Précieux exemplaire conservé dans sa première reliure en vélin souple de l’époque. Et se vendent à Paris, chez B. Moncornet, rue S. Jacques, s.d. [vers 1650]. - [Suivi de] : Portraits, Noms et Qualitez des Ambassadeurs assemblez tant a Munster qu’Osnabruk, pour le Traité et Conclusion de la Paix Generalle. Et se vendent à Paris chez B. Moncornet, rue S. Jacques, s.d. Soit 2 ouvrages reliés en 1 volume in-4 de : I/ (1) f. de titre et 65 portraits, pte. rest. angulaire à 1 pl. sans atteinte au portrait, pale mouillure ds. la partie sup. de 5 planches ; II/ 1 titre et 35 planches, pte. dech. marginale à 1 pl. ss. atteinte à la gravure, pte. mouillure à l’angle de 5 pl. Vélin souple de l’époque, dos lisse, qq. taches. Reliure de l’époque. 264 x 198 mm.
Edition originale et premier tirage de ces deux superbes et rarissimes suites de portraits gravés des rois de France et de personnalités de l’Europe du XVIIe siècle. Balthasar Moncornet [Montcornet], né vers 1600 à Bruxelles, mort le 11 août 1668, est un graveur et marchand d’estampes d'origine wallonne arrivé à Paris en 1602. Il est l'auteur de portraits de nombreuses personnalités du XVIIe siècle. Balthasar est mis en apprentissage par son père le 31 octobre 1612 pour 3 ans et demi chez Carel van Boeckel, l'époux d'Anne Moncornet, probablement son beau-frère, pour 150 lt. Il est logé, nourri, chauffé et éclairé par son maître. À cette époque son père et lui habitent rue des Gobelins. Une fois établi, Balthasar prend plusieurs apprentis : Linen Antens pour 5 ans le 10 janvier 1626, Pierre Davoot pour 6 ans le 18 mars 1638, Jean Sanné pour 4 ans le 15 mai 1648, enfin Balthasar Vaudresse pour 6 ans le 2 août 1650. À partir de décembre 1645, Balthasar déménage son magasin et son atelier d'estampes rue Saint-Jacques (Paris) à l'enseigne de la Belle Croix, face à l'église Saint-Yves, dans une maison louée par le couvent des Mathurins. Il rachète le 15 juin 1650 tous les ustensiles et outils de graveur appartenant à la veuve de Michel Wanot, graveur du roi, pour 3000 lt. Le 10 janvier 1662, il signe un contrat d'association avec J. Sauvé. Après 1668, sa veuve perpétue l'activité de son mari, tant pour l'édition que pour le commerce. La production de Balthasar est riche, notamment, de plusieurs centaines de portraits gravés de petite taille, édités séparément ou regroupés dans des recueils, activité dans laquelle il est précurseur. Les portraits de la première suite présentent les monarques qui se sont succédé sur le trône de Pharamond (370-428 ?), considéré comme le premier roi de France, à Louis XIV (1643-1715). La seconde suite est consacrée aux ambassadeurs assemblés tant à Munster qu’à Osnabrück pour la signature du Traité de Paix Générale. Trois Traités signés à Münster en 1648 ont mis fin à la guerre de Trente ans, qui ravageait l’Empire depuis le début du XVIIe siècle, et à laquelle participaient la France et la Suède, l’Espagne et les Provinces-Unies. Il faut mettre à part le premier. Les deux autres traités qui furent signés le 24 octobre sont aussi connus sous le nom général de traités de Westphalie. L’un concernait le rétablissement de la paix entre la Suède, alliée de la France, et l’Empire : il était le résultat de négociations menées à Osnabrück, et l’appellation de ‘traité d’Osnabrück’ lui est souvent donnée par erreur. L’autre établissait la paix entre la France et l’Empire. Moncornet représente 35 personnalités ayant pris part à cette assemblée et à la signature de ce Traité en 1648 : Henry d’Orléans, Gaspard comte de Pignoranda Plenipotentiaire d’Espagne, François de Andrada plenipotentiaire de Portugal, Axelius Oxesteren chancelier de Suède, Mathias de Crachan plenipotentiaire de Pologne, Claude Chabot Marquis de St Mauric plénipotentiaire de Savoie, Godard de Reede plenipotentiaire des Provinces Unies, etc. Très bonnes épreuves de ces 100 portraits sur cuivre si expressifs. Précieux exemplaire à très grandes marges conservé dans son vélin souple de l’époque. Ces deux suites sont rarissimes complètes. Nos recherches nous ont permis de localiser 3 exemplaires complets de la première suite dans les Institutions publiques françaises : Bibliothèques d’Amiens, Guéret et B.n.F. Un seul exemplaire complet de la seconde suite localisé en France : B.n.F. Nombreuses marques manuscrites de provenance sur le premier feuillet de garde.
Leyde, Theodore Haak, 1720. In-12 de (16)-188-(4) pp., table et errata, maroquin rouge, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin fauve, triple filet doré d'encadrement sur les plats, tranches dorées (reliure de l'époque).
Première édition collective posthume du poète marseillais Balthasar de Bonnecorse mort en 1706 âgé de soixante-quinze ans, auteur de La Montre, suite de madrigaux sur l'emploi des heures galantes, son premier recueil publié en 1666 satirisé par Boileau dans Le Lutrin, auquel Bonnecorse répondit avec Le Lutrigot, parodie à son tour des oeuvres de Boileau. L'illustration comprend 3 vignettes gravées par F. Bleiswyck sur le titre, la dédicace et dans le texte (page 2) : la Montre. « Aphra Behn donne en 1686 une traduction de La Montre de Balthazar de Bonnecorse. Cet ouvrage correspond au goût contemporain pour ces petites formes galantes, d’autant plus qu’il est en prosimètre, la forme à la mode (issue) des jeux de salon du XVIIe siècle (…). C’est aussi ce contexte qui avait popularisé la topique de la cartographie amoureuse à laquelle se rattache la Carte de Tendre de Madeleine de Scudéry, incluse dans la première partie de Clélie en 1654, mais qui circule avant sa publication au sein d'une petite communauté mondaine. (…) La Montre de Bonnecorse témoigne de l’influence de cette mode pour les cartes allégoriques, mais elle s’intègre aussi à ce qu’on peut appeler une littérature des objets galants. Ces textes, souvent ludiques, sont produits dans les milieux précieux et se focalisent sur des objets relevant de la culture matérielle dans une perspective emblématique pour en tirer des développements moraux ou symboliques qui mettent en œuvre l’ingéniosité ou la surprise. (…) Le choix de la montre reflète par ailleurs le développement de l’horlogerie et la popularité croissante des montres personnelles au sein d’une élite urbaine aisée. (…) Le genre littéraire de l’horloge ou de la montre a quant à lui une histoire particulièrement riche : La Montre de Bonnecorse peut aussi se lire comme un dérivé précieux et ludique des genres de l’almanach et du livre d’heures d’origine médiévale ; elle s’intègre aussi à la vogue contemporaine des « almanachs d’amour » et des « lotteries d’amour », comme on le voit dans un autre recueil collectif, Recueil de pièces en prose, publié par Charles de Sercy dans les années 1660. Mais Bonnecorse innove en appliquant le concept de la montre au champ amoureux. Son texte connut d’ailleurs un très grand succès et sera imité ; il contribue ainsi, à son tour, à alimenter la mode contemporaine pour cette littérature des objets qui l’a d’abord rendu possible » (Line Cottegnies, Jeux littéraires en France et en Angleterre au XVIIe siècle – des salons parisiens à Aphra Behn).Ami de Jean de La Fontaine et Mlle de Scudéry, Balthasar de Bonnecorse (1631-1706) fut aussi échevin et consul de France en Égypte et en Syrie. Contient : La Montre ; Maximes d'Amour raisonnables ; Étrennes à Philis ; Sur le Songe d'Iris ; Stances ; Sur un Bracelet de petites chaînes ; L'Amour déguisé ; À Madame la M. D. B. ; Triomphe de l'Amour sur le Coeur d'Iris ; Articles de Paix ; Le Nez de la jeune Silvie ; Portrait de Philis ; Marseille à Mgr. le Cardinal Mazarin, Ode ; Sur la Pension que le Roi a donnée à Mlle de Scudéri ; Réponse de Sapho ; Chanson ; Lettre de M. Pellisson à M. de Bonnecorse ; Sur la Mort de M. Pellisson a Mlle de Scudéri ; Boutsrimez à Mgr. le Duc de Vendôme ; Sur le Combat que Mgr le duc de Vendôme a donné à Massanet en Catalogne ; Lutrigot, Poëme Heroïcomique en X chants.Bel exemplaire. Petit trou marginal feuillet I5, petit accident sur la coiffe de tête. Brunet, I, 1102.
Paris, Firmin Didot, 1811, in-8, VIII-88 pp, Demi-basane maroquinée rouge, dos lisse et fleuronné, roulette d'encadrement sur les plats, tranches dorées, Seconde édition, la première ayant été tirée à 500 exemplaires, la même année, et distribuée gratuitement. L'auteur y traite des viandes et froments avariées, de la mort causée par l'excès de truffes, des effets des champignons nuisibles, du cuivre et de l'arsenic, des piqûres de la tarentule, de la vive ou du scorpion, des moufette acides ou encore des effets du méphitisme des latrines. Balthasar Georges Sage (1740-1824) était reconnu pour ses travaux de chimie minéralogique et pour le cours public et gratuit de minéralogie docimastique, qu'il donnait dans son officine familiale dès 1760. Excellent professeur, il fonda en 1783 la première Écoles des mines à l'Hôtel des Monnaies. Il s'est préoccupé des questions de santé, en étudiant les propriétés chimiques et physiques de divers éléments. Il ne sut s'adapter aux progrès scientifiques réalisés au tournant de la Révolution et dans les années suivantes : il rencontra l'opposition de Lavoisier et de Fourcroy, perdit la faveur du public et des autorités et mourut aveugle, privé de sa pension. Éraflure sur le plat supérieur, petits trous de ver au niveau des charnières. Agréable exemplaire, relié dans le goût du temps. Todericiu Doru, "Balthasar-Georges Sage (1740-1824), chimiste et minéralogiste français, fondateur de la première Ecole des Mines (1783)". In: Revue d'histoire des sciences, tome 37, n° 1, 1984. pp. 29-46. DSB XII, p. 63 et suiv. Couverture rigide
Bon VIII-88 pp.
Paris, Imprimerie Didot, 1812, in-8, Basane maroquinée bordeaux, dos lisse et fleuronné, pièces de titre et de tomaison noires, roulette d'encadrement sur les plats, tranches dorées, 246-[1] pp, Dos tomé "4". Ouvrage complet, formant le Supplément aux Institutions publiées en 1811, en 3 trois volumes (Paris, F. Didot), par le chimiste et minéralogiste Balthasar-Georges Sage (1740-1824). Édition originale. "Si je n'emploie pas dans mes ouvrages la nouvelle nomenclature physico-chimique, c'est qu'elle insignifiante et sans euphonie" (p. VI). L'ouvrage, produit dans la seconde partie de la carrière de Sage, fait partie d'un chapelet de volumes qui trahissent l'inadaptation du savant aux progrès scientifiques réalisés dans les années 1780-1810 et son obstination à défendre l'anachronique théorie du phlogistique. Sage était reconnu pour ses travaux de chimie minéralogique et pour le cours public et gratuit de minéralogie docimastique, qu'il donnait dans son officine familiale dès 1760. Excellent professeur, il fonda en 1783 la première Écoles des mines à l'Hôtel des Monnaies. Au tournant de la Révolution et à la chute de l'Ancien régime, cet adepte invétéré des théories formulées un siècle auparavant rencontra l'opposition de Lavoisier et de Fourcroy, perdit la faveur du public et des autorités. L'oeuvre scientifique qu'il produisit durant ses années de misère et d'aigreur se constitue principalement d'ouvrages d'arrière-garde, qui resteront sans écho. Il mourut aveugle et privé de sa pension. Todericiu Doru, "Balthasar-Georges Sage (1740-1824), chimiste et minéralogiste français, fondateur de la première Ecole des Mines (1783)". In: Revue d'histoire des sciences, tome 37, n° 1, 1984. pp. 29-46. DSB XII, p. 63 et suiv. Coupes et coins frottés. Bon exemplaire, en reliure du temps Couverture rigide
Bon Basane maroquinée bordeaux,
Recueillis par feu Messire Balthasar Debezieux, Seigneur de Valmousse, Conseiller du Roi, et Président en la Chambre des Enquêtes du même Parlement.Sur diverses Matières Ecclésiastiques, Civiles et Criminelles; avec les motifs des Juges qui les ont rendus.Ouvrage divisé en neuf Livres, qui serviront de continuation aux deux Compilations de Boniface.Avec une Table des Livres, Titres, Chapitres et Paragraphes, et une dernière fort ample des table des matières par ordre alphabétique.Le tout par les soins de Maître Sauveur Eirie's, Avocat au même Parlement.A Paris, chez Le P.G. Mercier, Desaint et Saillant et Jean-Thomas Herissant - 1750 - xlj et 671 pages. Imprimé sur 2 colonne. Bandeaux, lettrines et culs-de-lampe.Reliure plein veau brun de l'époque. Dos à nerfs orné et doré. tranches rouges. Titre en rouge et noir. Imprimé sur 2 colonnes. Quelques mouillures angulaires sans gravité. Une charnière fendue avec manques aux 2 extrémités. Rares rousseurs. Bon état. Format in-folio (40x27).
Lethielleux 1983 144 pages 14x1 2x21 4cm. 1983. Broché. 144 pages.
bon é
Antverpiæ, ex officina Plantiniana Balthasaris Moreti [Moretus, Balthasar II] M. DC. LXI. (1661). 18 x 12 cm, 8 ff. n.p. - 159 pp. - 12 pp. et 8 pp. Relié pleine basane noire, dos à nerfs, caissons ornés, pièce de titre de cuirrouge, encadrement de roulette sur les plats, toutes tranches dorées. reliures légèrement frottées sinon bon exemplaire imprimé en noir et rouge.
L'imprimeur était le fils de Balthasar Moretus (23 juillet 1574 8 juillet 1641) qui était un imprimeur flamand et le détenteur de l'Officina Plantiniana, une maison d'édition créée par son grand-père Christophe Plantin à Anvers en 1555.
Revue d'Histoire des Sciences - Pierre Dugac - Doru Todericiu sur Balthasar-Georges Sage - Pietro Corsi sur Lamarck - Louis Dulieu sur Pierre Chirac
Reference : 101024
(1984)
Presses Universitaires de France - P.U.F. , Revue d'Histoire des Sciences Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1984 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur bleu ciel grand In-8 1 vol. - 96 pages
1ere édition, 1984 Contents, Chapitres : 1. Articles : Pierre Dugac : Histoire des espaces complets - Doru Todericiu : Balthasar-Georges Sage, 1740-1824, chimiste et minéralogiste français, fondateur de la première Ecole des Mines, 1783 - Pietro Corsi : Lamarck en Italie - Louis Dulieu : Pierre Chirac et les maladies des équipages des vaisseaux - 2. Documentation, informations, analyses - Pierre Huard : Un traité chinois d'oculistique - I. Grattan-Guinness : Note sur les manuscrits de Guglielmo Libri conservés à Florence Couverture propre, bas du dos légèrement frotté sur un cm, légères pliures aux coins de la couverture, sinon bel exemplaire, intérieur frais et propre, papier à peine jauni - paginé 1 à 96
A Lyon, chez Louis Muguet, 1616, 1 cartonnage à papier marbré, pièce de titre au dos (reliure XIXème). in-12 de 1 feuillet blanc, titre, 5 feuillets non chiffrés (dédicace à Saint-François de Sales), 740 pages ;
Ouvrage de controverse.Balthasar Chavasse, jésuite savoyard, fût professeur de marhématiques à Pont-à-Mousson.La famille Chavasse originaire des Echelles (Savoie), s'installe à Die (Drome), puis se fixe à Montélimar à la fin du XVIIIème.
Phone number : 06 80 15 77 01
Paris, Revue Archéologique, 1850, 1 broché, couverture muette. in-8, deux planches gravées, dessinées par l'auteur, 4 pages, paginées 476 à 481, plan ;
Phone number : 06 80 15 77 01
Paris, Revue Archéologique, 1847, 1 broché, couverture muette. in-8 de 11 pages, paginées 515 à 525 + 1 planche gravée, dessinée par l'auteur ;
Phone number : 06 80 15 77 01
1750 veau brun, dos à n. (mors fendillés mais solides). in-folio, (2ff.), (XLIIpp.), 671pp., P. Le Mercier, Desaint & Saillant, Hérissant 1750
Notes marginales d'une fine écriture début XIXe."Les notes marginales que nous nous sommes permises dans cet ouvrage, comme dans plusieurs autres de notre bibliothèque, n'ont été conçues que dans le désir de continuer notre ancien droit avec le nouveau…".
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
Paris Chez Le Clerc 1766 in 12 (17x10) 1 volume reliure pleine basane fauve marbrée de l'époque, dos à nerfs orné de caissons dorés, pièce de titre de cuir beige, tranches teintées rouge, 650 pages [4]. Balthasar Gibert. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Couverture rigide Signé par l'auteur
MUNTER, Balthasar / LA FITE, Madame de ( traduit de l'Allemand par )
Reference : 32551
Amsterdam 1774 in 12 (17,5x10,5) 1 volume reliure demi basane fauve ancienne, dos lisse orné de fleurons dorés, pièce de titre de cuir rouge, XXIV et 242 pages, 165 pages. Rare. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Reliure
3 Bände. Luzern, bey Joseph Aloys Salzmann 1785-1789. 12°. 268 S., 1 Bl.; 290 S.; 271 S. Grüne Pappbände der Zeit mit handschriftlichen Rückenschildern.
Feller/Bonjour 503 "Sein letztes grösseres und zugleich sein wichtigstes Werk". - Wäber 259. - Barth 19129. - Haller I, 834 (als Vorankündigung): - Erste Ausgabe. - Balthasar (1737 - 1810) war der Inbegriff des aufgeklärten Patriziers der sich, in der Vorstellung von Hallers "Alpen" zwischen der idyllischen Naturverklärung, der idealisierten Vergangenheit und der Aufklärung bewegte. Er war mit Zurlauben und Gottlieb Emanuel Haller eng befreundet. Er verkaufte kurz vor seinem Tode seine Bibliothek an die Burgergemeinde Luzern. Seine Merkwürdigkeiten schildern die Geschichte aus den Quellen Luzern, liefern aber auch viele volkskundliche und naturwissenschaftliche Details. - Papier durchgehnd etwas stockfleckig. Titel mit gelöschtem Bibliotheksstempel. Exlibris "J.R. Merian-Socin" (Wegmann 4724) auf dem Innendeckel. - Rücken verblasst. - Selten.
Baden ; Genève, Editions Lars Müller ; Musée d'art et d'histoire Genève 1997. In-4°. 239 p. Avec de nombreuses illustrations en noir. Demi-toile d'éditeur.
Catalogue édité à l'occasion de l'exposition de Balthasar Burkhard, Eloge de l'Ombre, présenté du 6 juin au 7 septembre 1997, au Musée Rath à Genève. - Exemplaire en parfait état.
Genève éditions Albert Ciana 1924. 4°. 5 f., 139 p., 1 p., 2 f. Demi cuir d'époque, tomaison rouge. Couverture conservée.
Edition originale. - 1/460 exemplaires numérotés sur Hollande van Gelder. - En prafait état.
Paris, Imprimerie P. Didot, 1817-1820, in-8, 8 pièces en 1 vol, Demi-basane tabac de l'époque, dos lisse et fleuronné, Précieuse et intéressante réunion de sept opuscules rares sur la désalinisation de l'eau de mer, par le chimiste et minéralogiste Balthasar-Georges Sage (1740-1824); et une pièce sur la question du lait de vache. Sage commence à s'intéresser à cette question à partir de 1778 et d'un échantillon d'eau provenant de la Mer Morte; il entreprend alors de longues recherches qui visent à procurer une solution chimique. En 1817-1818, il publie des observations plus tardives, contenue dans le présent recueil : il y reprend ses premières conclusions, analyse les procédés déjà proposés et démontre qu'une eau salubre ne peut pas s'obtenir par méthode chimique, en raison du processus de putréfaction des animaux marins. Il parvient enfin à proposer une "explication cohérente de l'origine de la salinité des mers et des océans" (Doru). Les pièces sont reliées dans l'ordre suivant : - Précis historique des mémoires publiés sur l'eau de mer. 1817. 12 pp. - Analyse de l'eau de mer. 1817. VI-[2]-24 pp. - Exposé des propriétés de l'eau de mer distillée. 1817. VIII-38 pp. - Exposé des tentatives qui ont été faites dans le premier dessein de rendre potable et salubre l'eau de mer distillée. 1817. 20 pp. - Expériences sur l'innocuité de l'eau de mer distillée, parce qu'elle contient toujours du gaz alcalin oléaginé neptunien produit par la putréfaction des êtres organisés marins. 1817. 24 pp. - But de la nature dans la formation quotidienne du sel dans l'eau des mers. 1818. 16 pp. - Phénomènes que présente la destruction des corps des animaux après leur mort. 1817. VIII-34 pp. - Analyse du lait de vache, suivie de la liste chronologique des ouvrages publiés dans l'espace de cinquante-et-un ans. 1820. 21 pp. Sage est reconnu, dans la première moitié de sa carrière, pour ses travaux de chimie minéralogique et pour le cours public et gratuit de minéralogie docimastique, qu'il donnait dans son officine familiale dès 1760. Excellent professeur, il fonda en 1783 la première Écoles des mines à l'Hôtel des Monnaies. La fin de sa carrière est marquée par la disgrâce et l'aigreur; conservateur invétéré, il refuse les progrès scientifiques des années 1780-1810 et s'obstine dans la défense de la théorie anachronique du phlogistique. Il meurt aveugle et privé de sa pension, après avoir publié de nombreux opuscules d'arrière-garde dans lesquels il déverse immanquablement son fiel. De ces années-là, seuls ses travaux sur la désalinisation de l'eau de mer trouveront écho. Deux annotations anciennes à l'encre en fin de volume. Accroc à la coiffe supérieur, dos frotté, coins usés. Sinon, bon exemplaire. Couverture rigide
Bon 8 pièces en 1 vol.
Franckfurt & Leipzig, Monathischen Buch-Laden, 1732 (+) Leipzig, Gleditschens seel. Sohn, 1734. 8vo. In contemporary full calf with four raised bands. Small paper-label pasted on to top of spine. A nice and clean copy. 352, (4), 365, 200 pp. + 3 frontispieces.
Sammelband with two work by Sinold, here written under the pseudonym of Faramond, first edition of “Gedancken über die Eitelkeit der Welt” and a later edition of “Die Klugheit derer wahren”. Both works express Sinold’s focus on moral and critique of worldly vanities all in the context of his pietistic values. Philipp Balthasar Sinold, also known as von Schütz (1657–1742), was a publicist, writer, and theologian. He used the pseudonyms Ludwig Ernst von Faramond (as here), Amadeus Creutzberg and Irenicus Ehrenkron. Coming from the noble Sinold family, he was educated at the Gymnasium in Weissenfels and studied law at the University of Jena. After serving in the Duke of Tuscany's guard cavalry in Florence, he returned to Germany and lived as a private scholar in Leipzig where he published ""Die europäische Fama"" (1704) and the first ""Zeitungs-Lexikon."" As ""Faramond,"" he wrote satirical works criticizing his contemporaries as here. As ""Amadeus Creutzberg"" he authored devotional writings.
1 brochure in-4, s.l., s.n., 1763, 48 pp.
Rare exemplaire de l'édition originale de l'ouvrage du philologue Joseph-Balthasar Gibert (1711-1771). Etat très satisfaisant (reste de couverture muette portant l'ex-libris ms de M. Moreau, Conseiller en la Cour des Comptes de Provence, anc. mouill. marginales)
S.l.n.d. (1771) in-8, titre, 137 pp., dérelié. Dos cassé.
Unique édition de ce libelle qui se prononce surtout contre l'ascension des Rohan, alors coutumiers des revendications généalogiques à des fins politiques et honorifiques .La même année, mais en sens contraire, le trop fameux abbé Georgel publiera d'ailleurs, dédié à Rohan, une Réponse à un écrit anonyme, intitulé : Mémoire sur les rangs et les honneurs de la cour afin de donner les preuves de la descendance de l'orgueilleuse maison qu'il servait les yeux fermés.Joseph-Balthasar Gibert (1711-1771), d'origine aixoise, mais fixé à Paris, remplit les fonctions de secrétaire auprès d'Aguesseau de Plainmont, puis d'Ormesson de Noiseau, tous deux avocats généraux auprès du Parlement de Paris. En 1766, il devint garde des Archives de la Pairie, et c'est à ce titre qu'il rédigea ce Mémoire.Saffroy, I, 15194 - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Nouvelle Cite Broché D'occasion bon état 01/01/1995 122 pages
Nouvelle Cite Broché D'occasion très bon état 01/01/1995 122 pages
Auflage 1982 1982.
Bon état