Paris Roret 1829 1 vol. relié in-16, relié demi-basane havane, dos lisse orné de fleurons et filets dorés, 316 pp., frontispice gravé par Tony Johannot (dos uniformément passé, mouillure angulaire aux 5 premiers feuillets et au frontispice). Edition originale de l'une des dernières collaborations entre Raisson et Balzac. Rare.
1829 Paris, J.-P. Roret, 1829, in 18 de 316 pp., front. gravé, rel. d'ép. demi-veau brun moucheté, dos lisse orné de fleurons roulettes et quintuple-filets dorés, pièce de titre verte, tranches jaspées, plats de papier brun façon "cuir de Russie", peu de rousseurs, bel ex.
Ed. orig. de cette collaboration de Balzac avec Horace Raisson. "N'est que partiellement de Balzac", (Clouzot, p. 18).
J.P. Roret, Paris 1829, 9,5x14cm, broché.
Edition originale rare d'une des dernières collaborations anonymes de Balzac, qui publie la même année "Le dernier Chouan", son premier roman signé. Ouvrage illustré d'une vignette en frontispice. Important manque au premier plat et dos de la couverture restauré à l'époque, mors fendus en tête et pied du second plat, agréable état intérieur. Rare, comme toutes les oeuvres de jeunesse de Balzac. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris, J.-P. Roret, Libraire-Editeur, 1829 "petit in 12 reliure demi chagrin rouge à coins, quatre nerfs, titrée ""H. de Balzac / Code pénal, de 373 pages incluant dans la pagination une publicité pour le Code Conjugal ""pour paraître le 1er février"""
"Troisième édition revue et augmentée. Edition en partie originale. Gravure non signée de Dévéria en frontispice. Selon Stéphane Vachon (""Les Travaux et les jours d'Honoré de Balzac, chronologie de la création balzacienne"" Presses Universitaires de Vincennes, 1992, page 77 et 87 ) Honoré de Balzac serait entièrement l'auteur du texte, à la révision duquel il aurait par ailleurs participé. Un coin cassé. Pâles rousseurs. Piqûres au frontispice. Bon exemplaire en reliure d'époque."
Paris, J.-P. Roret [Imprimerie de Trouvé], 1829, in-16, [2] ff. n. ch., 373 pp., avec un frontispice sous serpente, demi-basane fauve marbrée, dos lisse orné de filets, guirlandes et fleurons dorés, pièce de titre bouteille, tranches marbrées (reliure de l'époque). Rousseurs.
La première édition sous ce titre est également de 1829. Mais le texte reprend celui du Code des gens honnêtes, paru dès 1825.Il s'agit de l'un des nombreux "Codes" rédigés par le charmant polygraphe que fut Raisson (1798-1854) pour aider à la maîtrise de la vie mondaine sous la Restauration : citons aussi le Code civil (pour la maîtrise de la politesse), le Code gourmand (pour l'art de traiter ses invités), etc. C'est aussi l'un des nombreux ouvrages de Balzac publiés anonymement avant le début de sa carrière littéraire proprement dite.L'on admirera la sobre philosophie qui préside à toutes ces considérations : "L'argent, par le temps qui court, donne le plaisir, la considération, les amis, les succès, les talens, l'esprit même ; ce doux métal doit donc être l'objet constant de l'amour et de la sollicitude des mortels de tous les âges, de toutes les conditions". Décidément, la Monarchie de Juillet n'était plus loin ..Vicaire I, 178. Quérard VII, 441. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, J.-P. Roret, Levavasseur, 1829, in-16, ix pp., pp. 11316, 8 pp. de prospectus des autres codes, avec un frontispice sous serpente, gravé par Tony Johannot, demi-basane fuave modeste, dos lisse orné de filets et guirlandes dorés, ainsi que de fleurons à froid, tranches mouchetées de bleu (reliure de l'époque). Rousseurs.
C'est l'un des nombreux "Codes" rédigés par le charmant polygraphe que fut Raisson (1798-1854) pour aider à la maîtrise de la vie mondaine sous la Restauration : citons aussi le Code civil (pour la maîtrise de la politesse), le Code gourmand (pour l'art de traiter ses invités), etc.Il s'agit aussi de l'un des nombreux ouvrages de Balzac publiés anonymement avant le début de sa carrière littéraire proprement dite.Au demeurant, les auteurs sont sans illusion : "Que le mariage soit l'état le plus heureux ou le plus misérable de la vie, un paradis ou un enfer, peu nous importe : nous le peignons sous toutes ses faces, dans tous ses aspects, laissant à chacun à déduire, selon son gré, les conséquences d'un thème aussi fécond".Pas repris dans Vicaire. Clouzot, p. 18. Quérard VII, 442.Ex-libris manuscrit Bruno. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT