10 janvier 1924. 1 p. in folio
32 vers. «Disparaissant dans le satin / D’un calice, éclos le matin, / Agitant des ailes de gaze, / L’abeille boit avec extase…»On joint: Lettre autographe signée, 30 janvier 1925. 2 pp. in 8°. «J’ai été très fière et très touchée de trouver mon poème et mon nom dans votre coquette revue…»
3 pp. in 4°
«Ceci se passait en Angleterre, dans les environs d’Oxford… Le docteur Roberts était un savant entomologiste… Sa famille… se réjouissait d’avoir eu l’heureuse chance de rencontrer comme pensionnaire… un jeune homme élégant, d’une physionomie d’une grande beauté… La plus parfaite harmonie régnait dans ce groupe sympathique… Un jour, une abeille indiscrète, qui s’était trompée de fleur entra dans le corsage échancré d’une des jeunes filles et s’y blottit frileusement…»On joint: Lettre autographe signée à Edmond Alphandéry, 16 septembre 1923. 1 p. in 4° sur papier à en-tête de la Société Victor Hugo.