Alphonse Royer (1803-1875), journaliste, écrivain. L.A.S., 26 juillet, 3p in-8. Il annonce à Scholl que le conseil de surveillance du Nain Jaune a voté la veille son quitus provisoire, qui doit être ratifié par l'assemblée des actionnaires. Il lui signale aussi que le dernier numéro a été retiré de la vente en raison d'un article contre M. de la Guéronnière (Alfred ou Arthur ?) [213]
Alphonse Royer (1803-1875), journaliste, écrivain. L.A.S., sd, 2p in-12. A Scholl pour lever un malentendu dans une affaire. Scholl ne veut pas aller voir le juge de paix sans convocation. [213]
Alphonse Royer (1803-1875), journaliste, écrivain. L.A.S., 12 janvier 1862, 2p in-8. A Scholl. Il le remercie pour les lettres de recommandations pour cette pauvre Thé.., probablement une actrice, qui quitte Paris pour quelques temps. Les lettres de Scholl l'aideront certainement à revenir. [213]
Alphonse Royer (1803-1875), journaliste, écrivain. L.A.S., 3 mai 1863, 2p in-8. Il envoie à Scholl un article, qui était joint à cette lettre, sur le livre de José-Maria Torres Caicedo (1830-1899). Il l'a trouvé son livre « plus intéressant qu'il ne l'aurait cru d'abord ». [213]
Alphonse Royer (1803-1875), journaliste, écrivain. L.A.S.+enveloppe, sd, 1p in-8. A Scholl. Il refuse une invitation, il reste dans son coin sans bouger et ne quittera « le club que pour aller se coucher ». [213]
Alphonse Royer (1803-1875), écrivain, librettiste, journaliste. L.A.S., samedi matin [7 septembre 1850], 2p in-8. A l'écrivain Jules Janin (1804-1874). Jolie lettre demande à son ami d'assister à une représentation du Jour et la nuit, comédie-vaudeville co-écrite avec Gustave Vaez, « la première ayant été troublée par une cabale qui est parvenue à rendre la pièce incompréhensible » mais « la seconde représentation a été excellent et l'effet très grand ». Il souhaite donc sa présente pour le soir, pour une représentation qui sera mieux encore. [306-2]