Alphonse de Lamartine (1790-1869), poète, écrivain, homme politique.
Reference : 013891
Alphonse de Lamartine (1790-1869), poète, écrivain, homme politique. L.A.S. à la troisième personne, Paris, 9 décembre 1841, 1p in-8. A Auguste de Roosmalen, écrivain actif au XIXe : « M. de Lamartine a reçu avec reconnaissance le fragment de l'orateur de monsieur A. de Roosmalen ; les titres de l'auteur font espérer que la publication qu'il a entreprise obtiendra le succès dû aux oeuvres de talent et de conscience , ces titres promettent à M. de Lamartine une lecture aussi utile qu'intéressante, et il s'empresera de lire le fragment de l'orateur dès qu'il aura un instant de loisir. M. de Lamartine offre ses remerciements à monsieur de Roosmalen et le prie d'agréer l'assurance de sa considération la plus distinguée ». L'orateur, ou Cours du débit et d'action oratoires appliqué à la Chaire, au barreau, à la tribune et aux lectures publiques fut publié chez l'auteur dès 1841. [335-2]
Alphonse de Lamartine (1790-1869), poète, écrivain, homme politique.
Reference : 013893
Alphonse de Lamartine (1790-1869), poète, écrivain, homme politique. L.A.S., Mâcon, 3 juin 1853, 4p in-8. « Mon cher ancien collègue et ami, J'ai regretté d'être absent quand vous m'avez fait l'honneur de venir dans ma chartreuse de la rue Laville Levêque. Je vous remercie de l'intention serviable qui vous y conduisait. Le crédit foncier fait pour ma libération deux choses : 1. mon absolu serait de me prêter huit cent mille francs sur trois terres, et deux maisons à Mâcon, valant ensemble et très réellement 1,500 000 f. Moyennant cette somme de 800 000f et une centaine de mille f. fournis par moi-même au même moment, toute ma fortune se trouverait nette, et je vivrais de mon travail. 2. ma relation : ce serait de me prêter sur St Point seulement valent 250,000 f une somme de cent quarante mille francs avec cette sommet et cent quarante mille franc et la vente de la terre à Monceau à MM Peireyre plus cent mille fournis par moi-même, je me trouverais également libéré à l'exception de 200 000 f qui se conserverait encore de dettes sur une autre terre appelée Milly. Mais MM Peireyre ayant ajourné l'aquisition de Monceau au moment où je la croyais conclue, je ne puis rien demande au crédit foncier avant leur résolution définitive. Voyez donc si l'emprunt des 800 000f serait immédiatement proposable. Pardon de ces détails mon cher collègue et ami, vous êtes homme de grandes affaires mais vous êtes aussi homme de grande obligeance, c'est à ce dernier titre que je vous dérobe[?] ce moment. Al. de Lamartine (à Mâcon (Saône et Loire) ». Il mentionne ici Emile Pereire (1800-1875), le financier et député, qui fut un des fondateurs du crédit foncier en 1852. Très belle lettre de l'écrivain essayant de régler ses problèmes financiers. [335-2]
Alphonse de Lamartine (1790-1869), poète, écrivain, homme politique.
Reference : 013892
Alphonse de Lamartine (1790-1869), poète, écrivain, homme politique. L.A.S., Saint-Point, 8 juillet 1843, 1p et demi in-8. « Mon cher ami, Je vous ai fait dire hier par M. de Champron que je serai à Cormatin à 11 heures mercredi. C'est près de vous. Si vous préférez Mâcon faites-le moi dire à Cormatin mercredi et je me trouverai à Mâcon jeudi matin jusqu'à 2 heures. [illisible] en deux mots car je n'ai aucune prétention de m'imposer à qui que ce soit. Je confonds ancienne et nouvelle apposition dans une même doctrine. C'est là sa force. Unité mais volonté ! Adieu, amitié et à revoir ou mercredi si vous venez à Cormatin ou jeudi à Mâcon si vous ne venez pas. Lamartine ». Sur la quatrième page : « P.S. : j'ai si peu mérité les [.] à l'apposition ancienne que c'est moi même qui ai insisté jusqu'à briser l'oeuf du journal nouveau pour que M. Ordinair y restât influent et y représentât nos amis et vous. L. ». [335-2]
Alphonse de Lamartine (1790-1869), poète, écrivain, homme politique.
Reference : 013895
Alphonse de Lamartine (1790-1869), poète, écrivain, homme politique. L.A.S., Mâcon, 20 décembre 1849, 3p in-8. « Monsieur, J'ai reçu votre compte de 21,169, je ne puis que vous remercier du soin mis avec obligeance à l'édition et de sa perfection. Je n'en reçois que des compliments [?]. Les 6000 par mois convenus vous seront payés avec exactitude et sans délai. J'en ai l'assurance aux termes fixés à commencer par ce mois-ci. Je m'en occupe. Mon absence de Paris est regrettable pour l'opération, je le reconnais, mais elle est forcée. J'aurai vendu d'ici deux mois pour 13 cent mille f. de terres et fait des remboursements et propositions. Il y faut [.] et l'activité des [.]. La maladie s'y [..]. Recevez monsieur avec mes remerciements l'assurance de mon sincère attachement. Lamartine. P.S. : à mon retour nous rattraperons le temps perdu pour les souscriptions et annoncer l'édition ». Belle lettre autour d'une édition, probablement des Confidences. Ce volume contient notamment la première édition de Graziella. [335-2]