Yverdon de l'imprimerie de J. Mesnier 1781 in 16 (17x10) 1 volume reliure demi basane fauve ancienne, dos lisse orné de filets dorés, pages 259 à 450, avec 5 planches gravées dépliantes in fine. Mathieu Louis Anibert, 1742-1782, avocat, poète et historien arlésien. Ce volume renferme la: Suite de la IIIe partie seule. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Reliure
Arles Chez Jacques Mesnier, Imprimeur du Roi 1779 in 12 (18x11) 1 volume reliure demi basane bleue, dos lisse orné de filets dorés, 105 pages, avec une planche gravée dépliante in fine: Plan de la grotte de la montagne de Cordes. Rare. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide
A Arles, chez Jacques Mesnier, Imprimeur du Roin de Monseigneur l'Archevêque, du Clergé & de la Ville, 1779, 1 volume in-12 de 185x110 mm environ,1f.blanc, 106 pages, 1f. (permission), 1 planche dépliante (Plan de la Grotte), 1f.blanc, demi-reliure moderne, demi basane fauve, dos à 4 nerfs portant titres dorés. Feuillets non rognés. Mouillures sur l'ensemble de l'ouvrage.
Mathieu Louis Anibert (né à Arles, paroisse Saint-Pierre-de-Trinquetaille, le 12 octobre 1742, et décédé dans la même paroisse le 19 novembre 1782) était un avocat, un poète et un historien arlésien.L'hypogée de Cordes, également appelé Grotte des Fées, ou Hypogée des Fées de Cordes ou encore Épée de Roland, est l'« un des plus impressionnants monuments mégalithiques de l'Europe occidentale ». C'est le plus grand des quatre et il est situé dans la partie occidentale et la plus élevée de la crête de la montagne de Cordes, en face du plateau du Castelet où se trouvent les trois autres hypogées.Il fut le premier à être exploré et documenté : Louis Mathieu Anibert (1742-1782), Dissertation topographique et historique sur la montagne de Cordes et ses monumens, J. Mesnier Arles 1779. La cavité mesure 42 m de long et s'enfonce à 4 m de profondeur. Elle a, en vue aérienne, la forme d'une épée médiévale d'où son surnom d'« épée de Roland ». Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Yverdon, et se vend à Arles, 1779-1781 4 vol. in-12, vij-[3]-xxiv-192 pp. ; [2] ff. n. ch., 284 pp. ; titre, xj-258 pp. ; titre, pp. 259-450, avec 5 planches dépliantes de sceaux (toutes dans le dernier volume), basane fauve racinée, dos lisses ornés de guirlandes, fleurons et semis géométriques dorés, pièces de titre et de tomaison brique, chaînette dorée sur les coupes, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Accroc à une coiffe supérieure, mais bon exemplaire.
Unique édition, rare complète des trois parties (ou quatre, la dernière étant à son tour divisée, mais avec pagination continue). C'est l'ouvrage le plus important et le plus connu de l'historien d'Arles Louis-Mathieu Anibert, qui devait mourir le 19 novembre 1782 à l'âge de 40 ans seulement. Né à Trinquetaille, il s'orienta vers l'histoire de sa ville après plusieurs essais littéraires dans le goût de l'époque, mais peu convaincants. La jalousie et les sarcasmes de l'abbé Papon sur ses travaux ne doivent pas impressionner : Anibert fut un précurseur dans ses recherches.Cioranescu, XVIII, 8042.Relié à la suite, du même auteur : Dissertation topographique et historique sur la montagne de Cordes, et ses monumens. Arles, Jacques Mesnier, 1779, v pp., pp.7-106, un f. n. ch. de permission, avec une planche dépliante "in fine" (la grotte de la "montagne" de Cordes). Unique édition du premier ouvrage d'Anibert, de loin le plus rare. Cioranescu, 8041. La montagne des Cordes est sise sur les contreforts des Alpilles au nord-est de la ville d'Arles. Ce qu'Anibert appelle "grotte" et qui fut mis au jour cette meme année 1779 est en réalité un hypogée, qui était obstrué et ne fut pas fouillé lors de la découverte. On parla pendant plus d'un demi-siècle de "grotte des fées" jusqu'à ce que des fouilles fussent entreprises à la demande du maire d'Arles Bernard Remacle, et ce ne fut qu'à partir de 1854. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Yverdon, et se vend à Arles, 1779-1781 3 parties en un fort vol. in-12, VII-[3]-XXIV-192-[4]-284-[2]-XI-450 pp., avec 5 planches dépliantes de sceaux "in fine", demi-basane havane, dos lisse orné de filets et guirlandes dorés, tranches mouchetées (reliure du XIXe s.). Dos un peu frotté.
Unique édition, rare complète des trois parties (ou quatre, la dernière étant à son tour divisée, mais avec pagination continue). - C'est l'ouvrage le plus important et le plus connu de l'historien d'Arles Louis-Mathieu Anibert, qui devait mourir le 19 novembre 1782 à l'âge de 40 ans seulement. Né à Trinquetaille, il s'orienta vers l'histoire de sa ville après plusieurs essais littéraires dans le goût de l'époque, mais peu convaincants. La jalousie et les sarcasmes de l'abbé Papon sur ses travaux ne doivent pas impressionner : Anibert fut un précurseur dans ses recherches.Exemplaire de la bibliothèque du Château de Dampierre, des ducs de Luynes, avec vignette ex-libris contrecollée sur les premières gardes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Arles Imprimerie J. Mesnier 1782 In-12 demi chagrin noir, dos à nerfs, fleurons dorés, tête dorée. XXVI-100 pages. (Reliure du XIXè siècle).
Extrêmement rare. Très bon exemplaire, frais non rogné et grand de marges.