188 books for « 1806 »Edit

‎Codice di Napoleone il Grande pel Regno d'Italia. Traduzione ufficiale colle citazioni delle leggi romane.‎

‎ In-8, demi-veau marbré à coins de l'époque, dos lisse orné à froid de filets ondulés et d'un fer à la lyre répété, pièce de titre de veau indigo, tranches citron (petit accroc à la coif. sup. et en tête d'un mors), 422, xxxvii p. de table, titre compris. Firenze, Presso Molini, Landi, e comp., 1806.‎

‎Edizione originale fiorentina dell'originale stampata a Milano nello stesso anno della traduzione del Codice napoleonico entrato in vigore in Francia il 21 marzo dello stesso anno.Edition originale florentine publiée la même année que l'originale milanaise du code Napoléon entré en vigueur le 21 mars 1806.Très bon exemplaire, bien relié à l'époque. ‎

‎Le Sauveur de la France.. Inventé, composé et gravé par Euphrasie Picquenot‎

‎A Paris, Chez Jean, 1806 gravure in-folio oblongue de 41 x 55 cm, en feuille, fixée sur papier fort. ‎

‎Impressionnante eau-forte peu courante, au burin, datée et signée.Grande composition allégorique mise en couleurs et représentant l'acmé d'une métaphore impériale dans la typologie de l'allégorie napoléonienne...C'est une débauche de mythologie pour évoquer Napoléon, tel un empereur romain, tel un dieu de l'Antiquité qui veillent dans son dos, tel un astre du Cosmos parmi le zodiaque... sauvant la France des dangers et de l'abîme.Le tout formant un choral très scénographique donnant une intensité particulière à l'image.Une légende au ton lyrique accompagne la gravure pour que rien n'échappe à l'entendement du spectateur nécessairement étonné : "La France sur le bord du précipice étoit entourée de monstres prêts à la dévorer, l'espérance seule la soutenoit encore. Les dieux touchés de ses malheurs tiennent conseil et pour la sauver députent Napoléon. Ce grand héro [sic], monté sur un char antique, attelé de deux chevaux que Neptune qui le protège lui a prêtés, court remplir son important message ; Minerve le couvre de son égide ; des cyclopes lui forgent des armes qu'il sut toujours rendre invincibles"L'auteur de cette cavalcade divine apparait au bas sous la gravure qu'elle a daté en 1806. On ne sait si ce débordement de dieux et de héros concerne la campagne de 1806 contre la Prusse, ou un autre événement et on est très peu renseigné sur la graveur Euphrasie Picquenot, rare exemple de femme à cette époque dans une profession très masculine. Elle était active entre 1798 et 1820.Un exemplaire au Château de Fontainebleau (en noir). Absent de la Vente Soulavie. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture et gravure des Artistes vivans, exposés au Musée Napoléon, le 15 Septembre 1806. Salon 1806-1807-1808 (three works bound in one contemporary volume)‎

‎" Paris, imprimerie des sciences et des arts, 1806, 128 pp. BOUND WITH ; Statues, Bustes, Bas-Reliefs, Bronzes, et autres antiquités, peintures, dessins... conquis par la Grande Armée dans les années 1806 et 1807; dont l'exposition a eu lieu le 14 Octobre 1807, premier anniversaire de la Bataille d'Jéna. Paris, Dubray, 1807, 109 pp. BOUND WITH; Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture et gravure des Artistes vivans, exposés au Musée Napoléon, le 14 Octobre 1808, Seond anniversaire de la Bataille d'Jéna. Trois ouvrages reliés dans une reliure bradel contemporaine en papier vert foncé contemporary dark green paper binding. Some browning at some pages but a nice copy. Livre en Français."‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Henri Fouquet (1727-1806), médecin, élève de Venel, collaborateur de l'Encyclopédie, médecin de Louis XV. L.A.S., Montpellier, 15 août 1806, 1p in-folio. A Despres, secrétaire des commandements de Sa Majesté le Roi de Hollande, i.e. Louis Bonaparte. Il écrit une deuxième lettre, « la première ayant sans doute été égarée », afin de faire part de sa joie de savoir que « S.A.I. [ait] accepté le trône de la Hollande », son regret de ne pouvoir « voler à Paris [.] se jeter aux pieds du Nouveau Monarque, en lui offrant l'hommage de ma joie et de mon profond respect. Mais les infirmités de mon âge avancé » l'en ont empêché. Ayant déjà eu le titre de « Médecin consultant de S.A.I. le prince Louis », il demande celui de « Médecin consultant de sa Majesté le Roi de Hollande. » Il demande aussi des nouvelles de la santé de Louis Bonaparte qui est alors à Wiesbaden. Une note nous indique qu'un brevet a dû lui être envoyé le 3 octobre 1806. Fouquet l'aura-t-il reçu avant sa mort, le 10 octobre ? Nous ne le savons malheureusement pas. Notons que Louis Bonaparte n'est roi de Hollande que depuis 2 mois et que Despres sera aussi secrétaire des commandements de la reine Hortense. Très belle lettre moins de deux mois avant sa mort. [162b] ‎

‎Dix-huit brumaire.‎

‎S.l. [Paris], s.d. (1806) estampe in-8 de 18 x 11 cm, en feuille, fixée sur papier fort. ‎

‎Napoléon sauveur, Napoléon souverain légitime.Peu courant.Petite estampe allégorique mise en couleurs d'après Louis Dubroca, représentant Bonaparte relevant une France en voie de descente aux Enfers...Un ange portant le cartouche Dynastie de Napoléon tend une couronne au sauveur du DIx-Huit Brumaire , tandis que la chanceuse Nation voit déjà son pied retiré des Abîmes ou gisent les pierres tombales des capétiens et carolingiensCette gravure sert en réalité de frontispice - en noir - à l'ouvrage du même Dubroca intitulé Les Quatre fondateurs des dynasties françaises, ou Histoire de l'établissement de la monarchie française par Clovis, du renouvellement des dynasties royales par Pepin et Hugues Capet, et de la fondation de l'Empire français par Napoléon le Grand, paru en 1806, qui se range dans les ouvrages constitutifs du mythe napoléonien en légitimant l'empereur dans la lignée des monarques français.Elle est donc postérieure au Consul du Dix-Huit Brumaire et se definirait aujourd'hui "de propagande" ou "publicité".Absent de De Vinck et de la Vente Soulavie (février 1904).La BnF en possède seulement un exemplaire, en noir, de la collection Michel Hennin (tome 143, 12558). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Antoine Girardon (1758-1806), général. L.A.S., Angers, 12 thermidor an 9 [31 juillet 1801], 2p in-4. Au général Louis François Jean Chabot (1757-1837), à Nantes. Il lui annonce l'arrestation du « fameux Brigand Beauveau et [d']un de ses complices nommé Dumas de Ligné » alors qu'ils tentaient de recruter deux chasseurs. Leur complice, Lachapelle, brigadier au 19e régiment de chasseur, a aussi été arrêté. Il lui signale comment Lachapelle correspondant avec un M. de Bouillé à Nantes : il écrit à « Marie-Thérèse, poste restante à Nantes » et Bouillé répond à « Henry chaircuitier à Saumur ». Il lui demande donc de surveiller pour arrêter le correspondant de Lachapelle et le faire conduire à Angers. Très intéressante lettre autour des tentatives de chouannerie en 1801. [93] ‎

‎Paix fidelle ou guerre terrible.‎

‎A Paris, Chez Bance aîné, s.d. (1806) gravure in-folio de 50 x 33,5 cm, en feuille, fixée sur papier fort. ‎

‎Rare.Très belle eau-forte à l'aquatinte, aquarellée, d'allégorie impériale.Estampe allégorique en couleurs gravée par Pierre-Michel Alix (1762-1817) d'après Pierre Lélu (1741-1810), célébrant la gloire de Napoléon Ier, dont le portrait, en buste, de profil dirigé à gauche, dans un médaillon ovale placé entre deux figures allégoriques, occupe le centre de la composition. On y retrouve le riche lexique mythologique et symbolique plaçant encore l'Empereur entre les dieux antiques et les empereurs romains.Les noms de Vienne, Austerlitz qui apparaissent dans un cartouche permettent de dater la gravure. Le titre en cursive gravée se déroule sous celle-ci.Absent de la Vente Soulavie (février 1904). La BnF possède la même estampe, seulement en noir, de la collection Michel Hennin pour l'année 1805 (tome 148, 13038). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Vues de Suisse. Dessinées d'après nature et lithographiés par J. Jacottet.‎

‎Vevey, G. Blanchoud Êdit, s.d. (ca. 1860), in-8° oblong, (17x24 cm.), titre illustré imprimé en bistre et noir + 45 magnifiques planches lithographiées rehaussées à la gouache, dont 5 panoramas sur double page, exemplaire sans rousseurs, cartonnage d'éditeur rouge, dos en toile, titre doré au centre du premier plat.‎

‎Collection de 45 vues dans des ravissantes coloris rehaussées de la gomme arabique (poudre d'albumine de blanc d'oeuf).Panorama - de Berne (petite obstruction sur le titre) / Thoune / Interlaken, vue prise depuis le Hohbuhl / Brienz / Méringen et la Vallée d’Hasli. Un indice sur la date d’impression est donné par le fait que la jolie planche „Le pont du Chemin de Fer à Berne“ date d’après la concession donnée par le Grand Conseil le 24 Nov. 1852“. L’ensemble des vues avec de riches détails de personnages en costumes d’époque, bateaux, labeurs quotidiens avec les chevaux, les boeuf ou les ânes. La plupart des albums du paysagiste Jean Jacottet (1806-1880) date des années 1820 et 1850, il est probable que les vues ont été faites dans ces années-la, sans celles comme ce „Pont du Chemin de Fer“, rajoutées par après. La déscription en allemand de Mons. Walter Alicke est joint au livre. cf. Bibliotheca Helvetica XXXI (la collection Ecklila = Alicke Interlibrum 1994) n° 87.; ne figure pas dans Lonchamp, cf. HBLS II, p. 155 ff. Image disp.‎

‎ALMANACH Impérial pour l'an 1806.‎

‎À Paris, Chez Testu, s.d. in-8, 846-[1] pp., maroquin rouge, dos lisse orné d'aigles couronnés répétés dans un décor géométrique, roulette en encadrement sur les plats, tranches dorées (rel. de l'époque). Petite mouillure en marge des premiers feuillets.‎

‎Bel exemplaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎ALMANACH Impérial pour l'an 1806.‎

‎Paris, Testu, s. d. in-8, 846 pp., basane brune, dos lisse orné (rel. de l'époque). Dos passé. Petit accroc à la coiffe supérieure.‎

‎ - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎ALMANACH Impérial pour l'an 1806.‎

‎À Paris, Chez Testu, s.d. in-8, 846-[2] pp., basane brune mouchetée, dos lisse orné de guirlandes et d'aigles dorés, tranches rouges (reliure de l'époque). Dos un peu frotté, coupes grossièrement renforcées.‎

‎ - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Lettre autographe signée à Alexandre Duval‎

‎Félix Arvers (1806-1850), poète, dramaturge. L.A.S. (signée deux fois), sd [lundi matin], 4p in-8. A son chiffre FA. Peut-être à l'écrivain Alexandre Duval (1767-1842). Longue lettre où il est question de Stella, la levrette du frère de son correspondant, le diplomate et historien Amaury Duval, qui est alors à Spa. Arvers ne souhaite pas faire voyager Stella seule à cause de l'âge de la bête et du trajet avec au moins deux changements. Il peut lui envoyer Stella et lui demande s'il a des nouvelles récentes de son frère. Le destinataire n'est nommé que « Alexandre » et est tutoyé. Il s'agit donc évidemment d'un proche. Rappelons qu'Arvers fut employé, à partir de 1830, chez le notaire Marcelin-Benjamin Guyet-Desfontaines, gendre d'Amaury Duval et donc neveu par alliance d'Alexandre Duval. Il ne nous semble pas qu'il y ait un autre proche d'Arvers se prénommant Alexandre et ayant un frère. Par ailleurs, Stella fait probablement référence au roman de Charles Nodier publié en 1802. Les frères Duval étaient d'ailleurs proches de Nodier : Alexandre a été administrateur de l'Arsenal et le fils Amaury-Duval, peintre, a fait le portrait de Marie Nodier. Nous proposons d'ailleurs sur notre catalogue une page de dédicace de Nodier à Alexandre Duval. Rare autographe [361] ‎

‎Pièce autographe signée ‎

‎[Révolution de 1848] Étienne Casimir Hippolyte Cordellier-Delanoue (1806-1854), écrivain, poète. P.A.S., sd [février 1848], 1p in-12 oblong. « Nouvelle - On parle de M. de Lamartine au ministère. M. de Lamartine ministre ! Est-ce que l'Elysée aurait besoin d'un paratonnerre ? Cordellier-Denaloue ». Peu commun. [364] ‎

‎Lettre autographe signée ‎

‎François Desmonceaux de Villeneuve (ca.1734-1806), prêtre, oculiste. L.A.S., Paris, 20 février 1887, 1p in-4. A libraire Jean-Gabriel Mérigot (ca.1738-1818), dit Mérigot le jeune. « Monsieur, J'aurais quelque chose à vous communiquer sur mes travaux de bienfaisance et de littérature. Pourriez-vous m'accorder un de vos moments soit mercredi soit après-demain jeudi à l'heure de la journée qui vous sera le plus commode parce que je ne sortirai pas. Je serais très flatté de vous témoigner de mes actes de reconnaissance et de vous assurer des sentiments avec lesquels j'ai l'honneur d'être, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur. L'abbé Desmonceaux De Villeneuve ». Nous n'avons trouvé aucune relation entre l'abbé et Mérigot qui ne semble pas avoir publié d'ouvrage de Desmonceaux. [365] ‎

‎Lettre autographe signée ‎

‎Paul Lacroix dit le bibliophile Jacob (1806-1884), conservateur de l'Arsenal, écrivain. L.A.S. « Paul Lacroix bibliophile Jacob », sd [1882?], 1p in-8. Il remercie son correspondant d'avoir si bien reçu sa femme, « à cause de » lui. Il prend « sa revanche en [lui] témoignant toute la sympathie [qu'il] éprouve à la fois pour l'archéologue et pour le bibliophile », le qualifiant de « grand praticien, célèbre dans toute l'Europe ». Il va chercher « dans ses paperasses » « quelques inscriptions inédites de cachets d'oculistes ». Le destinataire est peut-être Antoine Héron de Villefosse (1845-1919) qui a publié en 1882, avec Thédenat, les Cachets d'oculistes romains. [368] ‎

‎Lot de 10 lettres autographes signées au poète Emile Deschamps‎

‎Ugoline de Baschi du Cayla (1806-1885), princesse de Craon, fille de Zoé Talon, la confidente de Louis XVIII. 10 L.A.S., 23 février 1852 à 29 juillet 1865, 19p in-8. Au poète Emile Deschamps (1791-1871). Bel ensemble mentionnant une soirée avec lecture d'un proverbe, des compliments, des nouvelles de sa fille Isabeau, les relations d'Isabeau avec la famille Beauclerk (descendants d'un bâtard de Charles II d'Angleterre) - elle sera marraine du 4e enfant, une invitation d'Isabeau par le duc de Saxe-Gotha, etc. Bel ensemble. [230-2] ‎

‎Adresse à l'Assemblée Nationale, relativement aux Patentes pour les lettres, sciences, beaux-arts. Suivi de: Discours du Pétitionnaire, à la barre de l'Assemblée en présentant son manuscrit.‎

‎(Paris), Hérissant veuve, 1792, 15 mai, in-8vo, 12 p., de nombr. soulignements, pet. signes et notes marg. ms., exlibris à l'intér. du plat supér. ‘Des Archives de Michel Adamson 1727 - 1806’, reliure en demi-maroquin rouge du XXème siècle, titre et fleurons dorés au dos, papier marbré sur les plats.‎

‎The foundation of Copyright. / Les fondements du droit d'auteur.Antoine Renou, peintre, littérateur, et historiographe, fut secrétaire perpétuel de l'Académie de peinture & sculpture pendant la Révolution Française. Par cette adresse, prononcée à une époque d'immenses changements politiques et humains, Antoine Renou, sous le rapport de questions de finance, rémunération, impôts, etc. défend ardemment la liberté et l'indépendance des vrais artistes français. Il souligne la reconnaisance officielle pour ceux qui exercent l'art pour l'art, pour les artistes pur sang, ceux avec de vrais talents et de créativité naturelle. En prenant leur défense, Renou distingue clairement ces artistes des gens qui uniquement font commerce des produits artistiques, et conclut les devoirs financiers de ceux-ci par rapport à l'Etat, les patentes, les abus, les amendes, etc. Les fondements du droit d'auteur ‘Copyright’ sont ainsi posés. Hoefer NBG XLI/1029-1030. ‎

‎Lettre autographe signée au compositeur Léon Gatayes‎

‎Alexis-Joseph Pérignon (1806-1882), peintre. L.A.S., Lundi 6 février 1854, 1p in-8. Au compositeur Léon Gatayes (1805-1877) qu'il souhaite rencontrer. Il donne ses disponibilités à son atelier. [128] ‎

‎Lettre autographe signée au compositeur Léon Gatayes‎

‎Alexis-Joseph Pérignon (1806-1882), peintre. L.A.S., sd, 1p 1/2 in-12. Au compositeur Léon Gatayes (1805-1877) pour le remercier de l'envoi d'une pièce. [128] ‎

‎Le Quadragénaire, ou l'Âge de renoncer aux passions. Histoire utile à plus d'un lecteur.‎

‎A Genève et se trouve à Paris, chés la Veuve Duchêne, 1777. EDITION ORIGINALE.- Deux parties reliées en 1 volume in-12 relié plein veau de l'époque (17,4 x 11 cm), dos orné de nombreux motifs floraux dorés, guirlandes, filet sur les plats, 500 pages (244 pages par tome + 12 pages de catalogue des oeuvres de l'auteur). Bien complet des 15 gravures hors-texte et des 6 derniers feuillets de Revue des ouvrages de Nicoilas Restif de la Bretonne. Edition originale, seule édition du premier livre illustré de l'auteur. Petit manque (papier un peu rogné) dans les marges des 50 premières pages, sans gravité.- C'est le premier livre de Rétif orné de belles illustrations. La veuve Duchêne elle-même proposa à Rétif les services d'un jeune artiste de 24 ans, André Dutertre, élève du peintre Vien. Les gravures ont été gravées par Bacquoy et Berthet (seules deux sont signées). Rétif indiquait cet ouvrage comme épuisé dans un catalogue de ses ouvrages en 1788. Références : Rives Childs n°XVII, p. 245-246 ; Paul Lacroix (Bibliophile Jacob), n°XVIII, p. 145-147 : "ce roman singulier est très rare". Exemplaire très frais, dans sa RELIURE D'EPOQUE en bon état. Coin inférieur légèrement frotté, mors inférieur creusé mais solide, coiffes en bon état, dos avec ses dorures en bel état. Rare exemplaire bien complet.‎

5 Images

‎Lettre autographe signée à Jules Janin‎

‎Jules de Wailly (1806-1866), auteur dramatique. L.A.S., lundi matin [ca.1850], 1p in-8. A l'écrivain Jules Janin (1804-1874). Il souhaite le voir pour obtenir son appui pour sa pièce qui se joue au Vaudeville le soir. [306-2] ‎

‎Lettre autographe signée à Jules Janin‎

‎Charles Capé (1806-1867), célèbre relieur, emblématique du Second Empire, reliure de l'impératrice Eugènie. L.A.S., 21 septembre 1850, 1p in-8. A l'écrivain Jules Janin (1804-1874). Il demande de remettre au porteur les dessins et gravures pour truffer son exemplaire de Béranger ainsi que la somme que lui doit Janin. L'ouvrage en question est l'édition Perrotin de 1851, 2 tomes reliés en 4 volumes, sur papier Hollande. Il est truffé uniquement d'un billet de Béranger mais aussi d'une note de Béranger, après la reliure, quand l'auteur eut l'exemplaire en main. Il est présent dans le catalogue de la bibliothèque de Janin sous le n°406. Rare lettre de ce grand relieur. [306-2]‎

‎Lettre signée‎

‎Gustave Rouland (1806-1878), magistrat, homme politique, ministre de l'instruction publique et des cultes. L.S., Paris, 28 avril 1858, 1p in-folio. Au chimiste et agronome Georges Ville (1824-1897). Il lui annonce la création du « Comité des travaux historiques & des sociétés savantes » divisé en 3 sections dont la section des sciences à laquelle il appelle Ville. [92-3] ‎

‎Lettre signée‎

‎Gustave Rouland (1806-1878), magistrat, homme politique, ministre de l'instruction publique et des cultes. L.S., Paris, 12 novembre 1860, 1p in-folio. Au chimiste et agronome Georges Ville (1824-1897). Il lui annonce qu'il lui a accordé une « indemnité littéraire de quatre mille francs ». [92-3] ‎