1847 Paris, Chez Desessart, 1847. Deux volumes in-12 (120 X 184 mm) brochés, couverture jaunes imprimées ; Tome I : faux-titre, titre, 335 pages ; Tome II : faux-titre, titre, VIII-384 pages. Cernes de mouillure claire et rousseurs, plus marquées au premier tome, légers défauts aux couvertures. Etiquette de relais de la "Libraire Calmette à Cahors" sur le premier plat du tome I.
PROBABLE DEUXIÈME ÉDITION, une précédente publication avec un titre comparable ayant été imprimée en 1837. « C'est le récit de la captivité d'un certain nombre de prisonniers, militaires, civils, dont des femmes, au camp d'Abd-el-Kader. Les descriptions du pays, la biographie d'Abd-el-Kader tiennent une grande place. » (TAILLIART, 1798). Ernest ALBY est le pseudonyme d'A. de France. (GAY, 1191, pour l'édition de 1837). BON EXEMPLAIRE broché de ce texte RARE. GOOD COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
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Slnd (1837) In-8, demi-basane verte, dos lisse, filets et caissons ornés, 233 pp., soit 101 ff. manus. contrecollés & 132 pp. d’épreuves, la plupart corrigées, l’ensemble monté sur onglets. Quelques gondoles claires et rousseurs, néanmoins bon état d’ensemble.
Manuscrit et épreuves corrigées de ce récit romancé du journaliste Ernest Alby (1809-1868) publié en 1837 puis 1847 dans le second volet son “Histoire des prisonniers Français en Afrique depuis la conquête”. Jeanne Lanternier, fille d’un colon, fut enlevée avec sa mère par des pillards à Delhy Ibrahimen en 1836. Présentée à l’émir Abd el-Kader, l’adolescente est finalement offerte à la cour du Maroc et devient la favorite du fils du sultan (La sultane aux yeux bleus). Bon état d’occasion
Paris L. Desessart 1837 2 vol. in-8 cartonnage cerise, dos lisses ornés de filets dorés [Rel. de l'époque], rousseurs
1) [4]-286 pp., 1 f. n. ch. d'errata - 2) [4]-276 pp., portrait en frontispice et 1 plan dépliant.Tailliart 1888 (prend l'ouvrage comme un témoignage historique). Comme les Vêpres marocaines (1853), placées cette fois-ci sous son vrai nom, il s'agit plus d'un roman à base historique qu'une source fiable sur les premiers prisonniers faits par l'émir algérien, au rebours de la tradition combattante de l'Islam. Ernest Alby (1809-1868) était un journaliste à l'imagination féconde et il a renouvelé plusieurs fois cette opération de fiction, qui plaisait au public métropolitain.Exemplaire de Devaniay, avec vignette ex-libris contrecollée sur les premières gardes
P., Gabriel Roux, 1848, 2 volumes in 8° brochés, 373 et 437 pages ; couvertures fanées et effrangées ; dos fendus.
Episodes de la conquête de l'Algérie. RARE. PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
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Paris, Chez Desessart, éditeur, rue des beaux arts , 1847; grand in-12, 332-384 pp., cartonnage de l'éditeur. Les 2 volumes. Bon état -demi-velin (mors un peu fendu sur le tome 1).
Bon état -demi-velin (mors un peu fendu sur le tome 1).
Paris chez desessart éditeur 1847, 2 volumes in 12 reliure demi percaline 332 et 384 pages.
"sous ce titre histoire des prisonniers français en afrique depuis la conquète, nous avons réuni les faits les plus saillants qui ont rendu digne de mémoire la captivité, chez les arabes, de plusieurs de nos colons, de nos soldats et de nos officiers." (Préface)Quelques mouillures reliures solides, bon état général.
Desessart, 1838, complet en 2 vol.
1/2 reliure aux armes (partiellement effacées), ornements et titres dorés partiellement effacés, rousseurs. Première édition rare
Ernest Alby (Pierre-François dit) (1809-1869) écrivain, L.A.S., sd [Samedi matin], 1p in-8 (13 lignes). Intéressante lettre d'Alby qui est pris entre deux feux. Scholl aurait adressé des menaces à Andral. Il doit vraisemblablement s'agit de Paul Andral (1828-1889), avocat, haut fonctionnaire, orléaniste, avec qui Scholl entretenait quelques relations. Il y aura eu une dispute politique ayant pris de l'ampleur. Alby se retrouve entre les deux et supplie ici Scholl : « Défendez-vous par la parole, par la plume, mais je vous demande comme un véritable devoir personnel, de vous abstenir de toute provocation et de toutes violences ». Andral étant l'avocat de madame Scholl, cette dispute se répercute dans le procès alors en cours. Le Figaro , dans son article sur la défaite d'Andral, dit que celui-ci « avait fait de ce procès presque une affaire personnelle, danger que savent éviter les avocats véritablement habiles ». Madame Scholl accusait notamment son mari d'être la cause de sa fausse-couche, d'avoir eu des relations adultères sous leur propre toit. Scholl reprochait à sa femme l'influence fâcheuse d'une personne de son entourage. Ils divorceront en 1867. [109]
Ernest Alby (Pierre-François dit) (1809-1869) écrivain, L.A.S., Paris, 1er juillet 1867, 1p In-8 (7 lignes). En-tête de la Société des Gens de Lettres. Il annonce à Scholl l'élection à l'unanimité du baron Du Casse (1813-1893), militaire et écrivain, sur proposition d'Alby. [109]
Ernest Alby (Pierre-François dit) (1809-1869) écrivain, L.A.S., sd, œp in-8 (5 lignes). Lettre pour complimenter la note de Scholl « elle est très bien faite et je ne l'aurais pas rédigée plus sage ! ». [109]
Ernest Alby (Pierre-François dit) (1809-1869) écrivain, L.A.S., sd, 1p in-8 (13 lignes). Il signale à Scholl la visite de l'avocat Bernard-Gabriel Benoît-Champy (1835-ap.1887) qui venait pour une affaire concernant Scholl. Il doit transmettre des papiers. En attendant, il lui « recommande la plus grande prudence pas un mot surtout [.] du crime qui se prépare » afin de ne pas perdre le procès. Il est malheureusement difficile de savoir ici de quel procès il s'agit, mais cette lettre, écrite en 1866 et 1869, est au début de la carrière de Scholl, au moment où ses articles étaient peut-être le plus virulent. [109]
Ernest Alby (Pierre-François dit) (1809-1869) écrivain, L.A.S., sd, 1p in-8 (8 lignes). Il écrit probablement à Edouard Allou (1820-1888) que Paul Andral (1828-1889) lui a communiqué « tout un énorme dossier » et qu'il faut copier une partie. Il n'a pas l'adresse de Scholl pour lui faire parvenir. Maître Allou était l'avocat de Scholl dans l'affaire qui l'opposait à sa femme, défendue par Maître Andral. [109]