Paris, Alphonse Lemerre, 1907. 20 x 15 cm, 274 pp. Relié demi-toile à coins, pièce de titre rouge, couverture conservée. Envoi autographe signé d'Albert Mérat à François Coppée.
Introduction par Ernest Prévost - Paris : Alphonse Lemerre, 1906. Un volume 14,5x20,5cm broché de XL et 361 pages. Portrait photographique de l'auteur, sous serpente - Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Couverture légèrement poussiéreuse avec un manque de 2x3cm au coin inférieur de la quatrième de couverture sans atteinte au texte; sous papier cristal. Edition originale de l'unique anthologie des oeuvres de Mérat.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Paris : Alphonse Lemerre, 1902. Un volume 11,8x18,5cm broché de 90 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Quatrième de couverture légèrement frottée sur 0,5x0,5cm sinon bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale de ces deux recueils de poèmes inédits écrits durant les années 1860 et 1870.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Paris : Alphonse Lemerre, 1873. Un volume 9,5x17cm broché de 38 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Paris : Alphonse Lemerre, 1900. Un volume 11,8x18,5cm broché de 238 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale de ce recueil couronné par l'Académie Française.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Paris : Alphonse Lemerre, 1902. Un volume 11,8x18,5cm broché de 141 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale de ce recueil en vers.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Paris : Alphonse Lemerre, 1904. Un volume 11,8x18,5cm broché de 80 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale de ce recueil en vers.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Paris : Alphonse Lemerre, 1902. Un volume 11,8x18,5cm broché de 88 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale de ce recueil en vers.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Paris : Alphonse Lemerre, 1907. couverture originale des Poèmes de Paris de 1880 réemployée pour cette nouvelle édition dont l'intérieur est légèrement plus grand : un volume 14,5x20,5cm broché de 275 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde (("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire à grandes marges, broché; sous papier cristal. Edition originale collective des deux recueils principaux de l'auteur, parus en 1877 et 1880.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Paris, Lemerre, Paris, Lemerre1877 ; in-12, cartonnage bradel, percaline crème, non rogné. (Rel. de l’époque) 2 ff., 111 pp., (1 p. achevé d’imprimer)ÉDITION ORIGINALE de ce beau recueil du poète parnassien A. Mérat (né à Troyes 1840 - mort à Paris 1909). “Par ce volume excellent, dit Emmanuel Des Essarts, comme par l’ensemble de son œuvre, Albert Mérat a conquis sa place au premier rang des jeunes poètes. Ce n’est pas un narrateur tel que Coppée, un psychologue comme Sully Prudhomme, comme Silvestre un lyrique amoureux, comme France un alexandrin pénétré de “modernité” ; c’est en poésie un peintre de genre et de paysage, encadrant ses tableaux dans les quatrains de la stance ou du sonnet. Il a semé des chefs-d’œuvre dans tous ses recueils et déployé dans son art une certitude, une souplesse qu’aucun autre n’a dépassé.” Anthologie des poètes français du XIXe s. - Lemerre tome II p. 414.Dans sa lettre à Paul Demay du 15 mai 1871 Rimbaud considérait Mérat comme visionnaire. Verlaine lui dédia son poème Jadis. Mérat se disputa avec Rimbaud lors d’un dîner des Vilains Bonshommes et refusa ensuite de poser pour le célèbre tableau Un coin de table de Fantin-Latour.Les poèmes de ce recueil sont dédiés à Léon Valade, A. Daudet, F. Coppée, Sully Prudhomme, A. Silvestre, A. France, Eugène Manuel, Henry Cros, C. Pelletan, Léon Cladel, André Gill, A. Theuriet, Léon Dierx, C. Mendès. Mérat reste bizarrement méconnu, encore aujourd’hui.
1 vol. in-12 br., Alphonse Lemerre, Paris, 1900
Edition originale enrichie d'un envoi d'Albert Mérat "à mon ami Henry Cazalis". L'ouvrage provient de la bibliothèque du médecin et poète Henri Cazalis, "l'hindou du Parnasse contemporain", avec son ex-libris sous son pseudonyme de Jean Lahor. Poète parnassien, comme Théophile Gautier, Heredia ou Banville, Albert Mérat (1840-1909) fut notamment loué pour les qualité des ses vers par Rimbaud. C'est une dispute avec Rimbaud qui le conduisit à refuser de poser pour Fantin-Latour sur le célèbre tableau "Un coin de table". Etat très satisfaisant (petits mq. en dos et couv., bon état par ailleurs) pour ce rare exemplaire dédicacé et de belle provenance.
Paris, chez l'auteur, 1903; in-12, br., couv. verte imprimée. 40 pp., 5 ff. ÉDITION ORIGINALE rare, non mise dans le commerce. Les trente-six quatrains à Madame, recueil confidentiel quelque peu érotique, avait également paru en 1903. Ce petit volume donne les dédicaces en vers que Mérat inscrivit sur les 36 exemplaires de certains amis comme H. Beauclair, A. Paysant, A. de Lorgeril, R. Gineste, P. de Frick, Th. Maurer, J. Murray, R. Samuel, J. Uzanne, F.A. Cazals, F. Régamey, E. Blémont et quelques autres. Né à Troyes en 1840 dans une famille d’avocats, Mérat fit carrière à Paris, où il se lia avec Verlaine et Léon Valade. Il publia son premier recueil Avril, Mai, Juin en 1863 en collaboration avec ce dernier. En 1866 il participa au Parnasse Contemporain . “Il est, dit E. Des Essarts, un peintre de genre et de paysage, encadrant ses tableaux dans les quatrains de la stance et du sonnet. Il a semé des chefs-d’oeuvre dans tous ses recueils et déployé dans son art une certitude, une souplesse qu’aucun autre n’a dépassé” - Walch I 224 - Antologie Lemerre II 414 - Badesco, Génération poét. de 1860, II pp. 1035-1072.
Imprimerie des arts et manufactures et Dubuisson.. 8 mai 1892. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 8 pages environ, illustrées de gravures noirs et blanc. Premier plat de couverture illustrée d'une gravure en couleur par Steilen. . . . Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens
"Les lilas par Albert Mérat, Mariage manqué par Jules Clarette, Tableaux vivants par Armand Silvestre, Partition ""Printemps de boulevard"" chanson inédite de Raphael Shoomard avec gravure couleur dans le texte par Steinlen Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens"
Paris, Lemerre, 1900; in-12, couv. jaune impr. 84 pp.Envoi autographe de l’auteur au poète Jacques Madeleine.Né à Troyes en 1840 dans une famille d’avocats, Mérat fit carrière à Paris, où il se lia avec Verlaine et Léon Valade. Il publia son premier recueil Avril, Mai, Juin en 1863 en collaboration avec ce dernier. En 1866 il participa au Parnasse Contemporain . “Il est, dit E. Des Essarts, un peintre de genre et de paysage, encadrant ses tableaux dans les quatrains de la stance et du sonnet. Il a semé des chefs-d’oeuvre dans tous ses recueils et déployé dans son art une certitude, une souplesse qu’aucun autre n’a dépassé” - Walch I 224 - Antologie Lemerre II 414 - Badesco, Génération poét. de 1860, II pp. 1035-1072.
".: Paris, aux Bureaux de la Vie Littéraire, 1876-1877, 2 plaquettes in-8° relié en un volume, 23 pp ; 23 pp, reliure toile bleue d'époque, titre doré sul le dos, couvertures conservées. Albert Mérat, ami de Verlaine, donne ici en vers ses commentaires des oeuvres d'art qu'il a vu au Salon de peinture et sculpture de Paris. Le titre de chaque poème est le nom de l'artiste avec le numéro du catalogue du Salon. (salon, art critique )."
Alphonse Lemerre. 1900. In-12. Broché. Etat d'usage, 1er plat abîmé, Dos fané, Quelques rousseurs. 238 pages. Etiquette de code sur le dos. Tampons et annotations de bibliothèque sur le 1er plat et en page de titre. Petit manque sir le bord du 1er plat.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Impressions et souvenirs. Intermède. Petit Poème. Hommes et choses. Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
ASSOCIATION A REBOURS. 1985. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 90 pages augmentées de nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte. N°74 sur 200. . . . Classification Dewey : 291.13-Mythologies
Classification Dewey : 291.13-Mythologies