Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 28 novembre 1833 (Planche n°334) - Œuvre : Hauteur: 27.2cm x Largeur: 35.9cm - Image : Hauteur: 15.5cmx Largeur: 29.5cm - Titre en bas au centre : « Echec et mat ! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°159 [160]. », en ht à dte : « Pl. 332. » [erreur de numérotation] - Dans la lettre : « chez Aubert, galerie véro dodat » [presque illisible] [éditeur], « L. de Becquet, rue de Furstemberg 6 » [imprimeur]Description iconographique:Pl. représentant un plateau de jeu d’échecs faisant s’affronter deux adversaires : l’équipe du juste-milieu (c’est-à-dire le gouvernement de Juillet) et le camp de la liberté. L’explication précise que le dessinateur a choisi de représenter, non pas le début d’une partie, mais une partie en cours. Certains éléments sont donc déjà « soufflés » (in explication). La partie touche à sa fin : il ne reste plus au juste-milieu que ses deux tours (Soult et d’Argout), son fou (Thiers) et un de ses pions, « représentant une très petite partie de la force civique, la partie adorant quand même, la partie incurablement cataracteuse, la partie Tamerlan » (in explication). Restent également Barthe dans sa tour portant le motif de la balance de la justice, et Persil dans une tour portant le motif de la hache. Dans le camp de la liberté, les figures restantes sont plus nombreuses : les fous sont représentés par le « Charivari » et la « Caricature », les cavaliers par le « NATIO // NAL [NATIONAL] » et la « TRIBU // NE [TRIBUNE] ». Le roi est incarné par le coq gaulois, fier et flamboyant. Enfin, les pions dans le camp de la liberté sont « les hommes de juillet » (in explication) portant le bonnet phrygien, et les tours contiennent une foule de patriotes républicains et représentent la « Societé [Société] // des amis // du Peuple » et la « Societé [Société] // des droits // de l’homme ». Le dénouement de la partie se joue sur l’échec et mat effectué par la figure de la liberté (femme habillée à l’antique, portant un bonnet phrygien et une torche allumée), en acculant dans un coin la figure du roi Louis-Philippe, vu de dos, à gche au premier plan. L’explication précise que le dessinateur n’a pas décrit la situation politique d’alors mais bien plutôt une vision idéale de ce vers quoi tendent les républicains.Personne / Personnage représenté:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Barthe, Félix; Persil, Jean-Charles; Soult, Nicolas-Jean de Dieu
iconographie:Pl. représentant un plateau de jeu d’échecs faisant s’affronter deux adversaires : l’équipe du juste-milieu (c’est-à-dire le gouvernement de Juillet) et le camp de la liberté. L’explication précise que le dessinateur a choisi de représenter, non pas le début d’une partie, mais une partie en cours. Certains éléments sont donc déjà « soufflés » (in explication). La partie touche à sa fin : il ne reste plus au juste-milieu que ses deux tours (Soult et d’Argout), son fou (Thiers) et un de ses pions, « représentant une très petite partie de la force civique, la partie adorant quand même, la partie incurablement cataracteuse, la partie Tamerlan » (in explication). Restent également Barthe dans sa tour portant le motif de la balance de la justice, et Persil dans une tour portant le motif de la hache. Dans le camp de la liberté, les figures restantes sont plus nombreuses : les fous sont représentés par le « Charivari » et la « Caricature », les cavaliers par le « NATIO // NAL [NATIONAL] » et la « TRIBU // NE [TRIBUNE] ». Le roi est incarné par le coq gaulois, fier et flamboyant. Enfin, les pions dans le camp de la liberté sont « les hommes de juillet » (in explication) portant le bonnet phrygien, et les tours contiennent une foule de patriotes républicains et représentent la « Societé [Société] // des amis // du Peuple » et la « Societé [Société] // des droits // de l’homme ». Le dénouement de la partie se joue sur l’échec et mat effectué par la figure de la liberté (femme habillée à l’antique, portant un bonnet phrygien et une torche allumée), en acculant dans un coin la figure du roi Louis-Philippe, vu de dos, à gche au premier plan. L’explication précise que le dessinateur n’a pas décrit la situation politique d’alors mais bien plutôt une vision idéale de ce vers quoi tendent les républicains.Personnages représentés:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Barthe, Félix; Persil, Jean-Charles; Soult, Nicolas-Jean de Dieu
Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 4, 25 octobre 1832 (Planche n°212)Dimensions Hauteur: 35.6cm x Largeur: 27cm - Image = Hauteur: 16cm x Largeur: 17.5cm - Titre en bas au centre : « Elle est belle, dit-il, // Mais le moindre grain de mil // Ferait bien mieux mon affaire. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°103 », en ht à dte : « Pl. 212. » Inscription - Dans la lettre : « [Lith.] de Becquet, r. Childebert, 9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, passage Véro-Dodat. » [éditeur] ; attribution : ?la table des matières du 4e vol. de La Caricature attribue cette pl. à « Fran…. ». Un coq multicolore prononce les paroles contenues dans le titre en voyant une croix de la légion d’honneur posée sur un petit talus. Usant d’un détournement de la fable de La Fontaine Le coq et la perle (1668), la pl. dénonce la forte tendance qu’a le gouvernement à distribuer les décorations tandis que c’est d’autre chose que la France a besoin en réalité.
La Caricature politique, morale, littéraire et scénique : Lithographie Pl.356 - Dimensions - Œuvre : Hauteur: 35cmx Largeur: 26.7cm - Dimensions - feuille : Hauteur: 49.4cmx Largeur: 32.5cm
Satireblatt auf König Louis-Philippe und seine Minister nach dem Tafelbild "Christi Dornenkrönung" von Titzian (1542).
La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 2, 1831, (Planche n°95)- Lithographie - Oeuvre:: Hauteur: 27.4cmxLargeur: 36.4cm- Delaporte, Victor Hippolyte (29–01–1804), imprimeur-lithographe -Aubert (Imprimeur, lithographe, éditeur), editeur
rousseurs et taches en marge,dans l'etat
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 3 janvier 1833 (Planche n°234) - Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27.2cmx Largeur: 35.8cm - Image: Hauteur: 17cmx Largeur: 24.5cm - Titre en bas au centre : « ÉTRENNES AU POUVOIR. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°113. », en ht à dte : « Pl. 234. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : ?
Description :Observations : cf. explication de la pl. p. 901; description, analyse : pendant de la pl. 235 présente dans le même numéro. La table des matières du 5e vol. de La Caricature attribue cette pl. à « Fez… ». A l’occasion du passage à la nouvelle année, La Caricature propose de mettre en image les étrennes qu’elle ambitionne d’offrir au gouvernement. A l’arrière-plan à dte se détachent les silhouettes du palais des Tuileries, du pont de la Concorde et du bâtiment de la Chambre des députés (actuelle Assemblée nationale). Au premier plan (se situant aux « Champs-Elysées » d’après l’explication), un amoncellement d’objets en tous genres au sommet duquel est assis un personnage ressemblant à un diable : il est nu, ses oreilles sont en pointe, il porte une petite barbe en taillée en pointe et une chevelure dont la forme s’apparente à celle d’une flamme. Les objets rassemblés sont des ustensiles de cuisine (marmites, casseroles, écumoirs, moules à gâteau, plats…), divers autres objets (pelles, couvercles, baignoire…) présentant tous comme caractéristique d’être en métal et de pouvoir, par conséquent, produire du bruit s’ils sont percutés. De même se trouvent des instruments de musique : tambours, caisses, cornes, flûtes, cloches, grelots… L’explication précise que ces objets ont été rassemblés pour « fêter notre législature à la fin de sa session ». La pl. prend les devants pour les festivités qui seront susceptibles d’accompagner le triomphe du peuple à la fin de la session de la chambre des députés qui doit avoir lieu le 5 janvier 1833.
Lithographie Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 4, 4 octobre1832 (Planche n°204),pli central ,tache en marge - Œuvre : Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm - Image : Hauteur: 19.3cmx Largeur: 16cm- indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°100. », en ht à dte : « Pl. 204. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert, N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro-Dodat. » [éditeur]
iconographie:Deux personnages en pied conversent. L’un, de dos, est Louis-Philippe en redingote donne une poignée de main à l’autre, un pauvre chiffonnier. Sur le mur du fond se profile l’ombre d’un certain nombre de gardes nationaux. La pl. se moque de la tendance qu’a le roi à serrer la main des Français afin de gagner leurs faveurs.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français
La Caricature politique, morale, littéraire et scénique Lithographie : planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 31 janvier 1833, (Planche n°243
Lithographie : Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 6 septembre 1832 (Planche n°196) - Œuvre : Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm - Image : Hauteur: 17.9cmx Largeur: 16.5cm - Titre en bas au centre : « Je n’ai pu atraper [attraper] que ça pour ma compagnie…… // ma foi tant pis ! » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°96. », en ht à dte : « Pl. 196 » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert Galerie Vero Dodat » [éditeur] ; attribution : ?la table des matières du 4e vol. de La Caricature précise le titre : « Le tambour apportant la provision de croix » et attribue la pl. à « V. ». Un tambour de grenadier se tient debout, de face au premier plan. Il a les bras chargés de croix de la légion d’honneur. A l’arrière-plan, deux autres militaires plient sous le poids d’énormes sacs contenant des décorations. La pl. dénonce, par le biais de l’ironie, les largesses du gouvernement dans la distribution de décorations, en vue de flatter la vanité des hommes dans le but de les rallier à sa cause.
Anonyme - Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur-lithographe
Reference : 25991
La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique volume 2, 4 aout 1831,N°80 -rousseurs - Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image:: Hauteur: 20.7cmx Largeur: 26cm- Titre en bas au centre : « Le cri du peuple. » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « N°80. » - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro Dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, date : « 1831 »Inscription - Différents éléments auxquels est amarré le trône : « Ste ALLIANCE », « CLERGE », « Pairie Heréditaire [Héréditaire]», « Sens [cens] / Electoral », « Contribu-/ tions [Contributions] » ; sur la pierre, près du menuisier : « 28.29. / 1830 »
explication de la pl. p. 313 ; description, analyse : le trône royal est entouré de protecteurs : militaires, ecclésiastiques, étrangers (notamment la Sainte-Alliance de la Russie, l’Autriche et la Prusse) qui font poids pour l’empêcher de s’envoler. Il est également retenu au sol par la pairie héréditaire, le prix du cens électoral permettant d’écarter la frange la moins aisée de la population… Au premier plan, un homme du peuple, taillant le pied d’un nouveau trône, certainement, qui, celui-ci, prendrait appui sur des bases républicaines, comme tendent à le faire comprendre les inscriptions sur la pierre (dates des Trois Glorieuses). La pl. tend à montrer qu’un régime, s’il veut durer, doit à tout prix recevoir l’appui du peuple : « c’est que tout trône qui n’est point assis sur les bases inébranlables de la liberté doit finir par tomber devant le cri du peuple (…) »