S.l. s.d. [1790] in-8 broché
17 pp.Sabin, 75187.Une assemblée coloniale s'est constituée à Saint-Marc, à l'Ouest de Saint-Domingue, et réclame une large autonomie législative et économique. Peynier, gouverneur de l'Ile, soumet alors militairement les "séditieux". Des membres de cette assemblée s'embarquent alors sur le "Léopard" pour défendre leur cause à Paris
[Paris] Imprimerie de Demonville 1790 in-8 dérelié
3 pp.Sans doute Roquincourt, 3741. Du 8 août 1790, donc contemporain de l'embarquement des 85 députés de l'Assemblée de Saint-Marc sur le Léopard ; la pièce exprime évidemment le soutien total de la ville de Saint-Marc à ses députés
S.l. s.d. [1790] in-8 dérelié
titre, 17 pp.Roquincourt, 3625. Sabin, 75187. Ensemble de lettres écrites les 8 août, 9 août et 10 août et adressées aux "Léopardins", ces 85 députés des colons partis le 7 août 1790 défendre la cause de Saint-Domingue devant l'Assemblée nationale
[Paris] Imprimerie de Didot fils aîné s.d. [1790] in-8 en feuilles, cousu
34 pp.Sabin 75105. Roquincourt, 3664. Défense de l'Assemblée coloniale réunie à Saint-Marc : "Nous représentons Saint-Domingue ... Oui, nous sommes l'assemblée générale ... La volonté seule de nos constituants peut nous enlever le titre de représentants de Saint-Domingue"
[Paris] Imprimerie de Quillau s.d. [1791] 2 parties en un vol. in-8 dérelié
14 pp., 26 pp.Roquincourt, 3451. Réunit deux adresses des 12 février et 27 mars 1791 émanant des membres "léopardins" de l'Assemblée de Saint-Marc partis en métropole défendre les intérêts de la colonie devant la représentation nationale
S.l.n.d. [1790] in-4 de 68 pp. broché, en partie décousu, importantes mouill. claires
Décret du 12 octobre 1790 en vue de la dissolution de l’Assemblée de Saint-Marc soupçonné de vouloir adopter une constitution d’indépendance. Cette dernière donne des assurances à la Constituante en la rassurant sur sa volonté de rester attachée à la métropole
[Paris] Imprimerie de Didot fils aîné s.d. [1790] in-8 dérelié
15 pp.Roquincourt, 3438. Il s'agit de la proclamation adressée à tous les Français et composée à bord du Léopard en rade de Brest, le 13 septembre 1790, au moment où les 85 députés de l'Assemblée de Saint-Marc accostent en métropole pour porter les revendications de la colonie auprès de l'Assemblée nationale, en somme une opération de communication d'ailleurs assez réussie
[Paris] Imprimerie de Didot fils aîné s.d. [1790] in-8 dérelié
8 pp.Roquincourt, 3439. Après s'être adressés à l'ensemble de la population française par leur proclamation lancée du Léopard en rade de Brest le 13 septembre 1790, les 85 députés de l'Assemblée de Saint-Marc venus en France défendre les intérêts de la colonie se tournent vers les députés de l'Assemblée nationale par ce texte daté du 9 octobre suivant
S.l. s.d. [1790] in-8 dérelié, une galerie de vers avec perte de lettres
61 pp.Roquincourt 4737. Très importante déclaration unilatérale par laquelle l'Assemblée générale de la partie française de Saint-Domingue s'arroge le pouvoir législatif sur le régime intérieur de la colonie, à l'exclusion de l'Assemblée nationale. S'ensuit un régime constitutionnel propre, également auto-proclamé. Cette décision, provoquée en fait par le refus d'appliquer le décret du 15 mai 1790 (alors en préparation, pour accorder l'égalité politique aux libres de couleur) fut considérée à juste titre par l'Assemblée nationale comme le signal d'une révolte de la population blanche contre l'autorité de la métropole
Paris Lejay s.d. [1790] in-8 dérelié
118 pp., un f. vierge.Roquincourt, 3497. Le 7 août 1790, après s'être emparé du vaisseau Le Léopard, 85 membres de l'Assemblée dite de Saint-Marc le firent naviguer à destination de la métropole pour y présenter directement les intérêts des colons de Saint-Domingue, menacés par la politique de l'Assemblée nationale, en partie soumise au lobby de la Société des Amis des Noirs. Arrivés à Brest le 14 septembre 1790, ils commencèrent aussitôt leurs démarches et la rédaction de mémoires pour expliquer la situation de l'île
[Paris] Imprimerie de Didot fils aîné [et :] Imprimerie de Quillau s.d. [1790-91] 2 parties en un vol. in-8 dérelié
8 pp., 16 pp.Roquincourt, 2980 & 2981. Sabin 76874. Deux textes justificatifs du lieutenant de vaisseau commandant le Léopard, qui avait convoyé de Saint-Domingue en France les 85 membres de l'Assemblée de Saint-Marc en révolte contre le gouverneur général
S.l. 1790 in-8 dérelié, petite galerie de vers
26 pp.61 pp.Roquincourt 4736 (à ne pas confondre avec une édition complétée de 61 pp.). Très importante déclaration unilatérale par laquelle l'Assemblée générale de la partie française de Saint-Domingue s'arroge le pouvoir législatif sur le régime intérieur de la colonie, à l'exclusion de l'Assemblée nationale. S'ensuit un régime constitutionnel propre, également auto-proclamé. Cette décision, provoquée en fait par le refus d'appliquer le décret du 15 mai 1790 (alors en préparation, pour accorder l'égalité politique aux libres de couleur) fut considérée à juste titre par l'Assemblée nationale comme le signal d'une révolte de la population blanche contre l'autorité de la métropole
S.l. [Paris] s.d. [1790] in-8 dérelié
4 pp.Absent de Roquincourt. Pas d'exemplaire séparé au CCF. Du 2 octobre 1790. Apologie anonyme (et sommaire) de la conduite de l'Assemblée de Saint-Marc depuis le 4 avril 1790
[Paris Didot Octobre 1790] in-8 de 34 pp. et 1 f.blanc broché
Sabin 75105
S.l. [Paris], s.d. [1790]. In-8, tel que paru. 74 pp.(humidité sur les marges extérieures).
"Roquincourt, 4366. Sabin, 75 187. Il s'agit d'une longue suite de griefs accumulés par les ""Léopardins"" contre le gouverneur général et ses agents, soupçonnés de vouloir systématiquement contrarier l'action des assemblées coloniales."