Editions des Femmes, 1977, gr. in-8°, 508 pp, biblio, index, broché, couv. illustrée lég. défraîchie, soulignures crayon et surlignures stabilo sur qqs pages, état correct
"Quinze siècles de l'histoire d'une protestation aussi ancienne que la pensée, une histoire tour à tour sereine et passionnée, grave et légère, besogneuse et festive, une histoire arrachée aux pesanteurs des mythes, des doutes et de la mauvaise foi..." (M.A. et D.A.) — "Cette histoire du féminisme ne cache pas ses liens avec le Mouvement de libération des femmes et est éditée sous l'égide des Editions des Femmes. Son originalité vient de ce qu'elle offre un panorama continu permettant d'envisager l'histoire du féminisme dans sa longue durée. Le livre, riche de références littéraires et culturelles, se caractérise par une sensibilité aiguë envers tout ce qui touche à l'imaginaire collectif sur les femmes ; il offre un tableau particulièrement complet pour les XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles (qui occupent plus de deux cents pages sur cinq cents). En outre court comme un fil conducteur à travers cette histoire l'idée que la lutte des sexes ne recouvre pas exactement la lutte des classes." (Nicole Racine-Furlaud, Revue française de science politique, 1981)
Editions des Femmes, 1977, gr. in-8°, 508 pp, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
"Quinze siècles de l'histoire d'une protestation aussi ancienne que la pensée, une histoire tour à tour sereine et passionnée, grave et légère, besogneuse et festive, une histoire arrachée aux pesanteurs des mythes, des doutes et de la mauvaise foi..." (M.A. et D.A.) — "Cette histoire du féminisme ne cache pas ses liens avec le Mouvement de libération des femmes et est éditée sous l'égide des Editions des Femmes. Son originalité vient de ce qu'elle offre un panorama continu permettant d'envisager l'histoire du féminisme dans sa longue durée. Le livre, riche de références littéraires et culturelles, se caractérise par une sensibilité aiguë envers tout ce qui touche à l'imaginaire collectif sur les femmes ; il offre un tableau particulièrement complet pour les XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles (qui occupent plus de deux cents pages sur cinq cents). En outre court comme un fil conducteur à travers cette histoire l'idée que la lutte des sexes ne recouvre pas exactement la lutte des classes." (Nicole Racine-Furlaud, Revue française de science politique, 1981)