2005 2005. Antoine et Consuelo de Saint Exupéry un amour de légende / 2005
Très bon état
Editions Larousse 1959 1959. Antoine de Saint-Exupéry - Terre Des Hommes / Classiques Larousse 1959
Bon état
1967 Gallimard Hardcover Fine
Bibliotheque de la Pleiade Antoine de Saint-Exupéry oeuvres 1008 pp, reliure d'éditeur. Sous jaquette et rhodoid. Bel exemplaire.
1958 Gallimard Hardcover Fine
Bibliotheque de la Pleiade Antoine de Saint-Exupéry oeuvres 993 pp, reliure d'éditeur. Sous jaquette et rhodoid. Bel exemplaire.
SAINT-EXUPERY Antoine ( De ) - PARISET Jean-Daniel - AGAY Frédéric
Reference : 827044
Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 1994 In-12 ( 175 X 110 mm ) de 332 pages, pleine basane havane, dos lisse orné de filets dorés sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). 437 illustrations en couleurs et en noir dans et hors texte, iconographie choisie et commentée par Jean-Daniel PARISET et Frédéric D'AGAY. Très bel exemplaire.
Silvia Hamilton Reinhardt fut le grand amour new-yorkais d'Antoine de Saint-Exupéry : c'est à elle qu'il donna, avant son départ pour l'Afrique du Nord, le manuscrit original du Petit Prince (aujourd'hui conservé à la Pierpont Morgan Library de New York), en témoignage de la trace qu'elle laissa dans ce livre, écrit à New York durant les mois de leur relation. Ils se séparèrent dans l'amertume en 1943, Saint-Exupéry soupçonnant - avec raison - une liaison entre Silvia (que Saint-Exupéry orthographiait "Sylvia" dans ses lettres) et le réalisateur et producteur de films d'origine allemande, Gottfried Reinhardt, qui travaillait pour les studios de la Fox. S.l.n.d. [New York, premier trimestre 1943]. 1 f. (150 x 100 mm) à la mine de plomb. Saint-Exupéry pend Silvia Hamilton : terrible jeu du pendu sur lequel une figure de femme, dans la même tenue que Le Petit Prince, se balance au bout de la corde, avec deux fleurs de pissenlit à ses pieds. Le mot à trouver était SILVIA, raturé au premier Y, transformé en i. Saint-Exupéry dessina une seconde potence, et deux autres fleurs de pissenlit, détails emblématiques de son maître-ouvrage. Lettres AEX barrées dans l’angle inférieur droit - ses propres initiales : le pendu à trouver, ce n’est pas lui, c’est elle ! La seconde potence, si le jeu avait été poursuivi, aurait-il donné comme nom «Gottfried» ? Probable ! Silvia Hamilton Reinhardt fut le grand amour new-yorkais d’Antoine de Saint-Exupéry : c'est à elle qu'il donna, avant son départ pour l’Afrique du Nord, le manuscrit original du Petit Prince (aujourd'hui conservé à la Pierpont Morgan Library de New York), en témoignage de la trace qu’elle laissa dans ce livre, écrit à New York durant les mois de leur relation. Ils se séparèrent dans l’amertume en 1943, Saint-Exupéry soupçonnant - avec raison - une liaison entre Silvia (que Saint-Exupéry orthographiait "Sylvia" dans ses lettres) et le réalisateur et producteur de films d’origine allemande, Gottfried Reinhardt, qui travaillait pour les studios de la Fox. Ce crayonné est vraisemblablement l'esquisse, voire l'idée princeps, d'un autre fameux dessin, plus abouti, exécuté à l'encre et à l'aquarelle : il représente Saint-Exupéry, pendu sur sa planète, tandis que, sur la planète "Fox", un couple est enlacé. Ce dessin, repassé en vente en 2020 (étude Kâ-Mondo, juin 2020)faisait partie, des nombreux dessins de la vente de 1976 (Laurin-Guilloux-Buffetaud-Tailleur, Drouot RG, mai 1976) ; ils sont les deux seuls à évoquer de manière si tragique cette douloureuse séparation même si, dans la préface au catalogue, Silvia Hamilton en donna une toute autre version : elle impute la tristesse de l'auteur à la décision de la MGM de retirer de la circulation le film Vol de Nuit. Cette interprétation, moins romantique, est devenue la version officielle de cette fin de relation et de ces deux dessins «aux pendus» : le premier, ou l’une est à pendre, sans doute de colère, puis le second, ou l’autre se pend, sans doute de désespoir. Silvia Hamilton-Reinhard livrera par la suite des souvenirs précis : « Quand nous nous sommes rencontrés il m’a raconté l’histoire du Petit Prince qu’il n’avait pas encore commencé d’écrire. Comme il faisait constamment de merveilleux croquis, je lui suggérai d’illustrer lui-même ce livre. [...] Au printemps 1943, il réussit enfin à rejoindre l’Afrique du Nord. Les conditions qu’il y trouva le rendirent malheureux, ce que décrivent particulièrement bien les deux dernières lettres qu’il m’adressa. [...] Le jour de son départ approchait (pour l’Afrique du Nord, avril 1943). Je lui fis faire un bracelet d’identité en or. [...] Je le lui donnai le matin où il vint me faire ses adieux. En partant il me dit : Je voudrais te donner quelque chose de splendide, mais c’est tout ce que j’ai. Il me mit dans les mains son vieil appareil Zeiss Ikon et le manuscrit français du Petit Prince » (in Icare, n°84, 1978 ; dans cette même livraison est reproduite la fameuse lettre-testament de mai 1942, écrite depuis Alger).
Saint-Exupéry dessina une seconde potence, et deux autres fleurs de pissenlit, détails emblématiques de son maître-ouvrage. Lettres AEX barrées dans l'angle inférieur droit - ses propres initiales : le pendu à trouver, ce n'est pas lui, c'est elle ! La seconde potence, si le jeu avait été poursuivi, aurait-il donné comme nom «Gottfried» ? Probable ! Silvia Hamilton Reinhardt fut le grand amour new-yorkais d'Antoine de Saint-Exupéry : c'est à elle qu'il donna, avant son départ pour l'Afrique du Nord, le manuscrit original du Petit Prince (aujourd'hui conservé à la Pierpont Morgan Library de New York), en témoignage de la trace qu'elle laissa dans ce livre, écrit à New York durant les mois de leur relation. Ils se séparèrent dans l'amertume en 1943, Saint-Exupéry soupçonnant - avec raison - une liaison entre Silvia (que Saint-Exupéry orthographiait "Sylvia" dans ses lettres) et le réalisateur et producteur de films d'origine allemande, Gottfried Reinhardt, qui travaillait pour les studios de la Fox. " C’est à Silvia que Saint-Exupéry donna, avant son départ pour l’Afrique du Nord, le manuscrit original ainsi que de nombreux dessins et études préparatoires du Petit Prince, en témoignage de l’empreinte qu’elle laissa dans ce livre, écrit à New York durant les mois de leur relation. La plupart des biographes s’entendent à dire que c’est Silvia qui aurait inspiré le discours du renard attendant le coeur battant l’arrivée de son nouvel ami, comme elle dut se résoudre à attendre dans l’inquiétude les visites improvisées que lui rendait Saint-Exupéry, presque quotidiennement. Amie la plus proche de Saint-Exupéry pendant la dernière année de son exil américain, Silvia Hamilton (1910-1994) débuta par une carrière de journaliste avant de devenir actrice. Elle épousa en mars 1944 le réalisateur et producteur de films d’origine allemande, Gottfried Reinhardt, fils du metteur en scène Max Reinhardt, et qui travaillait à la Fox MGM. Saint-Exupéry, qui la soupçonnait de fréquenter déjà Reinhardt au moment de leur relation à tous deux, en fut certainement blessé, « égoïstement », et dut le lui reprocher, ce qui peut expliquer l’évocation des heures amères et des tendresses mal comprises dont il est question dans cette lettre. Et cela peut être confirmé par l’aquarelle passée en vente le 4 juin 2020 (étude Kâ-Mondo), représentant un Petit Prince pendu à une potence sur la planète Terre, avec en arrière-plan un couple assis sur une planète au nom de la Fox. Même si Silvia Hamilton expliqua que le désespoir exprimé dans ce dessin était en réalité lié à la décision de la MGM de retirer de la circulation le film Vol de Nuit. Silvia Hamilton-Reinhard confia à deux reprises des souvenirs sur Saint-Exupéry à la revue Icare, consacrée à l’histoire de l’aviation, et où fut publiée cette lettre (n°84, 1978). « Quand nous nous sommes rencontrés il m’a raconté l’histoire du Petit Prince qu’il n’avait pas encore commencé d’écrire. Comme il faisait constamment de merveilleux croquis, je lui suggérai d’illustrer lui-même ce livre. […] Au printemps 1943, il réussit enfin à rejoindre l’Afrique du Nord. Les conditions qu’il y trouva le rendirent malheureux, ce que décrivent particulièrement bien les deux dernières lettres qu’il m’adressa. […] Le jour de son départ approchait (pour l’Afrique du Nord, avril 1943). Je lui fis faire un bracelet d’identité en or. […] Je le lui donnai le matin où il vint me faire ses adieux. En partant il me dit : Je voudrais te donner quelque chose de splendide, mais c’est tout ce que j’ai. Il me mit dans les mains son vieil appareil Zeiss Ikon et le manuscrit français du Petit Prince. » (Benoît Forgeot, in Antoine de Saint-Exupéry, manuscrits, correspondances, tapuscrits, dessins, 2023). Silvia Hamilton-Reinhard livrera par la suite des souvenirs précis : « Quand nous nous sommes rencontrés il m'a raconté l'histoire du Petit Prince qu'il n'avait pas encore commencé d'écrire. Comme il faisait constamment de merveilleux croquis, je lui suggérai d'illustrer lui-même ce livre. [...] Au printemps 1943, il réussit enfin à rejoindre l'Afrique du Nord. Les conditions qu'il y trouva le rendirent malheureux, ce que décrivent particulièrement bien les deux dernières lettres qu'il m'adressa. [...] Le jour de son départ approchait (pour l'Afrique du Nord, avril 1943). Je lui fis faire un bracelet d'identité en or. [...] Je le lui donnai le matin où il vint me faire ses adieux. En partant il me dit : Je voudrais te donner quelque chose de splendide, mais c'est tout ce que j'ai. Il me mit dans les mains son vieil appareil Zeiss Ikon et le manuscrit français du Petit Prince » (in Icare, n°84, 1978 ; dans cette même livraison est reproduite la fameuse lettre-testament de mai 1942, écrite depuis Alger). Provenance : collection Claude Seignolle (Paris, Gros & Delettrez, 15 décembre 2022, n° 163).
Manuscrit du XVIIIe siècle. In-folio de 70 pages (trois cahiers) qui sont la copie, faite à l'époque sur le document original, par un membre de la famille Saint-Exupéry, de l'intégralité du rapport officiel de ces deux commissaires.
Les différentes pièces présentées remontent avec certitude à 1235, où noble Raymond de Saint-Exupéry épousa demoiselle de Carbonnière, les commissaires indiquant dans leur rapport que "cette maison de Saint-Exupéry est une des plus anciennes et des plus nobles de la Province de Périgord dont l'origine se perd dans la nuit des temps". Les branches issues sont celle des Seigneurs de Miremont (branche ainée), éteinte au XVIe siècle, et celle des Seigneurs du Fraysse (à Terrasson en Dordogne) qui se subdivisa en deux au XVIIIe siècle donnant celle des Marquis de Saint-Exupéry dont il s'agit ici, et celle des Comtes de Saint-Amans en Quercy, ancêtres de l'écrivain ANTOINE DE SAINT-EXUPERY. Ce document renferme donc la généalogie d'Antoine, du XIIIe au XVIIIe siècles, le restant du document intéressant la branche des Saint-Exupéry (comte de Rouffignac et de Floirac).A noter que cette enquête concerne également les familles d'Emeri, de Foucauld, Pettitte, de Bertin, de Vassal de La Tourette, de La Bermondie, Rey de la Martinie, de Gironde, de Baudet, de Montalembert, de La Grange Gourdon de Floirac, de Chapt de Rastignac, de Seguy avec de nombreux et curieux renseignements généalogiques.
Phone number : 06 60 22 21 35
s.l. s.d., 13,4x20,9cm, une feuille.
Dessin original à la mine de plomb et crayons de couleur bleu et rose signé de la main d'Antoine de Saint-Exupéry, sur feuillet filigrané «Navarre». Pli horizontal. L'écrivain-artiste signait très rarement ses oeuvres graphiques. Cet étonnant personnage en costume et nud papillon, fruit de l'imaginaire baroque et débordant de l'auteur du Petit Prince, est l'un des rares dessins portant sa signature. «?Je ne sais pas ce qui m'a pris, je dessine toute la journée et de ce fait les heures me paraissent moins brèves. J'ai découvert ce pourquoi j'étais fait?: le crayon Conté mine de charbon?». Des croquis de camarades de caserne que le jeune conscrit réalise à Casablanca lors de son service militaire aux aquarelles du Petit Prince, la vie de Saint-Exupéry est rythmée par cette activité marginale mais omniprésente, le dessin. Sur les lettres à ses amis, dans les marges de ses manuscrits, en tête de ses livres offerts, sur les télégrammes reçus, les factures, les nappes, les prospectus, sur tout ce qui lui passe par la main et offre un support à son imaginaire, Saint-Exupéry dessine, esquisse, caricature, croque, illustre, invente, griffonne des êtres vivants ou imaginaires, des amis et des amies. Ce mystérieux et excentrique personnage fait partie des créatures de Saint-Exupéry que Delphine Lacroix nomme "monstres sacrés dont les rôles ne sont pas définis" (Antoine de Saint-Exupéry. Dessins, aquarelles, pastels et crayons). Entouré d'un halo de cheveux bleus, ses grands yeux expressifs et effrayants, presque d'inspiration cubiste, semblent être nés d'un griffonnage de l'auteur. Il y a ajouté des éléments figuratifs puis un nud papillon - pratique courante chez Saint-Exupéry qui s'amusait à créer des personnages fantastiques aux proportions étranges, souvent affublés de nuds papillon ou de cravates. Il est difficile de dater précisément les dessins de l'écrivain. C'est à New-York, en pleine maturation du Petit Prince, que Saint-Exupéry commence à conserver plus systématiquement ses croquis. En effet, hormis ceux réalisés en marge de lettres et manuscrits ou offerts à des amis, la plupart de ses dessins antérieurs à son exil américain furent jetés par Saint-Exupéry. Précieuse création graphique signée, colorée et contrastée de Saint-Exupéry, qui a heureusement échappé au triste sort de bon nombre de ses dessins. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Gallimard jeunesse / Folio junior 1992 128 pages in8. 1992. Broché. 128 pages.
Etat correct
Gallimard NRF Paris 1978 In-8 carré ( 225 x 165 mm ) de 95 pages, cartonnage crème décoré d'un décor polychrome "irradiant" d'après la maquette de Paul BONET sous jaquette illustrée en couleurs. Illustrations de l'auteur en couleurs et en noir dans et hors-texte. Ex-dono manuscrit sur une garde, bel exemplaire.