P., Alexandre Mesnier, 1831, in-8°, iv-160 pp, reliure demi-basane verte, dos lisse, titres et triples filets dorés, plats papier marbré vert (rel. de l'époque), pt accroc sans gravité au 1er plat, bon état. Edition originale
Plaidoyer pour la Monarchie de Juillet de Louis-Adolphe Thiers acquis à la monarchie parlementaire, rédacteur en chef du National et l'un des principaux acteurs de l'avènement de Louis-Philippe. En récompense de ses services, Thiers fut nommé conseiller d'État et atttaché au département des finances. (Escoffier, 893 ; Yvert, Politique libérale, 65).
Collectif - THIERS (Adolphe), Gontaut-Biron, Saint-Vallier, von Manteuffel, etc.
Reference : 28443
(1903)
Calmann-Lévy, 1903, 2 vol. gr. in-8°, 482 et 474 pp, conventions financières en annexes, brochés, bon état
Réunion de 362 lettres, principalement de Thiers, du vicomte de Gontaut-Biron (ambassadeur de France à Berlin), du comte de Saint-Vallier (commissaire extraordinaire du Gouvernement français près le commandant en chef de l'armée d'occupation), du général de Manteuffel (commandant en chef de l'armée allemande) et du comte d'Arnim (ambassadeur d'Allemagne à Paris), plus 13 textes en annexe. Ces correspondances retracent les négociations entre Paris et Berlin ayant pour objet de restreindre l'étendue de l'occupation et les charges (plusieurs milliards de francs) ainsi que de fixer la date définitive de libération du territoire national. — "Aux termes du traité de Francfort, signé le 10 mai 1871, une armée allemande devait occuper une partie du territoire français jusqu'au moment où l'indemnité de guerre de cinq milliards serait entièrement payée. Le 27 juin 1871, le général baron de Manteuffel en reçut le commandement ; il installa son quartier général d'abord à Compiègne, puis, le 15 septembre, à Nancy. Dès le mois de juillet, le gouvernement français avait placé à ses côtés, comme agent officiel, le comte de Saint-Vallier, diplomate de carrière, ancien ministre de France en Bavière. En janvier 1872, des relations diplomatiques régulières ayant été reprises avec l'Allemagne, Saint-Vallier reçut le titre de « commissaire général près l'armée d'occupation », tandis que M. de Gabriac, simple chargé d'affaires, était remplacé à Berlin par le vicomte de Gontaut-Biron, et que le comte d'Arnim était nommé ambassadeur d'Allemagne à Paris. C'est à ces personnages, Manteuffel, Saint-Vallier, Gontaut-Biron, d'Arnim, agissant au nom des chefs de leurs gouvernements respectifs, Thiers et M. de Rémusat, ministre des Affaires étrangères, d'une part, le roi Guillaume et Bismarck de l'autre, qu'allait incomber le soin d'assurer, dans les conditions les plus satisfaisantes, l'exécution des clauses du traité de Francfort relatives à l'occupation et à l'évacuation de la France. Et c'est une partie notable des lettres échangées au cours de leur mission que nous fait connaître aujourd'hui cette publication. Ces lettres sont au nombre de 362 : 187 dans le premier volume, 175 dans le second. Elles sont de longueur très inégale ; certaines n'ont que quelques lignes, d'autres dix pages et plus. La première est datée du 3 mai 1871, la dernière du 27 septembre 1873..." (P. Caron, Revue d'Histoire moderne et contemporaine)
Calmann-Lévy, 1879, 3 vol. gr. in-8° (18,5 x 25,5), [4]-xiv-578,[4]-628 et [4]-640 pp, brochés, bon état. Edition originale, un des rares exemplaire sur papier de Hollande. Bel exemplaire à toutes marges
L'activité parlementaire et le talent oratoire prodigieux de l'homme d'État. De 1830 à 1873, Thiers participa à la plupart des débats dont l'enjeu fut le système des contributions publiques que la Révolution de 1789 a créé et Napoléon aménagé. Il mit le meilleur de lui-même à défendre cette fiscalité. Il occupe ainsi une place à part parmi les hommes politiques français du milieu du XIXe siècle.
Collectif - THIERS (Adolphe), Gontaut-Biron, Saint-Vallier, von Manteuffel, etc.
Reference : 116928
(1903)
P., Calmann-Lévy, 1903, 2 vol. gr. in-8°, (8)-482 et (6)-474 pp, conventions financières en annexes, brochés, couvertures de relais des éditions Balzac, très bon état
Réunion de 362 lettres, principalement de Thiers, du vicomte de Gontaut-Biron (ambassadeur de France à Berlin), du comte de Saint-Vallier (commissaire extraordinaire du Gouvernement français près le commandant en chef de l'armée d'occupation), du général de Manteuffel (commandant en chef de l'armée allemande) et du comte d'Arnim (ambassadeur d'Allemagne à Paris), plus 13 textes en annexe. Ces correspondances retracent les négociations entre Paris et Berlin ayant pour objet de restreindre l'étendue de l'occupation et les charges (plusieurs milliards de francs) ainsi que de fixer la date définitive de libération du territoire national. — "Aux termes du traité de Francfort, signé le 10 mai 1871, une armée allemande devait occuper une partie du territoire français jusqu'au moment où l'indemnité de guerre de cinq milliards serait entièrement payée. Le 27 juin 1871, le général baron de Manteuffel en reçut le commandement ; il installa son quartier général d'abord à Compiègne, puis, le 15 septembre, à Nancy. Dès le mois de juillet, le gouvernement français avait placé à ses côtés, comme agent officiel, le comte de Saint-Vallier, diplomate de carrière, ancien ministre de France en Bavière. En janvier 1872, des relations diplomatiques régulières ayant été reprises avec l'Allemagne, Saint-Vallier reçut le titre de « commissaire général près l'armée d'occupation », tandis que M. de Gabriac, simple chargé d'affaires, était remplacé à Berlin par le vicomte de Gontaut-Biron, et que le comte d'Arnim était nommé ambassadeur d'Allemagne à Paris. C'est à ces personnages, Manteuffel, Saint-Vallier, Gontaut-Biron, d'Arnim, agissant au nom des chefs de leurs gouvernements respectifs, Thiers et M. de Rémusat, ministre des Affaires étrangères, d'une part, le roi Guillaume et Bismarck de l'autre, qu'allait incomber le soin d'assurer, dans les conditions les plus satisfaisantes, l'exécution des clauses du traité de Francfort relatives à l'occupation et à l'évacuation de la France. Et c'est une partie notable des lettres échangées au cours de leur mission que nous fait connaître aujourd'hui cette publication. Ces lettres sont au nombre de 362 : 187 dans le premier volume, 175 dans le second. Elles sont de longueur très inégale ; certaines n'ont que quelques lignes, d'autres dix pages et plus. La première est datée du 3 mai 1871, la dernière du 27 septembre 1873..." (P. Caron, Revue d'Histoire moderne et contemporaine)
P., Schubart et Heideloff, 1828, in-8°, 222 pp, 2e édition, broché, couv. salie, traces de mouillures anciennes en marges, état correct. Rare (Labarère, II, 1578)
En 1822, l'Espagne réactionnaire de Ferdinand VII vacille sur ses fondements. Le jeune libéral Thiers, alors journaliste au Constitutionnel, s'engage aux côtés des conservateurs pour une intervention française en Espagne. Il se rend dans le sud de la France à la fin de 1822, et notamment dans les Pyrénées où la France a placé des troupes, car depuis mars 1822, les élections aux Cortès ont porté au pouvoir Rafael del Riego. Ferdinand VII demande l’aide des monarques européens et au Congrès de Vérone, il est décidé que la France interviendra pour rétablir la monarchie en Espagne, ce qu’elle fera en avril 1823... Un texte assez différent des récits contemporains où l'on voit poindre le grand homme politique que deviendra Adolphe Thiers.
Paris, Paulin, Lheureux et Cie, 1848. In-8 de (4)-439 pp., demi-veau fauve glacé, dos à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Édition originale. Envoi autographe signé d'Adolphe Thiers à Édouard-Léon, comte Roger du Nord (1803-1881) : "Mon ami Mr Roger A. Thiers",.« Roger du Nord entre dans la carrière diplomatique sous la Restauration (et) s’engage dans la politique en 1834 en devenant député de l’arrondissement de Dunkerque (…) à partir de 1836, il se met au service de Thiers et devient ensuite son ami. Il condamne le coup d’État du 2 décembre, est interné quelque temps au fort de Ham. Il abandonne ensuite toute activité politique pendant le Second Empire. La guerre de 1870 le tire de sa retraite. A 67 ans, il est nommé lieutenant-colonel à l’état-major de la Garde nationale de la Seine et cité à l’ordre du jour de l’Armée pour sa conduite à Champigny. Il accompagne Thiers lors de la négociation de Versailles au début novembre. Pendant la Commune, il est chef d’état-major du général d’Aurelle de Paladines, commandant en chef des gardes nationales loyalistes de la Seine en remplacement du général Thomas. Le 8 février 1871, il avait été élu député du Nord sur la liste conservatrice, le sixième avec 82 % des suffrages. Fidèle de Thiers, il soutient la politique du Président de la République en toutes circonstances et, après sa chute, il passe du Centre droit au Centre gauche et vote les lois constitutionnelles de 1875. Ce protestant s’inquiète de la réaction cléricale et vote contre la loi de 1875 sur la liberté de l’enseignement supérieur et les jurys mixtes pour la collation des grades. Son opposition à l’Empire et au cléricalisme lui valent d’être inclu dans le pacte entre républicains et légitimistes pour l’élection des sénateurs inamovibles. Il est élu comme Corne le 10 décembre 1875 au second tour de scrutin par 355 suffrages, le douzième des 75. Roger du Nord siégea au Centre gauche et soutint la politique républicaine. Il vota le 9 mars 1880 l’article 7 du projet de loi Ferry interdisant l’enseignement aux congrégations non autorisées (…) » (Bernard Menager, Roger du Nord Édouard 1803-1881 In : Les immortels du Sénat, 1875-1918 : Les cent seize inamovibles de la Troisième République Paris, Éditions de la Sorbonne, 1995). Pâles rousseurs, quelques mouillures.La bibliothèque du comte Roger « du Nord » fut vendue du lundi 28 avril au mardi 6 mai 1884, en huit vacations : Catalogue des livres rares et précieux, composant la bibliothèque de feu M. le comte Roger (du Nord) Paris, Ch. Porquet, 1884.
[s. n.] - THIERS, M. ; [ THIERS, Adolphe ; DOSNE, Félicie (éd.) ]
Reference : 53625
(1901)
1 vol. fort et très grand in-8 reliure postérieure demi-chagrin maroquiné à coins rouge, dos à 4 nerfs dorés, filet doré en mors et coins, couvertures conservées, s.n., 1901, 3 ff., 465 pp. et 1 f. n. ch.
Rare et très bel exemplaire, en parfait état, de l'édition originale, publiée hors commerce en 1901, sur beau papier vergé, par les soins de la belle-soeur d'Adolphe Thiers, Félicie Dosne (1823-1906). L'ouvrage est important pour la connaissance approfondie de cette période instable de l'histoire de France, notamment à propos des négociations de Thiers avec Bismarck. Il est découpé en quatre parties : Voyage diplomatique (1870), Négociations pour un armistice (octobre 1870), Préliminaires de la Paix (1871), et Présidence de la République (1871-1873), et suivi d'Annexes.
A Thiers de l'Imprimerie de Bernard-Doupeux, Imprimeur-Libraire, 1823 ; 607pp.-2ff. Basane brune, dos à nerfs, non orné, pièce de titre noire. Reliure frottée sans manque. Ex-libris manuscrit sur le premier contreplat : " Ce livre appartient à Vachier Terrasse ceux qui le trouveront auront la bonté de lui remaitre à Ters [sic pour Thiers]".
Joseph Bernard-Doupeux est un des plus anciens libraire-imprimeur installé à Thiers à la suite de la Révolution. Il tient son affaire de son père et obtient son brevet d'imprimeur en 1816, et de libraire en 1818. Il publia un journal qui connu quelques déboires à ses débuts puis se fixa sous le nom de "Journal de Thiers", puis" L'Observateur", et en 1848 "L'Egalité". Il publia également quelques ouvrages de dévotion comme ces "Heures" et des manuels d'éducation (Nouveaux principes de lecture...). Dans la "Bibliographie de la France", 27 juillet 1832, on trouve une annonce dans laquelle l'imprimeur informe de son intention de vendre son entreprise. Il ne dut pas trouver preneur aussitôt car ce n'est qu'en avril 1835 que sa fille devint détentrice du brevet de libraire, pendant que Sulpice Chamerlat (sans doute son gendre) obtint à son tour le brevet d'imprimeur (25 février 1835). (EGUILLION, Imprimeurs, libraires et relieurs du Bas-Pays d'Auvergne et du Puy-de-Dôme, Académie des sciences de Clermont, 2000, p. 194).
État : Bon état - Année : 1909 - Format : in 12° - Pages : 650pp - Editeur : Librairie Armand Colin - Lieu d'édition : Paris - Type : Reliure plein cuir - Divers : Voir description ci-dessus. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/adolphe-thiers/9067-pages-choisies-des-grands-ecrivains-ad-thiers?lrb
Thiers ne fut pas uniquement le premier président de la IIIème République, il fut aussi un écrivain a la fois journaliste, polémiste et historien. Cet ouvrage qui veut rendre témoignage à son talent reprends les pages les plus importantes de sa monumentale étude sur la Révolution française, une courte étude sur le système financier de Law, sur la propriété et divers discours. Introduction de G. Robertet. Une carte de la campagne de Russie en fin de volume. Edition de 1909 établie dans une reliure amateur pleine basanne rouge, dos à quatre nerfs avec titre, auteur, nom propriétaire et motifs or, en bon état (coins et plats légèrement frottés). Intérieur bien propre (pages légèrement jaunies).
Phone number : 09 63 58 85 14
Thiers A. Favré 1907 in-8 broché
4 ff.n.ch., 12 pp., XXXVIII pp., 20 pp., un f.n.ch. de table des rues, texte sur deux colonnes, reproductions de poinçons dans le texte.Aucun exemplaire au CCF. Très rare. Cet annuaire très détaillé anticipe la création du Répertoire de la coutellerie thiernoise, qui parut de 1934 à 1965
THIERS Adolphe (Marseille 1797 - St Germain-en-Laye 1877), Journaliste, historien, Homme politique : ministre et président du Conseil sous la Monarchie de Juillet, député sous la IIe République et pendant le Second Empire, premier président de la Troisième République (1871-1873). - . - Membre de l'Académie française (élu en 1833).
Reference : 11255
Au sujet d'un contrat , au journal Le Constitutionnel, 3 pages in 8° de 1846 , lettre dans laquelle Thiers vient recommander à un collègue, “Mr. Mennaux qui est un excellent homme plein d'honnêteté et de talent et que nous avons chargé de tous… pour l'affaire du Constitutionnel, je crois qu'il est temps d'en finir…“ . (déchirure avec infime sans gène pour la lecture). En 1844, le Journal qui appartenait à 15 actionnaires fut vendu à Louis Véron, Adolphe Thiers en resta rédacteur en chef. En 1848, il sert l'élection de Louis-Napoléon Bonaparte, et est un organe gouvernemental sous le Second Empire.
Au sujet des Elections de 1863. Lettre de 3 pages 1/2 in-12° du 25 mai 1863, une semaine avant les élections législatives, sur les élections Thiers insite son correspondant à la lutte“ puisque nous avons accepté le combat tachons d'en sortir victorieux ce sera chose ardue…“. Il évoque Persigny, Dufaure pour Bordeaux , Odillon Barrot peut-être pour Strasbourg…Il demande à son correspondant s'il rejoindra sa commune “ c'est dans les communes rurales que l'action est indispensable…“ . Pour les élections législatives des 31 mai et 14 juin 1863 (suffrage universel masculin), à Paris, les directeurs de journaux “indépendants“ et républicains s'entendirent pour former une liste unique où figuraient Émile Ollivier, Jules Simon et Adolphe Thiers. ( ClBe1)
P., Lheureux et Cie, 1862, in-12, (4)-328 pp, reliure demi-chagrin carmin, dos à 4 nerfs filetés et soulignés à froid, titre et fleurons dorés, filet doré sur les plats (rel. de l'époque), coins émoussés, bon état
Calmann-Lévy, 1879-1883, 16 vol. in-8°, de 600 à 700 pp chacun, reliures demi-maroquin vert bouteille à coins, dos à 5 nerfs pointillés, caissons dorés très ornés, têtes dorées (rel. de l'époque), mouillure claire aux premiers feuillets du tome XV, qqs épidermures sans gravité, qqs rares rousseurs éparses, bon état. Exemplaire finement relié à l'époque (Ex-libris imprimé Château des Perrays). Rare (Vicaire VII, 829-831)
Unique édition de cette impressionnante série qui couvre toute la carrière de l'homme politique, et dont la publication s'est étagée sur cinq années. Un des monuments de l'histoire politique du XIXe siècle. De 1830 à 1873, Thiers participa à la plupart des débats dont l'enjeu fut le système des contributions publiques que la Révolution de 1789 a créé et Napoléon aménagé. Il mit le meilleur de lui-même à défendre cette fiscalité. Il occupe ainsi une place à part parmi les hommes politiques français du milieu du XIXe siècle. Un volume de tables a été publié ultérieurement, cinq ans après la parution du dernier volume (en 1889) et on le trouve rarement joint. — Détail : I-III. 1830-1836 ; IV-V. 1837-1841 ; VI. 1842-1845 ; VII. 1846-1848 ; VIII. 1848-1850 ; IX. 1850-1864 ; X. 1865-1866 ; XI. 1867-1868 ; XII. 1868-1870 ; XIII. 1871 ; XIV. 1872 ; XV. 1872-1877.
THIERS Adolphe Nombreuses gravures dans le texte. Portrait de Thiers en frontispice.
Reference : 142843
(1860)
Couverture rigide. Reliure demi-basane rouge à coins. 792 pages. Rousseurs.
Livre. Imprimé sur deux colonnes. Nombreuses gravures dans le texte. Portrait de Thiers en frontispice. Editions Furne et Cie, Vers 1860.
Paris Paulin 1844 - 1848 - 1850 4 tomes en 1 volume in-8 de 439, 155, 91 et 156 pages , demi veau , dos à nerfs orné de filets or et motifs à froid (coiffes et mors frottés).
Editions orginales
THIERS (Adolphe) -QUINET (Edgar). - COSTA (Charles) - ROUHER (Eustache).
Reference : 18348
Tours, Mazereau, 1867, Londres, Jeffs, 1862, Paris, Panckoucke, 1865, 1 pleine basane, plats aux armes (licorne, damier et lions affrontés) dans une couronne de chêne et d'olivier, dos au chiffre: "H D.", tranches rouge, eraflure sur le plat inférieur. in-8 de XII-238-(2), (4)-112, 39 et 62 pages ;
L'expédition française au Mexique. "La guerre du Mexique est la plus grande pensée du règne" (Rouher).
Phone number : 06 80 15 77 01
Thiers Imprimerie de Cuissac 1846-1856 8 fascicules in-8 brochés sous couvertures imprimées
1) 1846 : 34 pp. - 2) 1847 : 32 pp. - 3) 1850 : 16 pp. - 4) 1852 : 17 pp., un f.n.ch. - 5) 1853 : 14 pp., un f.n.ch. - 6) 1854 : 28 pp. - 7) 1855 : 18 pp., un f.n.ch. - 8) 1856 : 20 pp.Au CCF, on ne trouve de collection de ce petit périodique agricole qu'à la BnF et pour les années 1845-1862. On ignore si la publication a été poursuivie au-delà. Le rédacteur en était Hermose Andrieu (1804-1875), avocat au tribunal de la ville de Thiers (1829), juge (1845), président du tribunal d'Ambert (1862), et enfin conseiller à la cour de Riom (1867).Exemplaire de Prosper-Claude-Ignace-Constant Brugière, baron de Barante (1816-1889), alors préfet de l'Ardèche, avec ex-libris manuscrit au fascicule II
Thiers Favyé 1873 in-8 broché
12 pp.Un seul exemplaire au CCF (Clermont). Fondée en 1873, la Société d'études de la ville de Thiers se transforma en 1923 en Société des études locales, avec un objet plus centré qu'au départ sur le régionalisme. Elle est toujours en activité aujourd'hui
Paris, Alexandre Mesnier, 1831. In-8 de (4)-160 pp., demi-basane bleue, dos à nerfs (reliure de l'époque).
Édition originale. Plaidoyer pour la Monarchie de Juillet de Louis-Adolphe Thiers acquis à la monarchie parlementaire, rédacteur en chef du National et l'un des principaux acteurs de l'avènement de Louis-Philippe. En récompense de ses services, Thiers fut nommé conseiller d'État et atttaché au département des finances. 3 feuillets restaurés, sans perte de texte. Escoffier 893 ; Yvert, Politique libérale, 65.
1740 La Haye, Pierre de Hondt, 1740, pt. in-8º, 4 ff. + 364 p., bon exemplaire. Edition originale posthume d'un ouvrage polémique et curieux de Jean-Baptiste Thiers, érudit et théologien français. C'est un modèle d'un genre florissant au XVIIIe siècle, qui illustre certaines luttes fratricides entre ordres religieux.
THIERS]. Paul Adam, Félix Chambon, Emile Faguet, Alfred Rambaud et Henri Welschinger
Reference : 49399
(1903)
Paris 1903 1 vol. relié gr. in-8, bradel demi-percaline rouge souple, titre doré en long, pagination séparée. Recueil factice de cinq articles ou plaquettes (par Paul Adam, Félix Chambon, Emile Faguet, Alfred Rambaud et Henri Welschinger) sur le gouvernement d'Adolphe Thiers après la chute du Second Empire. Bon état.
Lheureux et Cie, 1865 Lheureux et Cie, 1865. A la même date pour les 3 discours reliés ensemble, In-8 demi-basane blonde, dos à nerfs et filets dorés, pièce de titre. 117 + 48 + 154 pages.SUIVI DE : Discours sur les libertés politiques prononcé par Monsieur Thiers au corps législatif dans la séance du 28 mars 1865. SUIVI DE : Discours sur les finances prononcé par Monsieur Thiers au corps législatif dans la discussion du budget - séances des 2 et 6 juin 1865. Bon état.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Paris. F. Didot Fr. 1834. In-8, broche. 24pp.Bon état