[Paris], Imprimerie royale, 1842 in-8, 11 pp., broché sous couverture d'attente de papier bleu. Rousseurs.
Extrait n° 16 de l'année 1841 du Journal asiatique.Une des nombreuses contributions aux études sémitiques de l'abbé Bargès (1810-1896). D'abord professeur au petit séminaire de Marseille, il apprit l'hébreu et l'arabe, ainsi qu'un grand nombre de dialectes orientaux en fréquentant les colonies du grand port. Dès 1839, il partit pour l'Algérie afin d'améliorer son arabe parlé et d'étudier le monde musulman, puis effectua plusieurs séjours en Algérie et au Proche-Orient. Il devint vite un spécialiste des idiomes sémitiques.Un seul exemplaire au CCF (Institut catholique). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris Benjamin Duprat 1859 in-4 broché sous couverture imprimée de l'éditeur, fortes mouillures à la fin de l'opuscule
2 ff.n.ch., 37 pp., une planche dépliante hors texte. Tirage limité à 100 exemplaires. C'est en 1845 que cette inscription avait été mise au jour à Marseille, et elle avait déjà suscité quantité de tentatives d'interprétation. Elle est actuellement connue comme le "Tarif de Carthage" et fut à l'origine du mythe tenace de l'origine phénicienne de la cité : le règlement religieux qu’elle transcrit parut apporter la preuve que des cultes phéniciens étaient pratiqués à Marseille, et les travaux de l'abbé Bargès allèrent trop dans ce sens pour ne pas influencer les érudits.L'abbé Bargès (1810-1896), originaire d'Auriol, connut une carrière atypique par son excellente connaissance des langues orientales (hébreu, arabe), et se spécialisa tout particulièrement dans l'épigraphie, sans négliger d'autres disciplines. Le monde phénicien l'intéressait tout particulièrement parce qu'il soutint longtemps l'origine punique de Marseille, et il publia six monographies sur les inscriptions en langue phénicienne de 1847 à 1888 ; la nôtre fait partie de ce cycle.Envoi autographe de l'auteur au huitième duc de Luynes (1803-1867), le célèbre archéologue
Paris Just Rouvier 1856 in-8 broché
19 pp., 8 pp. (catalogue de Rouvier), une planche lithographiée.Très rare extrait de la Revue de l'Orient, de l'Algérie et des colonies, de mars 1856. L'abbé Bargès (1810-1896), originaire d'Auriol, connut une carrière atypique par son excellente connaissance des langues orientales (hébreu, arabe), et se spécialisa tout particulièrement dans l'épigraphie, sans négliger d'autres disciplines. Le monde phénicien l'intéressait tout particulièrement parce qu'il soutint longtemps l'origine punique de Marseille, et il publia six monographies sur les inscriptions en langue phénicienne de 1847 à 1888 ; la nôtre fait partie de ce cycle