Il a laissé passer trop de temps pour répondre aux lettres et aux factures. Il s’en excuse : « veuillez croire, cher Monsieur, que seule ma négligence (et aussi mes perpétuels hauts et bas financiers, ce n’est pas toujours facile…) sont responsables de ces retards et pas du tout ma mauvaise volonté ». Il le remercie pour sa complaisance, de lui avoir toujours assuré le service « des coupures qui me concernent ».