Le Club Francais Du Livre Relié D'occasion bon état 01/01/1967 150 pages
Editions famot 1976 365 pages in4. 1976. reliure d'éditeur. 365 pages.
Très Bon Etat
Librairie Armand Colin Broché Paris 1911 533 pages en format -8 - impression sur papier fort - papier non coupé
Bon État
Armand colin 1934 in8. 1934. Broché.
couverture défraîchie bords frottés rousseurs tranche ternie intérieur propre pages non-coupées
Albert MATHIEZ - [La Bruyère 1874 - Paris 1932] - Historien français
Reference : 35097
4 pages in8 - Très bon état - En tête: "Annales Historiques de la Révolution française" -
Interessante lettre: Il est heureux d'apprendre que Mme Roland compte un admirateur de plus - Il lui pardonne beaucoup, "car londtemps elle fut une adoratrice de Robespierre" - Il lira donc sa revue avec attention - Il regrette que des documents appartenant à Lord Bathurst soient maintenant à Caracas et n'ait pas été achetés par le British Museum - Ils sont quasi perdus - La copie en sera très onéreuse - De plus il pense que [Caracciolo] Parra-Perez [qui travailla sur Miranda et la Révolution française] souhaitera en garder l'exclusivité -
Paris, Bibliothèque Nationale, 1978, in-8, 402pp, broché, Très bel exemplaire 402pp
Éditions sociales 1973 in8. 1973. Broché.
Bon état sous papier de soie tranche ternie pages un peu gondolée en bas intérieur propre
LE CLUB FRANCAIS DU LIVRE. 1967. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 309 pages. Vingt-quatre scènes peintes à la gouache par les frères le Sueur publiées pour la première fois ensemble.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
LE CLUB FRANCAIS DU LIVRE. 1967. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 309 pages. Vingt-quatre scènes peintes à la gouache par les frères le Sueur publiées pour la première fois ensemble.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
EDITIONS 10/18 N° 1279. 1922. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Non Renseigné. . . . Classification Dewey : 0-GENERALITES
Classification Dewey : 0-GENERALITES
Annales Historiques de la Révolution Française (fondé par Albert Mathiez)
Reference : 23756
N° 199 - Janvier-mars 1970 - Paraissant 4 fois par an avec le concours du Centre national de la recherche scientifique - in-8 broché - 232 pages
bon état (traces de scotch en première et dernière pages)
Éditions Le club français du livre, 1967, reliés, couvertures de percaline rouge illustrées, signet rouge, 280, 292 & 309 pages respectivement. Édition numéroté N°6455. Chaque volume illustré par des gouaches des frères Le Sueur.
Bon état. Couvertures défraîchies avec de légères salissures. Deux des signets défraîchis. Dos de plus en plus défraîchis au fur et à mesure des volumes (voir photos). Une pliure visible sur le premier plat de couverture du second volume. L'ancien propriétaire tenait visiblement à ses livres, puisqu'il a inscrit son nom au tampon à l'intérieur. Au demeurant, intérieurs frais et bon état général.
Phone number : 04 96 21 81 64
3 volumes de 245, 249 et 249 pages, format 110 x 180 mm, brochés, publiés en 1985, Denoël, collection Médiations", bon état
I - La chute de la royauté II - La Gironde et la Montagne III - La Terreur Préface de Michel Vovelle
Phone number : 04 74 33 45 19
3 volumes de 282, 295 et 312 pages, format 115 x 215 mm, reliés pleine toile, illustrés, publiés en 1967, Le Club français du Livrebon état
Avec 24 scènes peintes à la gouache par les frères Le Sueur
Phone number : 04 74 33 45 19
Lyon, La Manufacture (1989). 2 volumes in-8 brochés de 13 x 20 cm, 632 + 584 pages, brochés sous emboîtage.-1420g.C. - Très bon état.
Générique Broché D'occasion bon état 01/01/1958 150 pages
P., Renaissance du Livre, 1919, in-12, viii-262 pp, index, broché, bon état. Edition originale. Peu courant
"M. Mathiez aura peut-être mieux réussi que certains enragés réactionnaires à priver de leur auréole tant de révolutionnaires fameux... La Révolution reste grande malgré tout, mais combien de ses « héros » sont des énergumènes ou des coquins ! Dans son ouvrage, “Danton et la paix”, on se demande vraiment si la statue colossale du tribun ne sera pas déboulonnée bientôt sous les coups formidables que lui portent la logique acérée et l'impitoyable érudition du professeur de Dijon... Déjà, la vénalité de Danton, jouisseur vulgaire, n'est plus sérieusement discutée entre les juges compétents ; le nouveau travail de M. Mathiez semble mettre en doute son intelligence politique. Il nous montre le fougueux orateur, qui criait à la tribune : « De l'audace, de l'audace et encore de l'audace, et la France est sauvée ! » comme un « défaitiste » au moment de la crise qui menace d'anéantir la France et la République. Quelque étrange que puisse paraître, au premier abord, une accusation pareille, il faut bien reconnaître que l'auteur a su lui donner, par l'interprétation des textes allégués et l'abondance des détails groupés par lui, un tel air de vraisemblance que les admirateurs de Danton – il en reste – se verront obligés d'examiner de très près les arguments réunis dans ce livre, et qui nous paraissent d'autant plus pressants que la valeur morale de l'homme ne peut plus être alléguée désormais pour protéger sa mémoire contre les pires soupçons ; car M. Mathiez ne lui impute pas seulement « la poursuite aussi infructueuse qu'opiniâtre d'une paix insaississable » (p. 140), alors « qu'il prodiguait les airs de bravoure en public », mais d'avoir été pendant tout ce temps « l'agent de l'Angleterre » et « l'instrument de la coalition » (p. 234). II finit par le caractériser comme un « aventurier sans scrupules, très capable de se vendre à l'ennemi », comme le « chef honteux, mais redoutable, de tous les défaitistes », comme « traître à la France et à la République » (p. 250)..." (Rod Reuss, Revue Historique, 1920)
P., Renaissance du Livre, 1919, in-12, viii-262 pp, index, reliure demi-chagrin bleu nuit, dos à 5 nerfs soulignés à froid (rel. de l'époque), dos lég. frotté, état correct
"M. Mathiez aura peut-être mieux réussi que certains enragés réactionnaires à priver de leur auréole tant de révolutionnaires fameux... La Révolution reste grande malgré tout, mais combien de ses « héros » sont des énergumènes ou des coquins ! Dans son ouvrage, “Danton et la paix”, on se demande vraiment si la statue colossale du tribun ne sera pas déboulonnée bientôt sous les coups formidables que lui portent la logique acérée et l'impitoyable érudition du professeur de Dijon... Déjà, la vénalité de Danton, jouisseur vulgaire, n'est plus sérieusement discutée entre les juges compétents ; le nouveau travail de M. Mathiez semble mettre en doute son intelligence politique. Il nous montre le fougueux orateur, qui criait à la tribune : « De l'audace, de l'audace et encore de l'audace, et la France est sauvée ! » comme un « défaitiste » au moment de la crise qui menace d'anéantir la France et la République. Quelque étrange que puisse paraître, au premier abord, une accusation pareille, il faut bien reconnaître que l'auteur a su lui donner, par l'interprétation des textes allégués et l'abondance des détails groupés par lui, un tel air de vraisemblance que les admirateurs de Danton – il en reste – se verront obligés d'examiner de très près les arguments réunis dans ce livre, et qui nous paraissent d'autant plus pressants que la valeur morale de l'homme ne peut plus être alléguée désormais pour protéger sa mémoire contre les pires soupçons ; car M. Mathiez ne lui impute pas seulement « la poursuite aussi infructueuse qu'opiniâtre d'une paix insaississable » (p. 140), alors « qu'il prodiguait les airs de bravoure en public », mais d'avoir été pendant tout ce temps « l'agent de l'Angleterre » et « l'instrument de la coalition » (p. 234). II finit par le caractériser comme un « aventurier sans scrupules, très capable de se vendre à l'ennemi », comme le « chef honteux, mais redoutable, de tous les défaitistes », comme « traître à la France et à la République » (p. 250). La parole est maintenant aux défenseurs du tribun des Cordeliers, et l'on doit attendre équitablement leur réponse pour savoir s'il y a lieu de reviser ou de ratifier cette terrible sentence de dégradation posthume." (Rod Reuss, Revue Historique, 1920)
Paris, R. Guillon, s.d. (1927) 4 fascicules in-folio, titre, 37 ff. anopisthographes ; ff. 38-71 ; ff. 72-101 ; ff. 102-138, le tout multigraphié, brochés. Dos très défraîchis, manque la seconde couverture du fascicule III.
L'histoire économique était devenue depuis 1927 le domaine privilégié par Albert Mathiez à la Sorbonne. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris Payot, "Bibliothèque historique" 1927 1 vol. broché in-8, broché, 620 pp. (couverture usée, signature en page de garde). Sinon exemplaire solide, intérieur propre.
Payot Broché D'occasion bon état 01/05/1973 250 pages
Armand Colin Broché D'occasion bon état 01/01/1911 150 pages
P., Champion, 1910, gr. in-8°, iv-392 pp, index, broché, bon état. Edition originale
"Il est indispensable de connaître l'histoire des clubs pour connaître celle de la Révolution, puisque ce sont les clubs ou sociétés populaires qui ont dirigé, et même qui ont créé le mouvement démocratique et républicain. Ce sont eux qui ont tiré des « principes de 89 » toutes les conséquences qui en découlaient logiquement et qui ont substitué au gouvernement, ou plutôt aux apparences de gouvernement bourgeois du début de la Révolution, le gouvernement direct du « peuple ». Le club des Cordeliers, surtout, a joué en 1791 un rôle prépondérant au moment de la fuite à Varennes, il a rallié tous les ennemis de la monarchie, et si l' « intérim républicain », qui cessa avec la Constituante, se termina par la victoire des monarchiens, cette victoire ne fut qu'illusoire et infiniment précaire. (...) L'ouvrage de M. Albert Mathiez est donc fort précieux. Il comprend surtout des documents, pour la plupart inédits, tirés des Archives nationales de la Bibliothèque nationale et de la ville de Paris : Journal du Club (contenant le récit, très incomplet, des séances du 21 juin au 4 août 1791), pièces du procès intenté, sur l'ordre de la Constituante, aux émeutiers (information secrète et publique, rapports des officiers municipaux, conclusions de l'accusateur public, etc.). De substantiels« éclaircissements » constituent une monographie du club avant la fuite à Varennes (p. 1-41) et exposent l'historique des poursuites (p. 191-225). L'ouvrage se termine par une table des noms de personnes." (Gustave Gautherot, Revue des questions historiques, 1910)
Payot, 1927, in-8°, 620 pp, broché, très frais, bon état (Bibliothèque historique). Edition originale, premier tirage, février 1927
"D'après M. Mathiez, la Terreur serait la résultante des difficultés de ravitaillement qu'éprouvait la population des villes, de Paris surtout, par suite d'une des crises économiques les plus épouvantables que l'histoire ait connues : L'inquiétude provoquée à l'intérieur par les pillages, les réquisitions nécessitées par la guerre contre la première coalition, l'abus des assignats – de nos jours, on dirait l'inflation – , d'autres causes encore provoquèrent le renchérissement des vivres. Le renchérissement des vivres amena la masse, peu au courant des lois inéluctables de l'économie politique, à réclamer d'abord toutes espèces de réglementations, parfois plus nuisibles qu'utiles, puis des taxations particulières et enfin le maximum général. Les grands chefs, tels que Danton, Marat, Hébert et Robespierre, qui au fond sont tous acquis aux théories du libéralisme économique, voient très bien où ce système va conduire la France. Ils résistent devant les enragés. La surenchère l'emporte. Et au fur et à mesure que les principes de la réglementation et de la taxation se développent, l'organisation de la Terreur s'impose davantage..." (H. Van Houtte, Revue belge de philologie et d'histoire)