Amsterdam - Henri Desbordes - 1732 - 2 volumes in8 de 410 -7 et 336 - 6 pages - Reliure pleine basane d'époque - Coiffes un peu usées - Mors légérement frottés - Un mors fendu sur 3 cm - dos cinq nerfs ornés -
Bel exemplaire aux armes du grand bibliophile Louis Robert Hippolythe de Bréhant, Comte de Plélo (1699 - 1734) qui fut notamment ministre plénipotentiaire de France au Danemark en 1728 - En 1733, il soutint Stanislas Leczinski en Pologne et y mourut en 1734 - Un des recueils les plus typiques de l'ancienne littérature facétieuse française -
Paris, Jouaust, Paris, Jouaust1880 ; in-8, demi-basane rose, dos à nerfs, couvertures conservées, non rognés. (Reliure moderne) Édition tirée à petit nombre sur papier vergé. Le Metel d’Ouville (1589-1655) était ingénieur. Pauvre, il a vécu grâce à la générosité de son frère, le dramaturge François Le Metel de Boisrobert. On lui doit plusieurs recueils de Contes grivois, bons mots, équivoques et gasconnades, la plupart tirés de Béroalde de Verville, du Poge, Domenichi et d’autres. Certains auteurs tels La Monnoye, attribuent ces contes à Boisrobert qui aurait emprunté le nom de son frère pour donner ses pièces légères. - Gay II, 85 -
Paris, Librairie des bibliophiles [Jouaust], 1883 2 vol. in-8° br., (2) ff., VII-314 pp., (1) p.; (2) ff., 347 pp., (1) p.
De la collection des conteurs français. Exemplaire sur papier vergé. Vicaire II, 962; Cioranescu, 42328.
Phone number : 02 47 97 01 40
[Oeuvre d'Auteuil] - D'OUVILLE, Sieur ; (BRUNET, G.) ; [ LE METEL D'OUVILLE, Antoine ]
Reference : 64146
(1883)
Un des 100 exemplaires sur papier de hollande numérotés de 61 à 260 (n° 115), Réimprimée sur l'édition de Rouen 1680 avec une Préface et des Notes par G. Brunet, 2 vol. grand in-8 reliure de l'époque demi-maroquin à coins brun, dos lisse orné, double filet doré en mors et coins, tête dorée, couvertures conservées, reliure signée de l'Oeuvre d'Auteuil, Jouaust, Librairie des Bibliophiles, Paris, 1883, VII-314 ; 347 pp.
Tirés en partie du "Moyen de parvenir", ces contes d'Antoine Le Métal d'Ouville (1589-1656) furent également attribués à son frère François Le Métel de Boisrobert. Bel exemplaire très bien relié (qq. rouss. en garde, belle fraîcheur par ailleurs).