Write to the booksellers2 books for « amoros y ondeano fran... »Edit
-
Topics
Army (1)
Europe (1)
History (1)
Spain (1)
Sports (1)
-
Syndicate
ILAB (2)
SLAM (2)
Représentation du conseiller d'État espagnol Don Franciso Amoros à S. M. le Roi Ferdinand VII,. portant plainte de la persécution que sa femme Dona Maria de Theran souffre de la part du capitaine général de Castille la Neuve, Don Valentin Belbis, comte de Villariezo, marquis de Villa-Nueva de Duero ; et exposition de la conduite de M. Amoros dans les convulsions politiques de sa patrie ; suivies de pièces justificatives / Representacion del consejero de Estado espanom Don Francisco Amoros a S. M. el Rey Don Fernando VII (..).
Paris, Renard, Favre, Alex. Johanneau [imprimerie de P. N. Rougeron], 1814, in-8, 197 pp., 149 pp. [pièces justificatives], texte bilingue français et castillan, dérelié.
Unique édition, peu commune, de cette justification parue en septembre 1814, et dans laquelle le colonel afrancesado Francisco Amoros y Ondeano (1770-1848), réfugié politique depuis 1813, explique sa conduite politique de 1808 au retour du roi Joseph en France. À la suite de cette réclamation, il n'obtint que l'arrivée de sa femme et de ses trois fils à Paris en octobre suivant. Deux ans plus tard, il devait être naturalisé français et ne quitta plus notre pays, sauf pour un voyage à Valence en 1839. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Gymnase normal, militaire et civil.. Idée et état de cette institution au commencement de l'année 1821, et moyen de la rendre aussi complète, générale et utile que sa destination le demande
Paris, Imprimerie de P. N. Rougeron, chez l'auteur, 1821 in-8, [2] ff. n. ch., 156 pp., dérelié.
Une des très nombreuses pièces, généralement de réclame, consacrées au Gymnase normal, sis Place Dupleix (actuellement dans le XVe arrondissement) et dirigé depuis 1818 par le colonel espagnol naturalisé Francisco Amoros y Ondeano, marquis de Sotelo (1770-1848), qui avait dû quitter son pays en conséquence de son ralliement à Joseph Bonaparte en 1808. Enseignant également pour les sapeurs-pompiers de Paris, ainsin que dans le privé et en particulier dans le gymnase des frères Durdan fondé en 1818, il connut rapidement la renommée et le succès sous la Restauration, qui subventionna généreusement les installations nécessaires au développement de sa méthode, alors même que Charles X lui confia l'éducation de son petit-fils, futur comte de Chambord, et le nomma Inspecteur des gymnases militaires de France le 15 juillet 1829. Il est considéré comme l'initiateur de la gymnastique dans notre pays.À LA SUITE : [AMOROS :] Gymnase normal militaire. Séance du 15 juin 1822. Paris, imprimerie de P. N. Rougeron, s.d. [1822], 8 pp. Seulement deux exemplaires au CCF (Clermont et Lyon). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
