Belle lettre. Alors qu’il est en pleine lecture de « Beni Ier, Roi de Paris » (1926), il s’empresse de lui rendre hommage en lui exprimant son admiration, « votre style est délicieux et l’œuvre excellente à la fois moderne […] d’un gout parfait et truculent et d’un inattendu perpétuel. Et par-dessus tout profondément vrai… ».