5 books for « affaire lavalette »Edit

‎Sentence des juge & consuls de Paris. Qui condamne tous les Jésuites de France solidairement, à payer la somme de trente mille livres dûes en vertu d'une lettre de change tirée par le Père Lavelette [sic], supérieur des missions aux Isles du Vent, avec les profits & intérêts depuis l'échéance de ladite lettre, & tous les dépens, au jour de la demande ‎

‎S.l. s.d. [1760] in-16 dérelié ‎

‎16 pp.Une des pièces de l'Affaire Lavalette, qui finit par emporter l'existence même de la Compagnie de Jésus en France : la nôtre est encore limitée dans sa portée et ses conséquences, puisqu'elle émane seulement de la justice consulaire de Paris, et qu'elle ne porte que sur le remboursement solidaire des sommes dues par l'imprudent Jésuite à deux négociants marseillais. Mais l'appel de cette sentence devait ne plus cesser de sortir ses conséquences pour la Compagnie, comme l'on sait, et aboutit à leur suppression en 1763 ‎

‎Interrogatoires de Sir Robert Wilson.‎

‎S.l. [Paris], s.d. (1816) in-4, 31 pp., dérelié. Premier feuillet défraîchi, avec perte de quelques lettres.‎

‎Rare factum qui présente les premiers interrogatoires du général Robert Wilson (1777-1849) arrêté dans l'affaire de l'évasion de Lavalette : à savoir, ceux des 13 janvier, 14 janvier, 15 janvier 24 janvier, 9 février, 14 février, 20 février et 23 février 1816. Le texte en fut ensuite généralement réuni aux éditions du procès.Absent de Davois. Au CCF, exemplaires seulement à la BnF et à Rouen. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Interrogatoires de Michel Bruce [de Hutchinson].‎

‎[Paris], Imprimerie de Crapelet, s.d. (1816) 2 parties en un vol. in-4, 12 pp., 14 pp., dérelié. ‎

‎Rare factum qui présente les premiers interrogatoires de Michael Bruce (1787-1861) et John Hely-Hutchinson, (en 1825 second comte de Donoughmore, 1757-1832), arrêtés tous les deux dans l'affaire de l'évasion de Lavalette, avec Robert Wilson : à savoir, ceux des 13 janvier, 14 janvier, 15 janvier, 19 janvier, 9 février, 11 février, 14 février et 23 février 1816. Le texte en fut ensuite généralement réuni aux éditions du procès.Absent de Davois. Au CCF, exemplaires seulement à la BnF.À LA SUITE : Mémoire pour Sir Robert Wilson, et MM. Bruce et Hutchinson. Londres, Sculze et Dean, s.d. [1816], 6 pp. in-folio repliées, texte bilingue sur deux colonnes (français et anglais). Aucun exemplaire au CCF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Manuscrit autographe de 118 pages inachevé de sa conclusion, petit in-4, relié dans un cartonnage. On joint une plaquette, une notice historique d’Eustache Antoine Hua (mars 1841), « Offerte par la famille ». ‎

‎REVOLUTION DE 1830, SES CAUSES ET SES CONSÉQUENCES PROBABLES « Si cet ouvrage a de la suite, il y aura du bonheur », c’est par cet avertissement donné au lecteur, que le magistrat débute son ouvrage en ajoutant cette précision : « Commencé dans mes vacances de 1831, il a dû s’arrêter à la rentrée, pour être repris à la vacance de 1832, puis à celle de 1833 qui en a vu la fin… ». Long témoignage et réflexions sur les évènements de 1830, ouvrage écrit de mémoire, comme le précise son auteur « je n’ai consulté aucun écrit, je n’avais pas même de notes sous les yeux. Je me suis surtout tenu à l’écart de toute opinion étrangère, c’est la mienne que j’ai voulu donner. Je ne sais comment mes principes politiques seront jugés ; ce que je puisse dire, c’est qu’ils sont ceux de toute ma vie, et que dans toutes les phases révolutionnaires que nous avons parcourues, je ne me suis pas surpris un instant à, en changer…. ». C’est le récit de l’avant 1830, riche de détails, avec un aperçu de la révolution de 1789. De nombreuses questions sont posées sur cette révolution de 1830 « d’où vient-elle ? Qui l’a demandée ? Qui l’a faite ? Est-ce encore le bonheur qu’elle va nous donner comme facétie… ». Cinq chapitres pour étayer ses convictions. La Bibliothèque Nationale lui fit honneur, en lui consacrant quelques pages dans « Les plus belles pages manuscrites de l’Histoire de France ». (R. Laffont-1993). ‎

‎Sentence des juge & consuls de Paris‎

‎ Sans lieu ni date Sans lieu ni date, 1760. In-16 broché de 16 pages. Qui condamne tous les Jésuites de France solidairement, à payer la somme de trente mille livres dûes en vertu d'une lettre de change tirée par le Père Lavelette, supérieur des missions aux Isles du Vent, avec les profits & intérêts depuis l'échéance de ladite lettre, & tous les dépens, au jour de la demande. Peu courant‎

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