A Rennes, ches Jacques Vatar, libraire, Place du Palaisn aux Etats de Bretagne, 1760, XXV, 284 pp Un volume In-8 en plein veau marbré d'une belle patine légèrement glacée, dos à cinq nerfs aux ornements effacés, pièce de maroquin rouge, plats enrichis des grandes armes de Bretagne coupés de trois fleurs de lys et d'un semi d'hermine, reliure d'époque. Ouvrage agrémenté de belles gravures sur cuivre par Baquoy (frontispice, 2 planches hors texte et 3 bandeaux). Edition originale.
Rennes, Jacques Vatar, 1761 in-12, faux-titre, xl pp., 40 pp., 300 pp., avec 2 planches hors texte (dont une d'apiculture), basane fauve marbrée, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, manque la pièce de titre, tranches rouges (reliure de l'époque). Coiffe inférieure rognée, importants manques aux coupes et aux coins.
Seconde édition (la première est de 1760). Il n'y eut que deux volumes de ces rapports rédigés par Abeille et Montaudouin : un pour les années 1757-58 ; un pour les années 1759-60, à chaque fois en deux formats (in-8 et in-12), à la collation différente, tant pour la pagination que pour l'iconographie. Enfin, des rééditions parurent, ce qui explique la confusion qui règne parfois autour de cette importante publication de la première société française de ce type. En effet, la Société d'agriculture, de commerce et des arts des États de Bretagne, officiellement créée en 1757 sur le modèle de celle de Dublin, qui existait depuis 1731, était composée de membres issus des trois Ordres, qui représentaient les neuf diocèses de Bretagne. Elle se fixa pour première mission de créer un Corps d’observations pour dresser un état des lieux de l'agriculture, du commerce et de l'industrie dans les États de Bretagne, et s'engagea à rendre publics les résultats de ses enquêtes.Son secrétaire fut, jusqu'en 1762, l'économiste Louis-Paul Abeille (1719-1807), proche des milieux physiocratiques.Ex-libris manuscrit "Charrière, avocat en Parlement". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Rennes, Jacques Vatar, Paris, veuve de B. Brunet, 1760 - 1762 2 vol. in-8, xxxviij pp., 38 pp., 284 pp., [4] ff. n. ch. de table des matières et de privilège, avec 3 planches hors texte, dont un frontispice allégorique gravé par Bacquoy ; viij pp., 392 pp., [4] ff. n. ch. de table des matières et de privilège, avec 2 planches hors texte, veau fauve marbré, dos à nerfs cloisonnés et fleuronnés (avec alternance d'hermines et de fleurs de lis au volume II), fer au fleur de lis couronné en queue du volume I, pièces de titre et de tomaison, tranches rouges ou mouchetées de rouge (reliure de l'époque). Quelques coins abîmés, légère disparate de reliure entre les deux volumes.
Édition originale des deux volumes.Il n'y eut en fait que deux sorties de ces rapports rédigés par Abeille et Montaudouin : un pour les années 1757-58 ; un pour les années 1759-60, à chaque fois en deux formats (in-8 et in-12), à la collation différente, tant pour la pagination que pour l'iconographie. Enfin, des rééditions parurent, ce qui explique la confusion qui règne parfois autour de cette importante publication de la première société française de ce type. En effet, la Société d'agriculture, de commerce et des arts des États de Bretagne, officiellement créée en 1757 sur le modèle de celle de Dublin, qui existait depuis 1731, était composée de membres issus des trois Ordres, qui représentaient les neuf diocèses de Bretagne. Elle se fixa pour première mission de créer un Corps d’observations pour dresser un état des lieux de l'agriculture, du commerce et de l'industrie dans les États de Bretagne, et s'engagea à rendre publics les résultats de ses enquêtes.Son secrétaire fut, jusqu'en 1762, l'économiste Louis-Paul Abeille (1719-1807), proche des milieux physiocratiques.INED, 1-2 et 3243-44 ; Einaudi, 48-49.Armes des États de Bretagne poussées au centre des plats du volume II. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT