Curt Valentine Gallery, New York 1955, 12x17cm, agrafé.
Edition originale du catalogue de l'exposition des oeuvres d'Alexander Calder présentées à la "Curt Valentine Gallery" de New York du 17 Mai au 4 Juin 1955. Agréable exemplaire. Catalogue illustré de 8 reproductions d'oeuvres d'Alexander Calder. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Galerie Blanche, Stockholm 1962, 13x18cm, agrafé.
Edition originale du catalogue de l'exposition des 17 mobiles d'Alexander Calder présentés à la "Galerie Blanche" de Stockholm de Mai à Juin 1962. Agréable exemplaire. Catalogue illustré de 2 reproductions d'oeuvres d'Alexander Calder et d'une photographie de ce dernier. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Musée national d'Art moderne de Rennes, Rennes 1962-1963, 18,5x24cm, en feuilles.
Edition originale du catalogue de l'exposition des 55 oeuvres d'Alexander Calder présentées au Musée d'art moderne de la ville de Rennes du 4 Décembre 1962 au 20 Janvier 1963. Agréable exemplaire. Préface de Jean Cassou. Rare catalogue illustré de 14 reproductions d'oeuvres d'Alexander Calder. Nous joignons une carte de visite de Marie Berhaut, alors conservateur du Musée de Rennes qui a rédigé l'introduction de ce catalogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
(Saché) 29 décembre 1956, 14,7x10,4cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée d'Alexander Calder à Juan Luis Buñuel, rédigée en anglais au stylo bille et au feutre bleu. Tampon postal de Saché (Indre-et-Loire). Adresse parisienne de Juan Luis Buñuel. Carte perforée en tête de deux trous. Photographie d'un stabile de Calder au recto de la carte. Provenance : archives de la famille Buñuel. En 1939, Luis Buñuel, qui venait de recevoir une proposition de travail à Hollywood, décide, avec femme et enfant, de quitter la situation chaotique de l'Europe pour vivre l'American Dream. Les Buñuel, désargentés, transitent d'abord quelques mois par New York où ils vivent dans des conditions précaires. Luis Buñuel se voit contraint de demander à Dali - son ami de longue date en exil avec Gala dans ces mêmes années - de lui prêter de l'argent. Il essuie un violent refus qui met fin à l'amitié des deux hommes. C'est alors Calder, que Luis a peut-être déjà rencontré à Paris dans les années 1920, qui accueille toute la famille dans son appartement de l'Upper Side. Juan Luis Buñuel, filleul de l'artiste, suppose que son intérêt pour la sculpture a commencé à la même période : « Quand Dali dit à mon père qu'il ne lui prêterait pas d'argent, il l'a contacté [Calder]. Il nous a offert sa maison et nous avons vécu au côté de sa famille pendant quelque temps. Je ne m'en rappelle que vaguement, mais c'est alors que j'ai commencé à m'intéresser à la sculpture et il m'a encouragé. » (Anton Castro, Juan Luis una entrevista). En dépit de la distance géographique qui les séparera, Alexander Calder demeurera un ami de la famille Buñuel. La relation entre l'artiste et le cinéaste est cependant presque totalement absente des biographies et cette correspondance est un rare témoignage du lien profond entre le sculpteur et la famille Buñuel. - Photos sur www.Edition-originale.com -
CALDER Alexander & BUÑUEL Juan Luis & (RUCAR éPOUSE BUNUEL Jeanne)
Reference : 62602
(1966)
(Saché) 22 décembre 1966, 14,7x10,4cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée d'Alexander Calder et de Juan Luis Buñuel à Jeanne Buñuel, rédigée en français au feutre noir. Tampon postal de Saché (Indre-et-Loire). Adresse mexicaine de Jeanne Buñuel. Carte perforée en tête de deux trous. Photographie de l'atelier de Calder à Saché au recto de la carte. Provenance : archives de la famille Buñuel. En 1939, Luis Buñuel, qui venait de recevoir une proposition de travail à Hollywood, décide, avec femme et enfant, de quitter la situation chaotique de l'Europe pour vivre l'American Dream. Les Buñuel, désargentés, transitent d'abord quelques mois par New York où ils vivent dans des conditions précaires. Luis Buñuel se voit contraint de demander à Dali - son ami de longue date en exil avec Gala dans ces mêmes années - de lui prêter de l'argent. Il essuie un violent refus qui met fin à l'amitié des deux hommes. C'est alors Calder, que Luis a peut-être déjà rencontré à Paris dans les années 1920, qui accueille toute la famille dans son appartement de l'Upper Side. Juan Luis Buñuel, filleul de l'artiste, suppose que son intérêt pour la sculpture a commencé à la même période : « Quand Dali dit à mon père qu'il ne lui prêterait pas d'argent, il l'a contacté [Calder]. Il nous a offert sa maison et nous avons vécu au côté de sa famille pendant quelque temps. Je ne m'en rappelle que vaguement, mais c'est alors que j'ai commencé à m'intéresser à la sculpture et il m'a encouragé. » (Anton Castro, Juan Luis una entrevista). En dépit de la distance géographique qui les séparera, Alexander Calder demeurera un ami de la famille Buñuel. La relation entre l'artiste et le cinéaste est cependant presque totalement absente des biographies et cette correspondance est un rare témoignage du lien profond entre le sculpteur et la famille Buñuel. - Photos sur www.Edition-originale.com -
(Saché) s.d. (circa 1953), 21x26,8cm, une page sur un feuillet.
Lettre autographe signée d'Alexander Calder à Juan Luis Buñuel, rédigée en français au feutre noir. Lettre perforée de deux trous en marge gauche. Coordonnées téléphoniques de Calder en haut à gauche, ainsi que plusieurs indications d'itinéraire pour se rendre à Saché à droite. Petit signe au feutre rouge en fin de lettre. Deux corrections et ajouts de la main de Calder. Provenance : archives de la famille Buñuel. En 1939, Luis Buñuel, qui venait de recevoir une proposition de travail à Hollywood, décide, avec femme et enfant, de quitter la situation chaotique de l'Europe pour vivre l'American Dream. Les Buñuel, désargentés, transitent d'abord quelques mois par New York où ils vivent dans des conditions précaires. Luis Buñuel se voit contraint de demander à Dali - son ami de longue date en exil avec Gala dans ces mêmes années - de lui prêter de l'argent. Il essuie un violent refus qui met fin à l'amitié des deux hommes. C'est alors Calder, que Luis a peut-être déjà rencontré à Paris dans les années 1920, qui accueille toute la famille dans son appartement de l'Upper Side. Juan Luis Buñuel, filleul de l'artiste, suppose que son intérêt pour la sculpture a commencé à la même période : « Quand Dali dit à mon père qu'il ne lui prêterait pas d'argent, il l'a contacté [Calder]. Il nous a offert sa maison et nous avons vécu au côté de sa famille pendant quelque temps. Je ne m'en rappelle que vaguement, mais c'est alors que j'ai commencé à m'intéresser à la sculpture et il m'a encouragé. » (Anton Castro, Juan Luis una entrevista). En dépit de la distance géographique qui les séparera, Alexander Calder demeurera un ami de la famille Buñuel. La relation entre l'artiste et le cinéaste est cependant presque totalement absente des biographies et cette correspondance est un rare témoignage du lien profond entre le sculpteur et la famille Buñuel. - Photos sur www.Edition-originale.com -
COLLECTIF PICASSO Pablo & CHIRICO Giorgio de & CALDER Alexander & LAURENCIN Marie
Reference : 83388
(1931)
Sagesse, Paris Printemps-Eté 1931, 18x23,5cm, broché.
Edition originale. Agréable exemplaire malgré de pétites piqûres marginales sur les plats, une infime déchirure en tête du second plat. Contributions de Lorna Rea "L'esprit souffle où il veut" traduction d'Odette Chauvet-Villard, Géo Norge "Poëmes", Ivan Goll "Mélusine"... Numéro illustré de reproductions d'oeuvres de Pablo Picasso, Giorgio de Chirico, Marie Laurencin, Victor Servranckx, Alexander Calder, Jacques Maret... - Photos sur www.Edition-originale.com -
BLUMNER Rudolf KANDINSKY Wassily & ARCHIPENKO Alexander & MARC Franz & CHAGALL Marc & KLEE Paul & LEGER Fernand & HEEMSKERCK Jacoba van(inventor) & MOLZAHN Johannes & WALDEN Nell & BAUER Rudolf & GLEIZES Albert & GOERING Reinhard
Reference : 74198
(1915)
Jacques Povolozky & Cie & Der Sturm, Paris & Berlin s.d. (circa 1915), 25x34,5cm, en feuilles reliées par deux noeuds tressés.
Très rare édition originale du numéro de cette revue porte-parole de l'expressionnisme allemand fondée par Herwarth Walden en 1910. Texte de Rudolf Blümmer. Une déchirure en pied du dos, une autre en tête, piqûre et pâle mouillure angulaire sur les plats marginalement décolorés, le feuillet de texte tend à se désolidariser, ensemble fragile maintenu par deux ficelles. Catalogue illustré de 15 reproductions en couleurs d'oeuvres, montées sur papier fort noir, de Marc Chagall (3 oeuvres), Wassily Kandinsky (2 ), Alexander Archipenko (1), Rudolf Bauer (1), Albert Gleizes (1), Reinhard Goering (1), Jacoba von Heemskerck (1), Paul Klee (1), Fernand Léger (1), Franz Marc (1), Johannes Molzahn (1) et Nell Walden (1). - Photos sur www.Edition-originale.com -
The salem press , Salem 1891, 15,5x24cm, broché.
Edition originale. Petites déchirures sur le dos et légers manques angulaires sur les plats, agréable état intérieur. Rare brochure illustrée de 24 figures. - Photos sur www.Edition-originale.com -
The salem press , Salem 1892, 15,5x24cm, broché.
Edition originale. Petits manques angulaires sur les plats marginalement insolés, agréable état intérieur. Rare brochure illustrée de 14 figures dans le texte. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Nortwood press & J.S. Cushing & Co, Boston s.d. (circa 1890), 15,5x24cm, broché.
Edition originale. Manques angulaires sur les plats marginalement insolés, indication manuscrite de classement de bibliothèque en angle supérieur gauche du premier plat, agréable état intérieur. Rare brochure illustrée de 15 figures dans le texte. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Denru, Paris 1802, In-8 (14x22,5cm), (4) XX, 409pp. et (4) 420pp. et (4) 388pp., 3 volumes reliés.
Edition originale française, traduite par J. Castera. Un portrait de l'auteur dans un médaillon et 3 grandes cartes dépliantes, une en fin de chaque volume (60x55cm environ chaque carte) dont une avec le tracé des routes de Mackenzie en couleurs. Reliure d'attente de l'éditeur en demi basane brune. Dos lisse orné de roulettes. Pièces de titre et de tomaison chocolat. Plats de papier marbré bleu. Reliure d'attente sur brochure non rognée, à toutes marges. Restaurations diverses aux coiffes, dos, mors, et coins. Etiquette de bibliothèque en queue du tome 1 portant le numéro 540. Par ses voyages, Mackenzie est l'un des plus importants explorateurs du continent américain. Entre 1789 et 1793, Mackenzie, trafiquant de fourrures travaillant pour le compte de la puissante compagnie du Nord-Ouest, effectua 2 expéditions dans le nord-ouest américain sur plus de 6500km.Le 1er voyage conduit de Montréal au fort Chipiouyan (avant-poste de la Compagnie) et à la Mer Glaciale (lac Athabasca) en descendant la rivière St. Lawrence, le 2ème du Fort Chipiouyan jusqu'aux bords de l'Océan Pacifique sur la rivière qui portera so nom, avec des notes et un itinéraire tirés en partie des papiers du Vice-amiral Bougainville. Rencontrant de nombreuses tribus d'indiens chez lesquels il faisait halte et achetait des fourrures et s'informait sur la route à tenir, Mackenzie en donne une relation fort détaillée et intéressante. On trouvera dans le tome 1 un vocabulaire Algonquin , Knisteneaux et Chipiouyane . - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n. ; Chez Pierre Marteau, s.l.; A Cologne 1736 - 1739, in-12 (9,5x16,5cm), xxx, 109pp. ; (2) 69pp., relié.
Edition originale française de L'Essai sur l'homme traduit par Etienne de Silhouette, et seconde édition des Lettres Turques parues pour la première fois en 1730, chez le même éditeur à Cologne. Reliure en plein cartonnage parcheminé moderne. Pièce de titre de basane noire. L'essai sur l'homme, poème philosophique de Pope est traduit en prose, et se trouve précédée d'une longue préface du traducteur. Dans les Lettres Turques, Saint-Foix s'est inspiré du modèle de Montesquieu (lui-même s'était inspiré du modèle de l'Espion chinois de Manara), mais si les Lettres se déroulent sur le même principe, elles ne contiennent pas ainsi que chez Montesquieu les longueurs des descriptions, elles sont toutes entières dévolues au récit et à la comparaison des moeurs et coutumes chez les français et les turcs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Chez Arkstée & Merkus, à Amsterdam & Leipzig 1767, in-12 (9,5x16,5cm), LX,LX, 343 ; IV, 358 ; II, 352 ; II, 418 ; IV, 396 ; XII, 392 ; XII, 351 (mal chiffrée 451) ; XV, (1), 364 pp., 8 volumes reliés.
Nouvelle édition, illustrée d'un frontispice par Delamonce, d'un portrait gravé par Kornlein, et de 23 figures par Frankendaal. Cette édition comporte deux de tomes de plus que celle de 1754. Reliure en pleine basane brune marbrée. Dos à nerfs orné. Pièce de titre et de tomaison en maroquin rouge. Coiffes de tête en partie élimée aux tomes III, VI et VIII. Menus défauts. 4 coins émoussés. Assez Bonne série décorative.Les volumes 6 à 8 contiennent la correspondance de Pope, notamment celle avec Swift et Gay. Pope fut à la fois un grand poète classique (le plus grand de la première moitié du XVIIIe) un philosophe remarqué pour son Essai sur l'homme, ainsi qu'un romancier : Mémoires de Martin Scrivelius. Les oeuvres contiennent notamment ses essais critiques. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Chez Paul Knapton, à Londres 1755, In-12 (9x16,5cm), relié.
Édition originale française dans la traduction de Pierre Henri Larcher. Reliure en plein veau marbré d'époque. Dos à nerfs orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Un accroc avec léger manque au troisième caisson. Bon exemplaire. Martinus Scriblerus était à l'origine un club littéraire dont les membres (Pope, Swift, John Gay, Arbuthnot...) se réunissaient autour de la satire du savoir et de l'érudition. Scriblerus signifie gribouilleur. Les textes furent écrits collectivement et par différentes mains, mais toujours sous le nom fictif de Martinus Scriblerus. Le club fut fondé en 1712 et ferma en 1745. L'ouvrage établit donc la biographie de l'illustre savant Martinus Scriblerus avec toute la verve satirique et humoristique typique de la littérature anglaise du XVIIIe. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Ducrocq, Paris 1865, 14x22cm, relié.
Edition originale. Reliure de l'éditeur en pleine percaline vert bouteille, dos à quatre nerfs orné de caissons à froid, coiffe supérieure frottée, encadrements de filets et d'entrelacs à froid sur les plats, armoiries de Napoléon III dorées au centre du premier plat, médaillon doré représentant un aigle couronné et palmes encadrant les inscriptions Académie de Paris et Prix du concours général au centre du deuxième plat, doublures et gardes de papier moiré, tranches dorées, reliure de l'époque. Ouvrage orné , en tête, de deux portraits gravés de A. de Humboldt et du fac simile d'une de ses lettres, figures intercalées dans le texte. En fin de volume, nous trouvons une biographie des correspondants de Humboldt, des notes et une table. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Chez la veuve Duschene, Paris 1779, 8 volumes in-8 (12,5x20cm), civ ; 290pp. (2) et (2) vj ; 471pp. et (4) 466pp. et (4) 468pp. et (4) 456pp. et (4) 479pp. et (4) 472pp. et (4) 523pp., 8 volumes reliés.
Nouvelle édition augmentée du texte anglais pour les "meilleures pièces" et illustrée d'un portrait de l'auteur en frontispice par Kneller, orné par Marillier et gravé par Lebeau, ainsi que de 17 belles figures par Marillier gravées par Dambrun, Duflos, Gaucher, Godefroy et Al. Reliure en plein veau blond marbree d'époque. Dos lisses ornés de caissons et motifs floraux et étoilés dorés, ainsi que de petits fers à l'oiseau, pièces de titre et de tomaison de maroquin blond. Plats encadrés de triples filets et d'étoiles en écoinçons. Toute tranches marbrées. Une coiffe de tête accidentée en coin. Malgré ce minime défaut, très bel exemplaire, très frais, de ce bel illustré. Édition donnée par l'abbé de La Porte, réunissant les traductions de divers auteurs. Pope fut à la fois un grand poète classique (le plus grand de la première moitié du XVIIIe) un philosophe remarqué pour son Essai sur l'homme, ainsi qu'un romancier : Mémoires de Martin Scrivelius. Les oeuvres contiennent notamment ses essais critiques. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Chez Arkstée & Merkus, à Amsterdam & à Leipzig 1754, in-12 (9,5x16,5cm), 6 volumes reliés.
Edition originale collective ; illustrée de 1 portrait et 5 figures au tome I, 1 frontispice et 13 figures au tome II, 1 frontispice au tome IV ; le portrait par Syfang, les figures dessinées par Blakey, Wale et Walker et gravées par Fritzsch. Reliure en plein veau brun glacé d'époque. Dos lisse orné. Pièce de titre et de tomaison en maroquin rouge. Large manque le long du mors supérieur du tome I ; Manque aux mors en tête du tome II ; épidermures le long des momrs du tome III ; Manques aux mors du tome IV ; Mors fendus en queue du tome V ; épidermures le long du tome VI ; la plupart des coins émoussés.Pope fut à la fois le plus grand poète classique de l'Angleterre durant la première moitié du XVIIIe, universellement admiré et acclamé, et un philosophe reconnu pour son Essai sur l'homme. Sa traduction d'Homère demeura un classique en Angleterre. La réunion de ses oeuvres dans une entreprise éditoriale de qualité eut un succès considérable Europe, et une influence certaine dans le monde des lettres. - Photos sur www.Edition-originale.com -
ChezBriasson, à Paris 1755, in-12 (10x17cm), viij ; lx ; 60-225pp. (7) 69pp. (3), 2 textes reliés en un volume.
Nouvelle édition. Reliure de l'époque en plein veau blond. Dos lisse orné de dentelles et fleurons dorés ainsi que d'une pièce de titre de maroquin brun. Triple filet doré en encadrement des plats. Roulette dorée sur les coupes et les coiffes. Toutes tranches dorées. Bon exemplaire. Ces deux poèmes de Pope furent réunis assez tôt et on en fit de multiples éditions, le premier est un poème didactique assez lyrique sur la nature de l'homme et sa place dans l'univers, et le second, fort différent, est un poème gracieux et libertin sur les divinités de l'amour, sylphes et gnomes, qui assistent les jeunes filles dans leurs émois amoureux. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur richement rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur finement rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur finement rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Clancier-Guénaud, Paris 1988, 18,5x24cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Jean Lescureau journaliste, scénariste et producteur Pierre Dumayet, l'un des pionniers de la télévision française. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Clancier-Guénaud, Paris 1984, 18,5x24cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Envoi autographe signé de Jean Lescure à Jean-Claude Groshens. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Plon, Paris 1933, 13x19,5cm, broché.
Edition originale de la traduction française, un des 38 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Petites déchirures marginales sans gravité sur les plats, une légère tache en pied de la première garde. Agréable exemplaire à toutes marges illustré de 8 cartes hors-texte et 2 croquis dans le texte. - Photos sur www.Edition-originale.com -