mm environ, 1 feuillet blanc (page de titre, épître, au lecteur, privilège du roi, table des plaidoyés, table des livres), 294-316-110 pages, 17 ff. (table des matières), pleine basane granitée brune, dos à nerfs portant titres dorés, orné de caissons à motifs dorés (en partie effacés), tranches mouchetées de rouge. Des erreurs de pagination et des pages inversées mais complet, reliure restaurée, dorures passées, des mouillures, des notes manuscrites anciennes marginales, des rousseurs.
Basset, Jean-Guy (1598-1686 ?). Avocat à la Cour de Parlement des aides et finances du Dauphiné. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Basset, [1812]. 448 x 576 mm ; en deux sections montées sur carton et se repliant, papier gaufré rouge au dos (montage de l'époque).
Jeu de l'oie de 63 cases, avec la règle imprimée au centre, sur le thème des fables de Jean de La Fontaine. Chaque case porte le titre d'une fable, sauf la dernière qui présente un buste de La Fontaine avec le portrait d'Ésope sur le piédestal. La Fontaine n'ayant pas écrit de fable avec des oies pour héroïnes, celles-ci ont été remplacées sur les cases par le mot «Volatiles», légendées par des titres de fables dans lesquelles interviennent des oiseaux (La tortue et les deux canards, Le renard et la cigogne, Les perdrix et les deux coqs...). Pour les autres cases traditionnelles, le pont est illustré par Le chien et son ombre, le labyrinthe par Les femmes et le secret, et la prison par le lion pris dans un filet, pour Le lion et le rat. Quatre autres fables sont représentées aux angles du plateau, ce qui fait un total de 66 fables illustrées sur les plus de deux cents écrites par le fabuliste. Le jeu a été coupé au trait d'encadrement pour être monté, et ne montre donc pas la mention de l'éditeur Basset devant figurer au bas de la planche. Coins usagés, coupes frottées, déchirures sans manque à la pliure. Bibliographie de l'Empire Français, ou Journal de l'Imprimerie et de la Librairie, 31 janvier 1812, p. 207, 208 ; D'Allemagne, Le Noble jeu de l'oie en France, de 1640 à 1950, Iconographie des jeux de l'oie (1638-1950) par René Poirier, 1950, p. 211 ; Grand-Carteret, Vieux papiers Vieilles images, 1896, p. 269 ; Catalogue général d'imagerie, estampes, en noir et en couleur, principes d'écriture et de dessin pour la figure, l'ornement et le paysage, et cartes géographiques composant le Fonds de Basset, 1822, p. 9.
Cambridge ,Deighton, Bell & Co., 1888. 2 volumes , in-8° , relié percale éditeur , XII-264pp , XVI-328pp , première édition rare, cachet ,bon état.
Scarce first edition. In this work Basset describes a force to the lagging boundary layer development with changing relative velocity of bodies moving through a fluid. Alfred Barnard Basset est un mathématicien anglais spécialiste de la géométrie algébrique, de l'électrodynamique et de l'hydrodynamique. En mécanique de fluides il est connu pour la force de Basset décrivant l'histoire d'une particule dans un fluide visqueux, utilisée dans l'équation de Basset–Boussinesq–Oseen. Il a été élu compagnon de la Royal Society en 1889. good copy
Cambridge, Deighton, Bell and Co., 1888. 2 orig. full cloth. XII,264"XVI,328 pp. Fine and clean, a few scattered brownspots.
Scarce first edition. In this work Basset describes a force to the lagging boundary layer development with changing relative velocity of bodies moving through a fluid. This Basset-force is also known as as the ""History"" term. The force is difficult to implement and is commonly neglected from practical reasons, however, it can be substantially large when the body is accelerated at a high rate.
Paris BASSET 1780 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 34,5 x 51 cm., 1780 Paris chez BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS BASSET 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 30 x 46,5 cm., 1770 PARIS Basset Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS BASSET 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 30 x 46,5 cm., 1770 PARIS basset Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS BASSET 1750 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 33 x 47,5 cm., 1750 Paris BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS BASSET 1805 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 43,5 x 27 cm., 1805 PARIS BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS BASSET 1830 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 43,5 x 27 cm., 1830 PARIS BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS BASSET 1790 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 43,5 x 30,5 cm., 1790 PARIS BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS BASSET 1750 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 43,5 x 27 cm., 1750 PARIS BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
londres PARIS Wichnyther et basset 1790 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 39 x 26,5 cm., A Londres Chez Wichnyther et A Paris chez basset Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
londres PARIS BASSET 1780 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 47,5 x 34 cm., 1780 Paris chez BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
londres PARIS BASSET 1780 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 47,5 x 34 cm., tache brune en bas à droite, 1780 Paris chez BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris Basset 1810 une vue d'optique en couleurs,GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 38,5 x 25 cm, sans date (1810) à Paris chez Basset Editeur
Le 29 octobre, 15 jours après Iéna et Auerstaedt, le général Lasalle arrive devant Stettin avec comme objectif de la prendre. Mais il est face à un problème. Il na que 800 fantassins et cavaliers et 1 seul canon. De lautre côté, la ville est défendue par 5300 hommes et 280 canons. Il décide alors de ruser.Prise de stettin en 1806. Il sinstalle sur une crète en face de la ville et fait circuler son unique canon et son caisson dartillerie pour faire croire à linstallation de plusieurs batteries. Il fait également installer ses forces à une certaine distance de la ville pour que les défenseurs ne se rendent pas compte de la petite taille de son armée. Il envoie alors deux hommes négocier la rédittion de la ville. Pendant ce temps, il demande des renforts au maréchal Murat pour agrandir ses forces. Le 30 octobre à laube, la ville se rend. Les hommes de la garnison laissent leurs armes sur les fortifications et sortent de la ville pour défiler devant les troupes françaises. Pendant leur défilé, les vaincus se rendent compte du faible nombre de français. Ils sont alors tentés de résister. Mais le fait quils soient désarmés et la peur dune charge de la cavalerie de Lasalle les fait renoncer à ce projet. Lasalle sera rejoint par une division dans la journée pour prendre possession de la ville. ....... rare gravure ........... en bon état (good condition). en trés bon état
Paris, Basset, [1815]. 454 x 605 mm.
Rare jeu de l'oie dédié à l'histoire de France, composé de 63 cases illustrant la chronologie des rois de France, avec un portrait en médaillon et une scène de son règne. Le jeu commence avec le baptême de Clovis, roi des Francs en l'an 481, et se finit avec l'entrée de Louis XVIII à Paris le 3 mai 1814. Cette dernière case montrant la statue équestre de Henri IV sur le Pont Neuf et une montgolfière, est décorée d'attributs militaires et des armoiries de la France entourées des allégories de la Renommée et de la Victoire. Napoléon est logiquement absent de la chronologie. Les règles du jeu indiquent qu'on ne peut s'arrêter sur les huit cases qui sont ornées d'une fleur de lys. Le joueur arrivant sur la case 57, montrant l'assassinat de Henri III, perd tous ses points et recommence la partie. Les coins sont décorés des portraits de Pharamond, de Clodion Le Chevelu, de Childéric Ier et de Mérovée. Bon exemplaire. Grand-Carteret, Vieux papiers Vieilles images, p. 265 ; Bibliographie de la France, ou Journal général de l'imprimerie et de la librairie, 1815, p. 449 ; D'Allemagne, Le Noble jeu de l'oie en France, de 1640 à 1950, Iconographie des jeux de l'oie (1638-1950) par René Poirier, 1950, p. 214 ; Catalogue général d'imagerie, estampes, en noir et en couleur, principes d'écriture et de dessin pour la figure, l'ornement et le paysage, et cartes géographiques composant le Fonds de Basset, 1822, p. 8.
Lyon, Samedi Midi Éditions, 2007, in-4 oblong, br., couv. à rabats, 205 pp., nombreuses photos en couleurs. (SD151)
Préface de Patrick Mioulane.
1746 1746. 2 parties en 1 volume in-12, plein veau tacheté légèrement frotté, dos à nerfs orné, pièce de titre de maroquin rouge. (2) ff. ; 144 pp. ; (1) f. ; 145 - 219 pp. ; (1) p. bl.
Édition originale. Cet ouvrage est une critique mordante de la Venus physique de Maupertuis publiée en 1745 traitant de l’hérédité et de la reproduction. Maupertuis s’oppose à la théorie de la préformation de l’embryon alors en vogue, en affirmant que le père et la mère ont une influence égale sur l’hérédité. Ses spéculations sur l’évolution et la génétique étaient généralement peu appréciées, et d’autres, comme l’Abbé Pichon ont réfuté ses hypothèses. La seconde partie est une réponse à La Dissertation Physique à l’occasion du Nègre Blanc de Maupertuis, où il affirme, à raison, que la couleur blanche du nègre est une anomalie héréditaire. Gilles de Basset des Rosiers est un professeur de philosophie. Signature manuscrite de Bertheamne et La Salle. Défaut de papier, sans manque pp.107-108, légères rousseurs.Barbier, I, 226. Quérard, I, 208.
Paris, Basset, [1807]. 170 x 197 mm.
Rare estampe figurant le siège de la ville de Dantzick, actuelle Gdansk. Le siège fut mené du 19 mars au 24 mai 1807 par les troupes de Napoléon, commandées par le maréchal Lefebvre, aidé des généraux Chasseloup-Laubat et Baston Lariboisière. Le siège se termina par la reddition de la garnison russe et prussienne. La légende numérotée permet d'identifier les édifices publics de la ville. Cette estampe, publiée par Basset, semble issue d'un recueil, car elle est numérotée. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque.
Labor et Fides 1996 22x14x3cm. 1996. Broché. 370 pages. Résumé : La joie est-elle possible sur cette terre ? Une joie qui ne se laisserait pas détruire par les circonstances de la vie - une joie imprenable autre que le plaisir le bonheur et la béatitude ? Une lecture renouvelée de la parabole dite du fils prodigue révèle comment des expériences aussi négatives que l'échec la solitude ou la frustration ont paradoxalement partie liée avec l'éclosion de la joie. La joie parfaite promise par Jésus - ce sentiment d'exister intensément - est adhésion à l'existence toute entière sans exclusion de rien ni de personne. Dans le prolongement de son premier livre Le pardon originel paru en 1994 réédité en 1995 et 1998 Lytta Basset montre comment la relation à l'autre recherchée et maintenue à tout prix devient porteuse de cette prodigalité dont parlent les Evangiles. Biographie: Lytta Basset est titulaire d'un doctorat en théologie et d'une maîtrise en philosophie. Elle est actuellement pasteur dans l'Eglise protestante de Genève et vient d'être nommée professeur de théologie à l'université de Lausanne Bon Etat
Paris, chez Basset, Rue St. Jacques à Ste Genevieve, s.d. (fin 18e s.), in-4to, 1 feuille gravée numérotée (N° 186), juste les yeux de la mort coloriés à la main, légèr. tachée au bords, une feuille seul.
Belle gravure montrant la faucheuse, allégorie de la mort, fixant le lecteur et rédigeant un texte à l’aide d’une flèche. Accompagné par le texte suivant: „Pecheur, il faut mourir, tu le scais pour certain, Et tu ne penses pas à faire penitence; Helas! le temps te presse, et peut-estre demain Tu recevras de Dieu ta derniere Sentence“. L’éditeur et graveur Basset l’aîné de Paris publia des planches anonymes ou de différents graveurs tels que Alexis, Blancharrd, Fortier, Gabriel, Gatine, Jubin, Rubières et al. Benezit I, 497. Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
France-Empire, 1989, gr. in-8°, 273 pp, introduction par Nathalie Basset, chronologie des oeuvres de Suleau, biblio, broché, pelliculage très lég. décollé, bon état (Coll. Lire la Révolution)
"Il fut l'ami d'enfance de Camille Desmoulins, picard comme lui, et son ennemi intime ; il fut le collaborateur de Rivarol et le confident de Mirabeau ; on a dit de lui qu'il avait été le plus spirituel des pamphlétaires de la Révolution. Pourtant aujourd'hui, François Suleau est bien oublié. C'est tout juste si l'on veut bien garder le souvenir de sa mort, le jour même où meurt la monarchie, le 10 août 1792, devant les Tuileries assiégiées, quand, pris à parti par Théroigne de Méricourt, il est massacré par la foule..."