Paris, 2012 Belles Lettres 956 p., broché. 13 x 19
Neuf
MONACO. A LA VOILE LATINE. 1950. 2 VOLUMES IN-8 EN FEUILLES (17 X 26 X 6 CENTIMETRES ENVIRON) DE 149 + (2) ET 136 + (5) PAGES, SOUS COUVERTURE BLANCHE REMPLIEE ILLUSTREE EN NOIR, TITRE IMPRIME EN ROUGE ET EN NOIR, CHEMISE ET ETUI CARTONNES DE L'EDITEUR. ILLUSTRE DE NOMBREUSES GRAVURES EN NOIR IN ET HORS TEXTE. PREMIER TIRAGE LIMITE A 1000 EXEMPLAIRES NUMEROTES DONT 50 HORS COMMERCE. UN DES 897 SUR PAPIER PUR FIL DES PAPETERIES JOHANNOT, CELUI-CI PORTANT LE NUMERO 583. TRES BEL EXEMPLAIRE.
Paris Isidore Liseux 1879-1880, 2 volumes in-16 (15 X 10 cm), XV pages-(1 page)-332 pages-340 pages.Tiré à 300 exemplaires non numérotés; sur papier vergé. Vélin doré époque, plats encadrés d'un filet doré.Le premier feuillet ainsi que le dernier de chaque volume sont un peu roussis. 600 gr.
"Dominicain, il quitta son ordre en 1526 pour entrer au service du lieutenant de François ier, Cesare Fregoso. À la mort de celui-ci (1541), il suivit sa veuve en France et fut évêque d'Agen de 1550 à 1555. La production humaniste de Bandello est étroitement liée à sa carrière ecclésiastique, diplomatique et courtisane. La complexité de celle-ci transparaît également dans les dédicaces des 214 nouvelles qui composent son chef-d'œuvre (I quattro libri delle Novelle, Lucques, 1554, et Lyon, 1573). Le recueil est caractérisé par une extrême variété de thèmes et de tons et, si son style est souvent relâché, Bandello excelle à piquer la curiosité de son public. Traduit aussitôt en France et en Angleterre, il a inspiré quelques arguments à Shakespeare. Larousse mondial des littératures". "C'est sous les ombrages de cette belle résidence de Bazens affectionnée par tant de prélats agenais qu'il écrivit ses récits égrillards, réminiscences des conteurs les plus audacieux. Malgré le peu de soucis que lui donnait son évêché, il s'en démit en 1555 en faveur de Janus Frégose, fils cadet de César; mais il n'abandonna pas Bazens où il vécut encore plusieurs années. Il fut inhumé dans l'église des Jacobins de Port-Sainte-Marie, au pied du maître-autel." Andrieu Bibliographie de l'agenais tome 1er pages 40 à 43.