Société d'éditions géographiques maritimes et coloniales 1929 180 pages in8. 1929. Relié. 180 pages. Livre contenant des tampons et étiquettes de bibliothèque de garnison reliure usagée i Nombreuses rousseurs sur tranches marge et page de titre
Etat Correct
Grasset 1980 in8. 1980. Broché.
intérieur pro
Del duca 1959 in12. 1959. Broché.
Bon état sous rhodoïd bords jaquette frottés intérieur jauni propre
Lgf paris / Le livre de poche n° 3494 1974 17 x 11 cm. 1974. Broché.
Etat Correct
Bernard grasset 1971 in8. 1971. Relié.
Bon Etat pages de garde découpées dans le haut un peu jauni quelques tâches
Cercle du nouveau livre 1971 in8. 1971. Cartonné. exemplaire numéroté
Très Bon Etat intérieur impeccable
Lgf paris / Le livre de poche n° 3494 1976 671 pages poche. 1976. Broché. 671 pages.
Bon Etat général dos creusés
Bloud et cie 1979 in8. 1979. Relié.
Très Bon Etat de conservation petite marque sur le premier plat intérieur frais bonne tenue
1994 in8. 1994. Broché.
jaquette abîmée livre en bon état intérieur propre
La renaissance du livre 1969 in4. 1969. Cartonné jaquette. 2 volume(s). iconographie en noir et blanc + qques-une en couleurs
Bon état bords jaquettes frottés tranches un peu ternies intérieurs propres bonne tenue la table des matières dans le tome 2 semble manquante (non trouvée)
1994 in8. 1994. Broché.
Bon état intérieur frais jaquette un peu défraîchie sur les bords
Grasset 1992 246 pages in8. 1992. Broché. 246 pages.
Très bon état (TB) couverture un peu défraîchie intérieur frais
Le cercle du nouveau livre 1971 590 pages in8. 1971. Relié. 590 pages.
Bon Etat exemplaire n°18699 jaquette rhodoïd qq taches rousseurs bords couverture
LGF - Livre de Poche 1997 672 pages poche. 1997. Poche - Broché. 672 pages.
proche du neuf
Louis robin 1913 140 pages in12. 1913. Broché. 140 pages.
Etat Correct ancien exemplaire bibliothèque pages assez jaunie ancien exemplaire bibliothèque
Grasset & Fasquelle 2001 223 pages IN FOLIO. 2001. Broché. 223 pages. 370x270 mm de 221 pages sous couverture illustrée.Nombreuses illustrations photographiques
Très Bon Etat de conservation bords un peu frotté une trace de plie sur le dernier plat intérieur frais bonne tenue de l'ensemble
cercle du nouveau livre 1967 in8. 1967. Cartonné.
rousseurs sur tranche sup. intérieur frais
Cercle du nouveau livre 1967 in8. 1967. Cartonné.
Bon Etat de conservation rousseurs en tête intérieur propre
Fayard, 1958, in-8°, 377 pp, broché, couv. lég. salie, bon état
"Avant de devenir ambassadeur auprès du Vatican, F. C.-R. exerça pendant la première guerre mondiale les fonctions de secrétaire puis de conseiller à l'Ambassade de France auprès du gouvernement italien. Ses souvenirs fournissent des précisions intéressantes sur les relations franco-italiennes, sur les hommes d'Etat italiens et sur la personnalité de Barrère, alors ambassadeur à Rome, pour lequel l'auteur professe la plus grande admiration. Un chapitre très sévère sur Caillaux à propos de son voyage en Italie en 1916." (Revue française de science politique, 1960) — "... on lira avec l’intérêt le plus vif les chapitres relatifs à la première offensive de paix austro-allemande, préparée entre les deux partenaires par une négociation si réellement secrète que nul, chez les Alliés, ne la soupçonna et qu’elle demeura encore inconnue dix ans plus tard quand M. Charles-Roux en révéla l’existence et le détail. (...) M. Charles-Roux apporte ici le témoignage le plus direct, les informations les plus détaillées et les plus précises, qui se trouvent être assez accablantes, sur le séjour à Rome de Joseph Caillaux, ses relations avec des personnages tarés, sa propagande à rebours, ses conversations officieuses, son audience au Vatican, le dépôt en lieu sûr de ses papiers, dont le fameux dossier « Rubicon », projet de prise du pouvoir, de mise en congé des Chambres, de limogeage de tous les commandants d’armée, le commandement en chef étant donné à Sarrail, et d’ouverture immédiate des pourparlers de paix. Sur cette tragi-comédie se greffe la farce des démêlés de Mme Caillaux avec l’ambassade (que Joseph Caillaux n’honorait pas de sa visite, sinon pour y faire viser son passeport diplomatique établi sous un faux nom !) La farce, il est vrai, serait plus drôle si elle n’avait suscité tant de remous, d’embarras et d’interventions. « Barrère et moi, note M. Charles-Roux, nous fûmes surpris et un peu écœurés que, dans la tragédie alors vécue par la France, un président du conseil français crût devoir insister à ce point auprès d’un ambassadeur, pour apaiser les susceptibilités d’une voyageuse dont, après tout, le seul titre personnel à la notoriété était un assassinat prémédité, ce qui n’était pas fait pour lui ouvrir toutes grandes les portes d’une ambassade française... » L’activité romaine du passeur de Rubicon (qui, à la différence de César, n’envisageait pas de sauter le pas à la suite d’une victoire, mais pour mieux assurer une demi-défaite) eut pour conséquence de grandes alarmes chez les alliés, redoutant que la France fût sur le point de les « lâcher ». Plus tard, à Clemenceau qui exprimait devant lui un certain doute sur ce que Cailloux eût « positivement trahi », et qui lui demandait ce qu’il en pensait, M. Charles-Roux fit cette réponse (concernant le seul épisode italien), qui demeure sa conclusion d’aujourd’hui : « Je pense (qu’il) a été l’instrument d’un agent de l’ennemi, Cavallini, qui avait été chargé par la propagande allemande d’aider au succès de la manœuvre pacifiste de décembre 1916. » Le livre relate ensuite les nouvelles tentatives de paix, les ouvertures de l’empereur Charles par l’intermédiaire de ses beaux-frères, les princes Sixte et Xavier de Bourbon-Parme ; puis Caporetto, le redressement italien vigoureusement appuyé par les alliés ; l’armistice, les griefs et les rancœurs de l’Italie, la tension franco-italienne, et le rôle décisif que joua Barrère tout au long de ces diverses crises. Tout empli qu’il soit par les événements dont n’était que trop riche cette période de l’histoire, le livre fait sa place au pittoresque, à l’observation des mœurs et des hommes, aux croquis et aux portraits." (Yves Florenne, Le Monde diplomatique, 1958)
M. Pierre Pascal. - Charles-Roux J. & Fonssagrives J. - EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1900 -
Reference : 15960b
Paris, Ministère des Colonies / , 1900 , 406 pages , In-8, broche,couvertures illustrees,imprimé sur papier glacé, exemplaire,manque haut du dos et coin couverture illustree,
Publié à l’occasion de l’Exposition Universelle de 1900, sous la direction de J. Charles-Roux, délégué du ministère des colonies et de Marcel Saint-Germain, bilan détaillé de l"état de la colonisation française, des institutions et des services qui y participent. Tres nombreuses illustrations et reproductions photographiques in-texte et hors-texte, plans et cartes, NOTICE SUR Le dahomey et ses dependeances, par M. Fonssagrives Jean sous la direction de M. Pierre Pascal. Les origines, le Dahomey avant la conquête, la conquête millitaire de 1890 à 1893, la colonie du Dahomey et dépendances, le haut-Dahomey, le bas-Dahomey, agriculture, commerce, industrie, situation financière de la colonie au 1er janvier 1900. Orné de gravures et d"une carte, du Dahomey et dépendances, dépliante en fin de volume,
Plon, 1936, in-8°, 383 pp, 25 gravures et une grande carte dépliante hors texte, broché, pt morceau de scotch en haut du dos, bon état
L'ouvrage n'est pas seulement un ouvrage de référence sur la campagne d'Egypte. En effet l'auteur s'intéresse à l'administration du futur empereur. Pour lui cette période d'apprentissage permit à Bonaparte de développer des idées qu'il devait employer plus tard. — "Excellent sur l'œuvre intérieure." (Jean Tulard, Napoléon) — "Un très remarquable ouvrage." (Georges Spillmann, Revue du Souvenir Napoléonien, 1979) — "M. François Charles-Roux, ancien ministre de France à Prague, nous propose un nouvel ouvrage extrêmement précieux pour les historiens de la colonisation française et aussi pour le grand public qui sera heureux d'y trouver exposé avec une objectivité remarquable, un sens historique aïgu et, ce qui ne nuit point, beaucoup d'agrément, un chapitre peu connu de l'histoire de Napoléon et une étude des principes d'une méthode de colonisation. L'auteur définit tout de suite les caractères de l'expédition d'Egypte, qui ne fut pas seulement décidée pour des motifs politiques d'intérêt immédiat temporaire, mais en considération d'un établissement définitif. A cet égard l'organisation de cette grande mission de 165 savants et spécialistes que le général Bonaparte s'adjoignit (astronomes, géomètres, chimistes, physiciens, ingénieurs, géographes, architectes, zoologistes, botanistes, minéralogistes, artistes, compositeurs, littérateurs, économistes, antiquaires, orientalistes, imprimeurs, chirurgiens, médecins, pharmaciens) est tout à fait probante. Avec adresse, l'auteur évite d'encombrer son récit des péripéties multiples de l'expédition d'Egypte, et ne met en lumière les grandes lignes de l'histoire militaire que dans la mesure où elles ont influé sur la politique colonisatrice de Bonaparte. C'était la première fois que la France colonisatrice prenait contact avec l'Islam africain. Ce fut le mérite de Bonaparte de comprendre tout de suite la puissance de l'Islam et de ménager cette puissance. Ayant dû recourir à la force pour s'emparer d'Alexandrie, puis du Caire, Bonaparte se trouvait devant un problème délicat : ne pas brusquer une population indigène à laquelle il voulut apparaître sous les espèces d'un libérateur. D'où une sorte de politique de protectorat : postes de responsabilité confiés à des indigènes, intérêts matériels de la population ménagés, stricte discipline maintenue dans l'armée d'occupation, etc. L'habileté avec laquelle Bonaparte gouverneur de l'Egypte pratique cette politique fait pressentir Napoléon et, comme le remarque fort justement M. F. Charles-Roux, c'est dès cette époque et non plus tard que « Napoléon perçait sous Bonaparte ». Au risque de ne pas être compris des Français qui l'accompagnaient. Bonaparte témoigna non seulement de la déférence, mais de la sympathie pour l'Islam. Il le fit pour ne pas rendre plus difficile encore sa tâche; d'organisation singulièrement compliquée par les difficultés financières et les hostilités engagées avec l'Angleterre et la Porte Ottomane. Très vite, il apparut que la cohorte de savants qu'il avait amenés avec lui et qui constituèrent l'Institut d'Egypte, fondé le 2 août 1798, pouvait être son plus utile auxiliaire. Les difficultés matérielles du début ne furent point médiocres pour ces intellectuels français peu habitués aux fatigues des camps, mais elles s'atténuèrent ou disparurent quand l'Institut fut royalement installé au Caire dans la palais de Quassim-Bey. L'insurrection du Caire (octobre 1798) due à la duplicité orientale – avec laquelle Bonaparte n'avait pas assez compté – à la propagande anglaise, à celle des Mameluks, anciens maîtres du pays, aux vicissitudes de l'expédition de Syrie, à la guerre avec la Turquie, au « cafard » qui travailla à un moment donné les troupes françaises, tout cela retarda l'organisation méthodique du pays, compromit son succès. Toutefois il est équitable de reconnaître, qu'à aucune époque de l'histoire militaire de la France la guerre n'avait été accompagnée d'un tel effort d'investigation dans le passé du pays, d'un tel effort d'organisation et d'amélioration matérielle du pays occupé. Bonaparte, pour cette œuvre grandiose ne disposa que de 13 mois et 20 jours. Son départ secret et précipité qui toutefois n'amena point l'évacuation immédiate, laissa inachevée l'œuvre qu'il n'avait pu qu'ébaucher, mais dont il est resté quelque chose. Une étude historique à la fois instructive, solide et brillante." (Alfred Fichelle, Revue Française de Prague)
Grasset Broché D'occasion bon état 01/01/1966 100 pages
RONIS Willy ( photographies de ) CHARLES-ROUX Edmonde ( texte de )
Reference : 30246
(1998)
ISBN : 284230036X
Hoëbeke, Paris, 1998. In-4 relié sous jaquette illustrée ( 23 x 1.5 x 30.7 cm), 105 pages.Texte de Edmonde Charles-Roux.Photographies de Willy Ronis. En 1947, Willy Ronis tombe amoureux de la Provence et achète un vieux mas à Gordes, village perché du Vaucluse. Il en fera son lieu de vacances, avant de décider de quitter Paris pour y vivre, de 1972 à 1983. De Gordes puis de L'Isle-sur-la-Sorgue, où il s'installe peu après, le photographe ne cessera d'arpenter la région, appareil en main.- 940g.- Comme neuf.