s.l. 11 mai 1956, 21x27cm, 2 pages sur un feuillet.
Lettre autographe signée de Roland Barthes de 39 lignes écrites à l'encre noire, une rature et deux ajouts de la main de l'auteur. Pliures causées par l'envoi postal. Roland Barthes envoie cette lettre à René Wintzen pour l'informer qu'il ne souhaite pas lui envoyer le texte que ce dernier réclame. Son interlocuteur est l'ancien rédacteur en chef de Documents,revue des questions allemandes. René Wintzendirige au moment de la rédaction de cette lettre les éditions et la revueVent Deboutet participe à l'hebdomadaire allemandNouvelle de France, il organise aussi des colloques sur la littérature. Le "texte sur le réalisme"auquel Barthes fait ici allusion est en fait une retranscription de son allocution prononcée lors du dernier séminaire organisé par Wintzen à Vezelay. Barthes est alors un jeune écrivain. Son premier texte,Le Degré zéro de l'écriture, paru en 1953, et qui faisait suite à son intronisation dans le milieu intellectuel par Maurice Nadeau en 1947, commence à faire des émules. Malgré ces prémices de succès, il ressort de ce texte toute l'humilité et l'autocritique de Barthes vis-à-vis deses productions. Il écrit à propos du texte de son allocution :"je viens d'ailleurs vous demander d'y renoncer : il ne me satisfait pas assez ; j'ai toujours considéré ce que j'avançais sur le réalisme d'avant-garde comme hasardeux", il ajoute :"je ne me sens pas assez solide".Le jeune auteur exprimait déjà un sentiment similaire lors de la publication de son premier livre :"en tant que sujet producteur d'un objet offert publiquement au regard des autres, j'étais plutôt honteux." (Roland Barthe par Roland Barthes). Dans la deuxième partie de la lettre, Barthes donne son avis sur la rencontre de Vézelay. Il en retient un questionnement sur les enjeux de tout débat et sur ce qui est réellement attendu par les confrontations des intellectuels :"j'en viens à me demander si le seul sujet du débat possible n'est pas précisément la confrontation des intellectuels, ses limites, ses espoirs, ses échecs, son action, ce qu'on attend d'elle etc."Cette méthode de questionnement des évènement en les considérant comme étant en eux-mêmes des structures signifiantes ressemble au projet que Barthes mène dans sesMythologiesqui paraissent l'année suivante au Seuil. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. 2 juin 1956, 21x27,1cm, 2 pages sur un feuillet.
Lettre autographe signée de Roland Barthes à René Wintzen de 23 lignes écrites à l'encre bleue. Pliures causées par l'envoi postal. Roland Barthes envoie cette lettre à René Wintzen à propos d'un article. Son interlocuteur est l'ancien rédacteur en chef de Documents,revue des questions allemandes qui dirige au moment de la rédaction de cette lettre les éditions et la revue Vent Debout et participe à l'hebdomadaire allemand Nouvelle de France. René Wintzen organise aussi des colloques sur la littérature. Les « 3 pages de [son] intervention » que Barthes évoque ici viennent d'un colloque de la même année où Barthes a traité des liens entre réalisme et littérature. Barthes n'est alors encore qu'un jeune auteur. Il a publié son premier livre en 1953, Le Degré zéro de l'écriture, après avoir été intronisé dans le milieu littéraire par Maurice Nadeau. On voit dans cette lettre toute son humilité vis-à-vis de son travail : « il ne s'agissait que de thèses càd [sic] de propositions de caractère parlé, non développé, et non prouvé », il ajoute : « j'aurais pu vous donner la version française, mais elle ne fera pas le poids ». Barthes laisse aussi entrevoir une peur du jugement des lecteurs français : « je redoute moins l'audience allemande ». Pour l'auteur qui n'est qu'au début de sa carrière, il y a une volonté de ne réaliser que des publications de qualité, de ne pas laisser attacher à sa personne des écrits qui ne lui apportent pas une entière satisfaction et dont il souhaite qu'ils demeurent « anonymes ». On ressent en lisant ces mots l'insécurité de l'auteur qui disait à propos de la publication de son premier livre : « en tant que sujet producteur d'un objet offert publiquement au regard des autres, j'étais plutôt honteux. » (Roland Barthes par Roland Barthes). - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. n.d. (circa début 1956), 13,6x21cm, 2 pages sur un feuillet.
Lettre autographe signée de Roland Barthes à René Wintzen de 19 lignes écrites à l'encre bleue. Pliures causées par l'envoi postal, une ombre en tête de feuillet. Roland Barthes envoie cette lettre à René Wintzen pour le prévenir de son arrivée à Vézelay : « Je ne pourrai donc quitter Paris, en auto, qu'à 19 h, je ne serai pas à Vézelay avant minuit ». Il s'y déplace afin de donner une conférence sur le réalisme et la littérature. René Wintzen est l'ancien rédacteur en chef de Documents,revue des questions allemandes, il est au moment de la rédaction de cette lettre directeur des éditions et de la revue Vent Debout et participe à la revue allemande Nouvelles de France. C'est lui qui organise le colloque où Barthes se rend. Barthes précise en début de lettre que ce départ tardif de Paris est dû à « un cours, vendredi 17 jusqu'à 18h30 ». En effet, à cette époque Roland Barthes mène plusieurs vie entre son travail au CNRS dont il fait alors une priorité et son investissement dans la vie littéraire, il le dit lui-même dans une lettre à Marcel Arland deux ans plus tôt : « je ne me sentirai pas libre vis-à-vis de la littérature avant d'avoir épuisé toutes les chances d'avoir l'appui du CNRS, ce qui pour le moment impose des sacrifices de temps. » Barthes précise dans sa lettre qu'il sera accompagné de Robbe-Grillet dont il soutient le travail dans ses textes, mais aussi de Bernard Dort, un autre défenseur des Gommes de Robbe-Grillet paru en 1953. Le « nouveau romancier » fait d'ailleurs un éloge sincère de la locution de Barthes sur la littérature et le réalisme dans une lettre à sa femme : « Ces réunions d'écrivains bavards et vagues sont terribles. Il y a eu, heureusement, la déclaration d'ouverture faite par Barthes, qui était très bien. Mais le reste... ! ». Les deux hommes ont pour ainsi dire commencé leur carrière ensemble puisqu'ils ont publié tous deux leur premier livre en 1953 alors qu'ils ne se connaissaient pas et ont connu une amitié durable qui donna lieu à de féconds échanges littéraires. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. 19 janvier 1955, 13,5x10,5cm, une carte recto verso.
Carte autographe signée de Roland Barthes à René Wintzen de 24 lignes écrites à l'encre bleue,deux soulignements de la main de l'auteur. Deux perforations portant atteinte à plusieurs lettres, une coupure sans manque, bavures sans gravité. Roland Barthes écrit cette carte pour remercier René Wintzen de lui avoir fait parvenir un livre dédicacé mais aussi pour l'accueil que ce dernier lui a reservé. René Wintzenfut rédacteur en chef de Documents,revue des questions allemandes. Il dirige, au moment de la rédaction de cette lettre, les éditions et la revueVent Deboutet participe à l'hebdomadaire allemandNouvelle de France. Le livre auquel Barthes fait ici référence est probablement une étude de Wintzen sur Brecht parue l'année précédente. Brechtvient à Paris en 1954 avec le Berliner Ensemble et marquebeaucoup la réflexion sur le théâtre deBarthes qui fait paraître "La révolution brechtienne" dans la revueLe Théâtre populaire. Dans cette deuxième moitié des années 1950, Barthes s'investit en effet pleinement dans le théâtre en tant que spectateur et critique. René Wintzen est aussi organisateur de colloques et de rencontres entre auteurs.Roland Barthes participe d'ailleurs l'année suivante à une de ces rencontres à Vezelay où il intervient sur les rapports entre littérature et réalisme. Il écrit à son correspondant qu'il a été"sincèrement très content de ces rencontres et que l'espèce de scepticisme que l'on a toujours au seuil des parlottes d'écrivains a été en l'occurence absolumentcontrépar les faits". L'auteur semble ici mettre en doute l'importance des débats,"parlottes",entre écrivains. Ce jugement réprobateur apparait en conflit avec l'attitude de Barthes en cette année 1955. En effet, il participe et s'engage dans trois débats d'importance: avec Camus au sujet deLa Peste, avec Jean Paulhan à propos desPetites mythologies du moisque Barthes écrit dans les pages de la Nouvelle NRF, et enfin pour la défense de la pièceNekrassovde Sartre. Cette carte de Barthes montre l'enthousiasme du jeune auteur qui ne fréquente alors les milieux littéraires que depuis quelques années, mais aussi une critique de la parole des écrivains. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. Mercredi (n.d. circa 1956), 13,4x10,5cm, une carte recto verso.
Carte autographe signée de Roland Barthes à René Wintzen de 14 lignes écrites à l'encre bleue, datée "mercredi", un soulignement et une correction de la main de l'expéditeur. Deux perforations en bas de la carte, portant atteinte à une lettre. Roland Barthes envoie cette carte à René Wintzen, pour accompagner l'envoi d'un texte. René Wintzen était rédacteur en chef deDocuments,revue des questions allemandes, à cette époque, il travaille pour la revue et les éditions Vent Deboutet collabore avec la revue allemande Nouvelles de France. Il organise aussi des conférences ayant pour sujet la littérature. Le texte que Barthes lui envoieest d'ailleurs la version écrite d'une allocution que celui-ci a effectuée à Vezelay en 1955 sur la littérature et le réalisme(il y fait allusion dans cette lettre). Roland Barthesaffirme qu'il "mesure à le voir noir sur blanc toute la sécheresse" de son texte et insiste pour que son destinataire précise le caractère "parlé, présentatif, non exhaustif" de celui-ci dans sa présentation.Pour l'auteur qui n'est qu'au début de sa carrière, il y a une volonté de ne réaliser que des publications de qualité, de ne pas laisser attacher à sa personne des écrits qui ne lui apportent pas une entière satisfaction par peur d'un jugement négatif de l'audience. On retrouve dans cette lettre l'humilité qui caractérise Barthes. Son arrivée soudaine dans le milieu intellectuel grâce à Maurice Nadeau dix ans auparavantlui a laissé un sentiment d'illégitimité qui transparait ici, alors que la publication en 1953 du Degré zéro de l'écritureavait reçu un accueil favorable et confirmé la valeur de sa pensée. On ressent en lisant ces mots l'insécurité de l'auteur qui disait à propos de la publication de son premier livre : "en tant que sujet producteur d'un objet offert publiquement au regard des autres, j'étais plutôt honteux." (Roland Barthe par Roland Barthes). - Photos sur www.Edition-originale.com -
In-12 (185 × 130 mm) de 78-[2] pp. ; broché, couverture imprimée.
Édition originale. Exemplaire du service de presse (il n’y a pas eu de tirage en grand papier). Envoi autographe de l’auteur à l’encre bleue sur le faux-titre : à René Micha en hommage cordial R. Barthes Critique d’art et de littérature, mais aussi cinéphile et scénariste, l’écrivain belge René Micha, né à Laeken en 1913, est mort à Ixelles le 4 juin 1992. En 1966, année de publication de Critique et vérité de Barthes, il publie un essai sur Nathalie Sarraute. Ce texte capital de Roland Barthes, daté de février 1966, est souvent négligé, mais à tort : il s’agit en fait d’un important manifeste littéraire appelant la naissance d’une « nouvelle critique », discipline destinée à accompagner le développement du Nouveau Roman (dont Barthes fut un compagnon de route certes solidaire mais quelque peu hérétique). La première partie est une habile contre-attaque visant à neutraliser l’offensive de l’universitaire (et très classique) Raymond Picard, qui avait impitoyablement réfuté le Sur Racine de Barthes. La seconde appelle à la constitution de nouveaux outils aptes à fournir au lecteur spécialisé un appareil herméneutique capable d’affronter – en évitant les écueils de la « crise du commentaire » et de la « science littéraire » – les nouvelles pratiques d’écriture qui se sont affirmées depuis l’après-guerre, et que la critique désormais « nouvelle » ne peut plus ignorer sans risquer l’obsolescence. Les dernières lignes forment une profession de foi littéraire : « Passer de la littérature à la critique, c’est changer de désir, c’est désirer non plus l’œuvre, mais son propre langage. Mais par là-même aussi, c’est renvoyer l’œuvre au désir de l’écriture, dont elle était sortie. Ainsi tourne la parole autour du livre : lire, écrire : d’un désir à l’autre va toute littérature. Combien d’écrivains n’ont écrit que pour avoir lu ? Combien de critiques n’ont lu que pour écrire ? Ils ont rapproché les deux bords du livre, les deux faces du signe, pour que n’en sorte qu’une parole. La critique n’est qu’un moment de cette histoire dans laquelle nous entrons et qui nous conduit à l’unité – à la vérité de l’écriture. » Petite correction autographe de Roland Barthes, à l’encre bleue, à la page 21. Bel exemplaire broché, tel que paru.
s.l. 21 mai 1957, 13,3x20,9cm, une page sur une feuille.
Lettre autographe signée de Roland Barthes à René Wintzen, écrite à l'encre noire, datée du 21 mai 1957. Quelques mots soulignés de la main de l'auteur. Pliure centrale causée par l'envoi postal. Cette lettre est adressée à René Wintzen, ancien directeur en chef de Documents,revue des questions allemandes, et spécialiste de littérature allemande. Il est, au moment de la rédaction de la lettre, directeur des éditions Vent Debout et collabore avec l'hebdomadaire allemand Nouvelles de France. René Wintzen est aussi un organisateur de colloques entre écrivains, Barthes participa à l'un d'eux l'année précédente à Vézelay. Roland Barthes le félicite d'ailleurs pour la rencontre qu'il a organisée et à laquelle il ne peut assister : "la liste des participants est superbe ! Tous mes voeux pour cette rencontre, tous mes regrets". Roland Barthes envoie cette lettre pour prévenir son destinataire qu'il ne pourra pas venir à une rencontre d'auteurs en Allemagne. Il lui écrit : "il faut absolument que je séjourne en Suisse à cette date." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris s.d. (circa 1978), 14,8x10,5cm, un billet et une enveloppe.
Billet autographe signé de Roland Barthes adressé à Yann Lemée. Huit lignes à l'encre noire.Une enveloppe à en-tête du Collège de France ne correspondant pas à la date de la lettre est jointe. "Mon petit Yann, Je suis bien touché de ce que tu ne m'oublies pas - malgré mes silences et mes apathies de surface. Si tu viens à Paris, n'oublie pas de me le dire à l'avance pour que l'on se voit. Je t'embrasse moi aussi bien tendrement. RB" Roland Barthes fait la connaissance de Yann Lemée en mai 1977 alors que ce dernier est étudiant en philosophie à l'université de Caen. En juin 1977, Barthes l'invite à un colloque, organisé par Antoine Compagnon à Cerisy-la-Salle, qui lui est consacré: «Prétexte Roland Barthes». « Roland passe une nuit avec un jeune universitaire, Yann. Las, c'est pour l'entendre parler presque sans interruption de Marguerite Duras. "Je lui ai fait une lettre d'introduction pour Marguerite, ce sera mieux pour tout le monde", confie-t-il, dépité, le lendemain matin. » (Hervé Algalarrondo, Les derniers jours de Roland B., Stock, 2006) Quelques années plus tard en 1980, Yann Lemée devenu Yann Andréa, sera le dernier compagnon de Marguerite Duras, de 38 ans son aînée. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Editions du Seuil. 1975. In-12 broché. 191 pages. E.O. (pas de grand papier). Envoi autographe signé de Roland Barthes au professeur Georges Blin.
Bon état.
Payot , Petite Bibliothèque Payot Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1973 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée d'un dessin représentant Roland Barthes avec un masque tirant la langue In-8 1 vol. - 184 pages
édition de 1973 Contents, Chapitres : Préface - Pour une diachronie de Roland Barthes - Le degré zéro, entre Marx et Sartre - Le signe quotidien, mythologies - La seconde phase théorique, le mythe aujourd'hui, entre Saussure et Hjelmslev - Les essais critiques, Brecht et Troubetzkoy - Le système de la mode - La troisième phase théorique, Eléments de sémiologie - Le retour à l'écriture - Un regard politique sur le signe - Petit lexique barthien - Index - Roland Barthes, né le 12 novembre 1915 à Cherbourg et mort le 26 mars 1980 à Paris, est un philosophe, critique littéraire et sémiologue français, directeur d'études à l'École pratique des hautes études et professeur au Collège de France. Il fut l'un des principaux animateurs du structuralisme et de la sémiologie linguistique et photographique en France. (source : Wikipedia) couverture à peine jaunie, intérieur sinon frais et propre, papier un peu jauni avec le nom de l'ancien propriéaire sur le haut de la premiere page, cela reste un bon exemplaire - format de poche
Seuil, Points essais, 2010, 243 pp., illustrations, poche, bon état.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Paris N° spécial de la revue "Communications" 1982 1 vol. Broché in-8, broché, couverture illustrée, 172 pp., bibliographie. Textes de Roland Barthes (La Lumière du Sud-ouest) et contributions d'Edgar Morin, Umberto Eco, Julia Kristeva, Jacques Le Goff, Jacques Leenhardt, etc. Excellent état.
U.G.E. (10 x 18), 1978. In-12 br. Textes du Colloque de Cerisy dirigé par Antoine Compagnon. Communications ; R. Barthes, H. Damisch, P. Mauries, J.-A. Miller, A. Robbe-Grillet, F. Berthet, etc. Nombreuses interventions. E.O. Tampon de bibliothèque sur la page de faux titre.
Éditions du Seuil, 1975. In-12 br. Coll. " Écrivains de toujours ". Texte, iconographie, chronologie, bibliographie. E.O.
Paris, Musée des Arts Décoratifs, 1978, une feuille 398x600mm imprimée recto seul avec le plan de l’exposition accompagné d’un commentaire pour chacune des stations.Titre calligraphié par Isozaki, conception graphique de Kohei Sugiura, textes de Roland Barthes.
Alors qu’il préparait l’édition du Festival d’Automne 1978, Michel Guy, sur les conseils de Roland Barthes, a programmé le projet «MA» qui cherchait à définir une voix japonaise et à présenter une notion, le ma fusionnant espace et temps. Dans cette exposition, le commissaire Arata Isozaki a mis en exergue sept notions déterminantes dans les formes d’expression japonaises, articulées en sept espaces.«Ici commence un voyage en sept stations à travers: un pays, une histoire, une expérience, un concept, une sensibilité, un avenir-peut-être une crainte, une nostalgie?» (Texte de Roland Barthes).Japan-ness p.14-15.(103859)
Phone number : +33 1 48 01 02 37
Seuil Tel Quel 1964 Seuil, Coll. Tel Quel, 1964 (dépôt légal), 275 p., broché, environ 205x140mm, exemplaire du service de presse, avec un envoi de Roland Barthes. Couverture un peu salie avec le dos insolé, une étiquette sur le haut du premier plat, un tampon sur la page de titre. Bon état pour le reste.
Exemplaire du service de presse (édition originale, pas de grand papier). Envoi de Roland Barthes. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Bruxelles, La Monnaie/Cirque Royal, 1989. in-4°, 48 pages, illustrations, broche, couverture illustree en couleurs.- Le successeur de George Balanchine, Mark Morris crée des ballets basés sur les essais de Roland Barthes.
Tres bel exemplaire. [PIL-HA1@] Soap-Powders and Detergensts - Striptease - Championship Wrestling
Paris Bourgois 1975 1 vol. broché in-8, broché, 14 pp. Édition originale tirée à petit nombre sur vergé par l'éditeur Christian Bourgois comme plaquette de vœux pour l'année 1976, avec une citation de Roland Barthes par Roland Barthes recopiée à l'encre en page de garde : "c'est toute la classe intellectuelle qui, si elle ne milite pas, est virtuellement dandy (est dandy celui qui n'a d'autre philosophie que viagère : le temps est le temps de ma vie)." Dos légèrement usé, sinon exemplaire en bonne condition.
In 8° carré broché, 144 pages.
Textes de Roland Barthes - Philippe Sollers - Julia Kristeva - Marcelin Pleynet - François Wahl - Severo Sarduy - Marc Buffat - Annette Lavers et une bibliographie de Roland Barthes. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Paris N° spécial de la revue "Critique" 1982 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée, pp. 646 à 804. Texte inédit de Roland Barthes (Encore le corps) et contribution de Pierre Boulez, Antoine Compagnon, Gilbert Lascault, Louis Marty, Eric Marty, etc. En très belle condition.
Catalogue d'exposition au Pavillon des Arts, mai-août 1986. Grand in-8° broché. Couverture illustrée. 144 pages. 149 illustrations.
Bel et intéressant catalogue mettant en regard des illustrations (tableaux, dessins, photos) les textes de Roland Barthes qui les concernent. Très bon état.
Club Français du Livre. 1961. In-8°, reliure toile grise de l'éditeur sous rhodoïd. LIX + 211 pages. Tirage numéroté hors commerce. Longue préface de Roland Barthes.
Très propre.
Parma, Milano FRANCO MARIA RICCI 1973 1 Texte de Roland Barthes, suivi d'un extrait des mémoires de Erté. Parma, Franco Maria Ricci éditeur, 1975, in-4, toile éditeur, titre doré, plat supérieur illustré d'une tête grecque à la peau noire, aux yeux bleus, lèvres et cheveux dorés, titre en long doré sur le dos plat, 189 pages, sous boîte cartonnée titrée.
Volume imprimé dans l'atelier de M. Nino Amoretti, et sous la direction de Franco Maria Ricci. Première édition, tirage limité à 3.000 exemplaires numérotés à la main, ex. n°1607. Le papier bleu a été fabriqué à la main dans le moulin de Pietro Miliani Fabriano. Luxeuse édition ornée de reproductions hors-texte. Plusieurs expositions ont été consacrées à l'artiste russe Romain de TIRTOFF, dit ERTE, en 1967, 1969 et 1986. Le travail de Barthes est à ce jour une des rares monographies de l'artiste. Infimes usures, plis et taches.
P., Union Générale d'Éditions, 1978, in-12, br., 443 pp. (SB42)
Colloque de Cerisy-la-Salle organisé autour de Roland Barthès en juin 1977.Collection 10/18, n° 1265.
s.l. s.d.[ca 1970], 21x27cm, une feuille.
Notes manuscrites de Roland Barthes précisant son adresse, 11, rue Servandoni sur un des bas-côtés de l'église Saint-Sulpice, avec précisons des horaires où il peut y être visitable, 10 lignes rédigées à l'encre bleues sur un morceau de feuillet encollé sur une feuille, probablement rédigées afin de fixer un rendez-vous. Le feuillet, encollé sur une feuille, a été froissé comme pour être jeté dans la corbeille pour être recommencé. En dessous de l'adresse détaillée : escalier B 6e étage chambre N°9, Roland Barthes a dessiné un plan comprenant les rues Saint-Sulpice, Garancière, Servandoni et Férou ainsi que l'église et la place Saint-Sulpice ; il a aussi mentionné les heures auxquelles l'on pouvait l'y trouver. - Photos sur www.Edition-originale.com -