Paris, Librairie Plon / Coll. ''Byblis'', 1934. Un vol. au format gd in-12 (193 x 142 mm) de 333 pp., broché, sous couverture à rabats rempliés.
Reference : 29099
Un des exemplaires du tirage numéroté sur vélin de rénage (seul papier). Il s'ouvre sur un frontispice de Louis Touchagues et recèle en outre 12 délicates compositions gravées et à pleine-page, d'après les aquarelles de Fouqueray. ''Charles Fouqueray étudia à l'Ecole des Beaux-Arts chez Cabanel et Cormon. Il restera pour la première moitié du XXème siècle un des peintres officiels de la marine les plus marquants de la guerre et des colonies''. (in Osterwalder). ''Il exposa dès 1890 au Salon des Artistes français et obtint rapidement récompenses et honneurs, toutes les techniques lui étant familières. Il fut toujours attiré par les voyages et les colonies et en rapporta ses oeuvres les plus réputées. Sa carrière féconde a laissé des oeuvres dans de nombreux musées de France et de l'étranger''. (in Bénézit). Selon certains, Pierre Benoit se serait inspiré, pour son personnage d'Antinéa, de la reine berbère Tin Hinan. L'auteur relate ici dans ce livre les souvenirs de sa jeunesse. Fils du colonel Benoit, il a passé ses premières années en Tunisie, où son père était en poste puis en Algérie, où il accomplit son service militaire. Dans un article de L'Écho de Paris le 2 février 1920, Pierre Benoit explique ainsi la genèse de son présent ouvrage:«De 1892 à 1907, j'ai vécu en Tunisie et en Algérie. Dès mon enfance, j'ai entendu parler des Touaregs, et mon imagination a été excitée par certaines sombres histoires, celle notamment d'une mission exécutée dans le Centre africain par deux Français dont un seul était revenu sans qu'on ait jamais pu savoir comment avait péri son compagnon. Telle est l'idée qui est à la base de l'Atlantide, il n'y en a pas d'autre.» Monod I, Manuel de l'amateur de livres illustrés modernes, 1339 - Bénézit IV, Dictionnaire des peintres, p. 458 - Osterwalder I, Dictionnaire des illustrateurs, p. 384. Coiffe inférieure très légèrement élimée. Très rares rousseurs dans le texte. Du reste, très belle condition.
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Actualité de l'histoire. 2002. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 143 pages - nombreuses photos et illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : L'Atlantide et les continents engloutis - Les Philistins de la Bible - L'aventure de l'alphabet - L'Atlantide de Platin - Platon le fondateur du mythe - L'Atlantide-Amentha des Egyptiens - Les Atlantides englouties - L'Atlantide des océanographes - L'Atlantide en Amérique - Le royaume de Thulé - L'Atlantide en Méditerranée - Atlantide, mythe universel - Edgar Cayce et le paradis atlante - Les mystères de l'alphabet - Ecriture et préhistoire.. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Monaco, Editions du Rocher, 1993, gr. in-8°, xxiv-281 pp, traduit de l'allemand par le docteur F. Gidon, préface de Jean Servier, 13 cartes, 26 figures dans le texte, broché, couv. illustrée, pt trace d'humidité en tête, sinon bon état (Gattefossé, Bibliographie de l'Atlantide n° 426 pour les éditions allemandes)
Anthropologue et explorateur, Leo Frobenius (1873-1938), auteur d'une somme monumentale sur l'Atlantide, est un des fondateurs de l'ethno-archéologie. Il tente ici d'établir un lien direct entre la civilisation du Bénin (Yoruba du Nigéria) et la Méditerranée orientale en soutenant l'hypothèse d'un transfert de la civilisation mère par des voies maritimes atlantiques vers l'Afrique jusqu'alors considérée sauvage. — "L’Atlantide a passionné les hommes depuis l’Antiquité. Mais jamais cette question n’a éveillé d’aussi remarquables échos que depuis l’an 1910, lorsque je repris son nom pour le jeter cette fois dans le domaine des controverses de l’ethnographie. Je formulai alors l’hypothèse que cette fable n’était pas seulement une fable. J’affirmai qu’il devait être possible de concevoir et d’assembler tout cela comme étant le souvenir d’une culture antérieure à celle de la Grèce. (...) J’affirmai alors que cette Atlantide était dans les souvenirs des peuples la dernière survivance d’une civilisation apparue dans un domaine situé sur la côte occidentale de l’Afrique. Mais lorsque l’hellénisme se développa dans la Méditerranée orientale, il sépara les uns des autres des peuples et des races qui pendant bien longtemps avaient pratiqué le commerce dans tout l’ensemble du bassin de la Méditerranée. (...) Et ces temps d’avant les Grecs étaient l’époque de Poséidon, le dieu des mers, dont les descendants, précisément, avaient construit la forteresse d’Atlantis." — Table : L'Atlantide – La mythologie et les hommes – Le peuple Yorouba – La société – La religion – Ifé, la ville sainte. Les dieux éminents – Le cortège des dieux – Edschou et la représentation du monde.
HISTOIRE DE LA MER. 1982. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 98 pages - nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte - textes sur deux colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : L'atlantide continent perdu - l'atlantide dans l'atlantique - comment ils ont vu l'atlantide - Ponce de Léon et la fontaine de Jouvence - le mystère de l'île du Chêne - à la recherche des épaves - un étrange ex voto - anecdotes maritimes. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Copernic, 1977, in-8°, 355 pp, traduit de l'allemand, 16 pl. de photos hors texte, 35 figures et cartes, biblio, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Réalisme fantastique)
L’Atlantide se trouvait à Héligoland, dans la mer du Nord ! Platon avait révélé le premier, dans son célèbre Critias, l’existence de cet empire mystérieux. Et depuis, l’Atlantide n’a cessé d’exciter l’imagination des poètes et de donner lieu aux spéculations les plus fantaisistes. Mais si Platon avait dit vrai ? Tel Schliemann exhumant les ruines de Troie à la lecture des poèmes homériques, Jürgen Spanuth a voulu parier sur l’authenticité du critias. Confrontant avec rigueur un impressionnant ensemble de données archéologiques, historiques, géographiques et mythologiques, il a résolu la plus grande énigme de l’histoire : l’Atlantide était un empire de la côte occidentale du Schleswig-Holstein, dont l’île de Héligoland est aujourd’hui le dernier vestige. C’est ce royaume englouti au XIIIe siècle avant notre ère, après de grandes catastrophes naturelles, que sont partis les “Peuples de la mer”. Jürgen Spanuth raconte, preuves à l’appui, l’aventure fabuleuse de ces guerriers du Nord qui, suivant la route de l’ambre, s’élancèrent à la conquête de la Grèce et de l’Asie mineure, avant d’être repoussés par les troupes du Pharaon Ramsès III.
Fernand Lanore, 1980, in-8°, 263 pp, broché, couv. illustrée, bon état
"Le mythe (mais en est-ce bien un ?), le mythe solaire de l'Atlantide a engendré un nombre considérable de volumes de toutes sortes et dans toutes les langues, et cela depuis Platon, soit depuis plus de 2000 ans. Il va sans dire que ces études n'apportaient pas toujours de nouveaux éléments, mais elles avaient le mérite de poser périodiquement l'interrogation essentielle. Le livre de Jean Prieur, qui se présente comme un récit ésotérique, donne une nouvelle dimension à cette histoire éternelle... On y retrouvera tantôt clairement affirmées, tantôt suggérées en filigrane les principales idées que l'auteur devait développer par la suite et notamment celle d'une révélation primitive dont l'écho persiste dans les religions égyptienne, védique, iranienne, orphique, essénienne, précolombienne ; révélation qui demeure à la base de la tradition ésotérique universelle." — Le premier roman de l'auteur (1914-2016), originellement paru en 1941, puis réédité en 1947 et en 1980.