H. Floury, éditeur, Paris, 1900
Un volume in-8°, demi-reliure cuir marron, dos à 4 nerfs avec filets et lettrage (titre, auteur) dorés, couverture initiale conservée, frontispice (portrait de Félix Arvers), 278 pages. On sait que Félix ARVERS est principalement connu pour son fameux sonnet mais on pourra découvrir ici l’ensemble de son oeuvre. Ouvrage rare. TRES BON ETAT.
Menu de la Compagnie Générale Transatlantique, 1965, 4 pp. (GJ36B*)
Ce menu, bilingue français-anglais, illustré en première page d'une composition en couleurs de Jean A. MERCIER, reproduit en page 4, le fameux sonnet de Félix Arvers (1806-1851) qui le rendit (immortellement ?) célèbre.
P., Redier, La Revue Française, 1928, in 8° broché, XVI-236pp. ; couverture rempliée ; qq. rousseurs.
Tirage limité à 1100 exemplaires numérotés, celui-ci un des 50 sur Montval, second papier après 15 Japon. PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
pièces inédites, introduction Abel d’AVRECOURT. In broché, couverture verte, titre en bleu. Faux-titre, portrait de l’auteur en frontispice-titre, XX, 1 fac-similé, 278 pages. Paris H. FLOURY 1900. Edition originale sur chine n°16 (sur 40). Dos muet, renforcé. Rousseurs en début et fin de volume
cinqualbre éditeur paris 1878 - In 8 relié demi chagrin dos à 5 nerfs titre frappé - 243 pages - couvertures conservées - parfait état papier très blanc
Bel exemplaire réimprimé sur l'édition originale de Fournier jeune paris 1833
Superbe manuscrit à propos des travaux littéraires du poète et dramaturge français Félix Arvers (1806-1850). Ce précieux document dresse tout d’abord une analyse pertinente sur la plus grande œuvre du poète « Le Sonnet », puis, nous offre ensuite une description de l’Homme intime et son entourage. « Il y a cent ans, le 7 Novembre 1850, mourait à l’hospice Dubois de Paris, où il était en traitement depuis quinze jours, le poète Félix Arvers, qu’une paralysie grave emportait prématurément à l’âge de quarante-quatre ans. Il était l’auteur d’une vingtaine de pièces, pour la plupart des comédies et vaudevilles dont quelques-unes écrites en collaboration. Deux de ses œuvres personnelles avaient été jouées au théâtre français : "La course au clocher", en 1839, et le "second mari" en 1841. Ni l’une ni l’autre, n’eut cependant sauvé son nom de l’oubli s’il n’avait laissé, de son œuvre purement poétique un immortel sonnet. Le fameux sonnet d’Arvers, " le sonnet du siècle" comme l’on s’est plu à le nommer, en son temps. Toute une génération l’a récité de mémoire, et certes, tous les lettrés le connaissent, de même beaucoup d’autres que la poésie trouvent sensibles et qui ont à leur portée quelque anthologie où le sonnet d’Arvers ne peut manquer d’être, le voici, pour tous ceux qui n’en ont plus un souvenir précis ou qui l’auraient oublié… ». Après avoir retranscrit l’intégralité du sonnet, Courville, s’intéresse à la source d’inspiration cachée du poète, Marie Nodier (la femme de lettres fille de l’écrivain Charles Nodier) et à l’Arsenal « Le chef-d’œuvre de poésie devint rapidement célèbre. Fréquemment cité, on en prit copie et on le récita avec ferveur. Il provoqua l’enthousiasme des salons de Paris en attendant de faire le tour de la France puis celui du monde. Des compositeurs tels que Bizet, Widor et d’autres s’en inspirant, ajoutèrent à sa popularité. Cet exemple d’amour sans espoir aux accents si purs toucha tous les cœurs, et l’on cherche pendant très longtemps, bien après la mort du poète, à savoir quelle pouvait être cette inconnue digne de lui avoir inspiré un sentiment aussi délicat et aussi profond. Quelques rares personnes de l’entourage du poète, les amis parfaitement discrets, surent seules à quoi s’en tenir. Pour tous les autres, le mystère demeurait impénétrable. C’est ce que l’auteur avait d’ailleurs sincèrement voulu, et c’est pour mieux dérouter la curiosité qu’il publia le sonnet en lui donnant ce sous-titre : "imité de l’italien". L’aveu engageait le lecteur à supposer une interprétation idéale sinon un plagiat complet […] Le sonnet d’Arvers est bien français d’inspiration et de création et le secret qu’il cachait en a été connu après la mort de celle qui en fut l’inspiratrice. Rappelons par plaisir son nom, c’est la très charmante, la très bonne Marie Nodier, la joie pure, le frais sourire des soirées du salon de l’Arsenal dont son père, Charles Nodier était l’incomparable esprit. Le souvenir de Marie Nodier s’illustre d’un beau titre " Notre Dame de l’Arsenal", surnom que lui donna, en témoignage d’amitié, Victor Hugo. Sa gracieuse jeunesse et sa noblesse d’ame sont évoquées dans les stances ailées et trois beaux sonnets d’Alfred de Musset. Et qui veut savoir, d’un autre ami de Marie, ce qu’étaient les hôtes, les invités, les fidèles, la gaité, la simplicité et l’esprit et la gloire du foyer de l’Arsenal, il lui suffira de lire les quarante-sept pages, étincelantes et ferventes, d’Alexandre Dumas qui servent d’introduction à l’une de ses œuvres "La femme au collier de velours ". Courville dresse ensuite un portrait biographique de Marie Nodier puis évoque la fin de l’Arsenal « Elle se sentait l’amie de tous que son père aimait et rassemblait, elle était leur sœur par sa jeunesse comme par les dons de son esprit qui l’avaient faite poète et musicienne. C’est sur l’album amical de Marie Nodier qu’Arvers, alors âgé de vingt-quatre ans, écrivit son immortel sonnet. Elle en eut la primeur. Devina-t-elle, ayant lu "ces vers tout remplis d’elle", qu’elle était cette femme qui les dictait ? Aucun témoignage ne permet de le supposer. Surtout qu’au moment où elle en reçut l’hommage, au début de 1830, elle allait devenir Madame Menessier. Elle avait dix-neuf ans et elle épousait un jeune fonctionnaire […] Mais un temps vint où Marie délaissa son piano des soirées dansantes de l’Arsenal, un berceau la retenait. Alors, peu à peu son absence fit de l’ombre. La jeunesse du cercle se dispersa, il lui semblait qu’un charme avait été rompu. Il devait l’être tout à fait quelques années plus tard, en 1844, quand le foyer de l’Arsenal cessa d’exister par la mort de celui qui en était l’ame, le bon Charles Nodier. Ce fut la dispersion complète de cette charmante et amicale pléiade intellectuelle…Mais le souvenir de l’Arsenal resta dans le cœur de tous. L’aimable mémoire de Charles Nodier devait être évoquée vingt-trois ans plus tard, dans un livre signé du nom de Madame Menessier-Nodier. Ce pieux et vibrant témoignage filial était aussi le livre du souvenir de Marie pour tous les amis de sa jeunesse du temps de l’Arsenal. Beaucoup n’étaient déjà plus dont Arvers et d’autres plus illustres, tels que, Musset, Eugène Delacroix, Alfred de Vigny .Celle qu’aucun d’eux n’oublie jamais devait survivre à tous. Marie Nodier vécut jusqu’à l’âge de 82 ans… ». Courville dédie la fin de son manuscrit aux derniers jours d’Arvers et confie quelques anecdotes. « Felix Arvers reste célibataire. C’est vers la fin de 1848 qu’il ressentit les premiers symptômes de la maladie qui devait abréger sa vie. Il dut malgré tout continuer d’écrire pour le théâtre. Mais bientôt, privé de mouvements, il lui devint impossible d’aller lui-même présenter la pièce qu’il venait d’achever. Un ami dévoué s’en chargeait, non toujours avec succès. Une certaine fois l’ami revint avec un refus : "on trouve lui dit-il, que ta pièce manque de mouvement. Je les admire tes bons hommes, répondit Arvers, paralytique, de mouvement ! De mouvement ! Si j’en avais, je ne les mettrais pas dans mes pièces, je les garderais pour moi ". La verve du vaudevilliste continuait d’aller. Elle devait persister jusque la fin lorsqu’Arvers se sentit très mal, il appela à son chevet un prêtre de ses amis. Celui-ci qui avait été son condisciple à l’école de droit, s’empressa de venir. Arvers se confessa à lui et, la confession terminée, quand son ami allait affectueusement le quitter, il le retint : " Ecoute ! Ecoute encore… j’allais oublier le plus gros péché de mon existence. Quoi donc ? fit le prêtre l’ait particulièrement inquiet, j’ai dit un jour beaucoup de mal de Charles X ". C’était vrai, mais c’était aussi à ce moment-là de la part d’Arvers, une ultime espièglerie de vaudevilliste, car il savait son ami un libéral fougueux. Rien d’étonnant, c’était l’Abbé Coquereau, un caractère d’ailleurs original… […] Arvers légua par testament à un de ses amis parisiens, ce qui lui restait de son patrimoine, environ 27000 Francs et divers manuscrits dont celui du sonnet que l’on a pu voir, en 1927, à l’exposition de la " jeunesse des Romantiques" organisée à la maison de Victor Hugo, Place des Vosges à Paris. Les obsèques d’Arvers furent célébrées modestement à l’église Saint Laurent, le 10 Novembre 1850. Il fut, selon sa volonté, inhumé au cimetière de Cézy dans l’Yonne, auprès de son père et de sa mère qui était morte à Paris en 1845.». Cet article sera publié dans le quotidien « Le courrier de l’Ouest » d’Angers, le 7 Novembre 1950. On joint une lettre dactylographiée signée du rédacteur en chef du journal, attestant du paiement des honoraires reçus par Courville pour la rédaction de cet article.
Félix Arvers (1806-1850), poète, dramaturge. L.A.S. (signée deux fois), sd [lundi matin], 4p in-8. A son chiffre FA. Peut-être à l'écrivain Alexandre Duval (1767-1842). Longue lettre où il est question de Stella, la levrette du frère de son correspondant, le diplomate et historien Amaury Duval, qui est alors à Spa. Arvers ne souhaite pas faire voyager Stella seule à cause de l'âge de la bête et du trajet avec au moins deux changements. Il peut lui envoyer Stella et lui demande s'il a des nouvelles récentes de son frère. Le destinataire n'est nommé que « Alexandre » et est tutoyé. Il s'agit donc évidemment d'un proche. Rappelons qu'Arvers fut employé, à partir de 1830, chez le notaire Marcelin-Benjamin Guyet-Desfontaines, gendre d'Amaury Duval et donc neveu par alliance d'Alexandre Duval. Il ne nous semble pas qu'il y ait un autre proche d'Arvers se prénommant Alexandre et ayant un frère. Par ailleurs, Stella fait probablement référence au roman de Charles Nodier publié en 1802. Les frères Duval étaient d'ailleurs proches de Nodier : Alexandre a été administrateur de l'Arsenal et le fils Amaury-Duval, peintre, a fait le portrait de Marie Nodier. Nous proposons d'ailleurs sur notre catalogue une page de dédicace de Nodier à Alexandre Duval. Rare autographe [361]
T1 : André Chénier, Marie-Joseph Chénier, Jean-Baptiste Legouvé, Arnault, Chateaubriand, Chênedollé, Désaugiers, Nodier, Béranger, Millevoye, Guttinguer, Pierre Lebru, Soumet, Madame Desbordes-Valmore, Lamartine, Émile Deschamps, Casimir Delavigne, Mme Amable Tastu, Jean Reboul, Barthélemy et Méry, Alfred de Vigny, Antoni Deschamps, Victor Hugo, Auguste Brizeux, Sainte-Beuve, Amédée Pommier, Auguste Barbier, Daniel Stern,Félix Arvers, Dovalle, Aloïsius Bertrand, Ernest Legouvé, Gérard de Nerval, Gustave Mathieu, Pétrus Borel, Napol le Pyrénéen, Jules Lacroix , Théophile Gautier, Hégésippe Moreau, Alfred de Musset, Auguste de Châtillon,Xavier Marmier Victor de Laprade, F. de Gramont, Joseph Autran, Louis Veuillot, L. Ackermann , Alfred des Essarts, Anaïs Ségalas, Charles Coran , Auguste de Belloy, Joséphin Soulary, Arsène Houssaye, L. de Ronchaud. T2 Leconte de Lisle, Amédée Rolland, Alfred Busquet, Auguste Vacquerie Édouard Grenier, Gustave Levavasseur, Émile Augier, Auguste Lacaussade, Charles Reynaud, Charles Baudelaire, Pierre Dupont, Gustave Nadaud, Ernest Prarond, Henry Murger, André Lemoyne, Louis Bouilhet, Maxime Du Camp, Théodore de Banville, Eugène Manuel, Léon Laurent-Pichat, Jules Barbier, Charles Monselet, Henri de Bornier, Claudius Popelin, Dionys Ordinaire, Louis Ratisbonne, Jules Breton, Valéry Vernier, Marc Monnier, Francis Pittié, Octave Lacroix, Léopold Laluyé, Émile Chevé, Philoxène Boyer, Philippe Gille, Alexandre Piedagnel, André Theuriet , André Lefèvre, Édouard Pailleron, Camille Delthil, Léon Cladel Madame Blanchecotte, Armand Renaud, Madame de la Roche-Guyon, Alcide Dusolier, Georges Lafenestre, Félix Frank, Aristide Frémine, Armand Silvestre, Léon Dierx, Achille Millien, Albert Glatigny, Sully Prudhomme, Émile Blémont, Ernest d’Hervilly, Emmanuel des Essarts, Charles Canivet, Saint-Cyr de Rayssac, André Gill Alphonse Daudet, Albert Mérat, Henri Cazalis, Gabriel Marc, Jacques Richard, Léon Valade, Charles Frémine, Villiers de l’Isle-Adam. T3 François Coppée, José-Maria de Heredia, Stéphane Mallarmé, Raoul Lafagette, Charles Cros, Eugène Vermersch, Paul Arène, Charles de Pomairols, Paul Delair, Louis-Xavier de Ricard, Paul Haag, Camille Macaigne, Paul Verlaine , Anatole France, Antony Valabrègue, Paul Demeny, Léon Barracand, Louisa Siéfert, Émile Bergerat, Lucien Paté, Maurice Rollinat, François Fabié, Paul Déroulède, Georges Boutelleau, Edmond Lepelletier, Jean Aicard, Gabriel Vicaire, Jacques Normand, Gustave Rivet, Émile Dodillon, Jean Richepin, Mme Alphonse Daudet, Albert Delpit, Louis Tiercelin, Hippolyte Buffenoir, Guy de Maupassant, Charles Grandmougin, Léon Duvauchel Frédéric Bataille, Henri Chantavoine, Émile Goudeau, Robert de Bonnières, Clovis Hugues, Paul Marrot, Frédéric Plessis, Amédée Pigeon. T4 Paul Bourget, Victor Billaud, Georges Gourdon, Sutter-Laumann, Raoul Gineste, Robert Caze, Jules Lemaître, Paul Harel, Jules d’Auriac, Mme Gustave Mesureur, Maurice Bouchor, Maurice Montégut, Georges Leygues, Fernand Icres, Joseph Gayda, Eugène Godin, Arthur Rimbaud, Louis le Lasseur de Ranzay, Georges Nardin, Jules Truffier, Henri-Charles Read, Auguste Dorchain, Edmond Haraucourt, Tancrède Martel, Félix Jeantet, Laurent Tailhade, Raphaël-Georges Lévy, Jeanne Loiseau, Jean Rameau, Félicien Champsaur, Victor d’Auriac, Gaston de Raimes, Eugène le Mouël, Jacques Madeleine, Jules Forget, Pierre de Nolhac, Georges Payelle, Paul Manivet, Joseph Germain-Lacour, Marie de Valandré, Stanislas de Guaita, Émile Michelet, Henri Bernès, Henri Beauclair, Paul Mariéton, Émile Peyrefort, Abel Hermant, Victor Pittié, Jules Boissière, Maurice Vaucaire, Jean Ajalbert, Marcel Collière, Louis Marsolleau, Henri de Régnier, Pierre Quillard, Rodolphe Darzens, Victor Margueritte Éphraïm Mikhaël, Georges Rodenbach, Émile Verhaeren, Albert Giraud, Juste Olivier, Frédéric Monneron, Henri-Frédéric Amiel, Eugène Rambert, Philippe Godet, Jules Cougnard, Henri Warnery, Jules Carrara, Alice de Chambrier, Ernest Bussy, Adolphe Ribaux, Charles Fuster, Hélène Vacaresco, Stuart Merrill, Francis Vielé-Griffin, Louis Fréchette.
Reference : 79375
(1888)
Paris, Alphonse Lemerre, 1888, in-8, demi-chagrin marron, caissons décorés, 409, 467, 413, 473p. Ouvrage présentant une notice et un choix de pièces pour chaque poète. Intérieur de toute fraîcheur, sans rousseurs, tant pour le texte que pour les gravures. Légers frottements sans gravité aux reliures hormis une épidermure plus prononcée en pied du tome 4. (voir photo). T1 : André Chénier, Marie-Joseph Chénier, Jean-Baptiste Legouvé, Arnault, Chateaubriand, Chênedollé, Désaugiers, Nodier, Béranger, Millevoye, Guttinguer, Pierre Lebru, Soumet, Madame Desbordes-Valmore, Lamartine, Émile Deschamps, Casimir Delavigne, Mme Amable Tastu, Jean Reboul, Barthélemy et Méry, Alfred de Vigny, Antoni Deschamps, Victor Hugo, Auguste Brizeux, Sainte-Beuve, Amédée Pommier, Auguste Barbier, Daniel Stern,Félix Arvers, Dovalle, Aloïsius Bertrand, Ernest Legouvé, Gérard de Nerval, Gustave Mathieu, Pétrus Borel, Napol le Pyrénéen, Jules Lacroix , Théophile Gautier, Hégésippe Moreau, Alfred de Musset, Auguste de Châtillon,Xavier Marmier Victor de Laprade, F. de Gramont, Joseph Autran, Louis Veuillot, L. Ackermann , Alfred des Essarts, Anaïs Ségalas, Charles Coran , Auguste de Belloy, Joséphin Soulary, Arsène Houssaye, L. de Ronchaud. T2 Leconte de Lisle, Amédée Rolland, Alfred Busquet, Auguste Vacquerie Édouard Grenier, Gustave Levavasseur, Émile Augier, Auguste Lacaussade, Charles Reynaud, Charles Baudelaire, Pierre Dupont, Gustave Nadaud, Ernest Prarond, Henry Murger, André Lemoyne, Louis Bouilhet, Maxime Du Camp, Théodore de Banville, Eugène Manuel, Léon Laurent-Pichat, Jules Barbier, Charles Monselet, Henri de Bornier, Claudius Popelin, Dionys Ordinaire, Louis Ratisbonne, Jules Breton, Valéry Vernier, Marc Monnier, Francis Pittié, Octave Lacroix, Léopold Laluyé, Émile Chevé, Philoxène Boyer, Philippe Gille, Alexandre Piedagnel, André Theuriet , André Lefèvre, Édouard Pailleron, Camille Delthil, Léon Cladel Madame Blanchecotte, Armand Renaud, Madame de la Roche-Guyon, Alcide Dusolier, Georges Lafenestre, Félix Frank, Aristide Frémine, Armand Silvestre, Léon Dierx, Achille Millien, Albert Glatigny, Sully Prudhomme, Émile Blémont, Ernest d’Hervilly, Emmanuel des Essarts, Charles Canivet, Saint-Cyr de Rayssac, André Gill Alphonse Daudet, Albert Mérat, Henri Cazalis, Gabriel Marc, Jacques Richard, Léon Valade, Charles Frémine, Villiers de l’Isle-Adam. T3 François Coppée, José-Maria de Heredia, Stéphane Mallarmé, Raoul Lafagette, Charles Cros, Eugène Vermersch, Paul Arène, Charles de Pomairols, Paul Delair, Louis-Xavier de Ricard, Paul Haag, Camille Macaigne, Paul Verlaine , Anatole France, Antony Valabrègue, Paul Demeny, Léon Barracand, Louisa Siéfert, Émile Bergerat, Lucien Paté, Maurice Rollinat, François Fabié, Paul Déroulède, Georges Boutelleau, Edmond Lepelletier, Jean Aicard, Gabriel Vicaire, Jacques Normand, Gustave Rivet, Émile Dodillon, Jean Richepin, Mme Alphonse Daudet, Albert Delpit, Louis Tiercelin, Hippolyte Buffenoir, Guy de Maupassant, Charles Grandmougin, Léon Duvauchel Frédéric Bataille, Henri Chantavoine, Émile Goudeau, Robert de Bonnières, Clovis Hugues, Paul Marrot, Frédéric Plessis, Amédée Pigeon. T4 Paul Bourget, Victor Billaud, Georges Gourdon, Sutter-Laumann, Raoul Gineste, Robert Caze, Jules Lemaître, Paul Harel, Jules d’Auriac, Mme Gustave Mesureur, Maurice Bouchor, Maurice Montégut, Georges Leygues, Fernand Icres, Joseph Gayda, Eugène Godin, Arthur Rimbaud, Louis le Lasseur de Ranzay, Georges Nardin, Jules Truffier, Henri-Charles Read, Auguste Dorchain, Edmond Haraucourt, Tancrède Martel, Félix Jeantet, Laurent Tailhade, Raphaël-Georges Lévy, Jeanne Loiseau, Jean Rameau, Félicien Champsaur, Victor d’Auriac, Gaston de Raimes, Eugène le Mouël, Jacques Madeleine, Jules Forget, Pierre de Nolhac, Georges Payelle, Paul Manivet, Joseph Germain-Lacour, Marie de Valandré, Stanislas de Guaita, Émile Michelet, Henri Bernès, Henri Beauclair, Paul Mariéton, Émile Peyrefort, Abel Hermant, Victor Pittié, Jules Boissière, Maurice Vaucaire, Jean Ajalbert, Marcel Collière, Louis Marsolleau, Henri de Régnier, Pierre Quillard, Rodolphe Darzens, Victor Margueritte Éphraïm Mikhaël, Georges Rodenbach, Émile Verhaeren, Albert Giraud, Juste Olivier, Frédéric Monneron, Henri-Frédéric Amiel, Eugène Rambert, Philippe Godet, Jules Cougnard, Henri Warnery, Jules Carrara, Alice de Chambrier, Ernest Bussy, Adolphe Ribaux, Charles Fuster, Hélène Vacaresco, Stuart Merrill, Francis Vielé-Griffin, Louis Fréchette. Portraits à l'eau forte en hors texte sur papier fort de : M. Desbordes-Valmore, Lamartine, A. de Vigny, V. Hugo, Brizeux, A. de Musset, Soulary, Leconte de Lisle, C. Baudelaire, A. Lemoyne, L. Bouilhet, T. de Banville, G. Theuriet, Sully-Prudhomme, L. Daudet, F. Coppée, P. Arène, A. France, M. Rollinat, J. Richepin, Mme A. Daudet, P.Bourget, J. Lemaître, A. Dorchain, Mlle J. Loiseau, R. Darzens, G. Rodenbach, A. Ribaux. Figurent 2 inédits en édition originale d'Arthur Rimbaud.