Paris, Emile-Paul Frères, Editeurs, 1915, in-8, broché, 378 pages. Bel état. Exemplaire numéroté, sur papier courant. ENVOI de M. Barrès à Hélène Rouart, fille du peintre et collectionneur Henri Rouart.
Paris, Bibliothèque Internationale d'Edition. E. Sansot et Cie, 1904, in-16 (9x15cm), broché, 95p. Année de l'édition originale sur papier courant. Bon état.
Paris Emile-Paul Frères, 1917, in-12 (12,5x19cm), élégant demi-chagrin vert, dos long mosaïqué, tête dorée, 264p. Dos éclairci.
Paris, Emile-Paul, 1910, 12x18,5cm, broché, 18p. Exemplaire du premier tirage sans grand papier justifié 629 à la presse. Bon état.
Paris, Emile-Paul, 1910, 12x18,5cm, broché, 18p. Exemplaire du troisième mille justifié 2167 à la presse. Bon état.
Firenze, Libreria Internationale, 1917, in-8, broché, 83p. Texte et illustrations en rouge et noir. Bel état de fraîcheur.
Paris, Emile-Paul, Editeur., 1911, Broché, Plaquette de 23 pages sous couverture muette. Bon état.
Stendhal. Publié par Ad. Paupe et P.A. Cheramy. Pref. de Maurice Barrès.
Reference : 28542
(1908)
Paris, Charles Bosse., 1908, 448 pages. Demi-percaline. Couverture conservée. Une seule page réparée au ruban adhésif. Bon exemplaire.
Paris, Plon., 1924, in-12, Broché-Jaquette éditeur, 267 pages. Très bon état. 1/1100 sur pur fil des papeteries Lafuma. Non rogné.
Paris, Plon, 1944, in-12, Broché, 299 pages. Léger gauchissement du dos, sinon bon état.
Paris, Paul-Emile Frères., 1917, Broché, 110 pages. Non coupé. Couverture présentant des marques d'usage et une insolation. Néanmoins solide exemplaire.
1885 1896. 18 ff. de formats divers. 17 DOCUMENTS AUTOGRAPHES DATÉS DE1885 à 1896, DE ET SUR MAURICE BARRÈS, CONCERNANT LA REVUE TACHES D'ENCRE,gazette mensuelle littéraire dont les 4 numéros, parus entre novembre 1884et février 1885, furent entièrement rédigés par le futur auteur de la Colline inspirée alorsâgé de 22 ans. L'ensemble se compose de : 12 lettres autographes à l'éditeur Léon Vanier dont 11 signées "Maurice Barrès", "M. Barrès" ou "M. B" . 5 lettres adressées à Vanier et à Barrès : 4 concernant Les Taches d'Encre ainsi qu'une lettre du directeur de la Revue contemporaine sollicitant la contribution de Barrès Détails et transcriptions : 1 carte de visite (89 x 52 mm) non-datée : Prière à Monsieur Vanier de remettre à Monsieur Oscar Metenier une collection des Taches d'encre (numéros disponibles). Maurice Barrès 1 carte de visite (96 x 57 mm) non-datée : merci beaucoup, mon cher Vanier, - mais donnez-moi donc le dernier volume de Verlaine, je ne l'ai pas reçu. 14 rue Chaptal, toujours. amicalement M. B. 1 carte de visite (89 x 52 mm) non-datée : Cher Monsieur Vanier, je suis très sensible au joli volume que vous m'envoyez. Oui, j'aurais grand plaisir à recevoir "Hommes d'aujourd'hui", surtout les amis dont les portraits m'ont plus ou moins échappés. Celui de Hepp, j'aimerais vous parler de cela. Venez donc un matin que vous passez dans le quartier jusque chez moi. Je serais heureux de vous avoir à déjeuner. Je ne vous fixe pas de jour parce que votre temps doit être pris. Mais écrivez-moi la veille pour plus de certitude-et le plus tôt possible. Jusqu'à midi, à peu près sans exception, je suis 14 rue Chaptal. à vous Maurice Barrès 1 f. (134 x 104 mm) non-daté : parCher Monsieur, pouvez-vous me donner x2 collection taches d'Encre x 2 quartier latin et serait-il indécent de vous demander Corbière amicalement votre Maurice Barrès 8 rue caroline 1 f. (209 x 130 mm) non-daté : Mon cher Vanier, pourriez-vous remettre à Monsieur Berthelot, un exemplaire relié des Taches d'Encre. Amitiés M. Barrès 1 f. (135 x 104 mm) non-daté : Prière à Monsieur Léon Vanier de remettre au porteur une collection des Taches d'encre, paquetée, à l'adresse de Monsieur Burdeau, rédacteur en chef du Soir. à remttre à M Lory, 19 rue cujas, quand on aura les 4. Agréez mes compliments, cher Monsieur Maurice Barrès 1 carte postale (140 x 89 mm) datée du 5 juillet 1885 : Voudrez-vous faire parvenir les trois exemplaires dont nous disposons des Taches d'encre à M. F. van de Goes, Prinsengracht 292 Amsterdam - cela est important pour moi ; je compte tout à fait que vous n'y manquiez pas - veuillez recevoir, avec mes compliments, l'expression de mes plus [...] sentiments. Maurice Barrès 1 carte postale publicitaire (141 x 110 mm) datée de 1887 Mon cher Vanier, voulez-vous adresser une collection des Taches à Monsieur Tisserand Alexandre, château de Chamarandes par Chaumont en Rossigny. Cela importe. Je compte sur vous ; je parais le huit février, exactement. à vous M. Barrès 1 f. (268 x 209 mm) sur papier à entête de la chambre des députés daté de 1892 Paris le 19 mars 1892 Cher Monsieur Vanier Veuillez bien avoir l'obligeance de remettre au porteur six de mes petites brochures du "quartier latin." Amicalement votre, Maurice Barrès 1 f. (262 x 209 mm) daté de 1892 : Mon cher Vanier, Auriez-vous l'obligeance de me faire parvenir deux exemplaires du dictionnaire St Lanne (fascicule où se trouve ma biographie). Vous voyez ce dont je veux parler : le dictionnaire des contemporains que vous m'avez fait voir. Veuillez faire toucher par le porteur, et recevez mes amitiés cordiales Maurice Barrès 8 rue Caroline 13 avril 92 1 f. (124 x 167 mm) sur papier bleuté daté de 1896 : cher monsieur et ami, Je ne [...] pas la Revue Encyclopédie. Le plus simple serait que vous m'envoyiez une épreuve. Il ne faut pas imprimer sans que j'aie vu mon texte, parce qu'il doit être hâtif. excusez ce mot d'un homme très pressé, cordialement M. Barrès jeudi 1 f. (245 x 168 mm) sur papier bleuté daté de 1896 : Monsieur Barrès 8 rue Caroline [...] serait obligé à Monsieur Varnier de m'envoyer le plus tôt possible possible Sagesse de Verlaine. Lettres adressées à Vanier et à Barrès: Adrien Remacle (1855-1916) - fondateur et le directeur de la La Revue contemporaine,lettre signée "Le directeur" à Maurice Barres Paris, 1885 M En vous priant d'agréer l'hommage du premier numéro de la Revue Contemporaine, nous venons vous demander s'il ne vous conviendrait pas de suivre la Revue et de coopérer à une entreprtise purement littéraire, celle de réunir dans une publication rigoureusement surveillée pour le fond et la forme tous les écrivains de valeur véritable des jeunes générations et tous les survivants des générations précédentes. Nous savons par l'un de nos rédacteurs principaux combien les choses littéraires vous touchent, et nous espérons que vous voudrez bien vous intéresser à notre oeuvre. Sollicitant de vous une réponse et vous remerciant d'avance Nous vous présentons Monsieur nos meilleurs compliments Le Directeur M. A Pouget et H. Vidal. - Libraires-Éditeurs - Librairie Européenne. Deux lettres signées Pouget et Vidal à Maurice Barrès Paris, le 21 mars 1885 Monsieur Maurice Barrès, Directeur des Tâches d'Encre, 76 rue N. D. des Champs, Paris. Monsieur d'Orfer aurait besoin pour régler définitivement votre compte de savoir ce que vous avez eu à payer pour le N°4 des Taches d'Encre. Il désirerait en même temps savoir si vous désirez que levée soit faite des exemplaires des kiosques (1ers n°). Il y a 200 ou 250 exemplaires et le coût de la levée serait de 6 ou 7 fr. brut. Nous nous conformerons à votre décision. Veuillez agréer, Monsieur, nos civilités. M. A Pouget et H. Vidal. Paris, le 22 may 1885 Monsieur Maurice Barrès, Directeur de la Revue Les Tâches d'Encre. 76 rue N. D. des Champs. Veuillez nous faire remettre du numéro 4 (février 1885) (21 avenue des Gobelins) Vingt exemplaires sur papier ordinaire Deux exemplaires sur Hollande en dépôt. Conditions identiques aux précédentes. Nous vous couvrirons des exemplaires vendus avant fin courant, en vous remettant votre compte que prépare M. D'Orfer. Veuillez agréer, Monsieur, nos civilités. M A. Pouget et H. Vidal N. B. : Nous aurions besoin d'avoir ces exemplaires dans la journée de demain lundi. Henri Issanchou - Lettre autographe signée à Léon Vanier Paris 4 avril 85 Monsieur, M. Barrès me prie dans sa lettre de vous prévenir du jour où vous pourrez faire prendre les derniers ex. du n°1 des taches d'Encre, ce que je m'empresse de faire : ils vous seront remis à partir de demain, n'importe quel jour ; mais le plus tôt possible serait le mieux. Agréez, M, mes civilités empressées. Issanchou, rue des écoles René Brissy - Imprimeur et éditeur -Lettre autographe signée à Maurice Barrès. Paris, le 8 août 1885 Monsieur Barrès Paris Je vous prie de faire enlever les tâches d'encre n°2 d'ici le 15 courant moyennant le prix convenu de 60f, mais comme je ne puis les garder indéfiniment je le mettrai aux vieux papiers. J'ai l'honneur de vous saluer. René Brissy
Signé par l'auteur
[London]: Publish'd ... by I. F. W. Des Barres [in 'The Atlantic Neptune', November 1st 1780. Etching, with engraving and roulette work, on three joined sheets. 33 1/4 x 64 1/4 inches overall. A large format sea chart: the greatest coastal map of Nova Scotia, originally issued in Des Barres' 'The Atlantic Neptune' ,exemplaire entoilé et roulé vus les dimensions 167 x 80 cm environ
toilage ancien use ;mauvais etat,manques aux plis,prix en consequence;a restaurer .J.F.W. Des Barres (c. 1729-1827) was born in Basle Switzerland but went to military school in England. He became a colonial administrator in Nova Scotia and also served as governor of Quebec. Des Barres was commissioned for the surveying project in 1762, and dedicated ten years to the gathering of the charts and publication of the atlas.
Phone number : 33 04 94 63 34 56
P., Emile-Paul Frères, 1917, pt in-8°, 110 pp, broché, couv. papier gris avec titres en noir, bon état
Barrès publie en 1917, dans l’Echo de Paris, une série de sept articles, intitulée « En regardant au fond des crevasses » dans lesquels il apostrophe le gouvernement. Les crevasses pour Maurice Barrès ce sont toutes les « affaires » d’espionnage et de trahison en cours comme celle dite « l’affaire du Bonnet Rouge ». Barrès et le journal "L'Action Française" accusent Louis Malvy, alors ministre de l'Intérieur, de trahir la France en fournissant à l'Allemagne des renseignements militaire et diplomatiques. Pour se défendre et se disculper, Malvy provoque un débat à la Chambre des Députés. Mais il sera forcé de démissionner en septembre 1917, et une juridiction d'exception sera créée en vue de son inculpation. Barrès rapporte avec véhémence les arguments de son attaque contre Malvy à la Chambre et divers éléments à charge. — "... Nous voici arrivés à 1917, aux moments sombres de la guerre : par une suite de fautes inconcevables, les généraux vainqueurs, les hommes de la Marne et de la Somme, se trouvent écartés. Un Gouvernement faible, d'économistes, d'idéologues ; à l'offensive manquée d'avril, à la chute de tant d'espérances succède un accès de découragement, qu'aggrave une redoutable attaque par l'intérieur. C'était un pullulement de louches personnages, d'aigrefins, de figures équivoques et véreuses; des allées et venues suspectes au delà des frontières, des complaisances inquiétantes et des complicités inavouables de la Sûreté ; une presse immonde au grand jour salissait la patrie, déshonorait la gloire, bafouait l'énergie, excusait l'abandon ; il y avait des chèques saisis et rendus par ordre à des bandits, des secrets étranglés au fond d'une prison avec un lacet de soulier; c'était une entreprise de démoralisation, derrière laquelle on devinait toujours le même personnage, qui pontait sur la défaite de la patrie. Le Gouvernement hésitait. Mais il faut lire dans Barrés l'histoire de ces dix mois. Ce fut l'heure la plus critique de la guerre : on faisait la guerre sur deux fronts, – contre l'ennemi du dehors et contre l'ennemi du dedans ; contre les gaz allemands et contre le défaitisme et le pacifisme à l'intérieur. C'est dans ces moments-là que Barrés est sublime. Pudique, retenu, un peu contraint dans l'enthousiasme, la colère le rend superbe : superbe de courage, d'indignation et de mépris. Le terrible pamphlétaire, le cruel polémiste n'eut jamais plus de génie : il a des paroles qui soufflettent, de ces mots qui sont des fers rouges. Les séances de la Chambre, la suite de scènes atroces qu'il intitule : “Dans le cloaque”, “En regardant au fond des crevasses”, valent les plus belles pages de Leurs figures : ce sont les Châtiments du régime parlementaire. « J'ai, disait-il, le don de voir clair. » (...) Mais Barrés ne s'en tint pas là : il eut aussi son heure d'histoire, le jour ou il dénonça en pleine Chambre la « canaille du Bonnet rouge », et où un ministre livide, devant son réquisitoire, s'abîma comme une loque, convaincu de forfaiture. Ce jour-là, la France respira mieux..." (Pierre Troyon, Revue des Deux Mondes, 1924)
P., Emile-Paul Frères, 1917, pt in-8°, 110 pp, broché, couv. salie (couverture papier ivoire avec auteur en noir, titre et éditeur en rouge), bon état. Edition originale, tirage numéroté sur vélin (n° 860), non justifié
Barrès publie en 1917, dans l’Echo de Paris, une série de sept articles, intitulée « En regardant au fond des crevasses » dans lesquels il apostrophe le gouvernement. Les crevasses pour Maurice Barrès ce sont toutes les « affaires » d’espionnage et de trahison en cours comme celle dite « l’affaire du Bonnet Rouge ». Barrès et le journal "L'Action Française" accusent Louis Malvy, alors ministre de l'Intérieur, de trahir la France en fournissant à l'Allemagne des renseignements militaire et diplomatiques. Pour se défendre et se disculper, Malvy provoque un débat à la Chambre des Députés. Mais il sera forcé de démissionner en septembre 1917, et une juridiction d'exception sera créée en vue de son inculpation. Barrès rapporte avec véhémence les arguments de son attaque contre Malvy à la Chambre et divers éléments à charge. — "... Nous voici arrivés à 1917, aux moments sombres de la guerre : par une suite de fautes inconcevables, les généraux vainqueurs, les hommes de la Marne et de la Somme, se trouvent écartés. Un Gouvernement faible, d'économistes, d'idéologues ; à l'offensive manquée d'avril, à la chute de tant d'espérances succède un accès de découragement, qu'aggrave une redoutable attaque par l'intérieur. C'était un pullulement de louches personnages, d'aigrefins, de figures équivoques et véreuses; des allées et venues suspectes au delà des frontières, des complaisances inquiétantes et des complicités inavouables de la Sûreté ; une presse immonde au grand jour salissait la patrie, déshonorait la gloire, bafouait l'énergie, excusait l'abandon ; il y avait des chèques saisis et rendus par ordre à des bandits, des secrets étranglés au fond d'une prison avec un lacet de soulier; c'était une entreprise de démoralisation, derrière laquelle on devinait toujours le même personnage, qui pontait sur la défaite de la patrie. Le Gouvernement hésitait. Mais il faut lire dans Barrés l'histoire de ces dix mois. Ce fut l'heure la plus critique de la guerre : on faisait la guerre sur deux fronts, – contre l'ennemi du dehors et contre l'ennemi du dedans ; contre les gaz allemands et contre le défaitisme et le pacifisme à l'intérieur. C'est dans ces moments-là que Barrés est sublime. Pudique, retenu, un peu contraint dans l'enthousiasme, la colère le rend superbe : superbe de courage, d'indignation et de mépris. Le terrible pamphlétaire, le cruel polémiste n'eut jamais plus de génie : il a des paroles qui soufflettent, de ces mots qui sont des fers rouges. Les séances de la Chambre, la suite de scènes atroces qu'il intitule : “Dans le cloaque”, “En regardant au fond des crevasses”, valent les plus belles pages de Leurs figures : ce sont les Châtiments du régime parlementaire. « J'ai, disait-il, le don de voir clair. » (...) Mais Barrés ne s'en tint pas là : il eut aussi son heure d'histoire, le jour ou il dénonça en pleine Chambre la « canaille du Bonnet rouge », et où un ministre livide, devant son réquisitoire, s'abîma comme une loque, convaincu de forfaiture. Ce jour-là, la France respira mieux..." (Pierre Troyon, Revue des Deux Mondes, 1924)
Paris Alphonse Lemerre 1888 Demi-reliure
EDITION ORIGINALE dont il n'a pas été tiré de grand papier. Bon exemplaire en reliure d'époque : bradel demi-percaline grise, fleuron et lettre or sur pièce de titre au dos lisse, première de couverture avec petits manques angulaires conservée. ENVOI AUTOGRAPHE signé de Barrés "à Paul Adam, son ami" . >Livre fondateur de l'oeuvre de Maurice Barrès et premier volume de la trilogie qui constitue "Le Culte du moi". Bon 0
Dans son œuvre, Maurice Barrès explore les thèmes de l'amour, de la perte et de la décadence à travers le prisme de la ville de Venise. Son style littéraire est empreint de symbolisme et de romantisme, rappelant les œuvres des écrivains du XIXe siècle. Barrès utilise une prose émotive et lyrique pour dépeindre la beauté tragique de Venise qui se meurt sous le poids de la modernité. Ce roman est un chef-d'œuvre de la littérature symboliste français, célébrant la nostalgie et la mélancolie. Maurice Barrès, écrivain français renommé, était fasciné par les idées nationalistes et régionalistes de son époque. Son engagement politique et sa sensibilité artistique se reflètent dans "La mort de Venise", où il explore les tensions entre tradition et modernité. Barrès a puisé son inspiration dans ses voyages à Venise et sa fascination pour la culture italienne. Je recommande vivement "Amori et dolori sacrum: La mort de Venise" aux lecteurs passionnés par la littérature symboliste et les réflexions sur la civilisation en déclin. Ce roman captivant offre une vision poétique et introspective de la perte et de la beauté éphémère de Venise. vol relié, 180x140, demi toile, bon état intérieur, 312pp. Couvertures d'origines conservées. Paris, Félix Juven, 1906 ref/78/5
S.n.e. 1940. In-16 agrafé. Fils de Maurice Barrès, opposé au national-socialisme, Philippe Barrès se met au service de la France libre en juin 1940 et rédige en 1941, en exil à New York, la première biographie du général de Gaulle. E.O. premier plat légèrement frotté autour de l'agrafe.
Le Puy [en Velay], Imprimperie J. B. Lacombe, an IX (1801] ; in-8. 43pp. Demi-basane brune, titre doré en long. Rousseurs sur le titre, mais bon exemplaire.
L'auteur était l'arrière grand-père de Maurice Barrès. (cf Maurice Barrès, "Mes Cahiers", Plon, tome 2), officier de santé, et membre de la Socitété d'agriculture du Puy en Velay, il devint maire de Blesle et conseiller général. Il était le père de Jean-Baptiste, membre de la Garde impériale de Napoléon, auteur des "Souvenirs d'un officier de la Grande Armée", publiés par Maurice Barrès en 1923.
Numéro spécial de la revue "La Plume" n° 47 1891 1 vol. broché in-8, en feuilles, p. 119 à 136. Texte sur double colonne et une illustration inédite de A.-F. Cazals. Au sommaire : Maurice Barrès (La littérature du " Moi "), Anatole France (Le Jardin de Bérénice), Charles Maurras (Une réponse de Lazare le réssucité à Sénèque le Philosophe), Léon Deschamps (Les théories de Maurice Barrès appréciées par M. Ernest Lavisse), Léon Dequillebecq (Le Bonheur de mourir), etc. Couverture très légèrement passée (comme toujours, sinon intérieur très correct. Ex-libris.
Maurice Barrès, Colette Baudoche - Histoire d'une jeune fille de Metz. Paris, Emile-Paul frère, 1913. In-12, 264p. Nouvelle édition de cet important ouvrage de Barrès, exemplaire sur japon « tiré spécialement pour l'auteur » enrichi d'un long et bel envoi à Mademoiselle Marie Leconte : « A Mademoiselle Marie Leconte, que je vois en train de créer, avec tout son art et tout son cour, une Colette Baudoche pieuse et sérieuse, faible et brave, plébéienne et très noble, hommage d'admiration et d'amitiés, Maurice Barrès. 2 mai 1915 ». Cet envoi est intéressant car Anne-Marie Lacombe, dite Marie Leconte (1869-1947) est l'actrice qui créa le rôle de Colette Baudoche dans l'adaptation théâtrale à la Comédie Française le 8 mai 1915, quelques jours après cette dédicace. Cette adaptation est signée de Pierre Frondaie. Exemplaire enrichi d'une intéressant L.A.S., sd [années 1910], 1p in-4, à l'acteur Georges Pally (1886-1954). Il est question d'une démarche similaire que Pally veut faire auprès d'un général et Barrès et Enrique Larreta auprès d'un autre général. Il propose de voir pour s'associer. Reliure signée Esther Founès, plein chagrin janséniste bleu nuit, dos à nerfs, tête dorée, couvertures et dos conservés. Mors craquelés. Intéressant exemplaire.
Paris A la Cité des Livres, coll. "Familiers de la cité des livres" 1924 1 vol. broché plaquette in-12, brochée, couverture rempliée, 36 pp. Edition originale de cet hommage rendu à Barrès, disparu en décembre 1923. Un des 260 exemplaires hors commerce numérotés sur Arches, seul tirage avec 10 Japon. Ex-libris de Georges et Flore-Geneviève Dubois. On joint : deux articles de Maurice Barrès consacrés à Paul Bourget ("Echo de Paris" - 10 janvier 1914 et "La Revue Hebdomadaire" - 1923) et un article de Paul Souday également sur Paul Bourget ("Le Temps" - 17 décembre 1923). En parfait état.
Maurice Barrès, 1884, un volume in-12 broché. Tous les textes sont de Maurice BARRES. LES TACHES D'ENCRE seront absorbées par LA REVUE CONTEMPORAINE en 1885. Des rousseurs et une tache claire à quelques pages sur la marge. Bon état et solide.