Antony Deschamps (1800-1869), poète. L.A.S., sd [1854-1855], 1p in-8. A Hector Berlioz (1803-1869) : « Mon cher Berlioz, je vous ai enfin entendu hier, et je vous suis encore fort ému de votre belle oeuvre. C'est très vrai, très grand, très attendrissant et les plus grands poètes n'auraient pas eu plus de talent et plus de Caractère. Si vous les aviez chargés du Poème, il y a [?] que je savais que les plus forts sont aussi les plus gracieux. Vous avez donné un exemple [?] En fait de grâce et de naïveté, le récit du repos de la Ste Famille est un chef-d'oeuvre. JE vous aurais serré la mains avec bien du plaisir mais vous veniez de sortir. Tout à vous. Antoni Deschamps ». Antoni Deschamps écrit donc sur L'Enfance du Christ, créée le 10 décembre 1854. Rappelons que son frère, Emile Deschamps, avec écrit le livre de Roméo et Juliette. On joint un petit billet A.S. : « Je suis venu vous serrer la main et vous présenter mes compliments. Antoni Deschamps ». Belle lettre de compliments. [109-2]
Antony Deschamps (1800-1869), poète. L.A.S., Passy, 13 juin [1858], 1p in-12. A « mon cher Hippolyte », vraisemblablement Hippolyte Lamarche (1789-1860), pour lui demander un compte-rendu pour le livre de Marc Pessonneaux, La Vie à Ciel ouvert dans le journal Le Siècle. « Emile et moi nous vous prions de lui accorder votre intérêt et votre bienveillance habituelles ». [230]
Antony Deschamps (1800-1869), poète. L.A.S., sd, 1p in-12. A Samuel-Henry Berthoud (1804-1891) pour lui envoyer le [mot illisible] qu'il lui a demander et le remercier pour le « trop bienveillant article ». Il lui joint trois pièces de vers inédites. [230]