Paris, Lavigne, 1841. Deux tomes en un volume in-16, XI-176 pp. et 185 pp., demi basane rubis de l'époque, dos lisse sobrement orné (petit manque en haut du dos, frottements).
Reference : 16261
Edition en tout petit format avec notice d'Eugène Bareste, ornée de 16 agréables planches hors-texte en noir.* Voir photographie(s) / See the picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte sur rendez-vous.
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Charpentier. Non daté. In-12. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 476 pages. Quelques rousseurs. Titre et filets dorés au dos. Quelques épidermures. 3 photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 641.013-Gastronomie
Ouvrage théorique, historique et à l'ordre du jour, dédié aux gastronomes parisiens par un professeur - Précédée d'une notice par M. Le Baron Richerand. Classification Dewey : 641.013-Gastronomie
"Paris. 12 cm x 18 cm. 1841. Relié. 476 pages. Paris Charpentier Libraire-Editeur 1841. Reliure d'époque demi-basane dos à nerfs pièces de titre dorées 12 cm x 18 cm 476 pages. Texte de Brillat-Savarin (un Professeur).Bon état" "Bon état"
Paris, Just Tessier, 1834 2 vol. in-8, [2] ff. n. ch., 384 pp. ; [2] ff. n. ch., 412 pp., demi-veau bleu, dos à nerfs ornés de filets et doubles caissons dorés, tranches marbrées (Bibolet). Quelques taches sur les plats, mais bel exemplaire.
L'édition originale était parue en 1826 ; les suivantes portent les dates de 1828, 1829 et 1834 (la nôtre).Rédigé avec un extraordinaire brio, le livre n'est plus à présenter, tant sur le plan philosophique que comme manifeste d'une "école" gastronomique. L'auteur, grave magistrat du Tribunal de Cassation, ne put jouir longtemps du succès de son livre : il mourut le 2 février 1826.Parmi maints aphorismes éblouissants, n'en retenons qu'un, si contraire aux tendances modernes en matière de goût et de beauté : "La maigreur n'est pas un grand désavantage chez les hommes ; ils n'en ont pas moins de vigueur, et sont beaucoup plus dispos (...). Mais elle est un malheur effroyable pour les femmes ; car pour elles, la beauté est plus que la vie : et la beauté consiste surtout dans la rondeur des formes et la courbure gracieuse des lignes (...). Avec les chétives, il n'y a point de remède (...). Mais pour les femmes qui sont nées maigres et qui ont l'estomac bon, nous ne voyons pas qu'elles puissent être plus difficiles à engraisser que des poulardes ; et s'il faut y mettre un peu plus de temps, c'est que les femmes ont l'estomac comparativement plus petit, et ne peuvent pas être soumises à un régime rigoureux et ponctuellement exécuté, comme ces animaux dévoués."Vicaire, Bibliographie gastronomique, 117. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Charpentier, 1847 in-12, 474 pp., demi-chagrin vert, dos à nerfs orné de fleurons dorés (reliure de l'époque). Dos passé, fortes rousseurs, feuillets brunis.
Nouvelle édition.Rédigé avec un extraordinaire brio, le livre parut originellement au début de 1826 et il n'est plus à présenter, tant sur le plan philosophique que comme manifeste d'une "école" gastronomique. L'auteur, grave magistrat du Tribunal de Cassation, ne put jouir longtemps du succès de son livre : il mourut le 2 février 1826. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Just Tessier, 1834. 2 vol. in-8 de (4)-384 pp. et (4)-412 pp., demi-chagrin vert, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque).
Quatrième édition publiée huit ans après l'édition originale. Rédigé avec un extraordinaire brio, le livre n'est plus à présenter, tant sur le plan philosophique que comme manifeste d'une "école" gastronomique. L'auteur, grave magistrat du Tribunal de Cassation, ne put jouir longtemps du succès de son livre : il mourut le 2 février 1826. Parmi maints aphorismes éblouissants, n'en retenons qu'un, si contraire aux tendances modernes en matière de goût et de beauté : « La maigreur n'est pas un grand désavantage chez les hommes ; ils n'en ont pas moins de vigueur, et sont beaucoup plus disposés. Mais elle est un malheur effroyable pour les femmes ; car pour elles, la beauté est plus que la vie : et la beauté consiste surtout dans la rondeur des formes et la courbure gracieuse des lignes avec les chétives, il n'y a point de remède pour les femmes qui sont nées maigres et qui ont l'estomac bon, nous ne voyons pas quelles êtres plus difficiles à engraisser que des poulardes ; et s'il faut y mettre un peu plus de temps, c'est que les femmes ont l'estomac comparativement plus petit, et ne peuvent pas être soumises à un régime rigoureux et ponctuellement exécuté, comme ces animaux dévoués ». Bon exemplaire malgré quelques rousseurs.