S.l., s.d. (ca 1802) 24 x 16,5 cm, en feuille, fixée sur papier fort.
Elégante petite eau-forte allégorique gravée à l'aquatinte, possiblement avant la lettre (sans signature ni paratexte).Dans un paysage antiquisant, la Victoire, symbolisée sous les traits d'une femme cuirassée rappelant la déesse Athéna, présente les trophées à une figure féminine ailée - associée généralement à la Liberté - qui semble dresser une liste des victoires (peut-être la Renommée malgré l'abscence de trompette).Le palmier glorieux, symbole antique du bosquet sacré ou symbole de la Campagne d'Egypte (qu'on retrouve sur nombres de gravures allégoriques de l'Empire), porte les trophées et symboles martiaux. A son pied les attributs des arts et des sciences garantissent des auspices aux victoires du jeune consul.Un médaillon plus coloré offre le profil de Bonaparte ici clairement identifié par son habit rouge de Premier Consul et accompagné de sa mère, Laetitia. Cette petite figure nous permet de dater notre estampe autour de 1802, avant le mariage et l'Empire, au même moment que les commandes importantes que fait l'empereur de son image en habit de Consul, sous tout media possible (on pense au portrait de Gros de la même époque s'il ne fallait en citer qu'un...). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847),- Julien, Bernard-Romain (Bayonne, 16–11–1802 - Bayonne, 03–12–1871), dessinateur-lithographe
Reference : 25914
(1833)
1833 La Caricature politique, morale, littéraire et scénique - 1833- Lithographie- Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm- Hauteur: 20.3cmx Largeur: 23.7cm- Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 11 avril 1833 (Planche n°263)- Titre en ht au centre : « Barbe bleue, blanche, rouge. » ; légende en bas au centre : « La presse, ma sœur, ne vois-tu rien venir ? – je ne vois que le soleil de Juillet qui poudroie et l’herbe des // tombeaux qui verdoie. – Presse, ma sœur, ne vois-tu rien encore ? – je vois deux cavaliers qui viennent // au galop, portant une bannière. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°127. », en ht à dte : « Pl. 263. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue furstemberg N°6. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « G. = et Jn » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Bernard-Romain Julien, lithographe ?]- Inscription - Sur la feuille volante posée à terre à côté de la Constitution : « LOI ,qques taches.
Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847),Attribué à Julien, Bernard-Romain (Bayonne, 16–11–1802 - Bayonne, 03–12–1871), dessinateur-lithographe- Louis-Philippe, vu de dos mais reconnaissable à son toupet et à ses favoris, tient l’incarnation de la « constitution » (sous les traits d’une femme dont les jambes sont liées par une corde) par les cheveux. Il la traîne par terre et s’apprête à la poignarder de la main dte. La scène se déroule sur le balcon d’un palais aux allures de forteresse médiévale. A gche, une porte ouverte laisse entrevoir l’intérieur d’un cachot dans lequel on distingue deux personnes enchaînées. L’une est une femme portant le bonnet phrygien. Deux autres femmes sont allongées par terre, sans doute mortes. Au-dessus de la porte, un linteau décoré d’une tête de mort au centre, de poires, d’une lyre et d’une paire de ciseaux ouverte. A dte, sur le balcon d’une autre tour une sentinelle observe les environs. Elle sonne la trompette de la « TRIBUNE », journal républicain, et tient dans une main celle du « NATIONAL », journal contestataire du régime également. Cette sentinelle est l’incarnation de la presse, annonçant au roi l’arrivée prochaine de la république, représentée sous la forme de deux cavaliers s’approchant du château, représentés dans la partie dte de la composition. L’un d’eux porte une bannière mentionnant « REPUBLIQUE ». La pl. montre que le peuple est prêt à se battre pour défendre ses droits, notamment ceux contenus dans la Constitution et qui sont bafoués par le régime en place. La pl. se réfère à Barbe bleue, conte de Charles Perrault (1697). Barbe bleue envisage de tuer son épouse, laquelle prie pour éviter cette exécution. Sa sœur, Anne, l’assiste et, se trouvant en haut d’une tour, guette ses frères venus pour la sauver. La sœur d’Anne demande à cette dernière : « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? », et Anne lui répond « Je ne vois rien que le soleil qui poudroie, et l’herbe qui verdoie ». La pl. propose une parodie du conte : Barbe Bleue est incarné par Louis-Philippe, qui veut tuer la Constitution. Le rôle de la protectrice Anne est endossé par la presse, guettant les chevaliers de la liberté venus délivrer la Constitution en apportant la république. Les paroles contenues dans la légende sont également adaptées à la situation que la pl. veut dénoncer (« le soleil » devient « le soleil de Juillet » et « l’herbe » devient « l’herbe des tombeaux »). Barbe Bleue devient alors Barbe bleue, blanche et rouge, en référence au drapeau tricolore. A noter : sur cette pl. en n/b, seule la barbe de Louis-Philippe est colorée en rouge.
Lyon : E. Vitte, 1901,In-8,broché, 412 p., portr.;texte frais,2e plat couverture manquant,dans l’etat,
François Watrin (1772-1802), général. L.A.S., Le Mans, 23 floréal an 4 [12 mai 1796], 1p in-4. Au général Louis François Jean Chabot (1757-1837). Il souhaite que les commandants des districts d'Evron et Chateaugontier puissent concentrer leurs marches, i.e. « battues », contre les chouans avec ceux de Sablé et de Sillé. Il indique « faire de fréquentes battues depuis Villaine[-la-Juhel] jusqu'à Saint Denis d'Anjou ». Très intéressant document. [93]
1859 Paris Mallet-Bachelier 1859 in 8, ,reliure plein chagrin brun, dos à nerfs, , tite doré, toutes tranches dorées, sur les plats fers avec aigle et Prix du concous général de la ville de Paris, XXXIV , 372 p. illustrations dans le texte et hors-texte, dont une carte en couleurs sur deux pages et 7 planches avec lithographies sur papier de Chine contrecollées Edition originale. exemplaire du scientifique Edmond Perier
Remi Armand Coulvier-Gravier (né à Reims le 26 février 1802, mort à Paris le 12 février 1868) était un astronome français. Parmi les phénomènes célestes, il observa tout particulièrement celui des étoiles filantes. François Arago le fit nommer, en 1850, astronome de l'observatoire météorologique qu'on venait de créer au palais du Luxembourg
Paris Chez l'Auteur 1847
2 tomes reliés en 1 volume in-12 : 2f. et 166p.; 2f. et 193p. :: Première édition. Ouvrage curieux par le théologien Antoine Martinet (1802-1871). :: Reliure postérieure, demi-veau tabac, dos lisse orné. Coins frottés. :: Cachet d'un pensionnat au titre, sinon bon état.
[Paris], s.d. (1802) estampe in-8 de 28,5 x 20,5 cm, en feuille, fixée sur papier fort. Anecdotiques et pâles rousseurs.
Rare.Bel état pour ce tirage en noir sur vergé d'une estampe fort peu courante, dans un style classique... et pour cause..Eau-forte allégorique au burin par Vieilh (de) Varenne(s), auteur et éditeur, représentant les foules reconnaissantes au Premier Consul (figuré par un buste couronné d'étoiles par une victoire ailée et tonitruante) pour les bienfaits des débuts de son gouvernement, figurant sur la banderole de la victoire : 18 brumaire (le salut de la France), 15 août [Convention de Messidor] (la France reconnaissante). Faisceaux et Lyrisme maternel n'étant visiblement pas de trop pour signifier l'allégorie...Il s'agit bien de la paix intérieure assurée par un régime stable et le Concordat, pas d'allusion graphique au Traité d'Amiens. Au bas de la gravure, son titre et quelques vers recyclent un thème musical et maçonnique, galvaudé de Fénelon à Rousseau...Mais cette allégorie est en réalité un second état d'une gravure très habilement transformée par Vieilh Varenne, détenteur de la matrice en tant qu'éditeur, qui en devient l'auteur sur cette version...L'original, indexée à la BnF sous : [A un peuple libre], 1789, gravure sans titre de J. M. Moreau et Duplessis-Berteaux, éditée par Vieilh Varennes, est une allégorie de Louis XVI , Bailly et du peuple français au tout début de la Révolution.Vieilh Varenne a remplacé la prise de la Bastille par des faisceaux, Louis XVI par Napoléon, Bailly par une allégorie de la Loi... et on aperçoit à peine la demarcation de la tablette inférieure, pour le titre et les vers, qui n'existe nullement dans la version révolutionnaire. Il a aussi fait disparaitre le nom du graveur (Dambrun).Absent de De Vinck et de la Vente Soulavie.Aucun exemplaire à la BnF, qui ne possède donc que le "premier état" à thématique révolutionnaire, issu de la collection Michel Hennin.La seule mention trouvée est dans l'Inventaire du Garde-meuble, aux Archives Nationales (O2 366-783), indiquant le titre de l'allégorie napoléonienne. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Testu, s.d. (1802) in-8, [32]-760 pp., demi-veau blond, dos lisse orné aux petits fers (rel. du XIXe). Bel exemplaire.
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Paris, Testu, s.d. (1802) in-8, [32]-760 pp., demi-basane cerise, dos à nerfs orné de filets dorés (rel. du milieu du XIXe). Dos insolé, coiffes un peu frottées. Ex-libris Comte de Grandmaison de Pambour et Jacques Jourquin.
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Paris, Testu, s.d. (1802) in-8, [32]-760 pp., basane fauve, dos lisse orné (reliure de l'époque). Fortes traces d'humidité dans les marges extérieures d'une partie de l'ouvrage, n'affectant pas la lecture.
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Les Editeurs Français Réunis, 1952. Édition du Cent-cinquantenaire. In-12 broché (19 x 12,5 cm), 327 pages. Edition originale pour ce choix de Louis Aragon : L'un des 180 exemplaires numérotés sur vélin pur fil, celui-ci le n° 62, seul tirage en grand papier. Très bel état.
[baron d'Anthès] Louis Le Bègue Duportail (1743-1802), militaire, conseiller tactique de George Washington, ministre de la guerre.
Reference : 015025
[baron d'Anthès] Louis Le Bègue Duportail (1743-1802), militaire, conseiller tactique de George Washington, ministre de la guerre. L.S., Paris, 6 octobre 1791, 1p in-folio. Etonnant document se souciant de Desmarès, capitaine et D'Anthès, sous-lieutenant. Louis XVI a été informé de leur absence, pour s'occuper des recrues, et ils pourront ne revenir qu'au 1er février à leurs emploi. Ce document est intéressant car il arrive quelques mois après la fuite de Varennes (20-21 juin 1791) dans lequel le régiment Royal-allemand [15e régiment de cavalerie] est impliqué. Malgré cela, il ne fut pas démantelé mais la quasi-totalité du régiment désertera en 1792 (pour partir en émigration). Les deux personnages cités étaient des royalistes : Joseph Desmarès (1748-1834) émigra en 1792 et combattit dans l'armée des princes & Joseph-Conrad d'Anthès (1773-1852), père du fameux baron qui tua Pouchkine, émigra lui aussi, probablement en 1792. [366]
Émile de Girardin (1802-1881), homme politique, journaliste. L.A.S. à la 3e personne, 9 octobre, 1p ni-8. A l'écrivain Léon Tolstoï (1828-1910). « M. Emille de Girardin a vivement regretté de ne s'être pas trouvé chez lui lorsque Monsieur de Tolstoy a bien voulu prendre la peine de venir chez lui. Il s'empresse de faire demander à Monsieur de Tolstoy à quelle heure et quel jour il pourra avoir l'honneur d'aller le voir. Ses compliments empressés ». On joint une seconde L.A.S. pour sollicité un rendez-vous. Une note indique qu'elle serait aussi à Tolstoï et en 1857 et elle est datée « jeudi 13 février ». Cette date est un vendredi en 1857 donc ce n'est pas possible. [368]
Victor Ségalas (1802-1886), avocat, époux de la poétesse Anaïs Ségalas.
Reference : 015206
Victor Ségalas (1802-1886), avocat, époux de la poétesse Anaïs Ségalas. L.A.S., sd, 1p in-12. Au peintre Claude-François Mirault (1784-1862), président de l'Athénée des Arts. « Aimable et dangereux hôte, vous m'avez mis hors d'état de travailler. Je suis en colère contre vous. Vous n'avez qu'un moyen de faire la paix : c'est de m'envoyer en otage, et pour garantie de votre conduite [mot illisible] le dépôt que je vous ai confié, la superbe méduse dont nous avons parlé et un zoophyte radiaire si vous en avez. Votre Convive Ségalas ». Trace de collage. Amusant courrier. [374]
Nicolas-Joseph Sélis (1737-1802), professeur de poésie au Collège de France, membre de l'Institut.
Reference : 015209
Nicolas-Joseph Sélis (1737-1802), professeur de poésie au Collège de France, membre de l'Institut. P.A. (poème), 12 octobre 1790, 1p in-4 oblong. « Écrivain courageux, citoyen plein de zèle, D'un trop injuste oubli lui seul ne se plaint pas : En faisant des heureux, il a fait des ingrats : Mais l'amitié lui fut fidèle ». Peu commun. [374]
Adolphe Monod (1802-1856), pasteur, théologien protestant, un des plus grands prédicateurs du XIXe siècle.
Reference : 014682
Adolphe Monod (1802-1856), pasteur, théologien protestant, un des plus grands prédicateurs du XIXe siècle. L.A.S., Paris, 24 décembre 1852, 3p in-8. Entête de l'Eglise réformée de Paris. Longue lettre rendant compte de l'élection au Conseil Académique la veille. Il y avait trois places soumises à élection, la première a été remportée par Adolphe Wurtz (1817-1884) face à Louis-René Le Canu (1800-1871) [orthographié Lecanut] par 10 voix contre 9. La seconde a été remportée par 14 voix contre 4 pour Pierre-Antoine Favre (1813-1880) (et 1 billet blanc). La dernière par Favre par 11 voix (et 8 blancs). Ce vote, qui s'inscrit dans une bataille pour la chimie française [voir Rocke, Adolphe Wurtz and the Battle for French Chemistry, publié en 2000], était assez différent de celui qui eut lieu à la Faculté de Médecine le 9 décembre : Wurtz fut élu en premier et Favre en deuxième (face à Le Canu). Intéressante lettre, peu commun. [78]
Edouard Rocher (1802-1872), négociant à La Côte Saint André (Isère), producteur de liqueurs (maison Cherry Rocher).
Reference : 014651
Edouard Rocher (1802-1872), négociant à La Côte Saint André (Isère), producteur de liqueurs (maison Cherry Rocher). 2 L.A.S., La Côte Saint André, 7 janvier 1846 & 7 mai 1847, 5p in-8. A l'architecte isérois Alfred Berruyer (1819-1901), élève de Visconti. Les deux lettres sont très intéressantes sur le projet de construction de la Villa Sainte Cécile, à La Côte Saint André. La première concerne les autorisations à demander, la seconde est une discussion sur les plans de la maison. Très beaux courriers sur les prémices d'une des maisons emblématiques de La Côte Saint André. [355]
Henri Lacordaire (1802-1861), prêtre, prédicateur, journaliste. L.A.S., Paris, 21 décembre 1846, 1p in-4. A Fr Fröly, économe de collèges royaux (Grenoble, Lyon, Versailles). Remerciements pour l'envoi de vers. [149]
Paris, Germer Baillière, 1837, in-8°, XI + 752 p. + 4 planches chromolithographiées + 32 p. (Catalogue de Germer Baillière), garde en papier marbré, abondantes rousseurs , exlibris ms. ‘Ammon’, reliure en cuir originale, dos et pièce de titre ornés en or, en très bon état.
Première édition dans une bel reliure. Jules Sichel (1802-68) naquit à Francfort d'une famille israélite. Etudes de médicine à Wurzbourg ou il obtinait en 1823 son premier travail comme chef de clinique chez Prof. Johann Lucas Schönlein, “l'un des médicins les plus éminents du siècle”. A cette époque le seul qui a fait beaucoup pour le progrès de la science ophthalmologique était Prof. Friedrich Jaeger à Vienne. Pour completer ses études Sichel était à Vienne en 1825 à 1829 chez Jaeger, qui devint son maître et son ami. Sichel arriva en 1829 à Paris. A partir de sa naturalisation comme français en 1834 “la réputation, les honneurs et aussi les profits matériels, vinrent trouver Jules Sichel; son cabinet particulier de consultations, sa clinique de la rue Férou, ouverte en 1836, virent affluer une foule de déshérités de la vue; le nom de spécialiste vola de bouche en bouche, s'étendent sur toute l'Europe, volant en Amerique; des ministres, des princes, des rois, allèrent plus d'une fois frapper à la porte de la rue de la Chausée-d'Antin”. Sichel était aussi au niveau intellectuel une personalité extraordinaire: “lisant le Coran comme un ulema, et la Bible comme un rabbin, traduisant à livre ouvert le grec et le latin, écrivant le français avec un style clair et facile, le parlant avec un léger accent tudesque qui avait je ne sais quel charme particulier.” La liste de publications de Sichel se rend “au moins 152 mémoires tant sur l'oculistique, sur l'entomologie, que sur la littérature, l'histoire et l'archéologie. Mais nous tenons, auparavant, à dire que comme ophtalmologist il tient une large place au milieu de tous les savants qui ont, depuis un demi-siècle, fait avancer cette science pleine d'attraits et de charmes.”Er erwarb “durch seine praktische Befähigung und sein grosses operatives Talent einen über die ganze Welt verbreiteten Ruf.”Dictionnaire Encyclopédique des Sciences Médicales LXXXVI/512-514 et LXXXVIII/567-569; Haberling-H. III/406 et V/254 f. Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
A PARIS. CHEZ MME VEUVE RICHARD, LIBRAIRE ET CHEZ LE C. MEQUIGNON, L’AINE, LIBRAIRE. AN XI - 1802. IN-8 (13,5 X 20,5 X 3 CENTIMETRES ENVIRON) DE XXXII + 302 PAGES, DANS UNE FINE RELIURE D’EPOQUE PLEIN VEAU HAVANE, DOS LISSE ORNE D'UN JOLI DECOR DE FLEURONS DORES, TITRE DORE SUR ETIQUETTE MAROQUIN ROUGE, PLATS ENCADRES D’UNE CHAINETTE DOREE, FILET DORE SUR COUPES, TOUTES TRANCHES DOREES. TRES BEL EXEMPLAIRE.
Paul de Noailles (1802-1885), historien, homme politique, financier.
Reference : 013619
Paul de Noailles (1802-1885), historien, homme politique, financier. L.A.S., Paris, 29 mai 1876, 1p in-8. Lettre de remerciements à une duchesse pour sa lettre qui flatte son fils, par ses « paroles indulgents sur son article ». [304]
Paul de Noailles (1802-1885), historien, homme politique, financier.
Reference : 013620
Paul de Noailles (1802-1885), historien, homme politique, financier. L.A.S. + enveloppe, Maintenon, 29 juin 1880, 1p in-8. A M. A. Frère, secrétaire général de la compagnie de l'ouest. Il est trop souffrant pour participer à la séance du conseil le lendemain et demande à être tenu au courant. [304]
Alfred-Auguste Cuvillier-Fleury (1802-1887), journaliste, critique littéraire.
Reference : 013653
Alfred-Auguste Cuvillier-Fleury (1802-1887), journaliste, critique littéraire. L.A.S., Tuileries, 12 avril 1836, 1p in-8. Belle lettre amicale. [306]
Hippolyte-Jules Demolière (1802-1877), écrivain, secrétaire du gouvernement provisoire puis du général Cavaignac en 1848.
Reference : 013502
Hippolyte-Jules Demolière (1802-1877), écrivain, secrétaire du gouvernement provisoire puis du général Cavaignac en 1848. P.A.S., Paris, 26 mars 1848, 1p in-8. Laissez-passer imprimé avec les trous remplis par Demolière pour le citoyen Eugène-Emile Lenglet qui « désire s'entretenir d'affaires urgentes » avec Barthélémy Saint Hilaire, secrétaire du gouvernement provisoire. Le document porte le cachet du secrétariat. Lenglet était premier adjoint au maire d'Arras. Il fut désigné le 27 février 1848 pour porter au gouvernement provisoire l'adhésion de ses compatriotes. On peut supposer que c'est suite à cette mission qu'il arriva à Paris. Elu député le 23 avril 1848, il devint secrétaire du gouvernement provisoire, comme le prouve d'autres documents en notre possession. Ce fait semble peu connu dans sa biographie. [304-2]
1802 Paris Comptoir des Imprimeurs Unis - Imprimerie de Crapelet 1849-58 - 1849-58 600 , 660 , 711 , 659 p. 4 volumes, frontispices sous serpentes in-8,Demi chagrin, dos à 4 nerfs cloisonnés et fleuronnés, titres et tomaisons dorés Paul de Noailles Rare en 4 volumes. L'auteur dans un premier temps avait voulu publier une nouvelle édition des lettres de Madame de Maintenon, en y intégrant une vaste notice. Ses recherches l'on amené en définitive à écrire l'histoire de ce personnage féminin important du 17ème siècle
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