Couverture souple Paris, Editions du 9 février, 1997. In-8 (24 x 18 cm), reliure spiralée de l'éditeur, les plats sont illustrés d'un montage photographique composé des visages des auteurs, quelques marques marginales aux plats. Non paginé, l'ouvrage comporte 99 listes réparties en huit chapitres, et numérotées de 1 à 99. Le chapitre multiplications comprend 35 portraits, modulables pour le lecteur. Tirage limité à 3000 exemplaires. Le nôtre un des 50 exemplaires signés et numérotés par Roubaud et Boltanski (n°7). Artiste plasticien connu pour ses installations et son style conceptuel, Christian Boltanski est une figure majeure de l'art contemporain. Bon exemplaire, rare.
Très bon
2005 2005. Jacques Roubaud: Tokyo infra-ordinaire/ Inventaire-Invention 2005 E-D
Comme neuf
1618 P., Chez Bauger, r. du Croissant, 16, Imp. dAubert & Cie, s.d. (1838), 1 planche encadrée (dimensions à vue : 280 x 230 mm), cadre du XIXe s. en placage de loupe (465 x 370 mm).Papier bruni, couleurs restées bien fraîches.
Superbe caricature, non signée, aquarellée et gommée sur blanc de Dumas, Hugo et Lemaître, chassés par Rachel, parue initialement dans la Caricature Provisoire de déc. 1838.Les exemplaires en couleurs dépoque sont rarissimes.Selon le site de La Maison de Victor Hugo :Description iconographique: Cette caricature montre Victor Hugo et Alexandre Dumas chassé du "Théâtre Français" et se dirigeant vers le "Théâtre de la Renais Cendre", allusion au Théâtre de la Renaissance qu'ils viennent de créer. Dumas porte un étendard avec la devise " Adultère Inceste ! Assassinat ! sang ! mort ! damnation ! ". Victor Hugo porte un sac inscrit "blague", une bouteille de "poison" et le texte de "Ruy Blas" sous le bras. Devant eux, de dos, l'acteur Frédérick Lemaître qui vient de créer le rôle de Ruy Blas, tient une paire de bottes et une épée de "Tolède".Commentaire historique: Cette caricature, parue dans « La Caricature provisoire », n° 6, du 23 décembre 1838, fit lobjet dune édition séparée sous la rubrique « Album théâtral », par Bauger, éditeur de "La Caricature" et du "Charivari". Elle fait allusion à la création du théâtre de la Renaissance, compagnie théâtrale Installée salle Ventadour, qui a été fondée à l'initiative de Victor Hugo et Alexandre Dumas par Anténor Joly, afin de disposer d'une troupe pour jouer le répertoire romantiques. Elle vient alors dinaugurer sa programmation le 8 novembre 1838 avec la création de « Ruy Blas », avec Frédérick Lemaître dans le rôle-titre. La lithographie, non signée, généralement attribuée à Benjamin Roubaud, est donnée dans le commentaire publiée en 2ème page du journal à « M. de Barray » : « dessins. / M. de Barray, qui estime beaucoup le talent de Mlle Rachel, nous la montre cependant sous des traits peu flattés : cest elle qui est ici la personnification de la tragédie renouvelée des Grecs, que lartiste naime guère, et dune administration théâtrale quil naime pas. Les romantiques, chassés du temple Védel, se réfugient dans celui de la Renais-Cendre, et font fort bien ». Il s'agit en fait d'un pseudonyme « provisoire » de Benjamin Roubaud créé par Philipon au moment du lancement de "La Caricature provisoire" comme le confirme un catalogue des publication de Beauger (Bauger) dans "Le Charivari" du 31 mars 1842 qui précise : " Les romantiques chassés du temple, par Benjamin....50".Nous tenons spécialement à remercier Jean-Paul Roubaud pour ces précieuses informations concernant l'attribution de cette gravure, n'hésitez pas à visiter l'excellent site qu'il consacre, en collaboration avec Pierre Quiblier, à Benjamin Roubaud.
Editions Seghers 2004 96 pages 11x1x18 6cm. 2004. pocket_book. 96 pages.
Bon état
Seuil, Fiction & Cie, 2008, 255 pp., broché, traces d'usage, annotations au stylo sur la page d'imprimatur, état correct.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Ramsay, 1987, 270 pp., broché, couverture brunie avec quelques taches, état correct.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Calvino Italo Fournel Paul Roubaud Jacques
Reference : 500096101
(2004)
ISBN : 9782232122545
Attila, 2013, , pp., broché, légères traces d'usage, état très correct.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
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Editions Isele, Paris-Tübingen, Le Divan, Les conférences du divan, bilingue français/allemand,1998, tirage limité à 400 exemplaires numérotés, 44 pp., broché, très bon état.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Editions Isele, Paris-Tübingen, Le Divan, Les conférences du divan, bilingue français/allemand,1998, tirage limité à 400 exemplaires numérotés, 44 pp., broché, très bon état.
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Austen Jane Leconte Valentine Pressoir Charlotte Woolf Virginia Roubaud Jacques
Reference : 500074964
(1979)
ISBN : 9782724206456
Bréchignac-Roubaud Béatrice Brousse Jean
Reference : 17287
(1998)
ISBN : 9782708121478
Editions d'organisation 1998 249 pages 23x15x2cm. 1998. Relié. 249 pages.
French édition -Légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état d'ensemble. envoi rapide et soigné dans une enveloppe à bulle depuis France
1928 1928.
Etat passable / convenable livre usé / défraichi vendu en l'état pour exemplaire de lecture bien complet de ses pages. En stock. Vendeur PRO Français. Expédition rapide et soignée sous enveloppe cartonnée ou à bulles. Satisfait ou remboursé
Seuil, Fiction & Cie, 1993, édition originale sur papier ordinaire, 579 pp., broché, bon état.
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Éditions du Seuil, 1984. In-8 br. Coll. " Fiction & Cie ". Texte de Jacques Roubaud sur le second plat. Journal d'Alix Cloé Roubaud accompagné de quelques photographies en noir & blanc. E.O.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 28 novembre 1833 (Planche n°335)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27.2cmx Largeur: 35.8cm - Image: Hauteur: 20.9cm x Largeur: 27.9cm - Titre en bas au centre : « Voyez Messieurs et Dames ! » ; légende plus bas au centre : « Voyez comme il est bien dressé, il donne la patte à tout le monde et se met à genoux et reçoit toujours avec un nouveau plaisir les petites // étrennes de la société. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°159 [160]. », en ht à dte : « Pl. 333. » [erreur de numérotation, planche 335] - Dans la lettre : « chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « Lith. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur]Description iconographique:Dans une arène entourée de palissades de bois, Louis-Philippe est représenté avec un corps d’ours et une tête humaine, vue de dos, mais reconnaissable au haut toupet. L’explication de la pl. précise que Benjamin Roubaud a voulu montrer « le système de la paix à tout prix, dans un ours qui danse et qui fait le beau à volonté, sous le knout d’un Cosaque qui le tient enchaîné, et au son du fifre et du tambour qu’un Anglais fait sonner » (Guillaume IV, roi du Royaume-Uni ?). C’est sur un parapluie posé sur ses épaules que le roi fait reposer ses bras. A terre, à gche, gît un chapeau décoré de la cocarde tricolore. Derrière la palissade, une foule de monarques assistent au spectacle et semblent contents, à en juger par leur mine réjouie, « depuis le colosse d’Autriche jusqu’à la colossillonnette d’Espagne » (in explication). On peut notamment reconnaitre Méhémet Ali. L’explication spécifie que la pl. vise à montrer « la double nature d’un Système qui a toute la rudesse d’un ours envers les patriotes de l’intérieur, et toute sa gentillese et son obéissance pour les hommes de la sainte-alliance », faisant allusion en cela à l’attitude répressive et belliqueuse de Louis-Philippe envers le peuple français, et au contraire, sa docilité dans les affaires internationales, Louis-Philippe ayant mené une politique étrangère de non-intervention afin de se concilier les bonnes grâces des grands royaumes (notamment des trois pays formant la Sainte-Alliance). Cf. congrès de la Sainte-Alliance à Münchengraetz en septembre 1833.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français
iconographie:Dans une arène entourée de palissades de bois, Louis-Philippe est représenté avec un corps d’ours et une tête humaine, vue de dos, mais reconnaissable au haut toupet. L’explication de la pl. précise que Benjamin Roubaud a voulu montrer « le système de la paix à tout prix, dans un ours qui danse et qui fait le beau à volonté, sous le knout d’un Cosaque qui le tient enchaîné, et au son du fifre et du tambour qu’un Anglais fait sonner » (Guillaume IV, roi du Royaume-Uni ?). C’est sur un parapluie posé sur ses épaules que le roi fait reposer ses bras. A terre, à gche, gît un chapeau décoré de la cocarde tricolore. Derrière la palissade, une foule de monarques assistent au spectacle et semblent contents, à en juger par leur mine réjouie, « depuis le colosse d’Autriche jusqu’à la colossillonnette d’Espagne » (in explication). On peut notamment reconnaitre Méhémet Ali. L’explication spécifie que la pl. vise à montrer « la double nature d’un Système qui a toute la rudesse d’un ours envers les patriotes de l’intérieur, et toute sa gentillese et son obéissance pour les hommes de la sainte-alliance », faisant allusion en cela à l’attitude répressive et belliqueuse de Louis-Philippe envers le peuple français, et au contraire, sa docilité dans les affaires internationales, Louis-Philippe ayant mené une politique étrangère de non-intervention afin de se concilier les bonnes grâces des grands royaumes (notamment des trois pays formant la Sainte-Alliance). Cf. congrès de la Sainte-Alliance à Münchengraetz en septembre 1833.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français
Paris, Dabin, Paris, DabinMessidor an XI (1803) ; plaquette in-8, brochée, couverture muette , entièrement non rogné. 2 ff., 35 pp.ÉDITION ORIGINALE qui semble fort rare. Inconnu de Barbier, de Monglond et de Gay.Poème en 5 chants. Oecuménique en effet, ce concile utopique où dans un Paradis idéal se retrouvent pontifs, bonzes, califes, derviches, prélats, druides, moines, imams et autres régiments de prêtres “tant savants qu’ignorants, d’opinion diverse” mais “tous en secret à leur secte adhérents.” Grand festin et joyeusetés très Ancien Régime, avec des nonnes lubriques, lorsque soudain, de ce Paradis en liesse, arrive le Préjugé, “ce noir tyran de l’homme.” On croise aussi Augustin, la papesse Jeanne, Bossuet, un pasteur genevois. Le St Esprit est fort courtois envers Marie. Après un discours de Minerve adressé aux Sociniens, Hussites, Orthodoxes, Juifs, Grecs, Hurons, Hindoux, Samoïdes, Moxes, Turcs, peuples camards, olivatres, cuivrés, noirs à tête laineuse et gens blonds, arrivent Sorbon, Championnet et Dupphot. Ninon de Lenclos lit un décret contre les Français discuté par S. Thomas d’Aquin, Mustapha-Kan, le rabbin Benjamin... A la fin, l’Eternel en personne vient au concile, Sorbon reprend la vie, le concile est dissous et tout se termine par une céleste farandole.Nous avons trouvé quelques rares exemplaires de ce volume dans des bibliothèques, entre autres à la Bibl. Nationale et à Rouen. Mais l’auteur n’est identifié dans aucun catalogue.Cet exemplaire permet de nommer ce dernier, car il porte sur la couverture cet envoi autographe : “de la part de l’auteur, le C[itoyen] Roubaud, ex-Conventionnel.” On ne connaît qu’un seul conventionnel Roubaud, un certain Jean-Louis, né à Aups dans le Var en 1744. Il fut médecin à Tourves, député du Var à l’Assemblée législative et à la Convention. Il vota pour la mort du roi et contre le sursis. Banni de France en janvier 1816, il s’exila à Bruxelles où il mourut en 1830. A Bruxelles il publia en 1826 un autre poème, signé celui-là : L’Helléniade ou la guerre des Grecs, poème en six chants. Reboul 1885 signale un Règlement de la Soc. Républicaine de Toulon rédigé par Roubaud en 1793.On ne connaît pas d’autres publications de ce personnage.
S.L., 1842. Manuscrit in-folio, rel. demi-basane verte, dos lisse orné de roulettes dorées, 283 pp. Index. 36 tableaux généal. à pleine page, nombreux tableaux dans le texte. Additions manuscrites.
Le rédacteur indique dans l'introduction que le nom Roubaud viendrait du nom Roubaudy, originaire de Turin, en Piémont, et s'installa en Provence, notamment à Grasse. Les généalogies des différentes branches commencent au milieu du XVIIe s. Chaque couple fait l'objet d'un chapitre assez détaillé et indique les enfants et les alliés le cas échéant. Les sources sont indiquées assez souvent. Bon état. - Frais de port : -France 9,7 € -U.E. 13 € -Monde (z B : 23 €) (z C : 43 €)
1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 29 août 1833 (Planche n°308)- La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No 147.coloriée. Plate 308. [Paris de Becquet for Maison Aubert [29 August 1833] Lithograph. Overall paper size 34.5 × 25.8 cm.French caricature of Talleyrand’s proposal to Lord Palmerston to form an alliance with Britain to counter-balance the continental league of the autocratic states of Russia, Austria, and Prussia.The print represents Talleyrand standing, supported on a crutch, reining in the infant Louis-Philippe, whilst King William IV bemus- edly looks on, commenting: ‘this child will never walk alone’. One rein is marked ‘Traite de 1815’, the other ‘Sainte Alliance’. Louis- Philippe is depicted from behind as a small boy in skirts playing with a miniature fortress and pulling a toy cannon. As usual with this artist, Talleyrand’s surgical boot is attached in error to his left foot.1 Benjamin Roubaud (1811–1847), lithographer, etcher and painter, made his name as an inspired Parisian caricaturist, contributing to the humorous comic journal La Caricature (1830–1835); he signed himself ‘Benjamin’or ‘A.B.’Dwyer 762 (misdated 1834).
signature : « Benjamin et Paillet » [Benjamin Roubaud, dessinateur, et Paillet, graveur]- Inscription - Sur le château de sable, un graffiti en forme de poire ; sur les laisses avec lesquelles Talleyrand tient le roi : « Traités de 1815 » et « Sainte alliance »Description iconographique:Talleyrand, à dte de la composition, vu de profil, appuie son bras gche sur une béquille. Il tient en laisse un enfant vêtu d’une robe rose et d’un petit fichu bleu (« en moutard tricolore » in explication). Vu de dos, il est reconnaissable au toupet et aux favoris : il s’agit du roi Louis-Philippe, occupé à construire un château de sable avec une truelle. Il tient en laisse un petit canon posé sur une plate-forme à roulettes. Allusion à son désir d’édifier des forts autour de Paris. Derrière eux se trouve Guillaume IV, roi du Royaume-Uni. Il montre Louis-Philippe du doigt tout en regardant Talleyrand avec un sourire moqueur. Il semble donner des ordres à Talleyrand. Cette pl. est une référence au projet de rapprochement avec l’Angleterre tenté par Talleyrand en direction de Palmerston pour contrer l’alliance continentale de la Russie, l’Autriche et la Prusse (Sainte-Alliance de 1815 entre ces trois pays, puis rejointe par la France en 1818 grâce à l’action de Talleyrand). Or, Guillaume IV s’y opposa, fervent défenseur de l’isolationnisme (le Royaume-Uni avait déjà refusé, en 1818, d’entrer dans la Sainte-Alliance). La pl. se moque du manque d’autonomie et d’autorité de Louis-Philippe sur l’échiquier européen.Personnages représentés:Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de; Louis-Philippe Ier, roi des Français