Auguste Aurès (1806-1894), archéologue, polytechnicien, membre de l'Académie de Nîmes.
Reference : 011186
Auguste Aurès (1806-1894), archéologue, polytechnicien, membre de l'Académie de Nîmes. L.A.S., Nîmes, 23 juin 1879, 2p in-4. A Auguste Allmer (1815-1899). Entête de l'Académie de Nîmes. Longue lettre sur l'inscription concernant un gladiateur trouvée par son ami Albin Michel de Nîmes. Il recopie cette inscription et deux autres qui sont au Musée de Nîmes, développe sur l'interprétation du MVR en tête et signale que Robert Mowat (1823-1912) a le projet d'insérer une note dans la revue archéologique. Cachet de la collection Etienne Déville (1873-1944), historien, conservateur à Lisieux. [158]
Auguste Aurès (1806-1894), archéologue, polytechnicien, membre de l'Académie de Nîmes.
Reference : 011185
Auguste Aurès (1806-1894), archéologue, polytechnicien, membre de l'Académie de Nîmes. L.A.S., Nîmes, 18 avril 1879, 2p & demi in-12. A Auguste Allmer (1815-1899). Il le remercie pour le dernier numéro de sa revue et fait référence à un précédent courrier dans lequel il signaler un numéro manquant de la revue. Il s'est trompé de numéro. Il recommande aussi un ami, Albin Michel, de Nîmes, qui a découvert une inscription inédite (la lettre d'Aurès du 23 juin 1879 nous indique qu'elle concerne un gladiateur). La lettre à laquelle Aurès fait référence est celle du 25 décembre 1878 qui est conservée dans un fonds de correspondance reçus par Allmer conservé à la bibliothèque Jacques Doucet (INHA, NUM MS 391(1), f.25 & 26) Cachet de la collection Etienne Déville (1873-1944), historien, conservateur à Lisieux. [158]
Auguste Aurès (1806-1894), archéologue, polytechnicien, membre de l'Académie de Nîmes.
Reference : 011187
Auguste Aurès (1806-1894), archéologue, polytechnicien, membre de l'Académie de Nîmes. L.A.S., Nîmes, 8 avril 1882, 1p & demi in-8. A Auguste Allmer (1815-1899). Il annonce qu'Albin Michel et lui vont publier le mémoire sur l'inscription des Bains et souhaite donc avoir l'avis d'après. Il lui annonce aussi la découverte, à Nîmes, derrière le temple de Diane, d'un fragment d'autel dédié aux Proxumes. Cachet de la collection Etienne Déville (1873-1944), historien, conservateur à Lisieux. [158]
GARD – NÎMES - GRAVEROL (François) jurisconsulte et écrivain français. Il fut en 1682 l’un des fondateurs de l’Académie de Nîmes. Lors de la révocation de l’édit de Nantes, Graverol qui était protestant, voulut quitter la France avec sa famille. Lors de son passage à Valence, reconnu et dénoncé par Lefebvre, lieutenant criminel de Nîmes, il fut arrêté et dépouillé de ses biens. Après une abjuration, contre laquelle protestait sa conscience, il fut libéré, et reprit du moins secrètement, l’exercice de son culte. (1636-1694)
Reference : 90C29
« Je souhaitterois de scavoir le nom et surnom d’un baron d’Aygremont qui environ l’année 1555 estoit marié avec Marguerite de Cambis […] J’ose croire que vous pourrés facilement satisfaire ma curiosité […] ce que je souhaitte de scavoir, vous pouvés m’apprendre des particularités de la vie et de la mort de cette Marguerite de Cambis comme aussy de quelle famille de Cambis elle estoit. J’ai ven quelques traductions qu’elle avoit fait d’Italien en François... ».
1923 in-8, XCIII, 174pp., br. Nimes Clavel 1925,
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
GUERIN Pierre Professeur au lycée de NîmesMembre résidant de l'Académie de Nîmes
Reference : 1724
(1916)
1916 [Contes patois] Nîmes, imprimerie Clavel et Chastanier 1916. Plaquette in 8° de 52 pp. [A ma mero: Moun patois invouncacioun a la pès lou rencontre] Nîmes 1920, imprimerie Chastanier, plaquette in 8° de XII pp. [A propos de nos dialectes de langue roimane et de la renaissance provençale la paou dou pastre miral] Nîmes 1922. Plaquette in 8° de 16 pp.
Pierre Guérin prend ici la défense des multiples dialectes méridionaux que le groupe de félibres réuni autour de Mistral aurait un peu étouffé dans un effort unificateur de "renaissance"." Fen de brut! Les Félibres ont mis la leçon en pratique: ils ont fait du bruit, beaucoup de bruit, un bruit de bon aloi, c'est entendu, mais enfin groupés, unis, orchestrés admirablement sous la baguette d'un maître de choeur de génie, ils ont entonné le chant de la "Coupo Santo" si haut, si fort qu'on n'a plus perçu à côté les chants dispersés, isolés des autres poètes méridionaux".
Couverture souple. Broché. 344 pages.
Livre. Imprimerie le CAstellum, 1976.