Nouvellement convertie à l'évangile fait du temps de leur ré-formation et comment ils l'ont rédigez par script en fourme de Chroniques Annales ou l'histoire commençant en l'an 1532. 1854, imprimé par Iules Guillaume Fick à Genève, 249 p., extrait contenant tout ce qu'il y a d'important dans les registres publics de Genève par Jacques Flournois, 209 p., tables de matières. Mis en lumière par Gustave Revillion.
Bel exemplaire, couverture déchirée en haut.
Genève Impr. de Jules-G. Fick, 1854 in-8 de XXXI, 249 S., CCIX, 1 p. Titre, et en-tetes, initiales, scenes et portraits hors-textes xylographies.vélin à recouvrement Exemplaire de Mignet avec un envoi de G. Revillod.
bel exemplaire .. Orné de gravures hors texte.
Genève, Jules Guillaumes Fick, 1854. In-8 de XXXI-[1]-249-[3]-CCIX-[7]p. plein vélin souple à rabat, attaches (1,5 sur 4). Imprimé sur un joli papier ivoire. Quelques rares taches pâles.
Illustré de 40 pl. hors-texte la plupart par A. Gandon. Antoine Froment, né à Mens dans le Dauphiné en 1508 ou 1509 et mort à Genève le 6 novembre 1581, est un réformateur et pasteur genevois. Il est considéré, au même titre que Jean Calvin ou Guillaume Farel - dont il a été l'élève et qu'il a suivi dans plusieurs villes de Suisse romande -, comme un précurseur de la Réforme protestante à Genève.Le 1er janvier 1533, il prêche à la place du Molard, à Genève. Mis en garde par le Conseil de la ville, il devra, quelques jours plus tard, quitter Genève. Il retourne alors à Yvonand, paroisse dont il avait la charge comme pasteur depuis deux ans. Il est également l'époux de la théologienne Marie Dentière - seule femme à avoir son nom inscrit sur le Monument international de la Réformation. Outre sa carrière théologique, il a aussi mené une carrière littéraire. De 1549 à 1552, il a été l'assistant du chroniqueur et historien genevois François Bonivard. Il est aussi l'auteur de «Les actes et gestes merveilleux de la cité de Genève, nouvellement convertie à l’Évangile». Il est mort à Genève le 6 novembre 1581. (wiki).
A Genève, Imprimé par Iules Guillaume Fick, 1854. In-8 de XXIX-249-CCIX-[6] pages, reliure plein vélin à recouvrement et attaches, titre au dos. Les attaches manquent et le vélin est un peu sali. Non coupé.
Illustré d'une vignette à la page de titre, de 40 hors-texte en noir, la plupart par A. Gandon. Bandeaux, lettrines et culs-de-lampe.