2007 2007. Obalk: Andy Warhol n'est pas un grand artiste/ Champs-Flammarion 2007 . Obalk: Andy Warhol n'est pas un grand artiste/ Champs-Flammarion 2007
Bon état
1988 Londres, Chatto & Windus, 1988, 2 volumes 232x154mm contenus dans un étui conçu par Yolanda Cuomo (103537)
Réédition en fac-similé de ces deux livres d'enfants publiés à compte d'auteur au début des années 1950 en édition limitée. Bel exemplaire, petites brunissures au dos du second volume.
Phone number : +33 1 48 01 02 37
1970 13 Ensemble de 13 photogrammes 240x310mm en couleurs réalisés pour la promotion du film.Tirage originaux sur papier, un sticker doré apposé portant le texte: "Trash / Un film de Andy Warhol / Réalisé par Paul Morissey /Un certain goût de sexe / Interdit aux moins de 18 ans / Couleur".Trash est le deuxième film, d’une trilogie, écrit et dirigé en 1970 par le cinéaste Paul Morissey associé à Andy Warhol pour la production. A ce titre, Trash, doit être vu comme le témoignage d’un temps où tous les excès étaient permis et où les rêves et utopies occupaient principalement les esprits. Trash a dynamité les conventions Hollywoodiennes classiques tout en s’appropriant un nouveau style lui-même plein de clichés simplement actualisés. Les 13 tirages sous passe-partout. (102053)
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( Cinéma - Rock ) - Serge Gainsbourg - Jane Birkin - The Aphrodite Childs - Jean-Louis Trintignant - Joe Cocker - Andy Warhol - Cassius Clay - Collectif.
Reference : 29943
Revue SuperHebdo n° 42 du 21 au 27 janvier 1971. Grand in-4 en feuilles de 24 pages, au format 41,5 x 30 cm. Couvertures avec caricature de Serge Gainsbourg et Jane Birkin par Morchoine et photographies en couleurs de Jean-Louis Trintignant et anonyme. Hebdomadaire musical français consacré à la musique rock et pop, créé en 1970 par Franck G. Lipsik sur le modèle des hebdomadaires musicaux anglais Record Mirror, New Musical Express et Melody Maker. Il paraît chaque jeudi. Nombreux articles sur le Rock, la Pop, des sujets de société, le cinéma, la contre-culture, dont : Serge Gainsbourg, Jane Birkin, Jean-Louis Trintignant, Joe Cocker, Andy Warhol, Cassius Clay, etc. Complet du poster en couleurs du groupe " The Aphrodite Childs ". Nombreuses chroniques accompagnées de photographies en noir et blanc. Bel état de fraicheur pour cette fragile et rare édition originale. Exemplaire plié en son milieu avec petit trou.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Lombreuil Ed. Nouvelles Images / Sérigraphie / M56 / c gal. Castelli Déchirures marginales avec reprise de teinte. Voir photos. Bon état général.
Grand Central Publishing; Reprint édition (1 janvier 1991)
Broché, comme neuf.
Flammarion Broché D'occasion état correct 14/03/2007 222 pages
André , C. - R.Artschwager - M. Broodthaers - Christo - C. Close - R. Estes - N. Finkelstein - Sam Francis - Keith Haring - R Indiana - Jasper Johns - J Kacere - Sol Lewitt - Roy Lichtenstein - R Lindner - Agnes Martin - Don Nice - Claes Oldenburg - Mel Ramos - Robert Rauschenberg - Frank Stella - Myron Stout - Andy Warhol - William Wegman - Tom Wesselmann - Joe Zucker.
Reference : 50157aaf
Paris, Editions Enrico Navarra, 1990, gr. in-8vo, 120 p. ill. brochure originale illustrée,
Cet ouvrage illustré est présenté par 26 artistes
Phone number : 41 (0)26 3223808
"Andy Warhol David Bourdon Pierre Restany et Jean-Pierre Keller"
Reference : 18305
(1995)
"1995. Lausanne (Suisse) Fondation de l'Ermitage Collection José Mugrabi et Musée Olympique Fondation Antonio Mazzotta 1995 - 2 volumes brochés sous emboitage 23 5 cm x 27 5 cm 190 et 139 pages 139 et 50 oeuvres présentées - Textes en français et en anglais de David Bourdon Pierre Restany et Jean-Pierre Keller biographie notices - Très bon état"
Impression en offset. Imp, SA, Lalande Courbet. 1975. Dim: 49,3 x 78 cm. Parfait état.
Flesh est un film américain produit par ANDY WARHOL, dont il fut également directeur de la photographie, réalisé par Paul Morrissey en 1968.
Allemagne, Springer , 1986, in-4, relié, jaquette éditeur, 104 pages. Illustré par Andy Warhol. Bon état.
Paris, Schirmer Mosel, 1988, in-8°., Broché., 127 pages. Bon état. Texte en français.
"2. New York, Christie's, 2007, in-4°, 106 pp, sewn, original stiff wrapper. This catalogue describes lot 15 of the Christie's auction on 05/16/2007. It contains e.g. essays by Walter Hopps on Warhol's deaths ; Robert Brown on Car Crashes... Jeff Koons ''Pontificating Warhol's death''. Nice copy."
, Museum moderner Kunst, 1981 Original metal spiral, oblong; 48x15cm. 46 pages Text in German / English. In fine condition .
E. U. in Ausstellungskatalog Serie Reversal des Museums moderner Kunst.
New York Interview 1983
grand in-4 bien illustré noir et couleurs, 166. Cartonnage de l'éditeur, toile rouge, illustré. ::Numéro spécial, january/february 1984, comprenant une section pour les : XXIII Olymiad, Los Angeles 1984, a portfolio of photographs by Bruce Weber, présentation de Warhol. :: Agrafé, petite déchirure sans perte à la couverture. Ex-libris humide d'un collectionneur. Bon état.
Galerie Thaddeus Ropac; Bilingual édition (1 mai 2003)
Relié, jaquette illustrée, nombreuses illustrations, comme neuf.
2. Los Angeles, Christie, 1999, in-4°,75 pp, 98 colour illustrated items, sewn, orig. wrapper.
Galerie Thaddeus Ropac; Bilingual édition (1 mai 2003)
Relié, jaquette illustrée, nombreuses illustrations, comme neuf.
Paris, Éditions Grasset, édition originale, 1990. Broché, 15,5 cm x 24 cm, 793 pages. Texte de Andy Warhol, édition établie par Pat Hackett, traduction de Jérôme Jacobs et Jean-Sébastien Stelhi. Très bon état
Fabula Tuquets. 1975. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 268 pages. Texte en langue espagnole. . . . Classification Dewey : 460-Langues espagnole et portugaise
Classification Dewey : 460-Langues espagnole et portugaise
[REVUE] Giulio Carlo Argan, Beaudin, Boltanski, Georges Boudaille, Marcel Brion, Jacques Brosse, Camille Bryen, Dino Buzzati, Pierre Courthion, Salvador Dali, Sonia Delaunay, Pierre Descargues, G. di San Lazzaro, Bernard Dorival, Dubuffet, Patrizia Fassio Viscardi, Klaus Gallwitz, Giacometti, Gishia, A.M. Hammacher, Asger Jorn, Kandinsky, Kienholz, Gilbert Lascault, Hélène Lassalle, Le Yaouanc, Libéraki, Lipchitz, Alberto Magnelli, Giuseppe Marchiori, Guy Marester, Egle Marini, Marino, Henri Michaux, Henry Moore, Giorgio Morandi, Raymond Morineau, Andréi B. Nakov, le douanier Rousseau, Shinichi Segui, René de Solier, Giacinto Spagnoletti, Yvon Taillandier, Geneviève Testanière, Patrick Waldberg, Andy Warhol, Zao Wou-Ki, Zervos.
Reference : 8137
XXe SIECLE, N° 36, Paris, juin 1971. In-4 (315 x 248 mm), cartonnage illustrée de l'éditeur.
Avec une lithographie originale de Henry Moore. [8137]
Published by Taschen, Köln, 2020. (29x34.5cm.) 391pp. Hardcover, illustrated hard cover. Light marks on the front of the cover. Otherwise very good condition, impeccable interior. German and French translations at the end. Edité par Taschen, Köln, 2020. (29x34,5cm.) 391pp. Relié, couverture rigide illustrée. Légères marques sur le devant de la couverture. Autrement très bon état, intérieur impeccable. Traductions allemande et française à la fin.
(Collectif) Roy Lichenstein - Claes Oldenburg - James Rosenquist - Andy Warhol - Tom Wesselmann - David Bourdon
Reference : ZZ238
(1988)
Galerie 1900 - 2000 - La Galerie de poche, exposition du 29 février au 19 mars 1988. Plaquette agrafée, 295 X 210 mm, pagination absente. 48 reproductions en couleurs. Texte bilingue français-anglais de David Bourdon. Couverture légèrement passée, éraflure en tête d'une page (n'empiète pas sur l'illustration), intérieur bon.
Par l'auteur, s.l. 1981-1982, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une planche photographique.
Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). Bien des choses semblent opposer Warhol et Trivier. Andy Warhol est l'artiste du multiple, dont l'art nait de la métamorphose de l'artificiel consumériste et se joue de la prolifération de l'identique. Marc Trivier, lui, est un adepte de la rareté, chacune de ses photographies est réduite à quelques rares tirages tous différents par le temps et les variations du développement réalisé par l'artiste. Andy Warhol connait l'importance de l'image qui finit même par remplacer la personne elle-même. Il sait que les hommes jouent des rôles et c'est ce jeu qu'il capture. Ses séries diverses sur Elvis Presley, Marylin Monroe, ou encore Mao, montrent ce passage au statut d'icône qui rend ces êtres humains immortels et qui détruit aussi par là leur humanité pour en faire des images. Les photographies de Trivier accentuent à l'inverse la présence d'un corps pesant et faible dont l'artiste ne peut se débarrasser et qui fait obstacle à sa sacralisation. Fidèles à l'esprit de Warhol, les clichés photographiques que l'on connait de lui le présentent tantôt en star du rock, arborant son perfecto et ses lunettes de soleil à la manière de son protégé Lou Reed, tantôt en artiste excentrique, cheveux ébouriffés, ou simulant un match de boxe contre Basquiat. Chacune de ses photographies est ainsi une savante mise en scène de son personnage, maitrisée à l'excès, image de son image, que le maître de l'icône moderne contrôle entièrement. La photographie de Warhol par Marc Trivier présente une toute autre personne. Déséquilibré par une très légère contre-plongée, et projeté sur une toile noire placée derrière lui et qui découpe la scène en triptyque, le corps d'Andy Warhol semble s'extraire de ce fond obscur, tandis que ses jambes et ses lourdes bottes, légèrement surdimensionnées par la prise de vue, trônent inutiles au premier plan. Surpris par la longue attente que Trivier impose à ses modèles, Andy Warhol fixe le spectateur avec étonnement, comme pris en flagrant délit de désuvrement, impression accentuée par les doigts croisées de l'artiste. Portrait unique d'un artiste qui voulait «être du plastique» et qui, sous l'il deTrivier, révèle sa part d'intimité et la fragile humanité d'un corps sans artifice. - Photos sur www.Edition-originale.com -