A Parme Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1792 Book condition, Etat : Moyen relié, demi-veau marron, dos lisse orné, titre et tomaison In-8 1 vol. - 376 pages
nouvelle édition, 1792 "Contents, Chapitres : 1. La Logique ou les premiers développements de l'art de penser : Comment la nature même nous enseigne l'analyse et comment, d'après cette méthode, on explique l'origine et la génération, soit des idées, soit des facultés de l'âme - L'analyse considérée dans ses moyens et dans ses effets ; ou l'art de raisonner réduit à une langue bien faite - 2. Traité des animaux : Du système de Descartes et de l'hypothèse de M. de Buffon - Système des facultés des animaux - Conclusion - Lettre de M. l'abbé de Condillac à l'auteur des Lettres à un américain - Étienne Bonnot de Condillac, abbé de Mureau, est un philosophe, écrivain, académicien et économiste français, né le 30 septembre 1714 à Grenoble (Dauphiné) et mort le 3 août 1780 à Lailly-en-Val (Orléanais). Premier et seul vrai représentant du courant empiriste en France, Condillac y exerça à ce titre ainsi qu'à l'étranger une influence considérable. Bien que la postérité ne lait pas hissé au même rang que dautres penseurs des Lumières, Étienne Bonnot de Condillac saffirme comme lun des psychologues les plus pénétrants de son siècle. Avec Voltaire, il représente l'un des principaux introducteurs en France des principes du philosophe anglais John Locke, quil développe de façon systématique. Le style de Condillac est limpide, dune clarté logique extrême qui peut verser dans la sécheresse. Son analyse de lesprit humain se fonde entièrement sur lélaboration progressive des sensations, sans jamais faire appel à un principe spirituel, bien quil ait toujours affirmé son orthodoxie religieuse. Condillac est reconnu comme étant le chef de lécole sensualiste et affirme que notre seule source de connaissance est la sensation, doù dérive normalement et par transformation simple la réflexion, le raisonnement, lattention et le jugement. Pour prouver ses assertions, ils se base sur lexemple de lHomme statue, qui éprouve successivement les sensations. - Le Traité des animaux est un essai philosophique de Condillac paru en 1755. Le sous-titre éclaire les intentions de Condillac : Où, après avoir fait des observations critiques sur le sentiment de René Descartes, et sur celui de M. de Buffon, on entreprend dexpliquer leurs principales facultés. Partant du thème philosophique de la sensibilité et l'intelligence des animaux, très discuté au milieu du XVIIIe siècle, Condillac prolonge la réflexion de Descartes et commente lHistoire naturelle de Buffon (publiée à partir de 1749). C'est aussi un prétexte pour évoquer la nature humaine et son rapport à dieu. (source : Wikipedia)" "Reliure d'époque un peu défraichie, coins émoussés, épidermures sur les plats, mors usés avec de petites déchirures, dos frotté, bout d'étiquette en papier ancienne ""Condillac"", la reliure reste solide et compacte, intérieur propre, un tampon de particulier sur la page de faux-titre avec la mention ""Onfray"", sinon propre, papier un jauni, l'ensemble du texte reste assez frais avec des rousseurs éparses, taches sombres sur la pages de gardes en fin d'ouvrage, le coin supérieur central des pages est un peu bruni en fin d'ouvrage, tome troisième des oeuvres philosophiques de l'abbé de Condillac imprimé à Parme en 1792 (Une ville où Condillac a vécu pendant 9 ans entre 1757 et 1768 pour éduquer l'infant don Ferdinand)"
A Parme Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1792 Book condition, Etat : Moyen relié, demi-veau marron, dos lisse orné, titre et tomaison In-8 1 vol. - 444 pages
nouvelle édition, 1792 Contents, Chapitres : Avis important au lecteur, dessein de cet ouvrage - Traité des sensations : Des sens qui, par eux-mêmes, ne jugent pas des objets extérieurs - Du toucher, ou du seul sens qui juge par lui-même des objets extérieurs - Comment le toucher apprend aux autres sens à juger des objets extérieurs - Des besoins, de l'industrie et des idées d'un seul homme qui jouit de tous les sens - Conclusion - Avant-propos - Dissertation sur la liberté - Réponse à un reproche qui m'a été fait sur le projet exécuté dans le Traité des sensations - Extrait raisonné du Traité des sensations - Étienne Bonnot de Condillac, abbé de Mureau, est un philosophe, écrivain, académicien et économiste français, né le 30 septembre 1714 à Grenoble (Dauphiné) et mort le 3 août 1780 à Lailly-en-Val (Orléanais). Premier et seul vrai représentant du courant empiriste en France, Condillac y exerça à ce titre ainsi qu'à l'étranger une influence considérable. Bien que la postérité ne lait pas hissé au même rang que dautres penseurs des Lumières, Étienne Bonnot de Condillac saffirme comme lun des psychologues les plus pénétrants de son siècle. Avec Voltaire, il représente l'un des principaux introducteurs en France des principes du philosophe anglais John Locke, quil développe de façon systématique. Le style de Condillac est limpide, dune clarté logique extrême qui peut verser dans la sécheresse. Son analyse de lesprit humain se fonde entièrement sur lélaboration progressive des sensations, sans jamais faire appel à un principe spirituel, bien quil ait toujours affirmé son orthodoxie religieuse. Condillac est reconnu comme étant le chef de lécole sensualiste et affirme que notre seule source de connaissance est la sensation, doù dérive normalement et par transformation simple la réflexion, le raisonnement, lattention et le jugement. Pour prouver ses assertions, ils se base sur lexemple de lHomme statue, qui éprouve successivement les sensations. - Son ouvrage majeur est le Traité des sensations, dans lequel il sémancipe du patronage de Locke et aborde la psychologie de sa propre manière, formulant sa doctrine du sensualisme. Il raconte comment il a été amené à revoir les postulats de Locke : cest la critique de Mlle Ferrand qui lui fit remettre en question la doctrine du philosophe anglais, selon laquelle les sens nous donnent une connaissance intuitive des objets. En effet, lil, par exemple, interprète naturellement la forme, la taille, la distance et la position dun objet. Sa discussion avec cette femme la convaincu quil était nécessaire, pour élucider ce genre de problèmes, détudier chaque sens séparément, dattribuer à chacun ce que nous lui devions, dobserver leur développement et la façon dont ils se complètent les uns les autres. Le résultat, selon lui, démontrerait que toutes les facultés et connaissances humaines ne sont que des sensations transformées à lexclusion de tout autre principe, telle la réflexion. - Condillac imagine dabord une statue de constitution humaine et animée dune âme neuve, où aucune sensation ni perception na jamais pénétré. Il éveille ensuite progressivement les sens de cette statue, en commençant par lodorat, le sens qui contribue le moins à la connaissance humaine. Toute la conscience de la statue se réduit alors aux odeurs singulières quelle éprouve. La perception par cette statue vivante de telle ou telle odeur saccompagne nécessairement de plaisir ou de douleur, selon laxiome lockien de la bipolarité de la conscience. La douleur et le plaisir deviennent ainsi le principe directeur qui va diriger toutes les opérations de son esprit. Après cette simple attention aux sensations naît la mémoire, qui nest que limpression persistante de lexpérience dune odeur : « La mémoire nest donc quune manière de sentir. » De la mémoire découle la comparaison : la statue expérimente lodeur, par exemple, dune rose, tout en se souvenant de celle dun illet, « car comparer nest autre chose que donner en même-temps son attention à deux idées. » Or, « dès quil y a comparaison, il y a jugement. » La comparaison et le jugement deviennent habituels. Ils se développent grâce au tout-puissant principe de lassociation des idées. De la comparaison dexpériences passées et présentes et du plaisir ou de la douleur qui leur est attaché, émerge le désir. Cest le désir qui oriente lusage de nos facultés, qui stimule la mémoire et limagination, et qui déclenche les passions. Les passions, elles aussi, ne sont que des sensations transformées. (source : Wikipedia) "Reliure d'époque un peu défraichie, coins émoussés, épidermures sur les plats, mors usés avec de petites déchirures, dos frotté, bout d'étiquette en papier ancienne ""..dillac"", la reliure reste solide et compacte, intérieur propre, un tampon de particulier sur la page de faux-titre avec la mention ""Onfray"", sinon propre, papier un peu bruni, notamment les bords de la page de titres, l'ensemble du texte reste assez frais avec des rousseurs éparses, tome second des oeuvres philosophiques de l'abbé de Condillac imprimé à Parme en 1792 (Une ville où Condillac a vécu pendant 9 ans entre 1757 et 1768 pour éduquer l'infant don Ferdinand)"
Chez les Libraires Associés à Paris, M. DCC. LXXVII Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1777 Book condition, Etat : Bon relié, demi-veau marron à 5 faux-nerfs, pièce de titres et de tomaison au dos, caissons ornés In-8 1 vol. - 521 pages
3eme édition des Oeuvres de Condillac, revue et augmentée, 1777 Contents, Chapitres : Dessein de cet ouvrage - 1. Traité des sensations : Des sens qui, par eux-mêmes, ne jugent pas des objets extérieurs - Du toucher, ou du seul sens qui juge par lui-même des objets extérieurs - Comment le toucher apprend aux autres sens à juger des objets extérieurs - Des besoins, de l'industrie et des idées d'un seul homme qui jouit de tous les sens - Conclusion - Avant-propos - Dissertation sur la liberté - Réponse à un reproche qui m'a été fait sur le projet exécuté dans le Traité des sensations - 2. Traité des animaux : Du système de Descartes et de l'hypothèse de M. de Buffon - Système des facultés des animaux - Conclusion - Extrait raisonné du Traité des sensations - Précis des 4 parties - Étienne Bonnot de Condillac, abbé de Mureau, est un philosophe, écrivain, académicien et économiste français, né le 30 septembre 1714 à Grenoble (Dauphiné) et mort le 3 août 1780 à Lailly-en-Val (Orléanais). Premier et seul vrai représentant du courant empiriste en France, Condillac y exerça à ce titre ainsi qu'à l'étranger une influence considérable. Bien que la postérité ne lait pas hissé au même rang que dautres penseurs des Lumières, Étienne Bonnot de Condillac saffirme comme lun des psychologues les plus pénétrants de son siècle. Avec Voltaire, il représente l'un des principaux introducteurs en France des principes du philosophe anglais John Locke, quil développe de façon systématique. Le style de Condillac est limpide, dune clarté logique extrême qui peut verser dans la sécheresse. Son analyse de lesprit humain se fonde entièrement sur lélaboration progressive des sensations, sans jamais faire appel à un principe spirituel, bien quil ait toujours affirmé son orthodoxie religieuse. Condillac est reconnu comme étant le chef de lécole sensualiste et affirme que notre seule source de connaissance est la sensation, doù dérive normalement et par transformation simple la réflexion, le raisonnement, lattention et le jugement. Pour prouver ses assertions, ils se base sur lexemple de lHomme statue, qui éprouve successivement les sensations. - Son ouvrage majeur est le Traité des sensations, dans lequel il sémancipe du patronage de Locke et aborde la psychologie de sa propre manière, formulant sa doctrine du sensualisme. Il raconte comment il a été amené à revoir les postulats de Locke : cest la critique de Mlle Ferrand qui lui fit remettre en question la doctrine du philosophe anglais, selon laquelle les sens nous donnent une connaissance intuitive des objets. En effet, lil, par exemple, interprète naturellement la forme, la taille, la distance et la position dun objet. Sa discussion avec cette femme la convaincu quil était nécessaire, pour élucider ce genre de problèmes, détudier chaque sens séparément, dattribuer à chacun ce que nous lui devions, dobserver leur développement et la façon dont ils se complètent les uns les autres. Le résultat, selon lui, démontrerait que toutes les facultés et connaissances humaines ne sont que des sensations transformées à lexclusion de tout autre principe, telle la réflexion. Le Traité des animaux est un essai philosophique de Condillac paru en 1755. Le sous-titre éclaire les intentions de Condillac : Où, après avoir fait des observations critiques sur le sentiment de René Descartes, et sur celui de M. de Buffon, on entreprend dexpliquer leurs principales facultés. Partant du thème philosophique de la sensibilité et l'intelligence des animaux, très discuté au milieu du XVIIIe siècle, Condillac prolonge la réflexion de Descartes et commente lHistoire naturelle de Buffon (publiée à partir de 1749). C'est aussi un prétexte pour évoquer la nature humaine et son rapport à dieu. (source : Wikipedia) Reliure d'époque un peu défraichie, coins émoussés, épidermures sur les plats, mors usés avec de petites déchirures, dos frotté, la reliure reste solide et compacte, intérieur frais et propre, papier à peine jauni, très peu de rousseurs, étiquette frottée ancienne à l'intérieur du plat supérieur, cela reste un bon exemplaire du tome 3 seul des oeuvres de Condillac, contenant ses deux textes les plus importants.
1795 A PARIS. DE L'IMPRIMERIE DE DIDOT LE JEUNE. L'AN TROISIEME. 1795. GRAND IN-4 (28,5 X 37,5 X 5 CENTIMETRES ENVIRON) DE XXIV + 265 ET (2), RELIURE D'EPOQUE 1/2 VEAU MAROQUINE ROUGE, DOS LISSE ORNE D'UN IMPORTANT DECOR DE FLEURONS DORES, TITRE DORE. IMPRIME SUR PAPIER VELIN. ILLUSTRE DE 2 FIGURES HORS TEXTE PAR MOREAU, GRAVEES A L'EAU-FORTE PAR GIRAUD ET TERMINEES PAR DUPREEL ET DAMBRUN, AVANT LA LETTRE. PREMIER TIRAGE. (COHEN. 669).
QUELQUES TRACES D'USURE EXTERIEURE, SINON BON EXEMPLAIRE.
La Haye, et se trouve à Paris, Nyon. Veuve Durand. 1768. 1 volume in-12, veau fauve, dos lisse orné. Coiffes et coins usés.VIII pp. ; 316 pp.
Edition originale. Il s'agit d'une critique de l'oeuvre de Mercier de La Rivière paru en 1767, et qui avait déjà inspiré à Voltaire la matière de L'Homme aux quarante écus. En dix lettres, Mably développe de façon explicite l'égalité totale des conditions ainsi que la communauté des biens. C'est généralement ce titre qui a donné aux théoriciens communistes ultérieurs l'idée de considérer Mably comme leur ancêtre idéologique.INED, 2991.
Paris, CH. Desbrières, an III [1794-1795], in-8, 15 vol, portrait, Demi-basane tabac de l'époque, dos lisses et filetés, pièces de tomaison vertes, tranches jonquille, Portrait de l'auteur en frontispice du tome I. Édition collective des Oeuvres du moraliste et historien pessimiste Gabriel Bonnot de Mably (1709-1785), frère de Condillac : elle a été imprimée d'après les manuscrits de l'auteur, sous les yeux de son exécuteur testamentaire, Guillaume Arnoux, ancien curé de Belleville en Beaujolais. Cet exemplaire, de belle provenance, comporte les étiquettes ex-libris "J. Uginet" et le cachet humide de la bibliothèque de Sainte-Perine : Joseph Uginet (1771-1853) fut le majordome de Madame de Staël, puis de Louis-Philippe. Il fut nommé grand maître des valets de la Cour en 1830, puis il se retira Sainte-Périne de Chaillot, la toute première maisons de retraite, installée dans un ancien couvent parisien. Mably apparait autant que Jean-Jacques Rousseau comme l'un des penseurs auxquels les acteurs de la Révolution Française et leurs épigones feront le plus volontiers référence. Rêvant d'une république vertueuse et égalitaire, Mably s'opposa à son siècle pour des raisons morales. Brunet considère cet esprit "chimérique" comme "un simple rêveur, dont le nom ne sera bientôt plus connu que des bibliographes". Les présentes Oeuvres contiennent : Les observations sur l'histoire de France (tomes I-III) ; sur l'histoire des Grecs et des Romains (tomes IV); Le Droit public de l'Europe fondé sur les traités (tomes V-VII); Du gouvernement et des lois de Pologne, des États-Unis d'Amérique (tome VIII); De la législation, ou des principes de droit (tome IX); Les entretiens de Phocion et les principes de morale (tome X); Les doutes sur l'ordre naturel des sociétés politiques, et des droits et des devoirs du citoyen (tome XI); De l'étude de l'histoire et de la manière d'écrire l'histoire (tome XII); les Oeuvres posthumes (tomes XIII-XV). Étiquettes en pied des dos. Sans la page de titre du volume XV. Quelques épidermures, mors et coins usés, pages un peu jaunies Brunet III, 1264. INED p. 411. Quérard V, 406. Couverture rigide
Bon 15 vol., portrait
A Amsterdam, & A Leipsick / Et se vend à Paris, chez Arkstée & Merkus / Chez Jombert père, 1771. In-12 de [4]-448-[2] pages, plein veau marbré, dos à 5 nerfs orné de filets, roulettes, fleurons et encadrements dorés, étiquette de titre bordeaux, triple filet doré ornant les plats, roulette sur les coupes, gardes et tranches marbrées. Nom de possesseur, à la plume, au faux-titre : J. Adrien Naville.
Etienne Bonnot de Condillac s’affirme comme l’un des psychologues les plus pénétrants de son siècle. Avec Voltaire, il représente l'un des principaux introducteurs en France des principes du philosophe anglais John Locke, qu’il développe de façon systématique. Son Traité des systèmes est une critique vigoureuse des théories philosophiques modernes fondées sur des principes abstraits ou des présupposés (donc contre Descartes, Malebranche, Leibniz et Spinoza). wiki.
, Londres, s. éd. - Volland 1789 - 1790, 12 vol. in-8, cartonnage bleu d’attente, non massicoté, (reliure usagée), texte frais.
Phone number : 01 43 29 46 77
A KELL. 1789. IN-12 (10,5 X 17,5 X 2,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE 245 PAGES, RELIURE D'EPOQUE PLEIN VEAU MARBRE, DOS A CINQ NERFS ORNE D'UN DECOR DE FLEURONS DORES, TITRE DORE SUR ETIQUETTE MAROQUIN HAVANE, TRANCHES ROUGES. EDITION ORIGINALE. ETIQUETTE EX-LIBRIS ARMORIE «D. D. DESCOUBES DE MONLAUR» A LA DEVISE «VIRTUS AURO MELIUS». DEBOITE, DEFAUTS EXTERIEURS DONT DOS FROTTE ET DEDORE, PETITS MANQUES DE CUIR DONT MORS SUPERIEUR. PETIT PRIX EN FONCTION DES DEFAUTS SIGNALES.
A La Haye, et se trouve à Paris, chez Nyon; Veuve Durand, 1768. In-12 de VIII-316 pages, plein veau marbré brun, dos lisse orné de filets et fleurons dorés, pièce de titre rouge, filets dorés sur les coupes, tranches jaspées, 2 petites galeries de vers dans un mors. Bel exemplaire.In-12 of VIII-316 pages, full brown marbled calf, smooth back decorated with gilt fillets and floral ornaments, red title label, gilt fillets on the cuts, sprinkled edges, 2 small galleries of worms in a joint. Beautiful copy.
Edition originale. Issu d'une famille de noblesse parlementaire, l'abbé Mably est le frère de Condillac, lui aussi philosophe. Mably dénonce le « despotisme légal » et critique également le système politique anglais qui, selon lui, subordonne le pouvoir législatif au pouvoir exécutif. Il admire les sociétés antiques, modèle de frugalité et de vertu. Précurseur du socialisme utopique et de la Révolution, il se livre à une critique morale de la société d'Ancien Régime, exposant que l'inégalité des conditions et la propriété privée sont la cause des maux de la société. Il voit dans la propriété commune et l'égalité moins un moyen d'atteindre le bonheur qu'un moyen d'atteindre la vertu. En 1768, dans l'ouvrage présenté ici, il déclare ne pouvoir accepter que les institutions existantes et en particulier la propriété foncière soient conformes au vœu de la nature. Il vise les idées physiocratiques, et en particulier celles exposées l'année précédente par Mercier de la Rivière dans l' "Ordre naturel et essentiel des sociétés politiques". Einaudi 3555; INED 2991; Kress 6576.First edition. Coming from a family of parliamentary nobility, Mably is the brother of Condillac, also a philosopher. Mably denounces "legal despotism" and also criticizes the English political system which, according to him, subordinates the legislative power to the executive power. He admires Antique societies, a model of frugality and virtue. Precursor of utopian socialism and of the Revolution, he indulges in a moral critique of the society of the Ancien Régime, stating that unequal conditions and private property are the cause of society's ills. He sees in common property and equality less a means of achieving happiness than a means of achieving virtue. In 1768, in the work presented here, he declared that he could not accept that the existing institutions and in particular the land ownership were in accordance with the wishes of nature. He targets physiocratic ideas, and in particular those exposed the previous year by Mercier de la Rivière in l'Ordre naturel et essentiel des sociétés politiques. Einaudi 3555; INED 2991; Kress 6576.
A PARIS. CHEZ J. L. J. BRIERE, LIBRAIRE. 1823. 3 VOLUMES IN-8 (14 X 22,5 X 9,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE (4) + VI + 475, (4) + 427 ET (4) + 451 PAGES, RELIURE D'EPOQUE 1/2 VEAU HAVANE, DOS LISSE ORNE DE FILETS DORES, TITRE DORE. PETITES TRACES D'USURE EXTERIEURE SANS GRAVITE, DONT PETITE TRACE DE COUP SUR UN MORS, SINON BON EXEMPLAIRE.
Paris Dufart 1795
An III de la République. In-12, 216p. :: Nouvelle édition, la première en 1780. Dernier ouvrage rédigé par Condillac, qui servit de manuel dans plusieurs institutions françaises. :: Reliure de l'époque, demi-basane, dos lisse orné, tranches jaunes. Rousseurs éparses. Bon exemplaire.
Chez Neaulme, Libraire Paris 1749 In-12 ( 170 X 100 mm ) de 6 ffnch. de table et 230 pages, plein veau fauve marbré, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison de maroquin grenat, tranches brique ( reliure de l'époque ). Tome 1 seul. EDITION ORIGINALE. Tampon ex-libris sur une garde, bel exemplaire.
Chez Neaulme, Libraire La Haye 1749 In-12 ( 165 X 100 mm ) de 6 ffnch. de table et 449-1 pages, plein veau fauve marbré, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, pièce de titre de maroquin grenat, ornementation florale et fleur de lys estampés à froid sur les plats, tranches brique ( reliure de l'époque ). EDITION ORIGINALE. Ex-libris au contreplat, la page de titre est en fac-similé moderne, petites épidermures, bel exemplaire.
Kell, s. n., 1791 ; in-12. 244pp. basane brune marbrée, dos lisse orné, pièce de titre fauve, tranches jaspées. Cachet ex-libris sur le titre : "A. Lhoyer". Très légers frottements aux coins et perforation du papier sur le titre au niveau de l'adresse. Bon exemplaire cependant.
Troisième édition après les deux précédentes données à Kell , puis Paris & Lausanne, en 1789, comportant 367pp. Ce texte rédigé en 1758 ne paru que de façon posthume (comme beaucoup d'autre de cet auteur) ; il y développe des idées qui seront reprises lors de la Révolution française. (Tchemerzine VII, 271a et, ne cite pas cette édition).
Librairie des Catéchismes. non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Manque en coiffe de pied, Papier jauni. 96 pages - quelques dessins en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 235-Les saints
Dessins de Marillier, Mousian et Moreau Jeune du XVIIIe siècle. Classification Dewey : 235-Les saints
LIBRAIRIE DES CATECHISMES. NON DATE. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 96 pages. Couverture illustrée en noir et blanc. Nombreuses gravures en noir et blanc hors texte. Dos partiellement fendu.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Classification Dewey : 200-RELIGION
A AMSTERDAM. SANS NOM D’EDITEUR. 1763. IN-12 (10 X 17 X 2,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE XXXVI + 248 ET (1) PAGES, RELIURE D'EPOQUE PLEIN VEAU MARBRE, DOS LISSE ORNE D'UN DECOR DE FLEURONS DORES, TITRE DORE SUR ETIQUETTE MAROQUIN ROUGE, TRANCHES ROUGES. EDITION ORIGINALE. BON EXEMPLAIRE.
La Haie Sn 1767 Un volume in-12 (17x10 cm), reliure veau vermiculé, dos lisse orné de fleurons dorés, titre doré, filets dorés sur les coupes, tranches rouges, viii pp. dont titre, 291 pp.
Petit frottement au deuxième plat, bel état.
Amsterdam, sans nom, 1776. 2 parties en 1 volume in-12, plein veau époque, dos à nerfs orné de fleurons et de filets dorés, toutes tranches rouges, VIII, 264 pp; IV, 264 pp. Edition originale ornée de quelques bandeaux et culs-de-lampe. Coins émoussés, coupes usées, coiffe supérieure manquante, plats, mors et coiffes frottés, mouillure claire dans la marge inférieure (sans atteinte au texte), quelques rousseurs.
L'abbé Mably (1709-1785) est le frère d' Etienne Bonnot de Condillac. Il dénonce dans ses ouvrages, la propriété privée comme un cause de désordre, d'injustice et d'oisiveté. Mably est un socialiste, voire un communiste. Son idéal est celui d'un retour à un communisme agraire supposé originaire. Dans la pratique, il est un réformiste. Tout en dénonçant la concentration croissante des fortunes, ainsi que, en termes déjà modernes, l'appropriation des moyens de travail par une classe capitaliste de propriétaires fonciers au détriment des salariés, il admet le caractère irréversible de l'institution de la propriété privée. Pour limiter les effets d'une inégalité croissante, il préconise la suppression de la transmission héréditaire des patrimoines. (cf Encyclopaedia Universalis)
A Amsterdam, chez J. F. Rosart & Comp, 1784; à Lausanne, chez François Grasset, 1770, 1 plein veau granité, dos orné, tranches jaspées, étiquettes de bibliothèque contrecollées au dos et sur les plats. 1 volume in-8, titre, 213 pp., et XI-204 pp., petit manque sur le coin haut des 4 premiers feuillets ;
Phone number : 06 80 15 77 01
Maestricht, Cavelier et Paris, Bauvis, Bailly, 1778. 1 vol. in-12, veau fauve marbré, dos lisse orné de fleurons dorés, pièce de titre en maroquin rouge, filet doré sur les coupes, tranches bleues cailloutées. Reliure de l'époque. Bel exemplaire. (2) ff., 380 pp.
Première édition séparée. Ce texte avait d'abord paru en 1775 dans le Cours d'Etudes pour l'instruction du duc de Parme, de Condillac (dont Mably était le frère). Mably insiste sur l'importance de l'histoire, dans la formation des hommes politiques et des législateurs. Il se livre ensuite à une analyse politique des gouvernements voisins de la France : Suisse, Pologne, Allemagne, Provinces unies, Angleterre et Suède. Dans la dernière partie de son livre, il développe des idées politiques sur la réforme des lois dans un Etat, préconise l'égalité et donne des conseils de bonne gouvernance. Quérard V, 405; Cioranescu, 41183; Tchemerzine-Scheler IV, 252.
Phone number : 02 47 97 01 40
Paris, Didot le jeune, an troisième (1795). In-folio, demi veau époque, dos lisse orné de filets dorés, titre doré, XXIV, 265 pp, 2 pp non chiffrées. Ouvrage illustré de 2 planches hors texte d'après Moreau le jeune, gravées à l'eau-forte par Giraud. Coins émoussés, coupes usées, plats salis, pièce de titre un peu frottée, petite épidermure sur le plat supérieur, travail de ver sur la première moitié (sans gravité), quelques piqûres.
A Paris, de l'Imprimerie de Charles Houel, An VI de la République (1797-1798), 1 volume in-8 de 200x125 mm environ, 484 pages, 1f.(errata), demi maroquin à long grain brun avec coins en parchemin crème, titres dorés sur pièce de titre corail, dos lisse orné de caissons à motifs dorés, gardes bleu clair, tranches mouchetées de rouge et gris. Quelques plis sur le dos et petits accrocs sur le cuir, pièce de titre fendue, petites mouillures très claire dans la marge sans atteinte au texte, rares rousseurs et papier légèrement bruni.
Étienne Bonnot de Condillac, abbé de Mureau, est un philosophe, écrivain, académicien et économiste français, né le 30 septembre 1714 à Grenoble (Dauphiné) et mort le 3 août 1780 à Lailly-en-Val (Orléanais). Il étudie les philosophes modernes, surtout John Locke. Il répand ses idées et pousse plus loin que son maître une philosophie empiriste propre à substituer à la métaphysique l'observation et l'étude des faits. Il publie ainsi, à partir de 1746, plusieurs ouvrages de philosophie qui se font remarquer par la nouveauté des idées et par la clarté du style, et attirent lattention sur sa doctrine, le sensualisme. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
A Amsterdam, 1776, 2 parties reliées en 1 volume in-12 de 100x170 mm environ, viij-264-iv-264 pages, (dernières pages numérotées 163 et 122 au lieu de 263 et 264), plein veau fauve marbré, dos à nerfs portant titres dorés sur pièce de titres en maroquin bordeaux, orné de caissons à motifs dorés aux entrenerfs, tranches jaspées, gardes marbrées. Petite mouillure très claire sur la tranche de gouttière dans la première partie, coins dénudés (traces de chute sur les coins inférieurs), coupes émoussées, frottements sur les coiffes et les mors, intérieur bon état. Edition originale.
L'abbé Gabriel Bonnot de Mably, né à Grenoble le 14 mars 1709 et mort à Paris le 2 avril 1785, est un philosophe français. Issu d'une famille de noblesse parlementaire, l'abbé Mably est le frère de Condillac, lui aussi philosophe. Mably dénonce le « despotisme légal » et critique également le système politique anglais, qui selon lui, subordonne le pouvoir législatif au pouvoir exécutif. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.