P., Gauthier-Villars, 1869-1873, 3 volumes in 8 reliés en demi-chagrin rouge à coins (reliures de l'époque), (petites traces mouillures dans l'angle inférieur des derniers feuillets du troisième volume).
---- EDITIONS ORIGINALES ---- TRES BEL EXEMPLAIRE ---- ENVOI DE L'ABBE AOUST ---- "L'Abbé Aoust, mathématicien français, fut professeur de calcul différentiel et intégral à la Faculté des sciences de Marseille. Il est l'auteur de travaux qui lui assurèrent un des premiers rangs parmi les représentants de l'enseignement scientifique en province". (Vapereau) ** 123.N7AR
Typ. Et Lith. Barlatier-Feissat et Demonchy à Marseille Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1865 Book condition, Etat : Bon relié, reliure papier relieur gris et blanc moderne, pièce de titre au dos In-8 1 vol. - 25 pages
1ere édition, 1865 Contents, Chapitres : Urbain Le Verrier, né à Saint-Lô le 11 mars 1811, mort à Paris le 23 septembre 1877, est un astronome et mathématicien français spécialisé en mécanique céleste, découvreur de la planète Neptune et fondateur de la météorologie moderne française. - Urbain Le Verrier devient célèbre lorsque la planète dont il a calculé les caractéristiques comme cause hypothétique des anomalies des mouvements d'Uranus, est effectivement observée par l'astronome allemand Johann Galle à l'observatoire de Berlin, le 23 septembre 1846. On baptisera Neptune cette nouvelle planète, malgré la proposition par François Arago, sous le chantage de Le Verrier (une rumeur prétend qu'Arago a une liaison avec Madame Le Verrier), qui fut faite de la baptiser Le Verrier auprès de l'Académie des sciences, alors que les Anglais proposent Janus ou Oceanus. La planète Uranus, découverte par William Herschel en 1781, présentait en effet des irrégularités par rapport à l'orbite qu'elle aurait dû avoir suivant la loi de la gravitation universelle d'Isaac Newton. Le Verrier postule que ces irrégularités peuvent être provoquées par une autre planète, encore jamais observée. Encouragé par François Arago, Le Verrier se lance en 1844 dans le calcul des caractéristiques de cette nouvelle planète (masse, orbite, position actuelle), dont il communiquera les résultats à l'Académie des Sciences le 31 août 1846. Ces calculs seront confirmés (à peu de chose près) par Johann Galle, qui observa le nouvel astre le jour même où il reçut sa position par un courrier de Le Verrier. Devant l'Académie des Sciences, Arago prononcera la célèbre phrase : « M. Le Verrier vit le nouvel astre au bout de sa plume ». La Royal Society lui décerne la médaille Copley la même année avec pour éloge «un des plus grands triomphes de l'analyse moderne appliqué à la théorie de la gravitation ». Cette découverte sera le sujet de nombreuses polémiques à l'époque, puisque ces calculs ont été effectués en même temps par John Couch Adams, mais sans qu'aucun d'eux ne connaisse les travaux de l'autre. Les caractéristiques de la planète avaient été déterminées par Adams un an plus tôt mais n'avaient pas été publiées. En 1846, est créée pour Le Verrier une chaire de mécanique céleste à la Faculté des sciences de Paris. Pierre-Ossian Bonnet lui succédera en 1878. Plus tard, Le Verrier tenta de répéter le même exploit pour expliquer les perturbations de Mercure. Après plusieurs observations par d'autres astronomes de taches rondes passant devant le Soleil (dont celle, célèbre, du docteur Lescarbault en 1860), Le Verrier en déduit la présence d'une autre planète, Vulcain, dont il prédit le passage devant le Soleil en 1877. Ces prédictions se révéleront inexactes, et ces anomalies seront expliquées un demi-siècle plus tard par Albert Einstein avec la théorie de la relativité générale. (source : Wikipedia) - L'abbé Aoust, professeur à la faculté des sciences de Marseille et directeur de l'Académie des Sciences de cette même ville en 1866 reliure moderne en bon état, à peine jaunie, intérieur frais et propre, trace de collant sur les pages de gardes, intérieur sinon frais et propre, papier à peine jauni
Paris, Mallet-Bachelier, 1864-1867.
Première édition. L'abbé Louis Stanislas Aoust (Béziers, 1814-1885) était professeur de mathématiques pures et appliquées à la Faculté des Sciences de Marseille. Complet des deux parties, publiées avec trois ans d'écart. /// In-8 de 60, 91 pp. Demi-toile verte. (Reliure moderne.) //// /// PLUS DE PHOTOS SUR WWW.LATUDE.NET
Typ. Et Lith. Barlatier-Feissat, père et fils à Marseille Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1877 Book condition, Etat : Bon relié, reliure simili-velin moderne, pièce de titre au dos In-8 1 vol. - 43 pages
1ere édition, 1877 Contents, Chapitres : Introduction - Combats de la science - La naissance de Le Verrier, premières luttes - Ses premières études en astronomie - Stabilité du système du monde - Son mariage - Sa présentation à l'Académie - Publication des tables de Mercure - Son entrée à l'Académie, Neptune - Première contestation sur la découverte de Neptune - Parallèle de Le Verrier et Adams - Comètes périodiques - Détermination des étoiles fondamentales - Deuxième contestation de la découverte de Neptune - Nomination à l'Observatoire national - Travail de réorganisation - Services des avertissements télégraphiques - Observatoire de Marseille - Théories des planètes voisines - Essaims d'astéroïdes - Révocation des fonctions de directeur de l'Observatoire - Théorie de Jupiter, théorie de Saturne - Théorie d'Uranus et de Neptune - Honneurs à ses travaux - Tables d'Uranus et de Neptune - Sa foi en l'existence de Dieu - Notes, 6 pages dont une lettre de Le Verrier - Urbain Le Verrier, né à Saint-Lô le 11 mars 1811, mort à Paris le 23 septembre 1877, est un astronome et mathématicien français spécialisé en mécanique céleste, découvreur de la planète Neptune et fondateur de la météorologie moderne française. - Urbain Le Verrier devient célèbre lorsque la planète dont il a calculé les caractéristiques comme cause hypothétique des anomalies des mouvements d'Uranus, est effectivement observée par l'astronome allemand Johann Galle à l'observatoire de Berlin, le 23 septembre 1846. On baptisera Neptune cette nouvelle planète, malgré la proposition par François Arago, sous le chantage de Le Verrier (une rumeur prétend qu'Arago a une liaison avec Madame Le Verrier), qui fut faite de la baptiser Le Verrier auprès de l'Académie des sciences, alors que les Anglais proposent Janus ou Oceanus. La planète Uranus, découverte par William Herschel en 1781, présentait en effet des irrégularités par rapport à l'orbite qu'elle aurait dû avoir suivant la loi de la gravitation universelle d'Isaac Newton. Le Verrier postule que ces irrégularités peuvent être provoquées par une autre planète, encore jamais observée. Encouragé par François Arago, Le Verrier se lance en 1844 dans le calcul des caractéristiques de cette nouvelle planète (masse, orbite, position actuelle), dont il communiquera les résultats à l'Académie des Sciences le 31 août 1846. Ces calculs seront confirmés (à peu de chose près) par Johann Galle, qui observa le nouvel astre le jour même où il reçut sa position par un courrier de Le Verrier. Devant l'Académie des Sciences, Arago prononcera la célèbre phrase : « M. Le Verrier vit le nouvel astre au bout de sa plume ». La Royal Society lui décerne la médaille Copley la même année avec pour éloge «un des plus grands triomphes de l'analyse moderne appliqué à la théorie de la gravitation ». Cette découverte sera le sujet de nombreuses polémiques à l'époque, puisque ces calculs ont été effectués en même temps par John Couch Adams, mais sans qu'aucun d'eux ne connaisse les travaux de l'autre. Les caractéristiques de la planète avaient été déterminées par Adams un an plus tôt mais n'avaient pas été publiées. En 1846, est créée pour Le Verrier une chaire de mécanique céleste à la Faculté des sciences de Paris. Pierre-Ossian Bonnet lui succédera en 1878. Plus tard, Le Verrier tenta de répéter le même exploit pour expliquer les perturbations de Mercure. Après plusieurs observations par d'autres astronomes de taches rondes passant devant le Soleil (dont celle, célèbre, du docteur Lescarbault en 1860), Le Verrier en déduit la présence d'une autre planète, Vulcain, dont il prédit le passage devant le Soleil en 1877. Ces prédictions se révéleront inexactes, et ces anomalies seront expliquées un demi-siècle plus tard par Albert Einstein avec la théorie de la relativité générale. (source : Wikipedia) - L'abbé Aoust, professeur à la faculté des sciences de Marseille et directeur de l'Académie des Sciences de cette même ville en 1866 reliure en simili-velin en très bon état, intérieur frais et propre, mais le bord gauche de la plupart des pages a été réparé proprement avec du papier relieur, le texte étant toujours très lisible, cela reste un bon exemplaire de lecture d'un texte assez peu courant sur Le Verrier
P., Gauthier-Villars, 1873; un volume in 8 relié en demi-basane verte, dos orné de filets dorés (reliure de l'époque), 36pp., 418pp.
---- EDITION ORIGINALE ---- BEL EXEMPLAIRE ---- L'ABBE AOUST, mathématicien français, fut professeur de calcul différentiel et intégral à la Faculté des sciences de Marseille. Il est l'auteur de travaux qui lui assurèrent un des premiers rangs parmi les représentants de l'enseignement scientifique en province . (Vapereau) ** 124.N7DE
A l'usage des candidats a la licence es Sciences. Gauthier-Villars, Paris, 1873. In-8, mezza pelle, titolo oro al dorso, pp. XXXVI,418. Con lievi fioriture, peraltro ben conservato (slightly foxed, otherwise good condition).
Paris, Gauthier-Villars 1876 xx + 564pp., 23cm., br.orig. (qqs.manques de papier à la couverture), non coupé, texte et intérieur en très bon état, W82071
Paris, Gauthier-Villars 1869 xl + 314pp. illustré de quelques figures dans le texte, 1e édition, 23cm., brochure originale, pages toujours non coupées, qqs. rousseurs, très bon état, W94708
Paris, Gauthier-Villars, 1876, in-4, 564pp, demi-chagrin brun, dos à faux nerfs, L'abbé Aoust est un mathématicien et astronome français, né à Béziers en 1814, mort en 1885. Sa carrière universitaire s'est déroulée à Marseille. Ses travaux portent essentiellement sur la géométrie. Quelques unes de ses publications : Analyse infinitésimale des courbes planes : contenant la résolution d'un grand nombre de problèmes choisis, à l'usage des candidats à la licence es sciences Théorie des coordonnées curvilignes quelconques. Analyse infinitésimale des courbes tracées sur une surface quelconque. Sur l'analyse des courbes rapportées à un système quelconque de coordonnées. Considérations sur les études géométriques et cinématiques de M. Habich de Lima : lues dans la séance (de l'Académie de Marseille) du 15 décembre 1881. Nombreuses formules mathématiques avec des explications quand à leurs théories. Cachet ex-libris de Henri Viellard. Cachet annulé de l'institut catholique de Paris. Couverture rigide
Bon 564pp