Moulins / comité emile guillaumin 1983 in8. 1983. broché. 113 pages. Bon Etat intérieur propre
Apicius Ferrary Jean-Louis Guillaumin Jean-Yves André Jacques
Reference : 100115583
(2002)
ISBN : 2251010068
Plein chant 1981 in8. 1981. broché. 230 pages. Bon état qq passages soulignés au crayon papier
Plein chant 1986 petit in8. 1986. broché. 133 pages. Bon Etat intérieur propre
La maison rustique 1957 in8. 1957. Broché. 164 pages. Etat correct couverture usée très bon état intérieur photographies en couleur et noir et blanc
Ed de cremille 1990 in8. 1990. Reliure editeur. 248 pages. envois en suivi pour la france et l'etranger Bon Etat
[Gilbert Guillaumin éditeur] fille de Guillaumin. L.A.S., 5 juillet 1865, 1p in-4. A Arthur Mangin. Elle signale à Mangin qu'il ne donnait pas assez de textes l'année précédente mais que maintenant il en donne quatre, ce qui est trop pour un journal mensuel de 10 feuilles. Elle signale ensuite le relevé de compte de Mangin. On joint, d'une autre main, le détail du relevé. A la mort de Gilbert Guillaumin, ce sont ses deux filles qui reprennent la librairie. Cette lettre est manifestement écrite par l'une des deux mais nous n'avons pas pu trouver d'informations sur ses deux filles. [300-3]
1 page in-12, (90 x 140), représentant la maison d’Émile Guillaumin à Ygrande, 1er octobre 1929, adressée à Raoul Toscan.
Carte postale autographe adressée à l’écrivain Raoul Toscan (1884-1946), pseudonyme de Charles Brun. Émile Guillaumin remercie dans un premier temps son « cher confrère » de l’avoir mis en relation avec le directeur du P. Charitois auquel il a envoyé « sur sa demande, une série de contes, dont j’espère qu’il publiera qq. uns. » Il est par ailleurs ravi « de l’aimable envoi de [vos] Poètes du dimanche. (Très bon titre : étude des plus intéressantes) », ouvrage du poète nivernais tout juste sorti des presses des Éditions du Groupe d’émulation artistique du Nivernais.Dans la dernière partie de la carte postale, Émile Guillaumin s’inquiète de la santé de Henri Chomet : « Je suis sans nouvelle aucune de H. Chomet et un peu inquiet à ce sujet. Il devait revenir à Ygrande en sept[embre] faire dire tout de suite les circulaires de lancement du bouquin etc. Je veux espérer pourtant qu’il n’y a rien d’anormal et que nous entrerons bientôt dans la phase active de l’affaire. » Henri Chomet était directeur de la Revue du Centre dans laquelle Émile Guillaumin publiait régulièrement et dont Raoul Toscan était le secrétaire général.Petite mouillure brune dans le coin supérieur droit.
P., Plaisir du bibliophile (Imprimerie du Cantal, à Aurillac), 1952 ; in-8, broché (19,5 x 14 cm). 46pp.-1f. Portrait de Guillaumin en frontispice, gravé sur bois par Jean Lebedeff. Très bon état.
Edition originale tirée à 770 exemplaires, un des 150 sur Alfa Navarre. Hommage d'un ami de Guillaumin publié quelques mois après la mort de l'écrivain d'Ygrande. Il est suivi par quelques extraits inédits de lettres et un essai de bibliographie.
Carte postale-photographie autographe adressée à un ami, sur laquelle on distingue six hommes arborant le costume des soldats de la première guerre mondiale. Il s’agit des compagnons d’arme de l’écrivain Émile Guillaumin (1873-1951).« Carte échangée aux camarades pour une des nôtres. Il y a là nos deux commensaux de chambrée à Courtaud et à moi, qui étaient à Delle deux jours avant moi. » Un peu en arrière de la ligne de front, Delle est une commune française à quelques kilomètres de la frontière suisse située dans le département du Territoire de Belfort qui servit de cantonnement au régiment d’Émile Guillaumin. Mobilisé dès le début de la guerre en 1914, Émile Guillaumin ne fut rendu à sa famille que le 1er janvier 1918.Il évoque à la fin de la carte postale une lettre de Droz : « J’ai eu hier une bonne lettre de M. Droz, je ne me souviens pas si je lui ai envoyé des fleurs à lui. » Les deux hommes échangèrent une abondante correspondance avant de se brouiller.
3 pages in-8, (225 x 165).
Intéressant manuscrit (lacunaire) entièrement autographe d’Émile Guillaumin relatif à l’Association des Amis de Charles-Louis Philippe au sein de laquelle il remplissait la fonction de Président du Conseil d’Administration. Au sortir de la seconde guerre mondiale, il dresse un bilan mitigé, mettant en avant dans un premier temps les lourdes pertes humaines supportées par l’association :« L’examen de la situation fit constater d’abord la mort de huit membres de notre Comité d’Honneur qui en comptait vingt-huit : Marguerite Audoux et de deux membres de notre Conseil d’Administration Georges Bodard vice-président, Henri Buriot Darsiles secrétaire général et rédacteur du bulletin d’une associée à vie : Mme Janik de Rochefort de douze adhérents : Henri Bageret… »Il évoque notamment la dégradation de l’état de santé de Valery Larbaud « qui semble ne plus pouvoir assumer de fonctions actives », les problèmes de trésorerie consécutifs à la guerre mais également la reprise des activités de l’association, la prospection de nouveaux adhérents, la publication d’un nouveau bulletin, la générosité des bienfaiteurs ayant permis de maintenir l’Association à flot, etc.Émile Guillaumin interroge pour finir le devenir de la bibliothèque Charles-Louis Philippe : « L’avis de la Conservatrice de disjoindre la bibliothèque de prêt qui pourrait être remise à la Municipalité de Cérilly sous certaines conditions et continuerait à porter le nom de Bibliothèque de prêts Charles Louis Philippe. Les petits problèmes d’ordre local soulevés par cette mesure n’ont pas encore été résolus mais on est en droit d’espérer qu’ils pourront l’être avant peu. » C’est sur ce projet que le manuscrit se termine de façon abrupte.Le manuscrit est rédigé au verso d’un article de journal écrit par Émile Guillaumin intitulé A Nohant, dans lequel il raconte une escapade au pays de George Sand.Infimes déchirures et manque en marge du document.
Des COURIERES (Edouard) - [GUILLAUMIN (Jean-Baptiste-Armand)].
Reference : 18569
(1925)
Paris / Nice, Société d'Editions Mansie et Cie / tiré par la Société d'Editions sur les presses de Roabudy, s.d. [circa 1925]. Un vol. au format in-4 (319 x 242 mm) de xxv pp., cousu.
Edition originale rare. Belle impression sur vergé. Tirage unique à 425 exemplaires numérotés. Celui-ci, agrémenté de la paraphe manuscrite de l'auteur au colophon ainsi que d'un envoi autographe signé du même en page de titre : ''A vous, mon vieux Dupuy, bien amicalement / [signature]''. ''Cet artiste [Guillaumin] de haut mérite est le moins fameux des maîtres de l'Impressionnisme. Il fit partie du premier groupe de ces peintres révolutionnaires et, comme tel, parut en 1863 au Salon des Refusés. Contrairement à une opinion répandu, il a contribué à l'élaboration des préceptes de la nouvelle esthétique picturale [...]. Parmi les monographies qui lui sont consacrées, on citera le Guillaumin de E. des Courières''. (in Bénézit). Bénézit V, Dictionnaire des peintres, p. 294. Plats présentant un éclat légèrement altéré. Très rares rousseurs dans le texte ; exception faite du dernier feuillet. Du reste, belle condition.
1971 Paris, Mayer,1971; petit in-4° carré, pleine reliure skivertex bleu, illustration en couleurs contrecollée au centre du 1er plat, nom du peintre doré; 569pp., 2ff.nch. L'ouvrage forme le catalogue raisonné de l'oeuvre d'Armand Guillaumin, peintre de l'Ecole de Crozant, il renferme 847 œuvres de l'artiste reproduites en noir ou en couleurs.
Tirage total à 1500 exemplaires numérotés sur papier vergé teinté. (Reu-CO1)
VERNOIS Paul - MASSON Francine - SOUCHON-GUILLAUMIN Suzanne (textes recueillis par)
Reference : QWA-4272
Klincksieck, 1975, 166 p., in-8 br., Comité du Centenaire Emile Guillaumin, ill. photos, petit défaut au dos, bon état
Cet ouvrage rassemble les Actes du colloque, la séance publique de la Société d'Emulation du Bourbonnais (10 novembre 1973), la Correspondance E. Guillaumin-L. Gachon. Voir sommaire sur photos jointes
Paris Librairie de Guillaumin et Cie. 1873 2 vol. grand in-8 de (4)-VII-(1)-1438 pp.; (4)-1828 pp., demi-chagrin marron, dos à 5 nerfs .troisieme tirage , Marchandises, géographie et statistique commerciale, métrologie universelle, comptabilité, droit commercial terrestre et maritime, navigation, marine marchande, douanes, économie politique, commerciale et industrielle. bon etat photos sur demande
Paris, Guillaumin [Imprimerie de Bourgogne et Martinet], 1837 - 1839 2 forts vol. gr. in-8, [2] ff. n. ch., 996 pp. ; [2] ff. n. ch., pp. 997-2252, texte sur deux colonnes, demi-chagrin fauve, dos à faux-nerfs ornés de filets et caissons dorés, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Rousseurs.
La première édition est de 1837. Le libraire Gilbert-Urbain Guillaumin (1801-1864) s'était spécialisé en premier lieu dans la littérature et l’histoire, domaines qu'il abandonna parce cet axe ne lui permettait pas de couvrir ses frais.Il se spécialisa ensuite dans le domaine alors très porteur de l’économie : et, en 1840, il débuta la Collection des principaux économistes qui regroupait les ouvrages de fondateurs de la science économique libérale, tels que Turgot, Adam Smith ou Jean-Baptiste Say. Il se signala alors comme l'un des animateurs d'un groupe de pression qui militait en faveur d'un libéralisme libre-échangiste.Entre autres, Auguste Blanqui, Eugène Flachat, Ed. Corbière, Payen, Reybaud, Horace Say, etc., ont collaboré à la rédaction des notices de ce dictionnaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1 page in-12, (90 x 140), représentant le musée de Cluny, [1931], adressée à Jean Guillaumin.
L’auteur de La Vie d’un simple s’adresse à son fils Jean âgé de 9 ans : « J’espère mon cher petit Jean que tu as été sage et que tu vas continuer, et que tu n’as pas fait de scène à propos de la fosse comblée : il le fallait bien ! ».Émile Guillaumin est à Paris pour quelques jours avec sa fille Suzanne : « Ta sœur a dormi convenablement la nuit dernière et n’est pas trop fatiguée mais elle est peu satisfaite de sa séance de ce matin. » Il compte aller visiter l’Exposition coloniale qui se tint cette année-là du 6 mai au 15 novembre.La missive s’achève sur un « bons bibis » plein de tendresse.Traces brunes sur les bords de la carte postale qui demeure cependant en bon état.
Bassac, Plein Chant, 1979 ; in-8, broché. 230 pp. Dos jauni, si non bon état.
Ce roman avait été commencé avant la parution de La vie d'un simple en 1904, Guillaumin l'acheva après le succès de son histoire d'un métayer et il fut publié en feuilleton dans La Revue de Paris en 1905 avant sa parution en volume chez Calmann-Lévy. L'auteur révisa son texte pour une nouvelle édition en 1926, mais l'éditeur le refusa et c'est la fille de Guillaumin qui le fit paraître seulement en 1979 (Editions Plein Chant).
Presses Universitaires de France - P.U.F. , Le Fil Rouge Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1979 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée à rabats éditeur crème grand In-8 1 vol. - 334 pages
1ere édition, 1979 Contents, Chapitres : Avant-propos - Le rêveur et son rêve, réflexion psychanalytique sur la connaissance en miroir - L'ombilic du rêve, sens et non-sens des rêves - Rêve, fétichisme, espace et temps - Rêve, réalité et surréalité dans la cure psychanalytique et ailleurs - Bisexualité vécue et bisexualité rêvée - Rêve et création chez Freud - Le rêve comme objet et le monde du rêve - Appendice, bibliographie et index des thèmes - Jean Guillaumin, né en 1923, mort le 7 avril 2017, est professeur émérite de psychologie et psychopathologie clinique à l'université de Lyon et psychanalyste français. - Il fait des études de psychologie et exerce comme psychologue, puis il se forme à la psychanalyse après une analyse avec Michel Gressot. Il soutient une thèse de doctorat intitulé La dynamique de l'examen psychologique et devient professeur de psychologie clinique à l'université Lumière Lyon-II. Il exerce à Paris et à Lyon notamment avec Didier Anzieu dont il était proche et avec Jean Bergeret avec qui il a animé le groupe lyonnais de la Société psychanalytique de Paris. Jean Guillaumin a publié de nombreux ouvrages et articles. (source : Wikipedia) bon exemplaire, frais et propre
Pépin [Claude Guillaumin (1842-1927) illustrateur et rédacteur] / Pascal Lange [gérant] / Lefman [graveur]
Reference : ALB-285
Paris, Imp. C. Murat, 1879- 1880-1881. Le dessin de la couverture est signé par le graveur Lefman sc
Le lampion fait probablement allusion à l’évènement historique parisien, le début des barricades de 1827 à Paris, où la foule des émeutiers pour obliger les occupants des appartements à se joindre à eux en illuminant, en scandant : Des lampions ! des lampions ! Le Berluron un mot d’argot, est celui qui a la berlue en voyant les choses de travers et déformant la réalité ou en percevant des choses imaginaires. Claude Guillaumin (1842-1927) signe ses caricatures anticléricales sous le pseudonyme de Pépin, [Ennui, avoir un pépin, ou allusion probablement à un personnage de vaudeville du XIXème, surgissant sur scène avec un énorme parapluie]. Berluron est le nom de plume de Claude Guillaumin. En 1875, au début de la Troisième République, apparaissent les dessins de Pépin dans le journal Le Grelot, [Journal républicain et anticlérical] dont il réalisa la plupart des couvertures entre 1876 et 1879. Dans la forme d’édition comme dans la ligne éditorial satirique, Le lampion de Berluron fera écho aux deux autres revues qui paraissaient à cette époque : La Lanterne d'Henri Rochefort (1831- 1913) [la brochure crée en 1868, a cessé de paraître en 1876] et La Lanterne de Boquillo de Pierre-François Humbert dit Albert (1835- 1886) [Revue fondée en 1868]. Le lampion de Berluron commença à paraître à partir de 1879 sous la direction de Pascal Lange du journal La Petite République, un journal socialiste proche de Léon Gambetta. Pépin collabore à la revue en fournissant des histoires tirées de l’actualité et des dessins de caricatures. Pépin est effectivement le principal rédacteur et illustrateur caricaturiste de la revue dès la parution du premier numéro en 1879. Il devint par la suite propriétaire et directeur de la revue satirique en décembre 1881, son nom Guillaumin apparait au n° 111 du 11 décembre 1881, avec la mention gérant. Par la suite la revue change de format, de in-12 elle passe au format in-octavo. Le dessin de la page de couverture représente un musicien de l’armée territorial [créée par la loi du 27 juillet 1872 instaurant les principes de la réserve militaire]. Le musicien de la caricature comme l’encadré sur la page de couverture l’indique, est affilié à l’orphéon du lieu-dit Tortequeue, dans la commune Le Vilhain, département de l'Allier. Il est représenté en tenue militaire avec une haute casquette à visière, sabre en bandoulière, musette sur l’épaule, soufflant dans un instrument à vent, un tuba devant un lampion en terre cuite dont la mèche est allumée provoquant de la fumée. Le papier des couvertures du Lampion de Berluron est de différentes couleurs par alternance d’un numéro à l’autre : vert foncé ou pale, rose foncé ou pale, jaune et bleu. Le texte central de 25 lignes est totalement calligraphié avec de nombreux petits dessins caricaturaux dans chacun des numéros de la revue. Le lampion de Berluron contient aussi des rebriques comme faits cléricaux, drôleries cléricales, méli-mélo cléricafard, des contes de la Fontaine, gazettes de campagnes, et des extraits de roman paraissant en feuilleton d’un numéro à l’autre. La revue est de format in-12, (12 cm. / 17 cm.) Au total 73 numéros du 21 décembre 1879 au 31 décembre 1881, broché au fil, chaque numéro contient 18 pages avec les pages de couvertures. Les versos des couvertures sont aussi imprimés contenant le plus souvent des extraits d’une nouvelle en feuilletant. Année 1879 : 2 numéros n°8, n°9. N° 8. 1er année – 21 décembre 1879. Le fascicule à pour titre : Le roi de l’ile des canards. Signé Berluron orphéoniss et Le gérant Lange. Page 1 un dessin représentant le roi de l’Ile des canards gravé par Lefman sc. 4 dessins sous le titre « un ancien maire de l’ordre moral », page 14 signés Pépin et gravés par Lefman. Page 16 : Avis : « Nous prion tous ceux de nos lecteurs qui auraient des abus à signaler, des communications à nous faire, d’adresser leur correspondance, 53, Chaussée d’Antin. Imprimerie générale A. Lahure, rue Fleurus, 9, à Paris. Le Lampion de Berluron parait chaque semaine ; Il est mis en vente le jeudi matin, au prix de 10 centimes. » Quatrième de couverture : une page de réclame pour les publications de la revue la petite république française : « la petite république française dans un but de propagande publicitaire, publie un Almanach ». [Avec un détail des articles contenus dans publication sujet de la publicité]. Année 1880 : 39 numéros, n° 10, 11, 12, 13,14, 16, 24, 25, 26, 27, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39,40, 41, 42, 44,45, 46, 47, 48, 50, 52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60. Année 1881 : 32 numéros, n° 67, 69, 70, 71, 72, 7 3, 74, 75, 76, 77, 78, 79, 80, 81, 82, 83, 84, 85, 87, 88, 89, 90, 98, 100, 101, 102, 103, 104, 106, 111, 112, 114. Certains numéros sont débrochés mais aucun manque ni dans les couvertures ni dans les textes. Un ensemble rare et bien conservé.
Revue La Terre et la Vie - Société Nationale d'Acclimatation de France - Guillaumin (A.) - Didier (Dr. R.) - Loyer (M.) - Vellard (J.) - Dufour (A.M.) - Hugues (A.)
Reference : 15631
(1938)
Société des Amis du Muséum , Revue La Terre et la Vie - Société Nationale d'Acclimatation de France - Guillaumin (A.) - Didier (Dr. R.) - Loyer (M.) - Vellard (J.) - Dufour (A.M.) - Hugues (A.) Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1938 Book condition, Etat : Bon broché grand In-8 1 vol. - 30 pages
plusieurs photos Contents, Chapitres : La conservation du Pelagodaxa Henryana, par A. Guillaumin - Notes biologiques sur les roussettes en captivité, par le Dc R. Didier - Un jardin de la Côte d'Azur, par M. Loyer - Le cacao dans les coutumes populaires du Vénézuela, par J. Vellard - Aventure de 4 jeunes bouvreuils, par A.M. Dufour - Les campagnols aquatiques rongeurs d'écorce, par A. Hugues - Informations diverses : Le poisson feuille morte - Protection des aborigènes - Le fémur de Sinanthropus - Le Musée de l'Homme - Bibliographie
Moulins, Cahiers du Bourbonnais, 1977 ; in-8, broché. 145pp. Bon état.
Ouvrage publié à l'occasion du centenaire d'Emile Guillaumin, avec une préface de sa fille ; il réunit les articles de l'auteur parus dans le "Travailleur rural" entre 1906 et 1911. Ce bulletin était l'organe de liaison de la Fédération des syndicats des Travailleurs de la terre, dont Guillaumin fut le secrétaire de rédaction pendant ces années. Cette revue publiée trimestriellement est quasiment introuvable aujourd'hui.
Paris, Librairie C. Klincksieck, 1975 ; in-8, br. - 166pp. - 1f. hors-texte de reproductions photographiques. Bon état.
EDITION ORIGINALE. Communications recueillies pendant le colloque du 20 octobre et la séance publique de la Société d'Emulation du 10 novembre, par Paul Vernois, Jean Gaulmier, André Touret, Roger Mathé, Mireille Niklaus, Francine Masson, Suzanne Desternes, Antoine Lacroix. Augmenté d'une correspondance entre Guillaumin et Lucien Gachon.
P., Stock, 1953 ; in-12, br. 308pp.-2ff. Toutes petites tâches sur la couverture, plis au dos. Très bon état.
Edition originale posthume, (Fausse mention de 5e édition au dos, achevé d'imprimé du 27/03/1953). Recueil de lettres adressées à Guillaumin alors qu'il était rédacteur du Travailleur rural (organe de la Fédération des Syndicats de cultivateur de la région de Moulins, 24 N° de 1906 à 1911) ; elles sont toutes précédées d'une présentation par Guillaumin. On y retrouve les témoignages sur les conditions de la vie de cultivateurs, métayers, boutiquières, femmes de chambre... du monde rural au début du XXe siècle : Auguste Athis, Adrien Croix, Antoine Dumont, Félix Ledoux, Marie Valette, Louis Bourlier, Jules Rougeron, Jeanne Combabessouse, Elise Blanc, Henri Norre.
P. Calmann-Lévy, [1905 (achevé d'imprimer 10 1905)] ; in-8. 2ff.-324pp. Plis au dos, couverture jaune légèrement brunie. Bon état.
Edition originale, exemplaire du tirage courrant, avec fausse mention de troisième édition sur la couverture. Ce roman avait été commencé avant la parution de La vie d'un simple en 1904, Guillaumin l'acheva après le succès de son histoire d'un métayer et il fut publié en feuilleton dans La Revue de Paris en 1905 avant sa parution en volume chez Calmann-Lévy. L'auteur révisa son texte pour une nouvelle édition en 1926, mais l'éditeur le refusa et c'est la fille de Guillaumin qui le fit paraître seulement en 1979 (Editions Plein Chant).