BRETON (André) - ARAGON (Louis) - CENDRARS (Blaise) - ELUARD (Paul) - JACOB (Max) - SOUPAULT (Philippe) - PICABIA (Francis) - TZARA (Tristan) - PERET (Benjamin) - ERNST (Max) - BARON (Jacques) - REVERDY (Pierre) - PAULHAN (Jean) - SALMON (André) - APOLLINAIRE (Guillaume) - DRIEU LA ROCHELLE (Pierre) - VALERY (Paul) - RADIGUET (Raymond) -
Reference : 45338
Paris : Jean-Michel Place, 1978 - 2 forts volumes (15x23 et 19x23cm) toilés sous jaquette illustrées, sous emboitage illustré (Francis Picabia). 680 et 400 pages. Réimpression en fac-similé de tous les numéros parus de cette revue, dirigée par Louis Aragon, André Breton et Philippe Soupault. Très bon état.
Tome I : Les débuts de Littérature, par Philippe Soupault. Littérature et le reste, par Marguerite Bonnet. Littérature première série : n°1 à 20, mars 1919 à août 1921. Index des collaborateurs. Index des ouvrages cités. Index des revues et journaux cités. Tome II : Autour de Littérature, par Jacques Baron. Littérature, nouvelle série, N°1 à 13, 1er mars 1922 à juin 1924. Index des collaborateurs. Index des illustrateurs. Index des ouvrages cités. Index des revues et journaux cités.
Préface d'Yves Peyré. Editions Granit, 1983. Un volume broché (14x19 cm) sous jaquette, 144 pages. Edition originale sur papier courant avec un envoi autographe signé de Silvia Baron Supervielle au critique et poète Claude Couffon. Bon état.
DU BOUCHET (André) - DANTE - LEIRIS (Michel) - PEYRE (Yves) - REYNARD (Jean-Michel) - BECKETT (Samuel) - JULIET (Charles) - SUPERVIELLE (Silvia Baron) - DENIS (Philippe) - MONLUC (Adrian de) -
Reference : 42552
Châteauroux : L'Ire des vents (Yves Peyré éditeur), 1978 - un volume (19x24 cm) broché , 260 pages - tirage à 1050 exemplaires sur vergé ivoire - textes inédits d'André Du Bouchet, Michel Leiris, Yves Peyré, Jean-Michel Reynard, Samuel Beckett, Charles Juliet, Silvia Baron Supervielle, Philippe Denis, Adrian de Monluc - bon état -
Paris : Editions du Rocher (Coll. Les infrequentables), 1990 - un volume 11,5x19 cm broché, 151 pages - bon état -
Paris : Delaunay, 1814 - in-18 demi-marquin vert à longs grains, dos orné du titre et de double filets ( reliure de l'époque) - XXVI-407 pages - illustré d'un frontispice d'après Le Roy - seconde édition corrigée - bon état dans une belle reliure début XIXème siècle -
Amadis de Gaule est le premier livre de chevalerie imprimé en Espagne en 1508 - Selon Cervantès, il a servi de modèle à tous les livres de ce genre - La première traduction française date de 1540 - Le baron Creuzé de Lesser (1771-1839), poète et auteur dramatique a rédigé plusieurs versions en vers de poèmes épiques du genre chevaleresque dont La Table ronde (1811), Amadis de Gaule (1813) et Roland (1812) -
ADAMI (Franco). BARON-RENOUARD. LARRIEU (Jean-François). GEMIGNANI (Michel). RUSTIN (Jean). TOBIASSE (Théo). PONCET (Antoine).
Reference : 45952
Catalogue de l'exposition présentée en décembre 2000 et janvier 2001 à l'Espace des Blancs-Manteaux à Paris. Un volume 22x27cm broché de (80) pages illustrées de hors texte en couleurs - bon état -
DEBLE (Colette) - PARANT (Titi) - RISSET (Jacqueline) - DAGOIT (Marie-Laure) - QUINTANE (Nathalie) - GIRAUDON (Liliane) - BARON SUPERVIELLE (Sylvia) - ROUZEAU (Valérie) - CADOU (Hélène) - DUITS (Agnès)
Reference : 40551
Paris : Maeght (Association Duelle pour la poésie), 2000. Un volume 7,9x10,6cm broché sous couverture illustrée, de 124 pages illustrées en noir et hors texte par Colette Deblé et Valentina La Rocca - Exemplaire en bon état -
Traduction et préface de Michel Bulteau. Monaco : Editions du Rocher (Collection "Alphée"), 1990. Un volume 13x20cm broché sous couverture à rabats, 145 pages. Bon état.
COMMERE (Pascal). CHEDID (Andrée). CHAR (René). PAULHAN (Jean). TEMPLE (Frédéric-Jacques). ROUDAUT (Jean). JULIET (Charles). LEMAITRE (Maurice). CHAR (René). BACHELARD (Gaston). ISOU (Isidore). MANOLL (Michel). ALHAU (Max). BANCQUART (Marie-Claire). BARON (Jacques). BARONIAN (Jean-Baptiste). BERIMONT (Luc). FRENAUD (André). DELETANG-TARDIF (Yanette). CAILLIES (Christian). BECOUSSE (Raoul). VALENSOL (Guy). WELLENS (Serge). PARISOT (Henri). CABRAL (Tristan). DECAUNES (Luc). REVERDY (Pierre). MANDIARGUES (André Pieyre).
Reference : 45473
Ahuy (Côte d’Or), directeurs : Christian Caillies et Pascal Commère. 23 fascicules (14x21cm) brochés. 23 numéros en 23 livraisons. Collection complète de cette bonne revue de poésie animée par des poètes installés en Bourgogne. Envoi autographe signé de Raoul Bécousse sur le premier numéro. Très bon état.
BARON (Jacques). BERNANOS (Michel). DHOTEL (André). DHAINAUT (Pierre). DAGUET (Dominique). PRASSINOS (Gisèle). THOMAS (Henri). PAGAVA (Vera).
Reference : 44754
Troyes: Amis des Cahiers bleus/ Centre Culturel Thibaud de Champagne. Directeur: Dominique Daguet. Un volume broché (21x29,4 cm), 132 pages illustrées dans et hors texte. Numéro présentant des nouvelles et textes en court en prose et un dossier sur Vera Pagava.
Créés en 1975 à Troyes par Dominique Daguet (1938-2021), poète et ancien secrétaire de Jean Paulhan, les Cahiers bleus compteront 70 numéros jusqu’en 2007. Bonne revue de poésie et de littérature qui propose des numéros thématiques et monographies d’auteurs.
JARRY (ALfred) - Cymbalum pataphysicum - CORVO (Baron) - ETIENNE (Luc) - Collège de Pataphysique -
Reference : 31916
Cymbalum pataphysicum, 7 novembre 1979 - In-8 broché sous couverture illustrée de 64 pages illustrées en noir -
À partir de 1975 date de l'Occultation du Collège de 'Pataphysique, les travaux des Pataphysiciens ont été publiés par le Cymbalum Pataphysicum. Le Cymbalum Pataphysicum publiait chaque année quatre numéros d'une revue : Organographes du Cymbalum pataphysicum.
Préface de Timothy Baum - Paris : Editions Filipacchi, 1980 - Grand format (24,7x31,6 cm) pleine toile imprimée sous jaquette illustrée en couleurs - 290 pages abondamment illustrées en noir et en couleurs dans et hors texte - Index - très bon état -
WACQUANT (Général baron de) Maréchal d'Empire (1754-1844) au service de l'Autriche de 1771 à 1844. Le baron de Wacquant, né en 1754 à Briey en Lorraine, fut un des généraux de l'Europe du XIXème siècle, qui a obtenu le plus de décorations, dont plusieurs sur le champ de bataille, où il fut présent. D'abord contre les turcs, ensuite contre les français. Il fut également un remarquable négociateur pour des missions de la plus haute importance auxquelles il prit part, en particulier en 1805, dans le traité avec Bernadotte, en 1807 dans « les affaires » de Braussan, en 1809 à la frontière de Salzbourg et de la haute Autriche, en 1814 dans la démarcation des frontières entre la France et l'Allemagne. Soixante quinze années de sa carrière militaire figurent dans ces 2 ouvrages. Mis en retraite en 1836. Il débute en 1771 sa carrière, dans le corps d'artillerie des Pays-Bas et la terminera comme "Feldzengmestre" en 1836. Tous les Diplômes des Grandes décorations ainsi que son parcours militaire sont présents dans cet important ensemble.
Reference : 114C27
Volume I. Le premier document daté de 1777, est signé de Bruxelles, par le général comte Joseph Jean de Ferraris (1726-1814). Officier général au service de l'Autriche, il fut un cartographe reconnu pour sa carte des Pays-Bas autrichiens, établie à cette date. De Wacquant servit sous ses ordres pendant cette période en particulier pour la « levée » de cette nouvelle carte. Jean de Ferraris sera à plusieurs reprises, l'officier qui validera les compétences du jeune soldat sur plusieurs autres documents. On trouve à la suite également de nombreux certificats signés par un grand nombre d'officiers autrichiens avec pour chacun apposé, le cachet de cire rouge de leurs armes : general major Stanislas Mikovényi de Breznobanya (1728-1802), Johan Graf Benedikt Nobili (1758-1823), Karl Nikolaus von Steinmetz (1719-1788), baron Bydeskuti von Ipp (1751-1799), général Karl von Batschek (1715-1802), Heinrich-Johann de Bellegarde (1757-1845), le comte Joseph Kinsky, (1731-1804) etc. La plupart des documents sont relatifs aux missions, aux conflits et à plusieurs batailles. (Prise de Sabatsch en 1788, action d'éclat à Galgenberg, attaque réussie à Seckenheim, siège de Valenciennes, etc.). Concernant le conflit avec la France, sur un même document deux minutes des lettres du général Chancel (1753-1794) figurent dans ce recueil. L’une est adressée à S.A.S le prince de Cobourg et la seconde à S.A.S Ferdinand duc de Wurtemberg. Ce témoignage historique relate la résistance de Condé. Il est daté du 23 mai 1793, pendant le siège. Le général Chancel rend réponse à l'offre de capitulation proposée par le prince de Cobourg. « Je n'en accepterai jamais que de cette nature. En conséquence, jaloux de mériter l'estime de votre A. S. et celle de mes concitoyens, je déclare que je conserverai jusqu'à la dernière extrémité la forteresse de Condé à la République française [....] Au dessus de tout intérêt personnel j'ai combattu loyalement et je combattrai de même jusqu'a la mort pour soutenir les droits sacrés de l'humanité et pour défendre la souveraineté de ma nation... ». Quant au prince Ferdinand de Würtemberg qui sera le grand vainqueur de Condé, il ajoute : « … S’il est jamais question de capituler, ce qui n’arrivera pas avant que tous mes moyens de défense soient épuisés, ce sera alors une consolation pour moi, et pour ma brave garnison d’avoir à traiter avec un général qui aura appris à nous estimer, et qui connait aussi bien que moi les lois de l’honneur. ». De Schwezingen, le 23 octobre 1797, Charles Louis d’Autriche lui recommandera d’être prudent pour s’emparer des portes de la ville du Wurzbourg afin de ne pas froisser « le Prince Evêque ». (Georg Karl von Fechenbach, 1749-1808). Pièce signée. Un an plus tard, le 21 décembre 1798, il signera l’ordre pour la rectification des limites de Wurzbourg. Pièce signée. Il sera le signataire de plusieurs autres documents, avril 1807, 1810. Faisant suite à la bataille d’Austerlitz, Ferdinand Charles Joseph Victor d’Autriche- Hesse (1781-1850) donnera le 10 décembre 1805, du quartier général de Steken « plein pouvoir » à de Wacquant pour « traiter avec l’officier major des troupes impériales françaises, que désignera à cet effet Monsieur le Maréchal d’Empire Bernadotte afin de déterminer en conformité de l’article 1er de l’armistice conclu le 6 décembre, la ligne de démarcation depuis Tabor jusqu’à Luiz. ». Pièce signée en français. Le 17 décembre suivant, il lui indique que « les prisonniers bavarois faits dans la journée du 5, avaient été mis sur le champ en marche sur Prague ; j’ai écris le 8 que je faisais arrêter cette marche ; le 9 décembre a été conclu, entre Monsieur le général de division Berthier et le lieutenant général Comte de Hohenzollern une convention par laquelle je m’engage à rendre ces prisonniers […] Un engagement pris en mon nom par mon chargé de pouvoirs devait ce me semble suffire à Monsieur le Maréchal… ». Pièce signée en français. 23 décembre 1805, il lui indique la conduite à tenir « il ne faut céder en rien » et le charge d’en informer Bernadotte. « Les nouvelles prétentions que forme le Maréchal Bernadotte et qu’il appuye sur des paroles du prince Jean de Lichtenstein ou sur un ordre du Maréchal Berthier sont entièrement opposés au terme précis de l’armistice, qui détermine d’une manière positive l’Est de la route, comme ligne de démarcation et Mr le Maréchal n’a pas plus le droit d’exiger au-delà de cette ligne, que je n’ai celui de lui céder d’avantage ; la lettre de l’armistice doit être notre règle commune de conduite… ». Pièce signée en français. On trouvera à la suite plusieurs documents signés en allemand par Ferdinand. (Certificats de bonne conduite et recommandations). En 1810, le comte de Vaublanc (1756-1845) alors Préfet de Moselle, adressera une lettre au baron de Wacquant, datée du 23 novembre, pour lui indiquer qu'il a écrit au ministre de l'Intérieur afin de faire annuler l'arrêt prononcé contre lui, pour avoir porté les armes contre la France postérieurement en septembre 1804, et « n'avoir pas profité de l'amnistie ». Lettre signée. Pendant les Cent-Jours, la Suisse étant appelée à veiller à la sureté de ses frontières, le baron d’Andlau (1766-1839) adresse d’Arlesheim, le 23 mars 1815, une lettre au baron de Wacquant, alors commandant général du corps autrichien et gouverneur de la forteresse de Mayence. Il lui exprime en réponse, ses idées dans les circonstances difficiles. « Le cas où nous devons nous trouver dans le plus grand embarras, menace déjà d’approcher. Plusieurs villes du voisinage en France ont arboré le drapeau tricolore et on suspecte le Maréchal Suchet de vouloir suivre l’exemple de son collègue Ney et se déclarer pour Napoléon, qui, d’après les nouvelles qui m’arrivent dans ce moment vient d’entrer à Paris. Comme les troupes Autrichiennes, trop faibles pour résister avec succès, se trouvent exposées par les bouleversements à quelque coup de main qui les fasse prisonnier ou du moins leur coupe la retraite en Allemagne par Basle si la gorge d’Aesch, éloignée de Huningue fut occupée, j’ai engagé Mr le commandant Maleck de se concentrer à Delémont situé à une distance assez considérable des frontières de la France, aussitôt que le danger approcherait… ». Lettre signée. 21 Juillet 1815. Frédéric Xavier de Hohenzollern, (1757-1844) délivrera un « plein pouvoir » au baron, pour traiter avec le général Rapp, alors encore en résistance aux assauts ennemis, après la défaite de Waterloo. Lettre autographe signée. Volume 2. Liste des décorations par ordre chronologique Brevets de sous-lieutenant, lieutenant, et de lieutenant capitaine, signés par le feld maréchal comte Pellegrini (1779, 1785, 1789). Brevet de chambellan du roi de Bavière. Pièce signée par Maximilien (1797). Brevet de colonel. Pièce signée par François 1er d'Autriche (1800). Brevet de l'ordre de Marie-Thérèse. Pièce signée par François 1er d'Autriche (1800), contresignée par Klemens Wenzel von Metternich (Metternich-Winneburg). Brevet de colonel du régiment d'infanterie de Iellachich. Pièce signée par François 1er d'Autriche. Brevet de colonel feldvachneister. Pièce signée par François 1er d'Autriche (1805), contresignée par Charles Louis d’Autriche. Brevet de général-major-brigadier. Pièce signée par François 1er d'Autriche (1807). Brevet de lieutenant feldmarschal. Pièce signée par François 1er d'Autriche (1809) contresignée par le comte de Heinrich- Johann de Bellegarde. Brevet de nomination en tant que colonel du régiment de Iellachich (1810). Décret de chambellan de S. M. Impériale (1812). Brevet de commandeur de l'ordre de Maximilien Joseph de Bavière. Pièce signée par Maximilien 1er de Bavière. Nomination de commissaire habilité à signer tous actes relatifs au traité de paix signé à Paris, le 30 mai 1814 avec le roi de France, et d'intervenir à la commission de démarcation qui va se réunir en exécution du traité. (Le traité de Paris du 30 mai fixe les frontières de la France après la défaite de Napoléon Ier qui est exilé à l’île d'Elbe) Pièce signée par François 1er d'Autriche, le 22 septembre 1814, contresignée par Klemens Wenzel von Metternich,, alors ministre d'Etat. Pièce en français. Nomination de commissaire habilité à signer tous actes pour délimitation de frontières. Pièce signée par François 1er d'Autriche, le 8 février 1816, contresignée par Klemens Wenzel von Metternich, alors ministre d'Etat. Pièce signée par Klemens Wenzel von Metternich (1773-1859) document relatif aux félicitations de l'Empereur pour cette mission. Pièce signée 12 juillet 1816. Brevet de chevalier Grand Croix de l'ordre de St Vladimir, brevet donné pour sa présence près des troupes russes contre les français en 1813 et 1814. Pièce signée par Alexandre 1er de Russie (1819) en russe et en français. Nomination pour la baronne de Wacquant (sa deuxième épouse, née Marie-Anne de Wolff) comme dame d'honneur près de la reine de Bavière, signée Maria-Amélia. Brevet de confirmation comme dame d'honneur près de la reine de Bavière, signée Maria-Amélia. Nomination en tant que Président du Conseil supérieur de la guerre (1833). Brevet de Grand croix de l'ordre de Hesse. Pièce signée par Louis II de Hesse. Avis de Brevet de Feldzengmeister (1835). Attestation relative à la bataille d'Arperne. Pièce signée le 14 avril 1836 par le comte de Heinrich-Johann de Bellegarde. (Un des principaux généraux des armées autrichiennes pendant les guerres napoléoniennes. il fut gouverneur de la Galicie et du Milanais. Brevet d'admission à la retraite (1839). Brevet du grade de Feldzengmeister. Pièce signée par l'Empereur Ferdinand 1er. Un précieux recueil d'évènements et témoignages pour l’histoire de l'Autriche.
[TIFFAUGES (85)] PHOTOGRAPHE BARON Ferdinand, MAIRE DE TIFFAUGES
Reference : 26607
(1953)
TIFFAUGES 1953 une PHOTO originale albuminée en noir, PHOTOGRAPHIE ORIGINALE : TIFFAUGES (85) - LA FAMILLE BARON DENEIGEANT DEVANT LE CAFE BARON (1953), format : 10,7 x 8 cm, PHOTOGRAPHE BARON Ferdinand, MAIRE DE TIFFAUGES,
Superbe Photographie ........ en trés bon état (very good condition). en trés bon état
1 fort vol. in-8, rel. de l'ép. demi-perc. rouge à coins, dos lisse orné de filet à froid, titre et date dorés, couv. cons., contient : - Ext. des procès verbaux de la Sté N. des Antiq. de France 1890, 6 pp. - La nécropole de Mouranka (Russie), 1890, 4 pp., ill. - La bijouterie des Goths en Russie, 14 pp., 4 pl. dépliantes dont 1 en coul., 1 ill. in-t. - Le congrès intern. de Moscou (1892), 1893, 26 pp. - Rapport sur le congrès de Moscou, 1893, 53 pp. - Compte-rendu des travaux du 9ème congrès russe d'archéo. 1893., précédé d'une étude historique sur la Lithuanie et Vilna, 1894, 136 pp., front., nb. ill. in et h.-t.- Notes sur les bijoux barbares en forme de mouches, 1895, 22 pp.,10 fig. in-t., 2 pl. dont 1 en coul. - Visite à l'exposition des collections rapportées par le Baron de Baye, par M. Zaborowski, 1897, 3 pp. - Notes sur les Votiaks païens des gouvernements de Kazan et de Viatka, 1897, 13 pp.- La nécropole d'Ananino, 1897, 26 pp., 17 fig. in-t. - Notes de folk-lore Votiak, 1898, 11 pp. - Ext. du Bulletin de la Sté N. des Antiq. de France, communications du Baron, mars 1898, 8 pp., 3 fig. in-t. - Bulletins de la Sté Anthrop. de Paris, ext. sur les Kourganes et les Ostiaks, 1897, 40 pp. - Ext. du Bulletin de la Sté N. des Antiq. de France, communications du Baron, mars 1898, 8 pp., 3 fig. in-t. - Notes de folklore Mordvine et Métchériak, 1899, 12 pp. - Ext. du Bulletin de la Sté N. des Antiq. de France, communications du Baron, 1899, 28 pp., nb. fig. in-t. - Ext. des Bulletins, à propos des crânes provenant de l'aoul ossète Nijni Koban, 1899, 3 pp. - Ext. des Bulletins : Dolmens de la région nord du Caucase, 1899, 4 pp. - Ext. des Bulletins : Etude sur les collections rapportées de Russie par le Baron de Baye, par le Dr Capitan, 1899, 6 pp. - Ext. des Bulletins de la Sté N. des Antiq. (1898), 1899, 28 pp., ill. - Notes sur les poteries rapportées du Caucase par le Baron de Baye, par M. Pottier, 1899, 18 pp. - Fouilles de Kourganes au Kouban (Caucase), 1900, 19 pp., 9 fig. in-t.
Condensé des études du Baron de Baye sur la Russie dans un bel ex. relié. (l'ext. du bulletin de la Sté N. des Antiq. de 1898 a été relié en double). - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
Bruxelles, Van Dale, Muquardt, Decq, 1847-1888.42 volumes in-8 (11,5 x 18 cm) reliés à l'identique.Reliures d'époque demi maroquin blond à coins, dos à nerfs, caissons ornés de fleurons du lion belge et de la couronne. Les reliures sont légèrement usées et salies, quelques rousseurs sans gravité sur les premières pages de la plupart des volumes. sinon bel ensemble en reliures uniformes et complet des portraits en frontispice qui illustrent certains volumes.Cet Annuaire de la Noblesse fut publié à partir de 1847 par le Baron Isidore de Stein d'Alstenstein, avec dès 1850 la collaboration du baron Oscar de T'Serclaes qui finira par en prendre la direction jusqu'à son décès. Dans le volume 42 de 1888 le baron de Stein d'Altenstein rend hommage au baron de T'Serclaes décédé et annonce la cessation de la parution de l'Annuaire de la Noblesse.A la page suivante est annoncée la reprise de l'Annuaire par des collaborateurs du baron T'Serclaes sous le titre de La Noblesse Belge.Nous vous proposons donc ici la série complète de L'Annuaire de la Noblesse Belge. Volume 1, 1847, xvi-364 pages. Volume 2, 1848, xvi-326 pages et un portrait en frontispice. Volume 3, 1849, xxii-328 pages et un portrait en frontispice. Volume 4, 1850, xvi-352 pages et un portrait en frontispice.Volume 5, 1851, xx-340 pages et un portrait en frontispice. Volume 6, 1852, xxiii-372 pages et un portrait en frontispice. Volume 7, 1853, xix-337 pages et un portrait en frontispice.Volume 8, 1854, xxiii-340 pages et un portrait en frontispice. Volume 9, 1855, xix-334 pages et un portrait en frontispice. Volume 10, 1856, xix-352 pages et un portrait en frontispice.Volume 11, 1857, xv-344 pages et un portrait en frontispice. Volume 12, 1858, xvi-363 pages et un portrait en frontispice. Volume 13, 1859, xv-375 pages et un portrait en frontispice.Volume 14, 1860, xv-383 pages et un portrait en frontispice. Volume 15, 1861, xii-384 pages et un portrait en frontispice. Volume 16, 1862, xii-394 pages et un portrait en frontispice.Volume 17, 1863, xii-396 pages et un portrait en frontispice. Volume 18, 1864, xii-400 pages et un portrait en frontispice. Volume 19, 1865, xii-432 pages et un portrait en frontispice.Volume 20, 1866, xiii-422 pages et un portrait en frontispice. Volume 21, 1867, xii-416 pages et un portrait en frontispice. Volume 22, 1868, viii-432 pages et un portrait en frontispice.Volume 23, 1869, viii-399 pages et un portrait en frontispice. Volume 24, 1870, viii-410 pages. Volume 25, 1871, 402 pages et un portrait en frontispice. Volume 26, 1872, 406 pages et un portrait en frontispice.Volume 27, 1873, 400 pages. Volume 28, 1874, 410 pages. Volume 29, 1875, 396 pages. Volume 30, 1876, 410 pages. Volume 31, 1877, 424 pages. Volume 32, 1878, 406 pages. Volume 33, 1879, 414 pages.Volume 34, 1880, 402 pages. Volume 35, 1881, 410 pages. Volume 36, 1882, 412 pages. Volume 37, 1883, 416 pages. Volume 38, 1884, 420 pages. Volume 39, 1885, 406 pages. Volume 40, 1886, 412 pages.Volume 41, 1887, 428 pages et 10 pages Généalogie de la famille des chevaliers van Elewyck.Volume 42, 1888, 421 pages et un portrait en frontispice.
1844-1867. In-8, demi-chagrin rouge de l’époque, dos à nerfs orné, chiffre doré "H" en pied, tranches mouchetées (rel. de l’époque). Avec un feuillet de titre et une table des matières manuscrits.
- Rapport général sur les conférences du Cercle catholique (juin 1844), contenant une lettre du cardinal Lambruschini au baron du Havelt.- Inscription de Fontanetum. Rêve. Paris, Bonaventure et Ducessois, 1859. Avec une planche dépliante : description illustrée du monument commémoratif de la bataille de Fontenoy, érigé en 1860, par les soins du baron du Havelt.- CALEMARD DE LAFAYETTE.La Statue de Notre-Dame de France et les fêtes de l’inauguration. Le Puy, Marchessou, 1860 (couverture conservée, 1 pl. h.-t.), nommant le baron du Havelt, membre du comité ayant fait ériger le monument. - Indulgences accordées à la récitation des chapelets de Jérusalem (texte lithographié). Texte traduit de l’italien à la demande de Mme du Havelt.- FRANZ DE CHAMPAGNY. Un examen de conscience. Paris, Lecoffre, 1850 (couverture conservée). Avec une lettre autographe de l’auteur au baron du Havelt, 12 février 1866, sollicitant diverses aides (3 p. in-8). - BERTAUX (abbé). Notice sur la Rosière de Suresnes… Saint-Cloud, Vve Belin, 1859 (couverture conservée). - MONTLAUR (Eugène de). - L’Exposition de peinture à Moulins. Moulins, Desrosiers, 1852. Avec un feuillet d’envoi et une lettre autographe signée de l’auteur, parant du baron du Havelt, 5 novembre 1867, à propos d’une recommandation auprès du général Gondrecourt (2 p. in-8, à son chiffre). - J. Le Fèvre-Deumier. Moulins, Desrosiers, 1858 (couverture conservée ; envoi de l’auteur). - Rapport de la Commission chargée de décerner la Prime d’honneur […] au Concours régional de Blois. Paris, Librairie Agricole de la Maison rustique, 1867 (couverture conservée).Joseph Crepin du Havelt (1808-1874), issu d’une famille originaire de l’Artois, avait épousé en 1838, Zoé Chaillou des Barres, fille du fondateur-président de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne. Le Baron de Havelt fut maire de Sainpuits (Yonne) et conseiller général. Quelques frottements aux plats et coins émoussés. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
[TIFFAUGES (85)] PHOTOGRAPHE BARON Ferdinand, MAIRE DE TIFFAUGES,
Reference : 26600
(1940)
TIFFAUGES 1940 une PHOTO originale albuminée en noir, PHOTOGRAPHIE ORIGINALE : - LE CAFE BARON (DU MAIRE DE TIFFAUGES) : MME BARON ET SA FILLE POSANT DEVANT L'ENTREE DU CAFE (1940), format : 12 x 9 cm, PHOTOGRAPHE BARON MAIRE DE TIFFAUGES,
Superbe Photographie ........ en trés bon état (very good condition). en trés bon état
[TIFFAUGES (85)] PHOTOGRAPHE BARON Ferdinand, MAIRE DE TIFFAUGES,
Reference : 26601
(1945)
TIFFAUGES 1945 une PHOTO originale albuminée en noir, PHOTOGRAPHIE ORIGINALE : LE CAFE BARON (DU MAIRE DE TIFFAUGES) EN CHANTIER DE TRANSFORMATION : LA FILLE DE MONSIEUR BARON POSANT DEVANT L'ENTREE DU CAFE (1945), format : 10,4 x 7,2 cm, PHOTOGRAPHE BARON Ferdinand, MAIRE DE TIFFAUGES,
Superbe Photographie ........ en trés bon état (very good condition). en trés bon état
S.l., (XVIIIe siècle) 6 vol. in-folio, environ 2200 pages, veau brun marbré glacé, dos lisses cloisonnés et fleuronnés avec pièces de titre grenat, armoiries dorées au centre des plats, coupes filetées, tranches mouchetées (rel. de l'époque). Qqs petits défauts d'usage sans gravité.
"Qui a eu plus de part que celse a toutes ces intrigues de Cour ?" (La Bruyere à propos du Baron de Breteuil).D'une famille de grands serviteurs de l'État, frère d'un intendant des finances, il fut nommé lecteur ordinaire du roi en 1677, et employé à une mission diplomatique auprès du duc de Mantoue de 1682 à 1684. Fait alors conseiller du roi, il exerça la charge d'introducteur des ambassadeurs de 1698 à 1716 (en premier semestre). Personnage saillant de la Cour par sa position, il est évoqué par plusieurs écrivains de son époque – à son avantage sous les traits de Cléante dans l'ouvrage de sa maîtresse la présidente Ferrand, Histoire des amours de Cléante et de Bélise (1689), et dans des portraits-charges par La Bruyère et Saint-Simon.Dans le chapitre « Du Mérite personnel » des Caractères, La Bruyère écrit de lui : « Celse est d'un rang médiocre, mais des grands le souffrent ; il n'est pas savant, il a relation avec des savants ; il a peu de mérite, mais il connaît des gens qui en ont beaucoup ; il n'est pas habile, mais il a une langue qui peut servir de truchement, et des pieds qui peuvent le porter d'un lieu à un autre. C'est un homme né pour les allées et venues, pour écouter des propositions et les rapporter, pour en faire d'office [...], pour réussir dans une affaire et en manquer mille, pour se donner toute la gloire de la réussite, et pour détourner sur les autres la haine d'un mauvais succès. Il sait les bruits communs, les historiettes de la ville ; il ne fait rien, il dit ou il écoute ce que les autres font, il est nouvelliste [...] Il est entré dans de plus hauts mystères, il vous dit pourquoi celui-ci est exilé, et pourquoi on rappelle cet autre [...] Qui a eu plus de part que Celse à toutes ces intrigues de Cour ? et si cela n'était pas ainsi, s'il ne l'avait du moins rêvé ou imaginé, songerait-il à vous le faire croire ? Aurait-il l'air important et mystérieux d'un homme revêtu d'une ambassade ? »Dans ses Mémoires (année 1698), Saint-Simon insiste également sur plusieurs des mêmes points : « C'était un homme qui ne manquait pas d'esprit mais qui avait la rage de la cour, des ministres, des gens en place ou à la mode, et surtout de gagner de l'argent dans les partis en promettant sa protection. On le souffrait et on s'en moquait. »MEMOIRES CONÇUS COMME UNE SUCCESSION DE RECITS COMMENTES, suivant un ordre chronologique : le baron de Breteuil précise, pour les ambassades mentionnées, les entrées à Paris, les ordres de marches, le déroulement des audiences publiques et secrètes accordées par le roi, les visites rendues aux princes et princesses du sang, en accompagnant ses relations de remarques historiques et synthétiques sur des points d'étiquette. Certaines remarques se développent en véritables petits traités autonomes : « Des petites filles de France », « De la manière dont Monsieur reçoit un prince souverain », « Réception des généraux d'ordre [religieux] », « Cérémonial qui s'observe lorsque le roy donne le bonnet à un cardinal françois », etc.LE BARON DE BRETEUIL EVOQUE LES AMBASSADEURS DE TOUTE L'EUROPE, MAIS AUSSI DES PAYS LOINTAINS, Maroc (1699), « Moscovie, Turquie, Siam & Maroc » (annexe de l'année 1714) ou Perse (1715), et livre en regard le récit de quelques entrées d'ambassadeurs français dans les Cours étrangères, notamment à Londres et à Vienne.IL RELATE DES MOMENTS IMPORTANTS DE LA VIE DE COUR SOUS LOUIS XIV, notamment l'annonce de l'avènement du duc d'Anjou comme roi d'Espagne (« Mr, voilà le roy d'Espagne », 1700, p. 441), la cérémonie d'hommage du duché de Bar entre les mains du roi par le duc de Lorraine (1699), les négociations et réjouissances pour les mariages du duc de Mantoue (1704) ou du duc de Berry (1710), les deuils pour les morts de Philippe d'Orléans, (1701), du duc de Bretagne (1705), du grand dauphin (1711), du duc et de la duchesse de Bourgogne (1712), du duc de Berry (1714), etc.LE BARON DE BRETEUIL DONNE A TITRE DOCUMENTAIRE DES COPIES DE TEXTES AFFERENTS : une ordonnance royale, des mémoires au roi, des correspondances échangées avec le secrétaire d'État aux Affaires étrangères, un bref pontifical, des lettres d'ambassadeurs. Il livre également des extraits des mémoires de Nicolas Sainctot, introducteur des ambassadeurs durant l'autre semestre de chaque année, des passages des Mémoires de Claude Labbé de Villeras, secrétaire à la conduite des ambassadeurs sur la même période, un extrait du célèbre Journal du marquis de Dangeau, ou encore une relation écrite par Hardouin Le Fèvre de Fontenay, qui parut dans le Mercure de France en 1715 sous le titre Journal historique du voyage de l'ambassadeur de Perse en France. Il complète le tout avec quelques extraits de périodiques (Gazette, The London Gazette).AVEC LE DESSIN D'UN PLAN DE TABLE.Il existe plusieurs autres exemplaires de ces Mémoires, conservés à la bibliothèque de l'Arsenal, à la bibliothèque de Rouen, et au château de Breteuil. Plusieurs extraits en furent d'abord publiés, avant qu'Évelyne Lever en donne l'édition intégrale en 1992 (réédition en 2009).« Je m'en vais mais l'État demeurera toujours... »RECIT DE LA MORT DE LOUIS XIV, EXTRAIT DU JOURNAL DU MARQUIS DE DANGEAU, EN COPIE ANTERIEURE A SA PUBLICATION. Cet important journal ne serait édité pour la première fois que partiellement par Voltaire en 1770 et intégralement par Soulié et Dussieux en 1854-1860. Le présent extrait (ici pp. 321-344 de l'annexe de l'année 1715) figure dans le tome XVI de l'édition Soulié (1859, pp. 127-128).« ... "Pour vous, Madame [la duchesse de Ventadour, gouvernante du futur Louis XV], j'ay bien des remerciements à vous faire du soin avec lequel vous élevés cet enfant, et de la tendre amitié que vous avez pour luy, je vous prie de luy continuer, et je l'exhorte à vous en donner toutes les marques possibles de reconnoissance". Après quoy il a encore embrassé le dauphin par deux fois, et en fondant en larmes, il luy a donné sa bénédiction, le petit prince mené par la duchesse de Vantadour sa gouvernante en est sorty en pleurant, et ce tendre spectacle nous a tiré des larmes à tous.Un moment après le roy a envoyé quérir le duc du Mayne, et le comte de Toulouze, et leur a parlé la porte fermée, il a fait la même chose avec le duc dOrléans qu'on a été quérir dans son apartement où il étoit retourné. Dans le moment que ce prince sortoit de de sa chambre, Sa Majesté l'a rapellé jusqu'à deux fois.A midy et demy le roy a entendu la messe dans sa chambre avec la même attention qu'il a accoutumé de l'entendre le jour qu'il a pris médecine, les yeux toujours ouverts, en priant Dieu avec une ferveur surprenante... La messe finie, il a fait approcher de luy le cardinal de Rohan et le cardinal de Bissy auxquels il a parlé pendant une minute, et en finissant de leur parler, il a adressé la parolle à haute voix à tous ce que nous étions de ses officiers dans la ruelle, et auprès de son balustre, nous avons tous aproché de son lit, et il nous a dit :« MESSIEURS, JE SUIS CONTENT DE VOS SERVICES, vous m'avez fidellement servuy et avec envie de me plaire. Je suis fâché de ne vous avoir pas mieux récompensé que j'ay fait, les derniers tems ne l'ont pas permis.JE VOUS QUITTE AVEC REGRET, SERVEZ LE DAUPHIN AVEC LA MEME AFFECTION QUE VOUS M'AVEZ SERVY. C'est un enfant de cinq ans qui peut essuyer bien des traverses, car je me souviens d'en avoir beaucoup essuyé pendant mon jeune âge.JE M'EN VAIS MAIS L'ETAT DEMEURERA TOUJOURS, soyez y fidèlement attachez et que votre exemple en soit un pour tous mes autres sujets, soiés tous unis, et d'accord, c'est l'union et la force d'un Etat.ET SUIVEZ LES ORDRES QUE MON NEVEU [LE FUTUR REGENT] VOUS DONNERA. IL VA GOUVERNER LE ROYAUME, J'ESPERE QU'IL LE FERA BIEN. J'ESPERE AUSSY QUE VOUS FEREZ TOUS VOTRE DEVOIR, QUE VOUS VOUS SOUVIENDRES QUELQUES FOIS DE MOY".AUX DERNIERES PAROLLES NOUS SOMMES TOUS FONDUS EN LARMES, et rien ne peut exprimer les sanglots, l'affliction et le déespoir de tout ce que nous étions... » (pp. 332-333).« M. de Saint-Simon répondit brusquement que non... »LA CASSATION DU TESTAMENT DE LOUIS XIV SOUS LA PRESSION DU REGENT ET DES DUCS DONT SAINT-SIMON EN 1715.« Relation de ce qui s'est passé au Parlement le lundy 2e septembre 1715. Messieurs les ducs avoient préparé leurs contestations contre ce qu'ils prévoyaient se devoir passer et même avoient prévenu M. le duc d'Orléans... M. le duc d'Orléans ayant entendu la messe vint à la Grande Chambre accompagné de messieurs les princes du sang. Avant que de prendre place, il parla quelque tems debout assés bas à M. le premier président en faveur des ducs. Aussitost M. l'archevêque et duc de Reims fit les remontrances sur la contestation présente sur les protestations par écrit qui fut remise...M. LE DUC DE SAINT-SIMON ELEVA SA VOIX POUR SOUTENIR LA PROTESTATION et demander qu'il luy en fut donné acte. Il interpella M. le duc d'Orléans s'il n'avoit pas promis à messieurs les ducs de faire régler leurs prétentions avant que l'assemblée fut fermée. M. le président de Novion prit la parolle, et dit qu'à l'occasion d'une assemblée aussy auguste convocquée pour les plus importantes affaires de l'Etat, il étoit hors de propos de mêler une contestation qui étoit entre des particuliers. M. le premier président dit que pour finir il n'y avoit qu'à donner acte à messieurs les ducs, que ce qui se passeroit dans la journée ne pouroit nuire à leurs prétentions.CELA AINSY APAISE, M. LE DUC D'ORLEANS PARLA EN CES TERMES : "Messieurs, après tous les malheurs qui ont accablé la France, et la perte que nous venons de faire d'un grand roy, notre espérance est en celuy que Dieu nous a donné. C'est à luy seul, Messieurs, que nous devons à présent nos hommages, et une fidelle obéissance. C'est moy comme le premier de ses sujets qui doit donner l'exemple de cette fidélité inviolable pour sa personne... » Le manuscrit donne ensuite la teneur complète du testament de Louis XIV, et poursuit :« PENDANT LA LECTURE DU TESTAMENT, M. LE DUC D'ORLEANS NE PUT S'EMPECHER DE MARQUER SA SURPRISE PAR SES GESTES. M. le duc d'Orléans présenta ensuite à M. le premier président les codiciles du roy que M. le le chancelier luy avoit remis entre les mains ; ils furent donnés à M. de Dreux qui en fit la lecture ainsy qu'il ensuit : "Par mon testament déposé au Parlement, j'ay nommé le duc du Mayne [fils naturel légitimé de Louis XIV] pour tuteur du dauphin... Mon intention est que... il ayt toute l'autorité sur les officiers de la Maison du jeune roy, et sur les troupes qui la composent..."M. le duc du Mayne demanda d'être déchargé de la garde du roy qui luy étoit confiée, et qu'il ne devoit plus répondre de la sûreté de la personne du roy, et s'en tint au seul titre de surintendant de l'éducation du roy. Il requit sur cela les conclusions de Mrs les gens du roy... Mrs les ducs interrompirent les opinions croyant qu'elles étoient finies, et demandèrent qu'il leut fut donné acte de leurs protestations.M. LE DUC DE SAINT-SIMON INSISTANT TOUJOURS, M. DE VILLARS PRIT LA PAROLLE, et dit que le feu roy devant sa mort luy avoit fait l'honneur de luy déclarer quels étoient ses sentimens sur les contestations de Mrs les ducs, et qu'elle ne pouvoit être décidée qu'à leur avantage. M. le premier président luy répondit que le feu roy, avant de mourir, l'avoit assuré de tout le contraire...M. LE DUC DE SAINT-SIMON DEMANDANT TOUJOURS QU'IL LUY FUT DONNE ACTE, ET DISANT QUE CE N'ETOIT QUE SUR LA PAROLLE QUE M. LE DUC D'ORLEANS AVOIT DONNE à Mrs les ducs que ce qui se passeroit dans la journée ne pouroit leur nuire ny préjudicier, que Mrs les ducs avoient bien voulu se soumettre, M. le président de Novion luy demanda où il vouloit que cet acte fût déposé. M. le duc de Saint-Simon dit que ce devroit être au greffe. "Sur ce pied-là, répondit M. de Novion, vous nous reconnoissez donc pour vos juges.M. DE SAINT-SIMON REPONDIT BRUSQUEMENT QUE NON... M. le duc d'Orléans dit qu'il recevroit l'acte de protestation... M. le duc du Mayne fut déchargé de la garde du roy contre l'avis seul de M. le comte de Toulouze [autre fils naturel légitimé de Louis XIV] qui dit qu'il ne pouvoit donner un avis si contraire aux dernières volontés du feu roy. Ce fut ainsi que finit la séance... » (pp. 344, 346-347, 358-359, 365-367).« Une boëte de diamans avec le portrait du roy »Le baron de Breteuil consacre plusieurs passages aux présents et gratifications diplomatiques, pratique qu'il juge nécessaire mais dont il estime qu'elle doit être en nature et non sous forme monnayée pour en éviter les abus. « LE ROY M'AYANT FAIT REMETTRE ENTRE LES MAINS LE PRESENT QUE SA MAJESTE AVOIT ORDONNE POUR L'AMBASSADEUR DE VENIZE, concistant en une chaîne et une médaille du roy d'or, du poids de deux mil écus, et une boëte de diamans avec le portrait du roy d'environ quatre cent pistolles, et encore une chaîne et une médaille d'or du poids de cinq cens écus pour le secrétaire de l'ambassade, je portay ce présent à l'ambassadeur... et en même temps je fis porter par mon secrétaire à Bianchi secrétaire de l'ambassade de Venise celuy qui luy étoit destiné...LE CARACTERE BAS DE FEU BONNEUIL MON PREDECESSEUR, FORT DISSEMBLABLE DE SON PERE, AVOIT LAISSE INTRODUIRE DEPUIS PLUSIEURS ANNEES UN COMMERCE MERCENAIRE, OU POUR MIEUX DIRE INFAME, au lieu des présens qui ont été en usage de tout tems, il prenoit de l'argent manuellement des ambassadeurs et du moindre envoyé... [Note corrective en marge : « Bonneuil le père étoit homme de mérite qui faisoit sa charge avec dignité, mais sur la fin de sa vie, les besoins que les débauches attirent à un vieillard le firent relâcher de la noblesse avec laquelle il avoit fait sa charge auparavant... » (février 1699, pp. 667-669).JOINT, 2 pièces : un court mémoire concernant un point d'étiquette, et une copie d'extraits des mémoires de Sainctot concernant la réception d'une ambassadrice. Avec en outre de nombreux marque-page manuscrits anciensEXEMPLAIRE AUX ARMES DES MARQUIS DE VERNEUIL (armoiries dorées sur les plats, OHR, pl. n° 2200, fer de grand format).(Cette fiche a été rédigée par M. Pierre Gheno, collaborateur de la Librairie Les Neuf Muses). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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1 fort vol. in-8, rel. de l'ép. demi-chagrin rouge, dos à nerfs, titre doré, couv. cons., contient : - Un dépôt de flèches à tranchant transversal dans les stations du Petit-Morin, 1884, 3 pp. - Le Torques était porté par les hommes chez les Gaulois. 1886, 28 pp. 4 pl. - Les flèches à tranchant transversal et leur fabrication, 1889, 5 pp.- Une nouvelle sculpture néolithique, ext. des comptes rendus du congrès archéo. de Soissons, 1889, 7 pp., front. - Notes sur quelques antiquités découvertes en Suède, 1890, 21 pp., fig. et 1 pl. dépliante en coul. - Note sur des épées trouvées en Suède et en Norvège, 1890, 8 pp., 1 fig. in-t. - Le congrès intern. d'anthrop. et d'archéo. préhis. de Moscou (1892), 1893, 26 pp. - 2 Contributions à l'étude du gisement paléo. de San-Isidro (près de Madrid), 1893, 8 et 7 pp., ill. - Rapport sur le congrès de Moscou, 1893, 53 pp. - Compte-rendu des travaux du 9ème congrès russe d'archéo. 1893., précédé d'une étude historique sur la Lithuanie et Vilna, 1894, 136 pp., front., nb. ill. in et h.-t. - Antiquités Frankes trouvées en Bohème, 1894, 36 pp., 6 pl., qq. fig. in-t. - Notes sur les bijoux barbares en forme de mouches, 1895, 22 pp.,10 fig. in-t., 2 pl. dont 1 en coul. - Bulletins de la Sté Anthrop. de Paris, ext. sur les Kourganes et les Ostiaks, 1897, 40 pp. - La nécropole d'Ananino, 1897, 26 pp., 17 fig. in-t. - Ext. du Bulletin de la Sté N. des Antiq. de France, communications du Baron, mars 1898, 8 pp., 3 fig. in-t. - Ext. du Bulletin de la Sté N. des Antiq. de France, communications du Baron, 1899, 28 pp., nb. fig. in-t. - Ext. du Bulletin de la Sté N. des Antiq. de France, communications du Baron, 1900, 6 pp., fig. in-t. - Fouilles de Kourganes au Kouban (Caucase), 1900, 19 pp., 9 fig. in-t. - Etude par le Docteur Capitan,sur les collections rapportées de Russie par le Baron, 1900, 6 pp. - Les oiseaux employés dans l'ornementation à l'époque des invasions barbares, 1901, 22 pp., 2 pl., 6 fig. in-t. - Emaux de la Cathédrale de Vladimir et du couvent de St Antoine Le Romain (Russie), 1903, 15 pp., 3 pl., 1 fig. in-t. - L'Eglise de Kologe à Grodno (Russie occidentale, 1905, 15 pp., fig. in et h.-t. - Les Goths de Crimée, 1907, 15 pp. - Antiquités Frankes trouvées en Bohème, 1907. 10 pp., 1 pl. - Discours de M. le Baron de Baye, président sortant de la Sté N. des Antiq. de France prononcé le 9 janvier 1907.
Bel ex. relié réunissant un bon ensemble des études du Baron de Baye avec en final, son discours de Président sortant à la Sté Nationale des Antiquaires de France. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
Metz De l'imprimerie de Claude Lamort 1788 in 12 (16,5x10) 2 volumes reliures pleine basane fauve de l'époque, dos à nerfs ornés, pièces de titre de cuir marron, pièces de tomaison de cuir vert, tranches teintées rouge, portrait en frontispice, XXI et 166 pages, 185 pages [1]. Frédéric, Baron de Trenck, né en 1726, intègre l'armée prussienne en 1742. Intrépide et aventurier, il séduit la princesse Amélie, soeur du roi Frédéric II, mais ce dernier, mis au fait, l'enferme dans la forteresse de Glatz d'où notre héros s'échappe en 1746 pour entrer au service de la Russie. A la mort de son cousin François en 1749, Frédéric retourne en Allemagne pour s'occuper de son héritage. Arrêté de nouveau par Frédéric II il est confiné pendant dix ans à Magdebourg, chargé de 68 livres de chaînes. On le retrouvera plus tard à Paris en 1791. Dénoncé comme espion autrichien, il finira sur l'échafaud le 25 juillet 1794. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Reliure
[TIFFAUGES (85)] PHOTOGRAPHE BARON Ferdinand, MAIRE DE TIFFAUGES
Reference : 26605
(1953)
TIFFAUGES 1953 une PHOTO originale albuminée en noir, PHOTOGRAPHIE ORIGINALE : TIFFAUGES (85) - LE DEFILE DES COMMUNIANTES DEVANT LE CAFE BARON (1953), format : 11 x 6,8 cm, PHOTOGRAPHE BARON MAIRE DE TIFFAUGES,
Superbe Photographie ........ en trés bon état (very good condition). en trés bon état
[TIFFAUGES (85)] PHOTOGRAPHE BARON Ferdinand, MAIRE DE TIFFAUGES
Reference : 26606
(1953)
TIFFAUGES 1953 une PHOTO originale albuminée en noir, PHOTOGRAPHIE ORIGINALE : TIFFAUGES (85) - LE DEFILE DES COMMUNIANTES DEVANT LE CAFE BARON (1953), format : 11 x 6,8 cm, PHOTOGRAPHE BARON Ferdinand, MAIRE DE TIFFAUGES,
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Editions Perrin Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1999 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur noire, illustrée d'un portrait en couleurs du baron Louis grand In-8 1 vol. - 285 pages
1ere édition, 1999 Contents, Chapitres : Le baron Joseph-Dominique Louis, également appelé labbé Louis ou le baron Louis, est un homme politique et diplomate français né à Toul (province des Trois-Évêchés) le 13 novembre 1755 et mort à Bry-sur-Marne (Val-de-Marne) le 26 août 1837. Il s'imposa comme un remarquable technicien des finances publiques et fut à cinq reprises ministre des Finances, sous les deux Restaurations et la monarchie de Juillet. (source : Wikipedia) infimes traces de pliures aux coins des plats de la couverture, sinon bon état, intérieur frais et propre, papier à peine jauni