Calmann lévy 1922 in16. 1922. Broché.
dos recollé couverture défraîchie livre jauni
Calmann lévy 1950 in12. 1950. Broché. texte sans partitions
coiffes abîmés intérieur propre jauni propre
Charpentier 1857 427 pages in8. 1857. Broché. 427 pages. trace d'humidité a la fin du livre p 420 recollée couverture usagée surtout dos
Etat Correct
Choudens Père & Fils 267 pages in4. Sans date. Relié. 267 pages.
Bon état général cependant couverture défraîchie dos abîmé accroc en bas manque garniture sur la moitié supérieure circa 1890
Théâtre National de l'Opéra 1950 in16. 1950. Agrafé.
couverture ternie intérieur globalement propre quelques légères rousseurs au début
Paris, Veuve Delaune, Paris, Veuve Delaune1730 ; in-12, veau brun marbré, dos orné, tr. rouges. (Reliure de l'époque.) XXI pp., (3 pp.), 494 pp., 1 f. (privilège.)C'est le meilleur et le plus célèbre ouvrage de Barbier d'Aucour, une célébrité de Langres (1641 - Paris 1694). Issu d'une famille pauvre, il fut d'abord précepteur puis avocat. Ennemi des jésuites et ami des jansénistes il soutint Nicole contre Racine, cette excellente critique du livre du P. Bouhours (qui essaya en vain d'en empêcher la publication) est ici suivi des deux factums pour Le Brun, un pauvre domestique, injustement condamné à mort pour l'assassinat de sa patronne Madame Mazel et qui mourut des suites de la question (pp 401 à 494.)
Choudens fils 1890 in8. 1890. broché.
couverture frottée coins émoussés livre jauni circa 1890
Paris, Libraires associés, Paris, Libraires associés1776 ; in-12, veau fauve marbré, dos orné, tanches marbrées. (Reliure de l’époque) XXIX pp., (3 pp.), 494 pp.Barbier d’Aucourt est né à Langres en 1641. Cet ouvrage qui parut en 1671 est une excellente critique des Entretiens d’Ariste et d’Eugène du Père Bouhours qui essaya vainement d’en empêcher la publication.Cette nouvelle édition donne aussi les deux factums qu’il fit pour Jean Le Brun, un pauvre domestique injustement condamné à mort, soupçonné d’avoir assassiné sa maîtresse. Le Brun est mort des suites des tortures de la question.
Paris, Librairie Hachette et Cie, 1907. In-4 de 84 pp. numérotées [37]-84 et [421]-456; demi-percaline verte, pièce de titre de chagrin grenat, fleuron central, filets or en pied, premier plat de couverture conservé (reliure de l’époque).
Réunion des livraisons 4 à 7 et 36 à 38 du t. XIII (nouvelle série) de la revue Le Tour du Monde, contenant l’ensemble des articles d’Emile Barbier sur la Bolivie. L’illustration comprend 2 cartes et 91 photographies imprimées in texte. Ces illustrations ont été établies à partir de photographies originales, probablement prises par l’auteur pendant son voyage, puis retouchées par l’éditeur. A l’exception de la première, elles ne sont pas signées. Exemplaire de l’auteur, enrichi de 51 photographies en double état, avant la lettre, imprimées sur papier et présentant un tirage plus contrasté que celui des illustrations in texte. Le volume contient aussi 29 ff. de notes dactylographiées de différents formats contenant des passages inédits, ainsi que quelques annotations manuscrites à l’encre rouge. Emile Barbier était, en 1907, chargé de mission du ministère du Commerce et ancien conseiller du Commerce extérieur de la France. En 1895, il effectua un voyage dans l’ouest et le centre de la Bolivie, ce qui lui permit de rencontrer les populations rurales et indiennes, tout en visitant les usines et les installations minières du pays. Cette étude s’ouvre par des considérations générales sur la Bolivie: géographie, composition ethnique, langues, gouvernement, commerce, ressources minières, exportations, monnaie. Barbier y dénonce notamment les conditions de quasi-esclavage dans lesquelles vivent les Indiens domestiqués, décrit les Cholos ou métis, donne des indications sur les deux principales langues locales, le quichua et l’aymara, puis évoque les mines d’or, de cuivre, d’étain et d’argent. Le chapitre suivant contient des renseignements pratiques pour toute personne qui voudrait visiter la Bolivie; les autres chapitres donnent une relation détaillée du voyage: A partir du port chilien d’Antofagasta, l’auteur traverse, en chemin de fer, plusieurs localités (Cuevitas, Calama, Ollagué), avant d’atteindre la Bolivie. Arrivé dans le pays, il passe par Uyuni, Challapata et Oruro, le terminus de la ligne. Vêtu d’un costume local, il se déplace alors en caravane, avec guides, chevaux et mulets, pour se diriger vers Tapacari et Cochabamba. Les étapes suivantes sont Misqui et Sucre (Chuquisaca). De là, il se rend à Potosi, puis à Huanchaca où il reprend le train pour retourner à Oruro. Il se dirige ensuite vers La Paz et Chililaya, puis il s’embarque sur un petit paquebot qui parcourt le lac Titicaca et le dépose à Puno, au Pérou. De là, il prend le chemin de fer, passe par Arequipa et arrive au port de Mollendo (Pérou). Le dernier chapitre concerne les départements nommés Beni, Santa Cruz et Tarija, situés au nord, à l’est et au sud de la Bolivie, où l’auteur n’a effectué qu’une brève incursion. Ces régions sont occupées essentiellement par les tribus indiennes des rampes orientales des Andes, dont certains territoires restent encore inexplorés. Les photographies se rapportent en grande majorité à la Bolivie: Indiens domestiqués, Chola de condition moyenne, Indiens chunchos de la région du Beni, types boliviens, deux cholas élégantes, conducteurs de caravanes de lamas, l’auteur en tenue de voyage (p. 50), Indiens boliviens employés dans une raffinerie de nitrate de soude, relais de voyageurs sur les hauts plateaux de la Bolivie, voie ferrée vers Pulacayo, Indienne d’Uyuni, muletiers boliviens, Indiens dansant devant la gare d’Uyuni, ouvriers des mines, concassement du minerai à Oruro, abri dans le massif de Huanchaca, Indiens et Cholos un jour de fête dans les environs de Cochabamba, Indiens de Potosi employés aux mines d’argent, vues de La Paz, Indiens embrigadés pour la récolte du caoutchouc, etc. Quelques-unes concernent le Chili, principalement le port d’Antofagasta: femme du peuple, débardeurs, débarquement du bétail, raffinerie de nitrate de soude. Deux autres montrent les habitants de Calama et la voie ferrée autour du volcan San Pedro. On joint: - Barbier (Emile). Note de l’auteur. Manuscrit dactylographié. S.l., février 1907, 3 pp. in-4 (au sujet d’une controverse avec le géographe Schrader). - Schrader (Frantz). La Bolivie contemporaine. S.l., février 1907, 2 pp. in-4 imprimées (extrait du Tour du Monde, contenant une critique des articles de Barbier). - Menu. Table gauloise. S.l., 7 septembre 1895, 1 p. in-4 imprimée sur bristol illustrée des portraits des participants au repas. Une note au crayon précise: «Le portrait de E. Barbier qui faisait partie du cénacle ci-dessous fut oublié parce que Barbier était en Bolivie au moment où ces portraits furent exécutés». - Clerc (Ch.). Lettre autographe signée à E. Barbier. Paris, 2 février 1904, 2 pp. in-8, en-tête imprimé «Lectures pour tous - Librairie Hachette & Cie». La célèbre maison d’éditions lui demande un article sur le Chili. - Carte de la Bolivie. S.l.n.d., 1 p. in-12 imprimée. - Liste des lecteurs chez Hachette. S.l.n.d., 1⁄2 p. in-12 manuscrite, au verso d’une invitation. Provenance: Emile Barbier. – Envoi autographe signé de l’auteur: «J’ai vécu ce livre. Je le dédie à mes enfants bien aimés Marcel et Simone». – Marcel Barbier, externe des hôpitaux de Paris (carte de visite contrecollée au verso du plat supérieur).
Imprimé à Mitylène pour les amis de Bilitis [Paris: P. Bouchet], 1929. Volume petit in-4 (24,5 x 19,5 mm) relié en plein maroquin mosaïqué, doublé et décoré, étui. - 62 COMPOSITIONS GRAVÉES SUR BOIS EN COULEURS DE GEORGE BARBIER dont un frontispice et 6 à pleine page, 24 sujets à mi-page et de nombreuses lettrines et culs-de-lampe. - PREMIÈRE ÉDITION INTÉGRALE de ces 22 chansons, publiée pour le compte de Louis Barthou, Jacques André et Georges Miguet. Réalisé en 1929, période où le talent de l'artiste était alors à son apogée, ce livre est l'une des productions les plus importantes des années trente. - LE LIVRE LE PLUS RARE DE GEORGE BARBIER TIRÉ SEULEMENT À 25 EXEMPLAIRES. Un des 20 sur papier vélin filigrané au titre de l'ouvrage, celui-ci, non numéroté mais d'une prestigieuse provenance, est augmenté d' UNE SUITE COMPLÈTE DU TRAIT EN BRUN/ROUGE SUR JAPON. La suite tirée à 5 ou 6 ex. comprend également l' illustration des couvertures et une planche inédite. La reliure à décor d'attributs érotiques a été commanditée à Charles Septier par le bibliophile Beauvillain. Avec son ex-libris gravé : "Et BEAUVILLAIN ? / toujours il vous aime". SUPERBE EXEMPLAIRE RELIÉ EN PLEIN MAROQUIN DOUBLÉ MOSAÏQUÉ DE L'ÉPOQUE. - Références : Carteret Illustrés IV, 251 ; Dutel II, 1183 ; Pia Enfer 201-203. - Notes : Les Chansons de Bilitis sont l’œuvre la plus célèbre de Pierre Louÿs (1870-1925) qui s'est ici amusé à monter une petite mystification, faisant croire qu'il s'agissait d'un véritable document historique retrouvé, les œuvres d'une contemporaine de Sappho, dont il ne nous reste que quelques bribes de poèmes… Il n'a pas même négligé de citer de vrais ouvrages savants issus de l'industrieuse université allemande, d'inventer des découvertes archéologiques, et de multiplier les évidences pour donner du corps à son invention. Elle a eu le bonheur d'attraper quelques érudits enthousiastes, professeurs d'université offrant leurs services pour améliorer la traduction ! Bilitis est même devenu un nom commun, comme Sapho. "Je voulais entendre Le rire de Sappho Et la voix de Sa lyre Ce qui me parvint fut Le marmonnement moustachu Des grammairiens Des ptérodactyles grecs Et des dodos victoriens". Il s'agit en fait d'un pastiche, mélangeant bribes saphiques, épigrammes de l'Anthologie Grecque, et de tout ce que peuvent offrir Alciphron (Lettres de pêcheurs, de paysans, de parasites et d'hétaïres), La Pastorale de Daphnis et Chloé de Longus, Lucien et tous les romans grecs... Au final, on a plus d'une centaine de poèmes suggestifs et ingénieux, fruit de la malicieuse imagination et de l'art imitatif de l'auteur. Ce n'est pas mal du tout, mais quand même: c'était bien trop beau pour être vrai ! L'introduction : Vie de Bilitis, est excellente, et remplit parfaitement son office… "Bilitis naquit au commencement du sixième siècle avant notre ère, dans un village de montagnes situé sur les bords du Mélas, vers l’orient de la Pamphylie. Ce pays est grave et triste, assombri par des forêts profondes, dominé par la masse énorme du Taurus ; des sources pétrifiantes sortent de la roche ; de grands lacs salés séjournent sur les hauteurs, et les vallées sont pleines de silence. Elle était fille d’un Grec et d’une Phénicienne. Elle semble n’avoir pas connu son père, car il n’est mêlé nulle part aux souvenirs de son enfance. Peut-être même était-il mort avant qu’elle ne vînt au monde. Autrement on s’expliquerait mal comment elle porte un nom phénicien que sa mère seule lui put donner. Sur cette terre presque déserte, elle vivait d’une vie tranquille avec sa mère et ses sœurs. D’autres jeunes filles, qui furent ses amies, habitaient non loin de là. Sur les pentes boisées du Taurus, des bergers paissaient leurs troupeaux. Le matin, dès le chant du coq, elle se levait, allait à l’étable, menait boire les animaux et s’occupait de traire leur lait. Dans la journée, s’il pleuvait, elle restait au gynécée et filait sa quenouille de laine. Si le temps était beau, elle courait dans les champs et faisait avec ses compagnes mille jeux dont elle nous parle. Bilitis avait à l’égard des Nymphes une piété très ardente. Les sacrifices qu’elle offrait, presque toujours étaient pour leur fontaine. Souvent même elle leur parlait, mais il semble bien qu’elle ne les a jamais vues, tant elle rapporte avec vénération les souvenirs d’un vieillard qui autrefois les avait surprises. La fin de son existence pastorale fut attristée par un amour sur lequel nous savons peu de chose bien qu’elle en parle longuement. Elle cessa de le chanter dès qu’il devint malheureux. Devenue mère d’un enfant qu’elle abandonna, Bilitis quitta la Pamphylie, d’une façon assez mystérieuse, et ne revit jamais le lieu de sa naissance. Nous la retrouvons ensuite à Mytilène où elle était venue par la route de mer en longeant les belles côtes d’Asie. Elle avait à peine seize ans, selon les conjectures de M. Heim qui établit avec vraisemblance quelques dates dans la vie de Bilitis, d’après un vers qui fait allusion à la mort de Pittakos. Lesbos était alors le centre du monde…" - ENGLISH DESCRIPTION : Pierre Loüys- George Barbier : LES CHANSONS DE BILITIS. Seul texte véritable et complet. Imprimé à Mitylène pour les amis de Bilitis, 1929. Small 4to. (246 x 192 mm). pp. (iv), 56, (i), (i). Wood-engraved colour frontispiece, printed title in various colours with colour wood-engraved vignette and Louÿs test in three sections ('Bucoliques en Pamphylie', 'Elegies à Lesbos' and 'Epigrammes dans lIle de Chypre') illustrated with 60 wood-engraved illustrations by Pierre Bouchet after George Barbier, 54 in colour, seven full-page, 24 decorating the text, the remainder culs-de-lampes or vignettes, final leaf with justification and achevé d'imprimer; three-line initials in colour against gilt background throughout as well as numerous head- and tail-pieces and initial letters, verse numbering in gilt in Roman numerals, text in capitals ruled throughout and two additional wood-engravings for the wrappers; this copy with the additional suite printed in outline in bistre on Japon including the cover illustrations and a "planche refusée" in black. Our copy is not numbered but comes from a important collector and provenance with ex-libris. Full contemporary emerald crushed morocco by Charles Septier with his signature gilt, front and rear boards ruled in gilt to surround a decorative border of inlaid jade morocco with gilt Greek key pat-tern around curvilinear jade morocco surround with gilt roll tool for a central vignette with argent disc supported by lamp tools, banded spine in five compartments with gilt titles and elaborate decorative tooling, doublures of tan morocco with gilt surrounding an inner border of red and black inlaid morocco, central inlaid circular medallions illustrating vignettes from the book in colour morocco, gilt floral, foliate, phallic and vulvic tools at corners, patterned silk guards, marbled endpapers, board edges ruled in gilt, original wrappers with gilt illustration and backstrips preserved, a.e.g., matching morocco-edged wool-lined marbled board slipcase. The binding was commissioned by Beauvillain as he had commissioned other bindings from Septier and that his ex libris is bound in as a full sheet rather than pasted on one of the pages. Provenance: leaf with engraved ex-libris of Robert Beauvillain by Jouas bound in with the text: "Et BEAUVILLAIN ? / toujours il vous aime". - BARBIER'S RAREST BOOK, Les Chansons de Bilitis, bound by Septier and with the very rare additional suite. From the edition limited to 25 copies on vélin d'Arches only, this copy also with the very rare suite printed in outline in bistre on Japon of which very few copies were printed. Also with an extra unpublished full page print in bistre bound in the suite. The rarest and most recherché and erotic work by George Barbier. The magnificent binding by Septier features phallic and vulvic tools to the doublures and a central circular vignette to each: that for the front doublure is after the illustration for the second poem Je me suis dévêtue pour monter a un arbre ... ); that for the rear is after the twenty-third (D'abord je n'ai pas répon-du ... ). First published in Paris in 1894, this purports to be translations of poems by a woman named Bilitis, a contemporary and ac-quaintance of Sappho. This caused a sensation, not only because finding an intact cache of poems from a completely unknown Greek poet circa 600 B.C. would be a miracle, but because of its open and sensitive exploration of lesbian eroticism. Actually Bilitis never existed. The poems were a clever forgery by Pierre Louÿs -- the "translator"; to lend weight, he had even included a bibliogra-phy with bogus supporting works. Louÿs actually did have a good command of the classics, and he salted Bilitis with a number of quotations from real poets, including Sappho, to make it even more convincing. (J. B. Hare). They [Barbier's Les Chansons de Bilitis and Aphrodite] are celebrations of the ancient gods and their freedom from taboo. Bar-bier's illustrations reveal this world in full flower ... When reality and imagination fused, not only was it possible to travel freely wherever you liked, it was also possible to encounter ancient gods and fairies. Art Deco mixed old and new in previous unseen ways ... In his glass, Barbier mixed an uncanny cocktail of neoclassic and modern. (Hiroshi Unno) [Carteret Illustrés IV, 251; Dutel 1183; not in Unno].
Exemplaire parfait. Rarissime.
paris MEYNIAL 1925 GRAVURE D'ÉPOQUE EN COULEUR : "LE MODELE INTERESSANT" par Georges BARBIER (provenance " Falbalas et Fanfreluches" pour 1925. Paris, Meynial, [1925], FORMAT : 16,2 x 25,2 cm,
George Barbier (né à Nantes, le 16 octobre 1882 et mort à Paris, le 16 mars 1932) est un peintre, dessinateur de mode et illustrateur français.George Barbier est un illustrateur typique du courant Arts Déco par son trait graphique et précis mais aussi pour son goût pour lexploration de nouveaux supports de création. Au-delà des livres et des magazines pour lesquels il réalise des illustrations mythiques et très narratives, il dessine pour des décors de théâtre ou des costumes de cinéma ...... Une des meilleures illustrations d'époque de Georges BARBIER (peintre Nantais) .......RARE EDITION ........... En trés bon état (very good condition) en trés bon état
REVUE RENAISSANCE DE L'ART FRANCAIS ET DES INDUSTRIES DU LUXE. ROSTAND (Maurice). BARBIER (George).
Reference : 24257
(1919)
La renaissance de l'Art Français et des Industries du Luxe Atelier Patria 1919 1 Pochoir rehaussé au paladium, signé et daté en bas à droite dans la planche, (1918), 27.5 x 19.5 cm. Paris, La Renaissance de l'Art Français et des Industries du Luxe, Atelier Patria, 1919,
George Barbier présente avec raffinement l'actrice Jane Renouardt, dans un costume réalisé par ses soins, pour la pièce "Casanova" de Maurice Rostand dans laquelle elle interprète le rôle d'Elvire aux Bouffes Parisiens. "Mlle Jane Renouardt, trouve dans l'harmonie savante de ses costumes dessinés par George Barbier, une nouvelle et très piquante formule de beauté" in Élégances Théâtrales, 1919 Swell. George Barbier se verra confié les décors de la pièce ainsi que la réalisation de tous les costumes. Ce pochoir parut dans la revue de l'Art Français et des Industries du Luxe. Fragilités aux plis, jaunissures, en parti découpé. George BARBIER (Nantes 1882-1932), peintre et illustrateur, a beaucoup travaillé pour la mode et le théâtre, composant des dessins de costumes et des décors. L'artiste a également illustré de nombreux ouvrages. Il a exposé régulièrement au Salon des Artistes Décorateurs de 1912 jusqu'à sa mort. En 1920 il participait à l'exposition du Musée des Arts Décoratifs à Paris: "La mode au XXème siècle vue par les peintres", représentant ce qu'on a nommé par la suite "l'Art Déco". Barbier s'est très tôt intéressé au théâtre, et ses dessins témoignent de l'influence des Ballets Russes Personnages de comédie (1922) et Vingt-cinq costumes pour le théâtre (1925) témoignent de ce goût (article Barbier et le théâtre, par Alain Stoeffler, in George Barbier, La Nascita del Deco, 2008, pages 62-83).
paris MEYNIAL 1925 GRAVURE D'ÉPOQUE EN COULEUR : "LES CERISES" par Georges BARBIER (provenance " Falbalas et Fanfreluches" pour 1925. Paris, Meynial, [1925], FORMAT : 16,2 x 25,2 cm,
George Barbier (né à Nantes, le 16 octobre 1882 et mort à Paris, le 16 mars 1932) est un peintre, dessinateur de mode et illustrateur français.George Barbier est un illustrateur typique du courant Arts Déco par son trait graphique et précis mais aussi pour son goût pour lexploration de nouveaux supports de création. Au-delà des livres et des magazines pour lesquels il réalise des illustrations mythiques et très narratives, il dessine pour des décors de théâtre ou des costumes de cinéma ...... Une des meilleures illustrations d'époque de Georges BARBIER (peintre Nantais) .......RARE EDITION ........... En trés bon état (very good condition) en trés bon état
Masson & Cie 1955 343 pages in8. 1955. relié. 343 pages.
Bon état légeres tâches blanches sur lea couverture mais globalement en bon état intérieur bon
Fasquelle 1932 280 pages in8. 1932. Broché. 280 pages. Couverture bordure légèrement abimée brunie plats frottés intérieur non coupé très bon Roman Illustrations de Léo Lelée
Etat Correct
Masson & cie 1965 in8. 1965. Broché.
Bon état couverture défraîchie bords un peu frottés intérieur propre bonne tenue
Peeters / Goemaere 1875 494 pages in8. 1875. Relié. 494 pages.
garniture du dos presque entièrement détachée très fragile bords frottés mouillure sur la tranche intérieur globalement propre quelques rousseurs
Eyrolles 1951 in4. 1951. Broché.
sous rhodoïd intérieur propre couverture défraîchie
M PIETTEUR 2003 270 pages 15 6x2x23 2cm. 2003. Broché. 270 pages.
intérieur propre bonne tenue
Broussard Philippe Pontaut Jean-marie Barbier Christophe
Reference : 100108782
(2010)
ISBN : 2843437601
Express Roularta 2010 494 pages 14x21x3cm. 2010. Broché. 494 pages.
Comme neuf
Editions L'Express 2011 13 6x3 2x20 6cm. 2011. Broché.
Comme neuf
Julliard 1961 in8. 1961. Broché.
couverture défraîchie bords frottés rousseurs à l'intérieur et sur la tranche
Méquignon-marvis 1819 in8. 1819. Relié.
Etat Correct couvertures abîmées accrocs marques intérieurs globalement propre qq rousseurs
Calmann lévy 1882 in12. 1882. Broché.
Mauvais Etat couverture abîmée vendu en l'état
Le centurion 1972 in8. 1972. Broché.
Très Bon Etat