[Librairie Plon, Plon-Nourrit et Cie, Imp. de veuve Weins, Imprimerie de Vanwormhoudt,] - COCHIN, Henry ; BARTHELEMY ; LAMARTINE, Alphonse de
Reference : 63506
(1831)
Avec huit gravures hors texte, troisième édition, 1 vol. petit in-8 reliure postérieure demi-chagrin brun, dos à 5 nerfs, couvertures conservées : Lamartine et la Flandre, Troisième édition, Librairie Plon, Plon-Nourrit et Cie, Paris, 1912, XXVI-442 pp. [ Suivi de : ] A M. de Lamartine, Candidat à la Députation de Toulon et Dunkerque, Extrait de la 13ème Livraison de Némésis, par Barthélémy, Imp. de veuve Weins, 2 ff. [ Edition originale ] [ Suivi de : ] Electeurs ! Nommons M. de Lamartine, Bergues, 5 juillet 1831, 1 f. [ Edition originale ] [ Suivi de : ] Electeurs ! Laet ons myn heer De Lamartinenaemen. bergen den 5 julius 1831 [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs du 2me arrondissement de Dunkerque, par Alphonse de Lamartine, 24 juin 1831, Imprimerie de Vanwormhoudt, Dunkerque, 2 ff. [ Edition originale ] [ Suivi de : ] Explication aux Electeurs, par Alphonse de Lamartine, Hondschoote, 2 juillet 1831, 2 ff., [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs du 2me Arrondissement de Dunkerque, par Alphonse de Lamartine, Hondschoote, 2 juillet 1831, Vanwormhoudt, Imprimeur du Roi, Dunkerque, 1 f. dépliant [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs de l'arrondissement de Bergues, par Alphonse de Lamartine, St-Point, 22 octobre 1837, Imp. de Vanwormhoudt, Dunkerque [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs de l'arrondissement de Dunkerque - Bergues, par Alphonse de Lamartine, St-Point, 17 novembre 1837, Imp. de Vanwormhoudt, Dunkerque, 7 pp.
Remarquable exemplaire recueillant, in-fine, 7 très rares prospectus électoraux, en édition originale, relatifs aux candidatures d'Alphonse de Lamartine aux élections de la ville de Bergues (Nord). Eugénie, la soeur de Lamartine et épouse du Baron Coppens et seigneur d’Hondschoote, l’avait incité à se présenter à la députation. Battu une première fois, il sera élu député de Bergues en janvier 1833. Bon exemplaire (ex-libris Robert Thibaut).
Précieux exemplaire enrichi d’une émouvante lettre autographe de Daudet adressée à son fils Léon à propos d’un diner chez le peintre Giuseppe De Nittis. Paris, E. Dentu, 1872. In-12 de (1) f. bl., (3) ff., 265 pp., (1) f. bl. Relié en maroquin brun, triple filets à froids encadrant les plats, dos à nerfs, pièce de titre de maroquin rouge, tranches dorées. Reliure de l’époque. 173 x 109 mm.
Édition originale du « livre le plus célèbre d’Alphonse Daudet». Talvart et Place, Bibliographie des auteurs modernes, IV, 15; Rahir, La bibliothèque de l’amateur, p. 391; Bibliothèque de Backer, p.650; Vicaire, Manuel de l’amateur de livres du XIXe siècle, III, 38; Carteret, Le Trésor du bibliophile, I, p. 192; Talvart, IV, p. 15. «Très rare et très recherché». (Clouzot, 81). «Ouvrage capital de Daudet dont il n’a pas été tiré de grand papier» (Carteret). Dans ce livre célèbre, Alphonse Daudet créa avec humour un type inimitable de méridional vaniteux et vantard, prompt à se lancer en imagination dans les plus folles aventures. Ce personnage caricatural est maintenant entré dans la légende. Cet ouvrage, auquel Alphonse Daudet donna deux suites, fut d’abord publié en feuilletons dans le Moniteur puis dans Le Figaro. Il ne connut son véritable succès qu’au moment de sa publication en volume. «C’est le livre le plus célèbre d’Alphonse Daudet (1840-1897). Il a été publié en 1872 sous le titre: ‘Aventures prodigieuses de Tartarin de Tarascon’. (…) Ce premier livre fut suivi de ‘Tartarin sur les Alpes’ et de ‘Port-Tarascon’, mais reste le plus original. Débordant de vie, animé d’un bout à l’autre par une joyeuse fantaisie et par un style des plus éclatants, le livre dissimule, sous ses apparences burlesques, l’amour que portait Daudet à la Provence et à ses habitants.» (Dictionnaire des œuvres, VI, p. 342). Ce premier livre fut suivi de Tartarin sur les Alpes et de Port-Tarascon, mais reste le plus original, bien qu'il y ait plus de variété dans le second. Débordant de vie, animé d'un bout à l'autre par une joyeuse fantaisie et par un style des plus éclatants, le livre dissimule, sous ses apparences burlesques, l’amour que portait Daudet à la Provence et à ses habitants. On a relié en tête une émouvante lettre autographe signée d'Alphonse Daudet adressée à son fils Léon Daudet mentionnant une invitation à diner chez le peintre Giuseppe de Nittis, un proche du couple Daudet:« Cher petit, Nous avons oublié de te rappeler ce matin que nous dinions chez les De Nittis. Je compte que tu seras un vrai petit chef de maison, bien raisonnable et prudent avec ton zézé…». Nous pouvons donc dater cette lettre entre 1878 (date de la naissance de Lucien Daudet, fils cadet d’Alphonse Daudet, surnommé «Zézé» par ses parents) et 1884 (date de la mort du peintre Giuseppe de Nittis). Giuseppe De Nittis, né le 25 février 1846 à Barletta (Pouilles, Italie), et mort le 21 août 1884 à Saint-Germain-en-Laye, est un peintre et graveur italien. Ami de Gustave Caillebotte, Edgar Degas et Édouard Manet, Giuseppe De Nittis reste un peintre encore relativement confidentiel, y compris en Italie où il est classé trop rapidement dans l'école impressionniste italienne, malgré la variété de ses sources d’inspiration. Après un apprentissage auprès du peintre local Giovanni Battista Calò à Barletta, il s'inscrit en 1860 à l'Académie des beaux-arts de Naples où enseigne Gabriele Smargiassi. Quatre ans plus, tard il fonde l'école de Resìna, du genre réaliste. De Nittis étudie aussi la peinture en privé avec Vincenzo Petrocelli. En 1867, il part pour Paris où il rencontre Meissonier et Gérôme. Deux ans plus tard, il épouse Léontine Gruvelle qui influence considérablement ses choix sociaux et artistiques. Ainsi, il fait son entrée dans le milieu artistique et intellectuel et fait connaissance des collectionneurs passionnés de japonisme tels qu'Edmond de Goncourt et Philippe Burty. En 1874, à l'invitation d'Edgar Degas, il participe à la Première exposition des peintres impressionnistes qui se tient dans l'atelier de Nadar. En avril 1879, il inaugure la galerie de La Vie moderne. En 1880, il installe son atelier aux nos 3 et 3 bis rue Viète à Paris. En 1881, il séjourne à Gersau près de Lucerne en compagnie d'Alphonse Daudet et de son épouse, à qui il offre en souvenir un tableau représentant l'endroit, qui est évoqué par les Goncourt dans leur Journal; cette huile sur panneau a été vendue 51 600 euros à Chinon le 2 décembre 2015. De Nittis est au sommet de sa renommée lors de l'Exposition universelle de 1878 à Paris, où il expose onze de ses toiles. Frappé d'une embolie cérébrale, De Nittis meurt en 1884 à Saint-Germain-en-Laye. Très bel exemplaire de cette rare originale relié à l’époque en plein maroquin.
S.n., Nice 20 Août 1995, 21x29,5cm, une feuille.
Lettre manuscrite datée et signée de 37 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Cette missive est d'ailleurs écrite depuis le domicile de Louis Nucéra chez qui Alphonse Boudard passe quelques jours de vacances estivales chaque année. Une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre. "ami, merci de ta lettre. tu m'encourages toujours et, là, c'est encore plus important. Je suis d'ailleurs en piste pour le prix Giono, mais j'y ai de redoutables concurrents soutenus par leurs éditeurs Mazis basta ! vivra verra... photo : j'ai quelques clichés à Paris et je t'en enverrai un en rentrant. De toute façon le livre parait en début septembre. Si tu es pressé demande à Claudine Lemaire ed. Laffont 24 av. Marceau 75008. fautes : Mea culpa pour Yvonne de Galais. Impardonnable. Les autres sont apparues après les corrections sur les deuxièmes épreuves. On n'en sort pas. Et il y a aussi le docteur Goebbels avec un seul B (Tant pis pour sa gueule !) Louis a quelques ennuis acec sa femme toujours malade. Il l'accompagne demain en cure à Chatel Guyon. Voila, je viens de finir encore un livre. Celui-là de divertissement pure et anticlérical. "Madame de Saint Sulpice". Le roman d'une taulière qui tient un bordel de curés entre les deux guerres. J'espère aller à Bruxelles pour fourguer ma salade et ça me fera surtout l'occase de prendre avec toi le verre de l'amitié. ton pote. ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Nice 13 Mai 1999, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 17 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Cette missive est d'ailleurs écrite depuis le domicile de Louis Nucéra chez qui Alphonse Boudard passe quelques jours de vacances estivales chaque année. Une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre. "vieux merci de ton envoie du papier de Michel Grodent. Il est effectivement très positif. J'espère que j'aurais d'autres articles dans la presse belge parce qu'ici ce n'est pas folichon. Je suis presque boycoté. Savoir pourquoi ? Le monde des lettres est auu main d'un clan... NRF... Sollers... et quelques autres, et ils savent que la meilleure tactique pour t'éliminer c'est de faire silence. Comme si tu n'existait pas. Fort heureusement j'ai des lecteurs et mon éditeur me soutient assez bien. Je t'espère en bonne forme. Pour "Valsez saucisses" je vais m'en occuper à Paris... Je rentre le 20... Toute mon amitié.. . ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 18 Octobre 1994, 14,5x21cm, une feuille.
Lettre manuscrite datée et signée de 22 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre. "vieux, merci de m'envoyer des articles belges. En général je ne les reçois pas. condescendants... ils le sont tous... descendants et surtout cons ! N'importe ! Je pars tout à l'heure pour le salon du livre de St Etienne où je verrais sans doute Louis (si sa femme continue d'aller un peu mieux). Je le saluerai de ta part bien sûr. Si tu descends à Paris, n'oublie pas de me faire un signe pour que je retienne des places au spectacle de Rosny - petit théâtre de poche - c'est vraiment un très beau travailk et ça s'intitule "Rue Alphonse Boudard" tu passeras, j'en suis sûr, un bon moment. Avec une gerbe d'amitié. ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 22 Avril 1974, 13,5x21cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 27 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Enveloppe jointe. Il s'agit de la première lettre manuscrite dans laquelle Alphonse Boudard adopte le tutoiement avec son pote bruxellois. "Ami, merci de ton petit mot. Je suis sûr que ton papier de Relax sera de première. En ce moment le livre est en rade... Nos Giscard, Chaban, Mitterrand retiennent toute l'attention du public. En + j'ai eu un mauvais article de Mathieu Galey dans l'Express... Mais on verra bien ! Ca peut repartir pour les vacances ou... à la Trinité. Salut mec ! à te lire... je te serre la pogne. Aboudard. Le bouquin de Louis est admirable... L'émotion passe... tout est là !" André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1er Avril 1972, 21x27cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 24 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Une précision manuscrite inscrite au feutre noir par André Tillieu en tête de la lettre : "1ère lettre d'Alphonse". Enveloppe jointe. "Cher André Tillieu, le deuxième exemplaire, ça vient de Louis (Nucéra)... il ne devait plus se souvenir que vous étiez sur la liste et j'ai vu que le premier exemplaire s'était paumé... (ce qui arrive souvent ! ) Bien sûr donnez-le à un ami raidillard... Pour la Belgique "la méthode à Mimile"best diffusée par la "La méthode Assimil"... je vais signaler ce que vous me dites à Mme Pauvert (éditions de la Jeune Parque)... Je vous ai expédié un exemplaire hier par les soins de La Table Ronde. Voilà, à bientôt devant le verre de l'amitié avec mon pote Louis Nucéra. Bien cordialement. Aboudard. Envoyez-moi votre article 1 rue Pierre Brossolette,94, L'Hays les roses." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Emma Montégut (?-?) cousine d'Alphonse Daudet (?), mère du peintre-graveur Louis Montégut (1855-1906)
Reference : DMI-1050
(1869)
Emma Montégut (?-?) cousine d'Alphonse Daudet (?), mère du peintre-graveur Louis Montégut (1855-1906) x1 lettre autographe signé à Julia DAUDET 1 double f., 4 p., Bessèges, le 30 octobre 1869 x1 lettre autographe signé à Julia DAUDET 1 double f. + 1f. , 5 p., Nîmes, le mars 1884 Correspondance familiale et amicale très personnelle de cette proche d'Alphonse et Julia Daudet qui évoque notamment Léon Daudet bébé, puis Léon jeune adulte, mais aussi Lucien Daudet et les romans d'Alphonse Daudet. La partie la plus intéressante réside dans l'évocation des débuts artistiques de Léon Montégut, son fils, cousin d'Alphonse Daudet. Louis devient dessinateur au journal La Chronique Parisienne, et illustre les textes rédigés par Alphonse Daudet, notamment Sapho : moeurs parisiennes, L'évangéliste, ou encore L'immortel. Il s'adonne également au dessin d'architecture, aux portraits, aux caricatures, ou encore aux figures en pied. En 1883, il dresse le portrait de son cousin, Alphonse Daudet, dans son cabinet de travail, en compagnie de son épouse, Julia Allard. Ce tableau est aujourd'hui présenté au Musée Carnavalet. Deux beaux documents. Envoi soigné.
S.n., Paris 25 Août 1975, 21x27cm, une feuille.
Lettre manuscrite datée et signée de 31 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre, une inscription "Manouche" au crayon de papier en angle supérieur gauche de la missive. "ami, ton papier me parvient en vacances... enfin au bord de la mer où je gratte un peu pour la gloire d'Alain Delon... son prochain film! Ca me comble ce que tu écris. C'est juste.. ll s'agit de dire tout ce qui doit être dit... que ça plaise ou non à ceux-ci ou à ceux-là. Mon personnage d'Herlier est très près de celui d'un certain lieutenant d'Héricourt... à la Libération. Dans la Gestapo il s'appelait Loutrel... et pour les faits divers il est devenu Pierrot. le. Fou. Tout cela est historique... En tout cas merci... les autres critiques ne mettent pas l'accent où il faut. Dis à Nucera de me prévenir lorsque tu viendras... qu'on puisse au moins casser une petite croûte entre amis. A bientôt. Salut et fraternité. ABoudard. "Le Manouche" c'est de l'alimentaire. J'ai fait de mon mieux pour ne pas la trahir." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 2 Décembre 1996, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 42 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre. "vieux, merci de ta formidable lettre... j'ai mis du temps avant de te répondre, débordé que je suis par les activités de "promotion" de Mme de Saint Sulpice. Fatigant tous ces trains, tous ces avions, ces attentes, ces blabla toujours les mêmes. Bah ! il y a des métiers plus pénibles et moins rémunérateurs. Je me demande toujours si mes premiers bouquins tiennent encore la lecture. Tu me rassures un peu et je reçois aussi des témoignages de nouveaux lecteurs... jeunes... Le spectable de Jacques Rosny a bien du mal à démarrer. J'ai en main un texte formidable de Raymond Devos qui va paraître dans le "Figaro" et qui nous donnera peut-être le coup d'envoi. Je sais que tu apprécies beaucoup la nouvelle "Gladys". J'en ai tiré une pièce - il y a déjà 12 ans - et finalement elle va être montée au Petit Marigny avec Danielle Darrieux et Christian Barbier. Là, je pense que ces messieurs de la critique se dérangeront.Les Grands Chemins tu as raison, c'est un livre formidable. De plein air et de grand style. On peut toujours relire Giono... la vie passe entre les lignes et la poésie... merveilleux ! J'espère que les choses vont mieux pour toi... Je t'embrasse fraternellement. ABoudard Louis sera à Paris demain pour le prix Blondin. Suzanne va mieux." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 7 Décembre 1977, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 17 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe. "ami, bien reçu "Le Peuple" et ton papelard sublime. Bravo ! Merci ! etc... dans un monticule de paperasses qui s'accumulent sur mon bureau, j'ai perdu la carte qur tu m'as envoyée avec l'adresse de la fille de Giono. Je la retrouverai, mais quand ? (Je suis plutôt bordelique question classement, rangement etc...) Pour ne pas perdre trop de temps sois chouette de me la renvoyer. A bientôt... ton pote ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 16 Août 1984, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 42 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe. Une inscription au stylo bille rouge en angle supérieur droit de la missive : mort Aline Giono, cette mention manuscrite étant répétée en angle supérieur gauhe de l'enveloppe. "vieux, oui, j'ai appris l'affreuse nouvelle. Pas un mot de Zoë (qui ne me donne pas son adresse, je n'ai donc pu lui répondre) Que dire ? On arrive dans les parages dangereux après cinquante piges. Rien ne laissait présager une fin si brusque chez Aline - boisson, tabac, surmenage ? , - Rien. Elle veillait bien chez Gallimard sur l'oeuvre de son père. Qui va prendre le relais ? Je n'ose y penser. Bon. Tu as appris mon pépin de juin. Failli moi passer l'arme à gauche d'une (mot illisible) . A cause d'un médicament. A présent je pisse tout à fait normalement, mais il me reste le palpitant. Je vais être obligé de bouffer un tas de pilules jusqu'à mon dernier jour. Je suis dans ce bled normand pour un scénario sans grand intérêt, à part le fric. Si ma pièce avait pu marcher j'aurais remis ça au théâtre et sur des thèmes bien à moi. Oui, fais moi signe en septembre et tâchons de nous voir un peu avec l'ami Louis... Ca fait vraiment beaucoup de morts (j'en ai plusieurs parmi ceux que tu connais que par mes livres... Musique... le mage Vulcanos etc... ) Je suis bien triste au sujet de cette pauvre Aline. Bien ton pote ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 27 Mars 1980, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 20 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi deLouis Nucéra. Deux traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe. "Vieux, eh oui, je turbine... scénarios... téloche... et je n'ai + de temps pour les amis.. hélas ! finalement je sors "La lanterne magique" en septembre sous le titre "Vulcanos" (nom du personnage principal) pour "Le gala", c'est Balland qui l'a réédité. Sans succès... alors il l'a soldé. Je dois en avoir q.qs exemplaires... Si tu es pressé je t'en envoie un, sinon je te le remets en main propre lors de notre prochaine rencontre... qui ne saurait tarder ! enfin je l'espère... autour d'une table avec Aline Giono, Louis (Nucéra) et Georges (Brassens) le dernier carré des braves. toute mon amitié.Aboudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 19 Avril 1986, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Amusante lettre manuscrite datée et signée de 30 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Deux traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe. "Vieux, ta lettre m'est précieuse... non tu ne fais pas le prof ! Certaines fautes ont déjà été signalées pour une réimpression. Le plus curieux c'est que la plupart viennent de types qui corrigent le jeu d'épreuves et en font de nouvelles. Félicien Rops par exemple ou ce parket.bombing (j'avais pourtant écrit carpet dans mon manuscrit) Ils ont mis aussi Lucien pour Léon Daudet etc... Autrefois on nous donnait deux jeux d'épreuves... maintenant les éditeurs sont surtout pressés de fourguer leurs bouquins... tout à l'avenant... dans la chanson, la bouffe, les fringues, etc... Encore mille fois merci de ta lettre. Je suis un peu talonné par le service après vente, comme ils disent... n'empêche que lorsque tu descendras à Paris, fais-moi signe qu'on cassegraine entre potes... Salut fraternel. ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 23 Janvier 1986, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 28 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi deLouis Nucéra. Deux traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe. "Vieux, merci de ta petite carte... il n'est pas encore trop tard pour te renvoyer la balle des meilleurs voeux pour 86... souhaitons que toute se passe le mieux possible. aujourd'hui Louis (Nucéra) est entré à l'hosto... juste q.qs jours... on va lui pulvériser un calcul au laser. Le dernier cri de la médecine en ce domaine. Si le pauvre Georges (Brassens) avait pu connaître ça ! Je pensais avoir un Guignol's band que je n'avais pas... d'où un malentendu... etc. Ma pièce est en rade, le théâtre qui devait me la monter est en faillite... donc je repars à zéro. et je ne désespère pas d'avoir Galabru à l'affiche. J'ai remis "La fermeture" mon livre sur les claques à Laffont. Il sort en avril après les turbulences électorales. Mais d'ici peut-être aurons-nous l'occase de partager une croûte ensemble. Avec mon amitié.ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 3 Septembre 1998, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 17 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi deLouis Nucéra. Deux traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe. "J'ai reçu ta formidable lettre, vieux frère, et elle m'a procuré un sacré plaisir. Hier j'ai fait enregistrer tes corrections chez Laffont pour une réimpression très prochaine. Pas le temps de t'écrire plus longuement, je suis un peu débordé, tu te doutes. As-tu reçu en même temps que Monsieur Joseph, le livre d'entretiens de Lucien d'Azay "Contre enquête" ? Si non, je vais te le faire envoyer. merci encore... et dans la fraternité de Georges Brassens. mon amitié.ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 2 Juillet 1996, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 37 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Deux traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe. "Vieux, Je deviens de + en + niçois sous la protection, bien sûr, du cher Louis (Louis Nucéra) qui arrive tout de même à pédaler dans les collines malgré les ennuis de santé de Suzanne. Un mal difficile à cerner mais qui la fait souffrir beaucoup. Merci de ta chaleureuse lettre. Là, j'ai voulu faire du pur divertissement. Une petite suite pour sexualité ecclésiastique. Bien sûr je soigne toujours le paysage historique ; c'est ce qui donne de l'épaisseur, une dimension de vérité à l'aventure de Mme Blandine. Tes références à Sartre sont plaisantes... je n'y avais pas pensé. Je me suis surtout efforcé de faire un roman genre XVIIIe... Restif, Crébillon ou même "les infortunes de la vertu" de Sade. un Sade gentillet après tout. En septembre ou octobre je vais me propulser en Belgique pour la promotion du livre. Je te ferai signe à l'avance pour qu'on puisse casser la graine de l'amitié. Mon ami le metteur en scène Jacques Rosny a tiré un spectacle avec des extraits de la Cerise, les Combattants etc... Il fera une escale de quelques jours dans un théâtre à Liège. Si tu veux y faire un tour , tu pourras me dire si tu peux y faire un tour, tu pourras me dire ce que tu en penses. J'espère que les choses vont bien pour toi et les tiens... Donc à bientôt... avec mon amitié. ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 13 Octobre 1979, 14,5x21cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 26 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe. "vieux, magnifique ton papier sur le livre de Louis !(Louis Nucéra)Il est écrit avec amitié et compétence... ert ensuite celui sur Arland... bravo !On aurait besoin de types comme toi dans la presse littéraire parisienne.. Hélas, elle est aux mains des cuistres ! je suyis sorti de l'auberge... je remonte la pente... encore q.qs pansements et ça ira tout à fait... j'ai déjà repris le feutre et la feuille blanche, mais pour la téloche... ma série qui doit se tourner en mars si tout va bien... en attendant le plaisir de te voir prochainement, je t'en serre cinq bien fraternellement. ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 5 Mai 1972, 21x27cm, une feuille + un morceau d'enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 11 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Une précision manuscrite inscrite au stylo bille bleu par André Tillieu en tête de la lettre : "reçue le 5 mai 72", une autre de plusieurs lignes sur l'enveloppe expliquant l'absence d'un morceau de cette dernière. Enveloppe jointe. "Cher André Tillieu, de première votre article ! chaleureux, juste, bien composé... un des meilleurs consacré à ce livre... ça fait tout de même plaisir de rencontrer dans la critique des gens qui pignet (mot souligné). qui sont sur la même longueur d'ondes. Merci. Avec ma pogne amie.Aboudard. " André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 3 Avril 1979, 14,5x21cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 21 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe. "ami, bien reçu "Relax"... Mille mercis... Je suis toujours un peu confus par tout ce que tu écris sur mes livres. Je ne suis peut-être pas si haut ? Tu me forces à me poser des questions. Enfin, je fais de mon mieux. J'espère te voir bientôt à Paris avec Georges Brassens et Louis... A moins que j'aille faire un tour vers Lille puis Bruxelles. De toute façon je te ferai signe. Mes amitiés à ta femme. J'espère que pour ta fille les choses sont en place... J'ai vu des tas de cas de pneumos spontanés, ça s'arrange très bien (j'ai eu un double pneumo pendant cinq ans, mais c'était en vue de me guérir). A bientôt... encore merci et toute mon amitié. ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Robert Laffont, Paris 1995, 13,5x31,5cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Agréable exemplaire, une photocopie d'une lettre manuscrite d'Alphonse Boudard à André Tillieu a été encollée au verso du premier plat, deux photocopies d'articles d'André Tillieu à propos des romans d'Alphonse Boudard sont également jointes. Envoi autographe signé d'Alphonse Boudard à son proche ami André Tillieu : "Pour André Tillieu sans fleur ni couronne mais avec qqs copains derrière le convoi... et mon amitié." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 18 Octobre 1993, 14,5x10,5cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 19 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Une date (18.10.93) et la mention "Saint Frédo" (livre d'alphonse Boudard paru récemment) inscrites au crayon de papier et au stylo bleu sur le bristol par André Tillieu. Enveloppe jointe. "Vieux, Merci cent mille fois pour cet admirable papier qui complète celui de Louis (Nucéra) dans le journal du dimanche. Les fautes ? Les éditeurs ne nous donnent plus un second jeu d'épreuves... d'où ces bavures ! Si j'épuise le 1er tirage, je ferai corriger. Je croise les doigts... la période est dure dans les librairies comme ailleurs. Sans doute en novembre je me naturalise belge un jour ou deux, ce qui nous permettra de nous rencontrer autour du verre de l'amitié. Ton pote Al." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 15 Mars 1973, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 24 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi deLouis Nucéra. Enveloppe jointe. "Ami, grand et mille fois merci pour ce papier... il m'a fait d'autant plus plaisir que la réimpression de "La cerise" est passée presque inaperçue... et pourtant dieu sait si la prison fait l'objet de débats, articles... blabla bien souvent à tort travers... le point de vue de ceux qui ne savent mais ont appris à faire semblant (ces deux derniers mots soulignés) dans tous les domaines. Sûr j'aimerais bien qu'on se retrouve un de ces quatres avec le pote Nucera devant le verre de l'amitié... donc à bientôt j'espère... (vous venez bien à Paris de temps en temps...) salut et fraternité... Aboudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 25 Septembre 1975, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 18 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi deLouis Nucéra. Enveloppe jointe, une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre. "Ami, merci de m'avoir envoyé cette coupure. Je ne l'avais pas rémarquée. Si le "Nouvel Obs" me fait de pareilles fleurs c'est que le climat change un peu... en effet ! Pas reçu ton mot avec l'article pour "Relax" ; le dernier truc que j'ai reçu c'est le papier du "Rail" J'avais cru qu'il était de toi sous un pseudo. A bientôt j'espère... j'ai déjeuné avec Louis (Nucéra) la semaine dernière... on t'attend.salut et fraternité... Aboudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 7 Octobre 1974, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 20 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi deLouis Nucéra. Enveloppe jointe, une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre. "Ami, merci de ton petit mot... Ca fait toujours plaisir de savoir que la Cerise a des lecteurs compétants (sic)... (les autres achètentn'importe quoi... Papillon, Sagan ou Guy Descar...) Le "Cinoche" est en panne. Il faudrait qu'ils me filent le Renaudot pour bien faire... mais ils ont d'autres hommes de lettres à fouetter. "L'ami" (de Louis Nucéra) mérite l'Interallié... etc... Je ne crois guère au miracle... aussi je me suis remis au cinoche cassecroûte... une adaptation de "Flic Story" pour Alain Delon. à bientôt j'espère devant le verre de l'amitié.Aboudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -