André Vervoort (1865-1943), journaliste, homme politique. L.A.S., 12 décembre 1884, 1p in-8. En-tête de la France Libre. Il accepte l'invitation à dîner de Scholl et demande que son oncle de Bretagne ne soit pas présent. « Oh la famille ! ». Vervoort débute alors sa carrière. [217]
André Vervoort (1865-1943), journaliste, homme politique. L.A.S., 26 février 1898, 1p in-8. En-tête du Jour. Lettre à Scholl dans le cadre, semble-t-il, d'une négociation pour que Scholl y publie. Vervoort en est alors le rédacteur en chef. [217]
André Vervoort (1865-1943), journaliste, homme politique. L.A.S., 6 octobre 1886, 1p in-4. En-tête de la France Libre. Ayant su le départ de plusieurs collaborateurs de Scholl à L'Echo de Paris, il lui demande s'il peut avoir une place pour 2 articles par semaine payés « la moitié des appointements ». Scholl semble avoir accepté. Mais quelques temps plus tard, Vervoort ne sachant pas travailler pour les deux journaux, Scholl ne lui demandera plus qu'un article par semaine. [217]
André Vervoort (1865-1943), journaliste, homme politique. L.A.S., sd, 3p in-8. Longue lettre à Scholl qui lui a diminué son travail à un article par semaine. Il comprend Scholl et allait lui demander. En effet, il travaille à la France Libre et à l'Echo de Paris et on lui demandait trop pour un débutant. [217]
André Vervoort (1865-1943), journaliste, homme politique. L.A.S., sd, 1p in-8. Il ne peut aller voir Scholl à Etampes le lendemain. [217]
André Vervoort (1865-1943), journaliste, homme politique. L.A.S., sd, 1p in-8. Il remercie Scholl de l'avoir parrainé au Cercle de l'Escrime. Il y ira de temps en temps et se dit un peu rouillé. [217]
André Vervoort (1865-1943), journaliste, homme politique. L.A.S., sd [1896], 1p in-8. En-tête du Jour. Il demande à Scholl de dicter « une dizaine de lignes sur Gustave Claudin ». Cette lettre fait vraisemblablement suite au décès de Claudin en mars 1896. [217]
André Vervoort (1865-1943), journaliste, homme politique. C.A.S., sd, 5 lignes. A Scholl : « Mon rédacteur en chef, Pour la partie de campagne de demain - il fait un froid ! - dites-moi, en deux mots, votre avis, à la France Libre avant 10h du matin et soyez assuré de tout mon dévouement. AV ». [217]