CHEZ LES LIBRAIRES ASSOCIES. 1793. In-12. Relié plein cuir. Etat d'usage, Plats abîmés, Coiffe en tête abîmée, Intérieur frais. 334 pages - titre,tomaison, filets, fleurons dorés sur le dos - coiffe en tête abîmée - quelques épidermures sur les plats - 2 photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle
Étienne Bonnot de Condillac, abbé de Mureau, est un philosophe, écrivain, académicien et économiste français, né le 30 septembre 1714 à Grenoble et mort le 3 août 1780 à Lailly-en-Val - Premier et seul vrai représentant du courant empiriste en France, Condillac y exerça à ce titre ainsi qu'à l'étranger une influence considérable. Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle
Jombert 1766
Bon état.Nom d'un ancien propriétaire imprimé sur la tranche.Coiffe supérieure au dos usé.Travail de vers sur le 1 er plat.
Chez les libraires Associés.1777.petit in-8 en reliure d'époque.519 p.avec Table.Bon exemplaire.Intérieur très frais.Tranches rouges.Veau moucheté avec coins légèrement émoussés.Pièce de titre et tomaison.Manque de cuir teint sur le 1er plat.Dos orné.
du Villard fils & Nouffer Genève, du Villard fils & Nouffer 1780. 12 volumes. in-8 reliés plein veau blond marbré. Dos lisses à faux nerfs ornés de fleurons dorés, pièces de titre de maroquin rouge, pièces de tomaison de maroquin fauve. Tranches marbrées. Petites usures aux reliures sans gravités : accroc en coiffe du tome 8, manque en queue du tome 11, trous de vers au bas du dos du tome 12. Petite mouillure en marge supérieure des premiers feuillets du tome 6. Complet des 9 planches dépliantes de sciences, reliées en fin du tome 2. Bel ensemble
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
CHEZ LES LIBRAIRIES ASSOCIES. 1793. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Manque en coiffe de tête, Intérieur frais. 334 pages. Page de titre illustrée en noir et blanc. Front de chapitre en noi et blanc. Couverture muette.. . . . Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle
Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle
VOLLAND. 1795. In-8. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Rousseurs. 303+232+339+326+396+382+461+295+352+356+380+315+411+324+408+305 pages. 9 planches dans le tome 3. Déchirure sur la dernière page du Tome 5, pouvant altérer légèrement la lecture. Quelques pliures dans le tome 10.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Tome 1 : La Grammaire et le premier Livre de l'Art d'Ecrire. Tome 2 : Contenant les trois derniers livres du Traité de l'Art d'Ecrire. Dissertation sur l'Harmonie du Style ; et les deux premiers livres de l'Art de Raisonner. Tome 3 : Contenant les deux derniers livres de l'Art de Raisonner et l'Art de Penser. Tome 4 : Histoire Ancienne.Tome 5 : Histoire Ancienne. Tome 6 : Histoire Ancienne. Tome 7 : Histoire Ancienne. Tome 8 : Histoire Moderne. Tome 9 : Histoire Ancienne. Tome 10 : Histoire Moderne. Tome 11 : Histoire Moderne. Tome 12 : Histoire Moderne. Tome 13 : Histoire Moderne. Tome 14 : Histoire Ancienne. Tome 15 : Histoire Moderne. Tome 16 : De l'Etude à l'Histoire. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
1792, in-8 plein cuir de XVIII+454, 444 et 376 pages, titrages dorés, nouvelle édition. Tome 1 : essai sur l'origine des connoissances humaines, tome 2 : Le traité des sensations, tome 3 : la logique et le traité des animaux. | Etat : Assez bon état général, couvertures (coins, coiffes) usées, mors légèrement fendus, commentaires au crayon de papier dans les marges (Ref.: ref83655)
Arkstée & Merkus, Bruyset frères, Changuion, Amsterdam, Dufart François, Jombert Charles-Antoine Libraire du Roi pour l'Artillerie et le Génie, Volland Relié 1766 Série complète en 20 volumes in-12 (10x17.5 cm), reliure basane marron, fenêtres de titre et auteur rouge au dos, titre et auteur dorés au dos, contient les 'cours d'étude pour l'instruction du Prince de Parme, aujourd'hui son altesse riyale l'Infant D. Ferdinand, Duc de Parme, Plaisance, Guastalle, etc. par M. l'Abbé De Condillac en 16 tomes (tome I : 'Grammaire', tome II : 'Art d'écrire', tome III : 'Art de raisonner', tome IV : 'Art de penser', tomes V à X : 'Histoire ancienne', tomes XI à XV : 'Histoire moderne', tome XVI : 'De l'étude de l'Histoire', et trois autres tomes : 'Essai sur l'origine des connaissances humaines' (deux tomes en un volume), 'Traité des animaux', 'Traité des systèmes, où l'on démèle les inconvénients et les avantages', les deux parties du 'traité des sensations à madame la comtesse de Vassé' en un volume : iv et 250 pages ; portait de l'Abbé de Condillac en frontispice du tome I ; coiffes et coins frottés (les coiffes de trois volumes sont usées de façon plus importantes), bords légèrement frottés, petits manques sur la majorité des plats, manques importants sur les plats du tome III de 'Histoire ancienne', mors usés, rousseur aux tranches, rares rousseurs à l'intérieur, bel état pour cette superbe série des oeuvres complètes de l'Abbé de Condillac. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
A Parme Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1792 Book condition, Etat : Moyen relié, demi-veau marron, dos lisse orné, titre et tomaison In-8 1 vol. - 376 pages
nouvelle édition, 1792 "Contents, Chapitres : 1. La Logique ou les premiers développements de l'art de penser : Comment la nature même nous enseigne l'analyse et comment, d'après cette méthode, on explique l'origine et la génération, soit des idées, soit des facultés de l'âme - L'analyse considérée dans ses moyens et dans ses effets ; ou l'art de raisonner réduit à une langue bien faite - 2. Traité des animaux : Du système de Descartes et de l'hypothèse de M. de Buffon - Système des facultés des animaux - Conclusion - Lettre de M. l'abbé de Condillac à l'auteur des Lettres à un américain - Étienne Bonnot de Condillac, abbé de Mureau, est un philosophe, écrivain, académicien et économiste français, né le 30 septembre 1714 à Grenoble (Dauphiné) et mort le 3 août 1780 à Lailly-en-Val (Orléanais). Premier et seul vrai représentant du courant empiriste en France, Condillac y exerça à ce titre ainsi qu'à l'étranger une influence considérable. Bien que la postérité ne lait pas hissé au même rang que dautres penseurs des Lumières, Étienne Bonnot de Condillac saffirme comme lun des psychologues les plus pénétrants de son siècle. Avec Voltaire, il représente l'un des principaux introducteurs en France des principes du philosophe anglais John Locke, quil développe de façon systématique. Le style de Condillac est limpide, dune clarté logique extrême qui peut verser dans la sécheresse. Son analyse de lesprit humain se fonde entièrement sur lélaboration progressive des sensations, sans jamais faire appel à un principe spirituel, bien quil ait toujours affirmé son orthodoxie religieuse. Condillac est reconnu comme étant le chef de lécole sensualiste et affirme que notre seule source de connaissance est la sensation, doù dérive normalement et par transformation simple la réflexion, le raisonnement, lattention et le jugement. Pour prouver ses assertions, ils se base sur lexemple de lHomme statue, qui éprouve successivement les sensations. - Le Traité des animaux est un essai philosophique de Condillac paru en 1755. Le sous-titre éclaire les intentions de Condillac : Où, après avoir fait des observations critiques sur le sentiment de René Descartes, et sur celui de M. de Buffon, on entreprend dexpliquer leurs principales facultés. Partant du thème philosophique de la sensibilité et l'intelligence des animaux, très discuté au milieu du XVIIIe siècle, Condillac prolonge la réflexion de Descartes et commente lHistoire naturelle de Buffon (publiée à partir de 1749). C'est aussi un prétexte pour évoquer la nature humaine et son rapport à dieu. (source : Wikipedia)" "Reliure d'époque un peu défraichie, coins émoussés, épidermures sur les plats, mors usés avec de petites déchirures, dos frotté, bout d'étiquette en papier ancienne ""Condillac"", la reliure reste solide et compacte, intérieur propre, un tampon de particulier sur la page de faux-titre avec la mention ""Onfray"", sinon propre, papier un jauni, l'ensemble du texte reste assez frais avec des rousseurs éparses, taches sombres sur la pages de gardes en fin d'ouvrage, le coin supérieur central des pages est un peu bruni en fin d'ouvrage, tome troisième des oeuvres philosophiques de l'abbé de Condillac imprimé à Parme en 1792 (Une ville où Condillac a vécu pendant 9 ans entre 1757 et 1768 pour éduquer l'infant don Ferdinand)"
A Parme Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1792 Book condition, Etat : Moyen relié, demi-veau marron, dos lisse orné, titre et tomaison In-8 1 vol. - 444 pages
nouvelle édition, 1792 Contents, Chapitres : Avis important au lecteur, dessein de cet ouvrage - Traité des sensations : Des sens qui, par eux-mêmes, ne jugent pas des objets extérieurs - Du toucher, ou du seul sens qui juge par lui-même des objets extérieurs - Comment le toucher apprend aux autres sens à juger des objets extérieurs - Des besoins, de l'industrie et des idées d'un seul homme qui jouit de tous les sens - Conclusion - Avant-propos - Dissertation sur la liberté - Réponse à un reproche qui m'a été fait sur le projet exécuté dans le Traité des sensations - Extrait raisonné du Traité des sensations - Étienne Bonnot de Condillac, abbé de Mureau, est un philosophe, écrivain, académicien et économiste français, né le 30 septembre 1714 à Grenoble (Dauphiné) et mort le 3 août 1780 à Lailly-en-Val (Orléanais). Premier et seul vrai représentant du courant empiriste en France, Condillac y exerça à ce titre ainsi qu'à l'étranger une influence considérable. Bien que la postérité ne lait pas hissé au même rang que dautres penseurs des Lumières, Étienne Bonnot de Condillac saffirme comme lun des psychologues les plus pénétrants de son siècle. Avec Voltaire, il représente l'un des principaux introducteurs en France des principes du philosophe anglais John Locke, quil développe de façon systématique. Le style de Condillac est limpide, dune clarté logique extrême qui peut verser dans la sécheresse. Son analyse de lesprit humain se fonde entièrement sur lélaboration progressive des sensations, sans jamais faire appel à un principe spirituel, bien quil ait toujours affirmé son orthodoxie religieuse. Condillac est reconnu comme étant le chef de lécole sensualiste et affirme que notre seule source de connaissance est la sensation, doù dérive normalement et par transformation simple la réflexion, le raisonnement, lattention et le jugement. Pour prouver ses assertions, ils se base sur lexemple de lHomme statue, qui éprouve successivement les sensations. - Son ouvrage majeur est le Traité des sensations, dans lequel il sémancipe du patronage de Locke et aborde la psychologie de sa propre manière, formulant sa doctrine du sensualisme. Il raconte comment il a été amené à revoir les postulats de Locke : cest la critique de Mlle Ferrand qui lui fit remettre en question la doctrine du philosophe anglais, selon laquelle les sens nous donnent une connaissance intuitive des objets. En effet, lil, par exemple, interprète naturellement la forme, la taille, la distance et la position dun objet. Sa discussion avec cette femme la convaincu quil était nécessaire, pour élucider ce genre de problèmes, détudier chaque sens séparément, dattribuer à chacun ce que nous lui devions, dobserver leur développement et la façon dont ils se complètent les uns les autres. Le résultat, selon lui, démontrerait que toutes les facultés et connaissances humaines ne sont que des sensations transformées à lexclusion de tout autre principe, telle la réflexion. - Condillac imagine dabord une statue de constitution humaine et animée dune âme neuve, où aucune sensation ni perception na jamais pénétré. Il éveille ensuite progressivement les sens de cette statue, en commençant par lodorat, le sens qui contribue le moins à la connaissance humaine. Toute la conscience de la statue se réduit alors aux odeurs singulières quelle éprouve. La perception par cette statue vivante de telle ou telle odeur saccompagne nécessairement de plaisir ou de douleur, selon laxiome lockien de la bipolarité de la conscience. La douleur et le plaisir deviennent ainsi le principe directeur qui va diriger toutes les opérations de son esprit. Après cette simple attention aux sensations naît la mémoire, qui nest que limpression persistante de lexpérience dune odeur : « La mémoire nest donc quune manière de sentir. » De la mémoire découle la comparaison : la statue expérimente lodeur, par exemple, dune rose, tout en se souvenant de celle dun illet, « car comparer nest autre chose que donner en même-temps son attention à deux idées. » Or, « dès quil y a comparaison, il y a jugement. » La comparaison et le jugement deviennent habituels. Ils se développent grâce au tout-puissant principe de lassociation des idées. De la comparaison dexpériences passées et présentes et du plaisir ou de la douleur qui leur est attaché, émerge le désir. Cest le désir qui oriente lusage de nos facultés, qui stimule la mémoire et limagination, et qui déclenche les passions. Les passions, elles aussi, ne sont que des sensations transformées. (source : Wikipedia) "Reliure d'époque un peu défraichie, coins émoussés, épidermures sur les plats, mors usés avec de petites déchirures, dos frotté, bout d'étiquette en papier ancienne ""..dillac"", la reliure reste solide et compacte, intérieur propre, un tampon de particulier sur la page de faux-titre avec la mention ""Onfray"", sinon propre, papier un peu bruni, notamment les bords de la page de titres, l'ensemble du texte reste assez frais avec des rousseurs éparses, tome second des oeuvres philosophiques de l'abbé de Condillac imprimé à Parme en 1792 (Une ville où Condillac a vécu pendant 9 ans entre 1757 et 1768 pour éduquer l'infant don Ferdinand)"
Chez les Libraires Associés à Paris, M. DCC. LXXVII Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1777 Book condition, Etat : Bon relié, demi-veau marron à 5 faux-nerfs, pièce de titres et de tomaison au dos, caissons ornés In-8 1 vol. - 521 pages
3eme édition des Oeuvres de Condillac, revue et augmentée, 1777 Contents, Chapitres : Dessein de cet ouvrage - 1. Traité des sensations : Des sens qui, par eux-mêmes, ne jugent pas des objets extérieurs - Du toucher, ou du seul sens qui juge par lui-même des objets extérieurs - Comment le toucher apprend aux autres sens à juger des objets extérieurs - Des besoins, de l'industrie et des idées d'un seul homme qui jouit de tous les sens - Conclusion - Avant-propos - Dissertation sur la liberté - Réponse à un reproche qui m'a été fait sur le projet exécuté dans le Traité des sensations - 2. Traité des animaux : Du système de Descartes et de l'hypothèse de M. de Buffon - Système des facultés des animaux - Conclusion - Extrait raisonné du Traité des sensations - Précis des 4 parties - Étienne Bonnot de Condillac, abbé de Mureau, est un philosophe, écrivain, académicien et économiste français, né le 30 septembre 1714 à Grenoble (Dauphiné) et mort le 3 août 1780 à Lailly-en-Val (Orléanais). Premier et seul vrai représentant du courant empiriste en France, Condillac y exerça à ce titre ainsi qu'à l'étranger une influence considérable. Bien que la postérité ne lait pas hissé au même rang que dautres penseurs des Lumières, Étienne Bonnot de Condillac saffirme comme lun des psychologues les plus pénétrants de son siècle. Avec Voltaire, il représente l'un des principaux introducteurs en France des principes du philosophe anglais John Locke, quil développe de façon systématique. Le style de Condillac est limpide, dune clarté logique extrême qui peut verser dans la sécheresse. Son analyse de lesprit humain se fonde entièrement sur lélaboration progressive des sensations, sans jamais faire appel à un principe spirituel, bien quil ait toujours affirmé son orthodoxie religieuse. Condillac est reconnu comme étant le chef de lécole sensualiste et affirme que notre seule source de connaissance est la sensation, doù dérive normalement et par transformation simple la réflexion, le raisonnement, lattention et le jugement. Pour prouver ses assertions, ils se base sur lexemple de lHomme statue, qui éprouve successivement les sensations. - Son ouvrage majeur est le Traité des sensations, dans lequel il sémancipe du patronage de Locke et aborde la psychologie de sa propre manière, formulant sa doctrine du sensualisme. Il raconte comment il a été amené à revoir les postulats de Locke : cest la critique de Mlle Ferrand qui lui fit remettre en question la doctrine du philosophe anglais, selon laquelle les sens nous donnent une connaissance intuitive des objets. En effet, lil, par exemple, interprète naturellement la forme, la taille, la distance et la position dun objet. Sa discussion avec cette femme la convaincu quil était nécessaire, pour élucider ce genre de problèmes, détudier chaque sens séparément, dattribuer à chacun ce que nous lui devions, dobserver leur développement et la façon dont ils se complètent les uns les autres. Le résultat, selon lui, démontrerait que toutes les facultés et connaissances humaines ne sont que des sensations transformées à lexclusion de tout autre principe, telle la réflexion. Le Traité des animaux est un essai philosophique de Condillac paru en 1755. Le sous-titre éclaire les intentions de Condillac : Où, après avoir fait des observations critiques sur le sentiment de René Descartes, et sur celui de M. de Buffon, on entreprend dexpliquer leurs principales facultés. Partant du thème philosophique de la sensibilité et l'intelligence des animaux, très discuté au milieu du XVIIIe siècle, Condillac prolonge la réflexion de Descartes et commente lHistoire naturelle de Buffon (publiée à partir de 1749). C'est aussi un prétexte pour évoquer la nature humaine et son rapport à dieu. (source : Wikipedia) Reliure d'époque un peu défraichie, coins émoussés, épidermures sur les plats, mors usés avec de petites déchirures, dos frotté, la reliure reste solide et compacte, intérieur frais et propre, papier à peine jauni, très peu de rousseurs, étiquette frottée ancienne à l'intérieur du plat supérieur, cela reste un bon exemplaire du tome 3 seul des oeuvres de Condillac, contenant ses deux textes les plus importants.
Paris, Charles Houel, an VI de la République (=1798). 8vo. Recent simple brown half cloth w. gilt title to spine. Uncut. Title-page w. large damp-stain, next few leaves w. a bit of soiling to upper corner. Occasinal brownspotting. Every gathering extended and re-inforced at hinge, probably in order to make the book open to its full extent. (2), 484, (1, -errata) pp.
The true first edition of this posthumously published major treatise, Condillac's final main work, which proved to be one of his most important and influential ones. The work was originally published both separately, as it is here, with its own errata-leaf and title-page without mentioning of volume number for the Oeuvres, and as the final volume of his ""Oeuvres philosophiques"".Having realized that other philosophers' accounts of knowledge had failed because they focused on the essences instead of the origins, Condillac, in all of his major treatises, set out to define moral and metaphysical problems as precisely as one can define the problems of geometry, and the approach that would enable this would be analytic. In the same stroke he would correct Locke's mistake of ""Internal sense"", the distinction between the process of sensation and of reflection. ""His instrument was a highly original theory of language as the analyst of experience. It is by the mind's capacity to invent and manipulate symbols of uniform and determinate significance that it passes from sensation to reflection and communication and hence to effective knowledge... By identifying the operations of language as the cause of intellectual functions, Condillac intended to be making the kind of statement Newton had made when he identified gravity as the cause of planetary motion - an exact and verifiable generalization of phenomenal effects. "" (D.S.B. III:381). It is in his last major work that Condillac deals most thoroughly with the analysis of language and the language of algebra. Algebra is the language of mathematics, and it is the only language that is well done (""bien faite""), nothing in this language is arbitrary" the analogies of this language are always precise and lead on to new sensible expressions" in this language the purpose is not to learn to speak like others, the purpose is to speak in the greater analogy in order to reach a greater precision. Algebra, the language of mathematics, is a language of analogies. Analogy, which constitute this language, also constitutes the methods. ""L'analogie: viola donc à quoi se réduit tout l'art de raisonner, comme tout l'art de parler"" et dans ce seul mot, nous voyons comment nous pouvons nous instruire des découvertes des autres, et comment nous en pouvons faire nous-mêmes.""(= ""The analogy: now, this is what the entire art of reasoning as well as the entire art of talking can be reduced to"" and with this single word we see how we can guide the discoveries of others, and how we can do them ourselves. [own translation]"" (p. 7). And thus, the objective of this work is to see how it will be possible to give to other sciences the same exactness as that which we otherwise believe exclusively to be a part of mathematics, namely the exactness of the language of algebra.""It was through his last works -""La logique"" and, especially, ""La langue des calculs""- that Condillac exercised the most decisive influence on the philosophical taste of the generation of scientists immediately following his own. Therein, like his predecessors in the rationalist tradition, he looked to mathematics as the exemplar of knowledge. He parted company with them, however, in developing the preference he had expressed in his early work for the analytic over the synthetic mode of reasoning."" (D.S.B."" III:382). Algebra, seen as both a language and as the method of analysis, in comparison to the inaccurate instrument that is ordinary language would reveal to Condillac what is the difference between the problems of science and those of society, the moral and metaphysical ones. ""And in that comparison Condillac's philosophy entered into the reforming mission of the Enlightenment, the central imperative of the rationalism then having been to reduce the imperfections of human arrangements by approximating them to the natural and to educate the human understanding in the grammar of nature. In Franceat least, the congruence of Condillac's philosophy of science with the broader commitments of progressive culture recommended it so scientists themselves as the most authoritative reading of Newtonian methodology... The terminology and symbolism of the modern science of chemistry are examples still alive in science of the practicality of this program."" (D.S.B., III:382). Condillac's philosophy of science was considered the most authoritative reading of Newtonian methodology. Among many others Lavoicier and other protagonists of the chemical revolution were influenced by his reform of nomenclature, as were and are botanists, zoologists and geometrics by his scientific explanations. His psychological empiricism is now considered the first positivist account of science.Condillac was one of the greatest French philosophers of the Enlightenment. He was friends with Rousseau and Diderot and was a forerunner in the junction between epistemology and philosophy, which was inspired by Locke and Newton, as the two sciences almost merged into one in this period. ""Condillac contibuted to the synthesis more decisively than did any other writer."" (D.S.B. III:380).
Genève, chez Du Vuillard Fils & Nouffer, Imprimeurs-Libraires, 1780 pour le tome I, / A Parme de l'Imprimerie Royale, 1775 pour les autres tomes, 16 volumes in-12 de 195x120 mm environ, Tome I. lxxx-284 pages, - Tome II. 31-411 pages, - Tome III. 32-330 pages, complet des 9 planches dépliantes de science, - Tome IV. 17-222 pages, -Tome V. 24-354 pages, - Tome VI. 30-1-445 pages, - Tome VII. 26-428 pages, - Tome VIII. 27-494 pages, - Tome IX. 26-295 pages, - Tome X. 24-367 pages, - Tome XI. 36-484 pages, - Tome XII. 50-595 pages, - Tome XIII. 40-506 pages, Tome XIV. 44-509 pages, - Tome XV. 38-384 pages, - Tome XVI. 9-348 pages, suivies de Directions pour la Conscience d'un Roi, 8-77 pages, reliures plein veau marbré de l'époque, dos à 5 nerfs portant titres et tomaisons dorés, ornés de caissons à fleurons dorés, filets dorés sur les coupes, tranches rouges (dos lisse et tranches marbrées pour le tome I). Quelques rousseurs et pages brunies, mouillures claires dans les marges supérieures, des frottements, épidermures, et petits trous de ver sur le cuir, manque une partie de la page de titre du tome X, déchirures avec restaurations anciennes sur quelques gardes de couleurs, une coiffe ébréchée.
Étienne Bonnot de Condillac, abbé de Mureau, est un philosophe, écrivain, académicien et économiste français, né le 30 septembre 1714 à Grenoble (Dauphiné) et mort le 3 août 1780 à Lailly-en-Val (Orléanais).Premier et seul vrai représentant du courant empiriste en France, Condillac y exerça à ce titre (ainsi qu'à l'étranger) une influence considérable. Son apport principal pourrait être résumé en ces mots : "Développer, accumuler et défendre le savoir universel, c'est-à-dire la somme des connaissances de l'humanité, l'esprit critique (c'est-à-dire l'anti-conformisme), afin de former des citoyens libres, éclairés, qui seront les plus difficiles à gouverner qu'il est possible de le faire". Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
A Paris, de l'Imprimerie de Charles Houel, An VI de la République (1797-1798), 1 volume in-8 de 200x125 mm environ, 484 pages, 1f.(errata), demi maroquin à long grain brun avec coins en parchemin crème, titres dorés sur pièce de titre corail, dos lisse orné de caissons à motifs dorés, gardes bleu clair, tranches mouchetées de rouge et gris. Quelques plis sur le dos et petits accrocs sur le cuir, pièce de titre fendue, petites mouillures très claire dans la marge sans atteinte au texte, rares rousseurs et papier légèrement bruni.
Étienne Bonnot de Condillac, abbé de Mureau, est un philosophe, écrivain, académicien et économiste français, né le 30 septembre 1714 à Grenoble (Dauphiné) et mort le 3 août 1780 à Lailly-en-Val (Orléanais). Il étudie les philosophes modernes, surtout John Locke. Il répand ses idées et pousse plus loin que son maître une philosophie empiriste propre à substituer à la métaphysique l'observation et l'étude des faits. Il publie ainsi, à partir de 1746, plusieurs ouvrages de philosophie qui se font remarquer par la nouveauté des idées et par la clarté du style, et attirent lattention sur sa doctrine, le sensualisme. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
1749 La Haye. Neaulme. 1749. 2 volumes in-12, basane de l'époque, dos lisses ornés, pièces de titre et de tomaison rouges, discrètes restaurations aux coiffes inférieures.[4] ff. ; 228 pp. - [2] ff. ; 229-449 pp. ; [1] p.
Edition originale. Ouvrage fondamental pour l'histoire de la Pensée et qui constitue la principale source de la critique des grandes métaphysiques classiques. Disciple de Locke et de Newton, adversaire convaincu de Descartes, Condillac condamne dans cet ouvrage ceux "qui veulent percer tous les mystères" et se complaisent dans une vision cartésienne du monde. Les systèmes sont pour lui le "fruit d'une imagination déréglée plutôt que le résultat de l'observation". L'Abbé Condillac fut envoyé à Parme, de 1758 à 1767, par Louis XV, comme précepteur de son petit fils, le duc de Parme, pour qui il composera les Cours d'étude. Bel exemplaire. Tchemerzine III, 476.Brunet II, 216 et 3643. Quérard II, 267.
A Londres et à Paris, chez de Bure, 1754. Petit in-8, plein-veau raciné de l'époque, dos lisse fleuri aux fers dorés, pièces de titre et de tomaison rouge et verte, filet doré sur les coupes, tranches rouges ; VI-345 et 335-[1]pp.
Rare édition originale de l'ouvrage majeur de Condillac, dans lequel il formule la doctrine du sensualisme. (Brunet, VI-3642). Condillac reprend ici les thèses empiristes de John Locke. Cependant, contrairement au philosophe britannique, Condillac soutient que toutes nos connaissances viennent de la seule sensation. C'est la thèse fondamentale du sensualisme: la sensation est l'unique source de toutes nos connaissances. De la sensation découlent donc toutes nos idées, mais aussi, ce qui fait l'originalité de Condillac, toutes nos facultés intellectuelles et physiques. Discrète restauration aux coiffes et aux coins, bel exemplaire, d'une grande fraicheur. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris De l'Imprimerie de Ch. Houel, An VI 1798 in 8 (20x12,5) 1 volume reliure pleine basane fauve racinée de l'époque, dos lisse très ornés, pièces de titre de cuir vert et rouge, plats ornés d'une guirlande dorée d'encadrement, CL et 384 pages, et 22 pages de tables de matières. Oeuvre complètes de Condillac, tome 5. Etienne Bonnot, Abbé de Condillac, Grenoble 1715 - Lailly-en-Val 1780, écrivain, philosophe, académicien, et économiste français. Bel exemplaire, reliure décorative ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide
Paris, Volland, an X (1802), 1 br., couverture muette d'attente, petit manque au dos, 1 mors fendu. in-8 de 417 pp. ;
Etienne Bonnot, abbé de Condillac (1715-1780), ami de Diderot et Rousseau.
Phone number : 06 80 15 77 01
CONDILLAC, étienne Bonnot, abbé de
Reference : 132916
(1984)
ISBN : 221301471X 9782213014715
Paris, Fayard, coll. « Corpus des oeuvres de philosophie de langue française », n° 1 1984 In-8 relié 22,5 cm sur 13,5. 437 pages. Très bon état d’occasion.
Notes, tables. Ex-libris tampon B H. Textes revus et corrigés par l’auteur, figurant dans l’édition posthume des Oeuvres de Condillac (1798) établies d’après les manuscrits autographes. Très bon état d’occasion
Paris sans nom 1796 - An 4 2 volumes in-4 (20 X 26,5 cm) veau havane raciné, dos lisses ornés de petits fers et de fleurons dorés, pièce de titre de maroquin rouge, tomaison de maroquin vert, tranches mouchetées. 539 + 559 pp. (Reliure de l'époque. Une coiffe et un coin un peu frottés, sinon très bel exemplaire, dans une reliure élégante et décorative de l'époque).
Tome I. Grammaire. Art d'écrire. Dissertation sur l'harmonie du style. Tome II. Art de raisonner. Art de penser. Logique, ou premiers dévelopemens de l'Art de penser. Traité des animaux. Disciple de John Locke, Condillac s’en détache et n’admet plus que les sensations comme source pour expliquer les opérations mentales : jugements, raisonnements… C’est le langage qui sert de support à la pensée grâce à l’utilisation des signes. Certaines conceptions de Condillac sur le langage, annoncent les théories linguistiques modernes, et il inspirera notamment au début du XIXe, le courant des idéologues, mais aussi plus tard des économistes, et influencera de nombreux psychologues.
1755 In-12, plein veau de l'époque, dos à nerfs orné de caissons fleuronnés, pièce de titre de maroquin rouge, vii, (1), 232 p. Amsterdam et Paris, de bure & Ch. Ant. Jombert, 1755.
Edition originale. Dans cette systématisation de son 'Traité des systèmes', Condillac réfute les doctrines de Descartes et de Buffon sur la psychologie animale et soumet à la même méthode empirique la question de lorigine des facultés chez les animaux. Il livre, en contrepoint, ses théories sur la place de l'homme, la supériorité de la raison, la connaissance de Dieu et la possession de la loi morale. (Corpus Condillac, 01, p. 182. G. Kaucher, Les Jombert, n°206. Tchemerzine-Scheler, II, 480).Petit accroc de papier en marge p. 77-78. Coiffes et coins usés, mors fendillés.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
1746 2 volumes in-12 (167 x 97 mm), plein veau blond marbré de l'époque, dos à nerfs ornés de compartiments fleuronnés et cloisonnés, pièces de titre et de tomaison de maroquin bordeaux, armes dorées au centre des plats, filet doré sur les coupes, tranches rouges, xxiv, 265 p. et (4), 292 p. Amsterdam, Pierre Mortier, 1746.
Une des deux éditions à la date de l'originale."L'exposé systématique de la doctrine sensualiste de Condillac. Il prépare pour les écrivains de l'époque des Lumières, un cadre philosophique dans lequel pourront être incluses les solutions les plus radicalement opposées au spiritualisme traditionnel ; il fournit aux scientifiques une méthode, aux idéologues une doctrine qui restera à la base de la philosophie française, jusqu'à la contre-révolution et au triomphe de Kant" (J.-P. Faye). Selon Rousseau, dans les 'Confessions', c'est Diderot qui engagea le libraire Durand à prendre le manuscrit.(J. Sgard, 'Corpus Condillac', 02, p. 175).Bel exemplaire aux armes d'Alexandre de La Rochefoucauld (1690-1762), homme de culture, officier puis Grand-Maître de la Garde-Robe du Roi, il fut disgracié en 1744 et s'exila sur ses terres de La Roche-Guyon. Il avait réuni une belle et très importante bibliothèque (Olivier, 710).
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Amsterdam, Mortier, 1746, 2 volumes in 12 reliés en plein veau, dos ornés de fers et filets dorés, tranches jaspées (reliures de l'époque), (toute petite épidermure sans gravité à un plat), T.1 : 24pp., 265pp., T.2 : (2), 292pp.
---- EDITION ORIGINALE ---- TRES BEL EXEMPLAIRE ---- PREMIER OUVRAGE DE CONDILLAC ---- "The development of CONDILLAC's thought is recorded in a very coherent way in his main works : L'ESSAI SUR L'ORIGINE DES CONNAISSANCES HUMAINES (1746), Traité des systèmes (1749), Traité des sensations (1754), Traité des animaux (1755), La logique (1780) and La langue des calculs". (DSB III pp. 380/383)**8775/ARM1A
P., Dufart, 3 VOLUMES in 12 reliés en pleine basane, dos ornés de fers dorés (reliures de l'époque), une coiffe et un coin légèrement émoussés, petit travail de vers dans les marges de quelques feuillets au tome 2 affectant légèrement le texte des notes marginales), T.1 : (4), 320pp., T.2 : (2), 443pp., T.3 : (2), 353pp., 21pp.
---- EDITION ORIGINALE ---- BEL EXEMPLAIRE ---- "It was through his last works - La logique and La langue des calculs - that CONDILLAC exercised the most decisive influence on the philosophical taste of the generation of scientists immediately following his own. Therein, he looked to mathematics as the exemplar of knowledge...". (DSB III p. 382) ---- Comment la nature même nous enseigne l'analyse, et comment d'après cette méthode, on explique l'origine et la génération, soit des idées, soit des facultés de l'âme - L'analyse est l'unique méthode pour acquérir des connaissances - L'analyse fait les esprits justes - Causes de la sensibilité et de la mémoire - L'analyse considérée dans ses moyens et dans ses effets ; ou l'art de raisonner réduit à une langue bien faite - Comment le langage d'action analyse la pensée - De l'influence des langues - Des différens degrés de certitude ou de l'évidence des conjectures et de l'analyse - Du mouvement et de la force qui le produit - Observations sur le mouvement - De la pesanteur - Accélération du mouvement dans la chute des corps - De la balance, du levier, de la roue, de la poulie, du plan incliné, du pendule - Comment l'évidence de fait et l'évidence de raison démontrent le système de Newton - Du mouvement de projection - Des ellipses que les planètes décrivent - Des aires proportionnelles aux temps - De la gravitation mutuelle des planètes entre elles et des planètes avec le soleil - Réflexions sur l'attraction - De l'analogie - Idée générale du système du monde - etc**8594/P2