Éditions Pierre Tisné Couverture rigide toile Paris 1964
Reference : 26264
Très bon In-8 étroit. Non paginé. Sans la jaquette. Édition bilingue (français - anglais). Livre-objet.
Librairie Bonheur d'occasion
M. Mathieu Bertrand
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Editions Denoël 1977. In-8 broché de 260 pages au format 14 x 20,5 cm. Couverture avec titre imprimé. Dos carré. Complet de la rare et belle jaquette illustrée par Clovis Trouille. Exemplaire du service de presse, avec prière d'insérer. Edition originale en superbe état général. Précieux exemplaire enrichi d'une exceptionnelle dédicace autographe, pleine page, datée et signée de Jean Vautrin à France Roche : Pour France Roche ce Mister Love en souvenir du temps où " je faisais le metteur en scène "... Quand elle regardait mes films avec son oeil bleu, moi, timide comme des dessous, je m'empêchais de respirer. Maintenant que le cinoche me recule dans la mémoire, je lui présente confiance-confiance mon dernier né... non mais !... on verra bien kiki baisse les yeux ! Croyez pas les bêtises que je vous dis, France, c'est un livre avec des pudeurs sous toutes les voyelles. Bonne lecture et chaleureusement vôtre, Jean Vautrin. Sept. 77.
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( Jack l'éventreur - Jack the Ripper - Sherlock Holmes ) - Stéphane Bourgoin - André de Lorde et Pierre Chaine - Jean Petithuguenin - Ray Russel - Kay Rogers - Hugh Reid - William F.Nolan.
Reference : 19720
(1998)
Editions Bernard Grasset & Fasquelle 1998. In-8 broché de 386 pages au format 15,5 x 24 cm. Couverture illustrée par Christian Baude. Dos carré. Plats et intérieur frais. Excellente étude de 144 pages suivie de 9 textes inédits de fiction consacrés à jack l'Eventreur, de 2 importantes bibliographies et d'une filmographie commentée. Dossier de photos d'époque au milieu du livre. L'intérêt principal de cet ouvrage réside dans les 9 nouvelles, réunies. On y trouve pour la première fois réédité le texte du mythique 16 ème fascicule des " Dossiers secrets du Roi des Détective, Jack L'Eventreur ", paru en 1908 chez Fernand Laven et qui est le premier pastiche Holmésien à opposer Sherlock Holmes à Jack l'Eventreur !, ainsi que la pièce du Grand-Guignol datant de 1934 : " Jack l'Eventreur " par André de Lorde et Pierre Chaine. Contient aussi : Dans l'Abattoir ( anonyme, 1891 ) - Le Démon Spirite ( Hume Nisbet, 1894 ) - Ethel King ; Jack l'Eventreur, le tueur de femmes ( Jean Petithuguenin, 1912 ) - Love Story ( Kay Rogers, 1951 ) - Dulcie ( Hugh Reid, 1963 ) - Sagittaire ( Ray Russell, 1967 ) - Le Retour de Jack l'Eventreur ( William F.Nolan, 1985 ). Edition originale en état de neuf.
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Antwerpen, MER Paper Kunsthalle, 2012 Gebonden, Hardcover, 296 pagina's met illustraties in kleur, 30x21 cm, ISBN 9789490693893.
Een liefdesbrief geeft vorm aan de liefde. Mannaers schrijft er geen, hij schildert ze in zijn smeuige bad painting-stijl. Gedurende een periode heeft hij elke dag een Love Letter gemaakt en bestemd. De bestemmeling is een vrouw. Mannaers is tevens verliefd op de liefde, dat maakt zijn reeks algemeen menselijk. Kunstenaars kunnen niet zwijgen over (hun) kunst, ook als ze de liefde bedrijven. Zo is het boek Love Letters een visueel commentarierend beeldverhaal over de geschiedenis van de moderne kunst geworden. Het werk van Mannaers is steeds 'intertekstueel', d.w.z. dat in of onder een tekst er een andere schuilt. In zijn Love Letters vinden we een dubbel niveau van twee soorten gelaagdheden. Zijn schilderijen zitten vol referenties aan andere kunstenaars. Voor zijn dagelijkse Love Letters, gouache op papier, plukt hij hier en daar uit zijn eigen schilderijen die in de maak zijn. Lieftalliger met minder weerhaken. // Love letters shape love. Werner Mannaers doesn?t write love letters, he paints them in his characteristic ?bad painting? style. During a certain time span, the painter created a Love Letter each day; the recipient of which was always a woman. Mannaers is in love with love; which makes his current series especially human: artists never shut up about (their) art, even when making love. The book Love Letters groups these paintings Mannaers made over time. Each Love Letter is effectuated using gouache on paper. They refer to some of Mannaers? paintings that are currently in the making. Each Love Letter equally makes reference to other artists. This makes this publication more than a collection of recent Love Letters: the publication discreetly evolves towards a visual commentary on the history of modern art.
Turnhout, Brepols, 2005 Hardback, XIV+345 p., 160 x 240 mm. ISBN 9782503521633.
This book is concerned with the social and gendered meanings of love in medieval Norway and Iceland. In the Viking Age, to love would most often imply a submissive social position, while being loved by a woman could elevate a man above the status of her family. Women were supposed to love upwards in the social hierarchy, but could also use their desire to negotiate the social position of men. A close reading of the skaldic poetry shows the dilemma men faced when longing for women's love and approval. These ideas of love relations shaped Norse interpretations of courtly love and marriage formation by consent in the twelfth and thirteenth centuries. However, new ideas of sexuality, gender and aristocratic culture changed several aspects of love and marital affection in the later middle ages. Men became the loving subject, but in a way that did not challenge the social order. For women, ideal love was attached to humility and submission to parents and husband. But even though the new ideology of love and marriage to some extent neutralized the tensions between consent and parental control, the sources show that both men and women could use the new conceptions of love to serve their own marital and social strategies. Languages : English.
London, Iohn Windet, 1608. 12mo. In contemporary full calf. Small paper-label pasted on to top of spine. Wear to extremities, corners bumped. Edges of boards with loss of leather. Previous owner's names to front and back end paper (""Robert Wilson"" & ""Edvard Wilson, anno domini 1666""). Internally with a few light dampstains. (20), 328, 328-499, (4) pp.
The exceedingly rare second edition (the first being from 1586) of Roger’s somewhat free translation of ‘Papist’ Diego de Estalla’s work “Libro de la vanidad del mundo (Toledo, 1562). Roger’s admit that he had no access to the original but had to use the Itanlian and Spanish translations. This present English translation, however, is of significant interest since recent research suggests it was a source and inspiration for Shakespeare’s ‘Love’s Labour’s Lost’: At the opening of ‘Love’s Labour’s Lost’, the vow to renounce worldly pleasure has barely been announced before one of Navarre’s book-men declares his success: “Dumaine is mortified” (I.i.28). This ‘mortified’ is not a word Shakespeare would use often. It appears here in the sense of ‘having the appetites and passions in subjection’ and insensible or impervious to (the world and its pleasures), the latter informing Dumaine’s gloss: ‘To love, to wealth, to pomp. I pine and die’. The fact that this is the earliest use of ‘mortified’ in the Shakespearean canon is the first clue that one of the sources for Love’s Labour’s Lost was Thomas Roger’s A Methode unto Mortification, published in London in 1586 and again in 1608. Shakespeare’s pleasure in frustrating the ambitions of this book went some way to shaping his play”. (Kingsley-Smith, A Method unto Mortification: A New Source for Love’s Labour’s Lost). ""Love's Labour's Lost"" is one of William Shakespeare's early comedies, believed to have been written in the mid-1590s. The play revolves around the King of Navarre and three of his noble companions who make a pact to swear off women and focus on scholarly pursuits for three years. However, their resolve is tested when the Princess of France and her entourage arrive on a diplomatic mission. Each of the men falls in love with one of the women, leading to a series of comedic misunderstandings, romantic entanglements, and wordplay. “It is also possible that some facts about the original author sparked Shakespeare’s interest. Diego de Estella was born in Navarre, and spent time the court of Philip II of Spain before incurring disapproval for his criticism of court life and being forced into a Franciscan monastery. Armado, the braggart and clown of Love’s Labour’s Lost, is the first Spaniard to appear in Shakespeare”. (Kingsley-Smith, A Method unto Mortification: A New Source for Love’s Labour’s Lost).