‎La Rue, Gabriel‎
‎Pour que vive notre français‎

‎L'École Sociale Populaire In-8 Couverture souple Montréal 1938 ‎

Reference : 9595


‎Très bon 32 pages. Publication no. 293. ‎

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‎Collectif‎

Reference : R240155421

(1943)

‎"Le Cri du Peuple, Edition de 5h n°821 vend. 7 mai 43 - Réimpression - Après le discours de Duce ""L'Italie est + que jamais décidée à mobiliser toutes ses forces"" - Ceux qui se sacrifient pour que vive notre empire, la légion des volontaires français..."‎

‎Le Cri du Peuple. 1943. In-Plano. En feuillets. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 2 pages augmentées de quelques photos et illustrations en noir et blanc dans le texte. Texte sur plusieurs colonnes. Réimpression intégrale d'après l'original de l'époque.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux‎


‎ Classification Dewey : 70.1-Journaux‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R320092315

(1971)

‎LE FRANCAIS DANS LE MONDE - N°83 - sept 1971 / la conjugaison en francais fondamental / un manuel pour l'enseignement du francais scientifique et technique / pour un enseignement actif de la civilisation francaise / vive notre equipe etc..‎

‎LE FRANCAIS DANS LE MONDE. 1971. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 55 pages agrafées - Texte sur 2 colonnes - Quelques illustrations en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 372.6-Livre scolaire : français‎


‎ Classification Dewey : 372.6-Livre scolaire : français‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎Collectif‎

Reference : 60481

(1938)

‎L'Internationale Communiste N° 2 de 1938 / Prolétaires de tous les pays unissez-vous - Numéro original - Organe bimensuel du Comité Exécutif de l'Internationale Commun - Parait en français, en russe, en allemand, en anglais, en espagnol et en chinois - Bureau d'Editions, 4 rue Saint-Germain l'Auxerrois - Paris 1er - Communisme - Sommaire : A propos de la mort de Lénine ( J. Staline ) - La fidélité au léninisme est le gage des victoires ultérieures - Le document grandiose, programme du marxisme ( V. Adoratski ) - Cinq ans de dictature fasciste en Allemagne ( P. Dengel ) - Nous ne laisserons pas fléchir la lutte pour l'unité de la classe ouvrière ( K. Gottwald ) La politique de la Grande-Bretagne dans le pacifique ( P. Arnot ) - La dictature militaire à Cuba et la lutte pour la démocratie 5 S. Vilar ) - A propos de l'idéologie de guerre du fascisme italien ( P. Lang ) - L'idéologie et les méthodes de propagande du fascisme hitlérien ( S. Krauss ) - Le mouvement antifasciste en progression ( S. Bogdanskaïa ) - L'expansion de l'Allemagne fasciste en Turquie ( Rasim Davos ) La lutte héroïque du peuple espagnol : Mon voyage en Espagne ( Harry Pollitt ) La lutte du peuple chinois pour son indépendance nationale : Les tâches de la révolution chinoise après la réalisation du front unique entre le Kuomintang et le parti communiste ( Mao Tse-Dun ) - Inteview de Peng de-Houé sur la situation actuelle en ChineNotes politiques : Le cours réactionnaire du Comité Central du Parti Social)démocrate allemand ( K. Funck ) - L'affaire Franzel et les leçons qu'il faut en tirer ( P. Wieden ) - La lutte contre le trotskisme contre-révolutionnaire : Il faut connaître l'ennemi ( S. Bobrovskaïa ) - Les provocatuers à l'œuvre ( J. Swencitski )Le Mouvement ouvrier international : Une nouvelle attaque contre le Parti communiste suisse ( K. Mayer ) - Les élections municipales aux Etats-Unis ( T. Ryan ) - La lutte grévistes aux Indes ( L. Burns ) Documents : Vive notre puissante armée populaire ! - Programme de lutte contre l'impérialisme japoanis pour le salut de la Chine - Appel de la VIIIème armée chinoise aux soldats japonais - Le serment de combattant de la VIIIème armée chinoise avant son départ pour la guerre contre les envahisseurs japonaisCritique et biographie : Les bourreaux du peuple espagnol‎

‎ 1938 1 vol in-8 broché - N° original 2 de Février 1938 - 214 pages - Bureau d'Editions, 4, rue Saint-Germain-l'Auxerrois - Paris 1er ‎


‎ bon état ‎

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EUR45.00 (€45.00 )

‎PERRIN, Emile‎

Reference : 44449

(1860)

‎Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

‎Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎


‎Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).‎

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